INTEGRATION DE LA RURALITE A LA DYNAMIQUE URBAINE

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La croisée des préoccupations d’environnement et de développement

La montée des préoccupations environnementales et ‘accélération du phénomène ont des origines diverses et complexes :
– les intérêts économiques et les moyens d’existencconstituent des risques pesant sur la vie humaine, la santé et l’activité économique du fait des dégradations infligées aux capacités de fonction, de production et d’assimilation des systèmes écologiques. L’épuisement progressif des ressources naturelles met en évidence l’existence de contraintes environnementales sur la croissance économique. Les politiques d’environnement doivent se préoccuper des choix entre présent et futur associés à la réduction des sources d’énergies minérales et fossiles mais aussi des ressources renouvelables telles que les forêts, les pêcheries,l’eau ou encore les terres fertiles. La pollution de l’air, de la terre et de l’eau affectedirectement la santé et les conditions de vie des citoyens. Elle induit également des effets négatifs indirects sur la productivité de l’agriculture, des forêts et des pêcheries.
– la perception non utilitariste de la « nature »es t un cri d’alarme s’élevant à la fois, des sciences de la vie, des sociétés agraires et des mouvements de préservation de la nature. Ce cri dénonce la perte en biodiversité, c’est-à-dire la disparition d’habitats particuliers, l’extinction d’espèces de la flore et de la faune, etc. Ces questions renvoient à des dimensions relevant de l’économie et de la santé humaine. Toutefois, l’inquiétude porte aussi sur la préservation du monde naturel en tant qu’objet propre d’appréciation, indépendamment de toutes les utilités spécifiques que ces objets (et sujets vivants) peuvent offrir aux êtres humains. Cette problématique a été étudiée par des philosophes en termes de « valeur intrinsèque » de la nature et par certains économistes en termes de « valeur d’existence ».
– les significations culturelles annoncent une troi sième catégorie de revendications trouvant ses racines dans les aspects sociaux, esthétiques et culturels. Un environnement de qualité ne constitue pas uniquement une condition physique préalable à la vie humaine, aux activités de production ou un habitat pour les autres espèces. Il représente également l’espace de penséedans lequel évoluent les êtres humains. Certaines de ces dimensions apparaissent dans la littérature économique sous le vocable de « valeur récréative ». Les forêts, ages,pl montagnes et rivières offrent des lieux dans lesquels il est possible de pratiquer la marche, la pêche, l’escalade, la natation.
Ces préoccupations environnementales font irruptiondans un contexte d’expansion de la production industrielle, de la consommation de masse, des diverses modalités de transport rapide et de télécommunication. Si l’ensemble des pays du Nord sont touchés, les pays du Sud sont également très impliqués. Il s’y élève des protestations à l’égard de la dépréciation de leurs ressources naturelles (renouvelables telles que les pêcheries et les forêts ainsi que minérales) dûe,n partie, à un « échange écologique inégal » ayant permis la croissance économique du Nord sans qu’en résulte une distribution équitable des bénéfices économiques. ‘estC là attirer l’attention sur la question récurrente des « externalités internationales » et des transferts de coûts environnementaux opérés par des acteurs économiquespuissants vers des acteurs plus faibles, les premiers et les seconds étant séparéspar de grandes distances. Avec la globalisation des risques écologiques, la dégradation des ressources naturelles est devenue un phénomène capable d’accentuer les source de conflits spatiaux et plus encore les iniquités Nord-Sud.
La question de la pérennité du développement est orsal posée sous deux angles : celui de la « justice distributionnelle » au sein d’une même génération, qui se rapporte au risque d’aggravation des iniquités dans l’espace; celui de l’équité intergénérationnelle, qui se rapporte au risque d’aggravation des iniquités dans le temps. À la fin des années 1980, on prend pleinemen t conscience que les interactions entre économie et environnement doivent être géréesde façon à répondre « aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs » (rapport de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement, dite commission Brundtland, 1987). La notion de développement durable est née et devient, à partir des années 1990, un objectif politique.

STATUT EXCLUSIF DU PARC D’AMBODIRIANA

Madagascar est connu dans le monde grâce à sa biodi versité exceptionnelle qui présente un taux d’endémisme très élevé allant jusqu’à 90% pour la flore et 80% pour la faune. L’île est considérée comme un sanctuairede la nature, un patrimoine naturel mondial unique, ainsi qu’un centre d’intérêt scientifique exceptionnel.
Cependant, la population du pays est fortement dépendante de l’exploitation des ressources naturelles pour sa survie. A ce titre, la pauvreté est l’un des facteurs de dépréciation de la couverture forestière à Madagascar. Toutefois, la majorité de la biodiversité biologique se retrouve en majeure partie à l’intérieur des aires protégées, en particulier, le massif forestier de Betampona, l’une des dix premières réserves créées par le décret du 30 Janvier 1927 et qui a é tmis à jour par le décret n° 66-242 du 01 juin 19667.
Dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’Action Environnementale, la gestion de la biodiversité s’impose. En effet, l’Etat malgache a confié la gestion des Aires Protégées à l’Association Nationale pour la Gestion des Aires Protégées (ANGAP), qui aujourd’hui a pris le nom de Madagascar National Park (M.N.P) depuis 1990.
Cette Association de droit privé, a été reconnue d’utilité publique à travers le décret n° 91-592 du 4 décembre 1991. Notons toutefois, que mis à part le changement d’appellation (A.N.G.A.P-M.N.P) le statut de l’asso ciation n’a nullement changé.8
Depuis 1997, l’ANGAP gère la Réserve de Betampona selon la structure suivante : Direction Générale au niveau du siège Antananarivo,Direction Inter Régionale au niveau de faritany de Tamatave et Chefferie de Réserve au niveau de l’Aire Protégée Betampona. Cette disposition est dictée par le mandat de l’ANGAP dont sa mission est de gérer d’une manière durable un réseau de Parcst eRéserves représentatif de la biodiversité biologique et du patrimoine naturel propre à Madagascar. Ainsi, l’ANGAP a marqué la gestion directe de la Réserve Naturelle Intégrale de Betampona par la mise en place du personnel, des infrastructures de gestion et de conservation, et de la mise en œuvre des activités de conservation a u niveau de l’Aire Protégée

Statut de l’Aire Protégée de Betampona

Actuellement, Madagascar National Park gère trois types d’aires protégées dont : les Réserves Naturelles Intégrales, les Réserves Spéciales et enfin les Parcs Nationaux. Ici nous allons parler du statut des Réserves Naturelles Intégrales, la raison en est que Betampona fait partie des Réserves Naturelles Intégrales qui est sous la direction de Madagascar National Parks.
Une Réserve Naturelle Intégrale désigne une Aire Protégée représentative d’un écosystème particulier, notamment biologique et naturel dans un périmètre délimité tenant compte des spécificités et coutumes malgaches.
Elle vise :
– à préserver les biotopes, les écosystèmes, le regroupement d’espèces endémique menacés dans une espace en tenant comptede l’aire nécessaire pour la viabilité des espèces et dans des conditions aussipeu perturbées que possible,
– à maintenir les ressources génétiques et biologiques,
– à conserver les milieux naturels exemplaires à des fins d’études scientifiques, de surveillance continue de l’environnement, y compris des aires de référence en excluant tout accès, sauf pour des recherches scientifiques,
– à valoriser les rites et coutumes malgaches pour co nserver les aires protégées et les ressources sauvages sacrées.

Accessibilité et étendue de ressources dansla Réserve

Naturelles Intégrale de Betampona
L’article 12 du code interne de Madagascar National Park stipule que : « Sont interdits sur toute l’étendue d’une Réserve Naturelle Intégrale, l’accès ainsi que l’utilisation des ressources naturelles sauf à des fins de recherches ou à des fins rituelles très spécifiques…. » 10. La question se pose ici quant à la survie des communautés locales basée sur l’exploitation des ressources au sein de la réserve.
La réserve de Betampona est située sur la cote Estde Madagascar, à 40 km au Nord– Ouest de la ville de Tamatave ; à 25 km à vol d’o iseau à l’Ouest de l’océan indien. Elle se localise entre les latitudes 17°52’-17°56’ Sud et la longitude 49°11’-49°15’ Est. Elle appartient à l’écorégion de l’Est, dansal Sous-préfecture de Tamatave II dans les Commues Rurale d’Ambodiriana et de Sahambala.
Pour ce qui est de la végétation, la réserve est constituée par 1758 ha de forêts primaires et 470 ha de forêts secondaires . Conformément au type du sol et de climat de la région, la formation de végétation est caractérisée par des forêts denses, humides, sempervirentes de basse altitude, c’est à dire que les arbres possèdent de feuilles persistantes toute l’année. Pour les grands arbres, la plupart ont des racines échasses et à contreforts. Ils supportent les lianes et les esp èces épiphytes telles que les Orchidées comme le Platicoruim, les épiphytes mésophytes comme Asphenium ainsi que les épiphytes comme Angrecum et Acranthes. Les plantes herbacées et les jeunes arbres ainsi que les fougères et lichens forment un sous-bois épais. La réserve héberge aussi de nombreux palmiers spécifiques de Betampona comme le Dypsis betamponiensis, Marojejia darianii et le Dypsys tsaravotsira.
Pour le vieux savoka, les plantes sont diversifiées, généralement dominées par des plantes envahissantes telles que Harongana madagascariensis, Aframmomum madagascariensis, psydia sp, Ravenala madagascariensis et Spectabullis rubis.
Du coté de la flore, la réserve de Betampona est riche en espèce floristique. On a recensé jusqu’à ce jour 219 espèces de plantes ligneuses reparties en 130 genres dans Myrtacées, Arabiacées, Myristicacées, Flacourtiacées. Les grands arbres sont constitués par le Canarium madagascariensis, Galbergia, Dyopsiros, Syderoxylon, Aspidostemon, Combretum.
Aussi riche en ptéridophyte à large distribution malgré son aire réduite, on y trouve 151 espèces de Ptéridophytes. Les 53 espèces sont ndémiques et 34,86% se trouve dans la réserve de Betampona. Les genres présentanle plus grand nombre d’espèces à Betampona sont Cyathea, Trichomanes, Asphenium, P teris, Hymenophyllum, Vittaria, Lomariopsis et Blechnum… (R. Fidèle Nov. 1999).
Sur un autre plan, aucune étude ni inventaire n’ont été effectués sur le palmier à Betampona. Jusqu’à ce jour, 25 espèces réparties en 4 genres sont connues. Les 3 espèces sont gravement menacées; 2 espèces en dangers (Dypsis tsaravosira, Ravenea albicans) ; 2 espèces quasi menacées (Dypsis confusa, Orania longisquama) et 5 espèces vulnérables dans la liste rouge de l’UICN .
Sur la question de la faune, l’avifaune est riche à Betampona avec 93 espèces qui ont été recensés jusqu’à ce jour. Parmi eux, 44 espèces sont endémiques et se trouve à Madagascar, 18 endémiques des régions de l’océan indien. Les 4 espèces de Coua de la forêt humide s’y trouvent : Coua cristata, Coua serriana, Coua caerulea; Coua reynaudii.(ZICOMA 1997. 7 espèces sont jugées vulnérables. Il s’agit : Mesitormis variegata, M.unicolor, Brachypteracias leptosomus, B. squamigera ; Phyllastrephus tenebrosus; Oriolia bernieri ; Euryceros prevostii et 4 espèces quasi menacées dans la liste rouge de l’UICN :Lophotibis cristata, Accipiter m ;A henstii ; Xenopirostris polleni.13
Les mammifères les mieux représentés dans la réservde Betampona sont les primates. En effet Sur 33 espèces identifiées à Madagascar, on a recensé 11 espèces de lémuriens dont 5 espèces diurnes et 6 nocturnes. Trois espèces font partie de la catégorie des primates en danger comme le Daubentonia madagascariensis, l’Indri indri et le Varecia variegata variegata ; une espèce gravement menacée comme le Propithecus diadema diadema et quatre espèces de mammifères vulnérables dans la liste rouge de l’UICN. 14
Pour les amphibiens, aucune étude ni inventaire n’ont été effectués à Betampona. Néanmoins, 30 espèces seulement sont connues. Une spèce est gravement menacée (le Paraedura masobe) et une vulnérable (Uroplatuslineatus) dans le statut de l’UICN.
De même pour les poissons aucune étude ni inventair n’ont été effectués sur les poissons de Betampona. La présence de nombreuses rivières à l’intérieur de la réserve suppose qu’elle héberge de nombreux poissons dont les espèces connues sont le Bedotia qui est une espèce vulnérable.
• L’endémicité
Malgré, l’insuffisance d’information sur l’originalité de la réserve de Betampona, son isolement géographique au niveau de l’écorégionpermet de prédire qu’elle peut présenter une forte endémicité.
Il ressort de cette brève présentation de l’accessibilité et de l’étendu des ressources de Betampona que la réserve peut contribuer sûrement et efficacement au développement durable du local au régional et de làau national.

ROLE STRATEGIQUES DE L’AIRE PROTEGEE

Afin de mieux comprendre le rôle stratégique de l’Aire Protégée, nous avons essayé de dégager ses valeurs économiques, écologiques etsocio culturel tant au niveau national que régional voire local, cela sur une dimension critique dans le rapport entre potentiels, besoins de population et exploitation informelle.
Les rôles ci après cités de l’aire protégée ne semblent donc pas remplir les conditions d’une humanisation de la stratégie environnementale à travers la mondialisation.

Rôles économiques

Selon le tableau numéros 02 ci après, les rôles économiques de l’aire protégée de Betampona sont limités à l’approvisionnement en eau pour les habitants et l’agriculture en matière de développement local et en devise en matière de profit privatif pour le M.N.P à travers les recherches sci entifiques qui s’y déroule. Sur ces deux plans, on peut se poser des questions d’abord quant à l’exclusion foncière autour de la problématique de l’aménagement du territoire,et ensuite quant aux ristournes devant être versées aux collectivités de base autour des faits de rentrées de devise. Le M.N.P ne peut qu’être redevable vis-à-vis des besoins des populations locales et non se servir de celle-ci comme d’une perche œuvrant un ilatéralement dans l’intérêt des bailleurs, des chercheurs scientifiques et des services rendus par le M.N.P.
Il ya une législation à revoir sur la vocation d’un organisme comme le M.N.P dans ses buts et finalités, du mondial au local.

Rôles écologiques

Un descriptif aussi vague sur les fonctions réelles des éléments constitutifs de l’environnement écologique ne peut faire état du démembrement de celui-ci, cela du formel à l’informel et vice-versa à partir du table au numéros 03. La recherche scientifique n’y est que l’apanage exclusif des org anismes étrangers si l’on se réfère à la législation en vigueur. Il reste que le site est interdit aux simples chercheurs, aux autorités publiques et à la population locale. Et les autorités traditionnelles ne font figure que de relais de pouvoir des bailleurs. Qu’en est il alors des diverses filières de trafic des éléments de la faune et de la flore locale qui circule à travers le monde ? Nous assistons ici à une exploitation écologique de grande envergure visant durablement la spoliation abusive des richesses locales et l’aggravation de la pauvreté, ceci tout à fait à l’ opposer des principes des O.M .D. Madagascar regorgent d’intellectuels scientifiques multidisciplinaires et hautement diplômés, il y a un transfert de compétence, de droit de propriété et edgestion à recentré, du légal au légitime, de celui-ci un nouveau statut du légal.
Mais les malgaches semblent avoir acquis une caractéristique psychosociologique indélébile dans leur habitus : l’esprit de dépendance, et donc le rejet des principes de l’autonomisation.

Rôles socio-culturels

Les rôles socio-culturels évoqués au sein de ce tableau numéros 04 dressé par le M.N.P sont limitatifs et ne relèvent que d’une approche purement technique. Si l’éducation en général a pour but de lutter contrel’analphabétisme et l’illettrisme, les perspectives en termes de mobilité scolaire ont à se joindre aux principes d’un système de la littérature positive. Il s’agit dans cette optique de l’édification du couple local de l’éducation et de l’enseignement en pépinière de formation de cadres intellectuels et scientifiques. Ces cadres peuvent constituer la corporation humaine et durable visée par les transferts de compétences, de propriété etde gestion au profit d’une dynamique et d’une régénération environnementale permanententégréi à la logique des besoins des communautés locales.
En conclusion, les stratégies environnementales véhiculées par la mondialisation et la globalisation sont loin d’opérer une synergie avec la stratification des besoins des sociétés locales.
Comment s’opère la reproduction du statut quo ?

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
1. GENERALITES
2. MOTIFS DU CHOIX DU TERRAIN
3. PROBLEMATIQUE
4. OBJECTIFS
5. HYPOTHESES
6. METHODOLOGIE
6.1 . DOCUMENTATION
6.2 . METHODE D’APPROCHE
6.3 . TECHNIQUES D’ENQUETE
8. PROBLEMES RENCONTRES ET LIMITES
9. PLAN GLOBAL DU DOCUMENT
PARTIE I : INTEGRATION DE LA RURALITE A LA DYNAMIQUE URBAINE
CHAPITRE I : MONDIALISATION ET STRATEGIE ENVIRONNEMENTALE
I.1 : STRATEGIE MONDIALE DE PRESERVATION DE L’ENVIRONNEMENT
I.2 : STATUT EXCLUSIF DU PARC D’AMBODIRIANA
I.3 : ROLE STRATEGIQUE DE L’AIRE PROTEGE
CHAPITRE II : PERENNISATION DU STATUT DE PERIPHERIE DOMINE
II.1 : SITUATION D’AMBODIRIANA PAR RAPPORT A TAMATAVE VILLE
II.2 : ELEMENT DE TOPONYMIE
II.3 : STATUT DE POPULATION
II.4 : AMBODIRIANA, FOURNISSEUR DE PRODUITS BRUTES A BON MARCHE POUR TAMATAVE
PARTIE II : POSITIONNEMENT DE LA POPULATION ET VALORISATION DES RESSOURCES
CHAPITRE III : MODE D’EXPLOITATION ET DE RENTABILISATION DES RESSOURCES
III.1 : OFFRES ENVIRONNEMENTALES ET TRAVAIL HUMAIN
III.2 : FORME DE DIVISION DE TRAVAIL ET CIRCUIT DE REDISTRIBUTION
III.3 : RAPPORT DE GENRE ET OUVERTURE DES MENAGES A LA MONDIALISATION
CHAPITRE IV : VECUES ANTHROPOLOGIQUE DES SOCIETE LOCALES
IV.1 : MOUVEMENT DE L’ORGANISATION SOCIAL VILLAGEOISE
IV.2 : ACTUALITE DES PRATIQUES IDENTITAIRES
IV.3 : SANTE COMMUNAUTAIRE ET SCOLARISATION
IV.4 : GLISSEMENT VERS LE MATRIARCALISME ET THESAURISATION
CHAPITRE V : SURDOMINATION URBAINE ET LOGIQUE DE REPRODUCTION SOCIAL
VI.1 : ABSENCE DE STRATEGIE LOCAL DE DEVELOPPEMENT ENVIRONNEMENTALE
VI.2 : LOGIQUE DE PERIPHERIE COMME LOGIQUE DE SURVIE
VI.3 : DUALISME, MODERNISME MARCHAND / TRADITION IDENTITAIRE
PARTIE III : PROSPECTIVE ET DYNAMIQUE INTEGRATIVE ET POSITIVE A LA MONDIALISATION
CHAPITRE VI : NECESSITE D’ACCES DES SCIENCES SOCIALES AU STATUT DE LEADERSHIP
VI.1 : ALLIANCE « TANGALAMENA » ET RECHERCHE DEVELOPPEMENT / ACTION
VI.2 : DECENTRALISATION, DEMOCRATIE LOCALE ET PLANIFICATION
VI.3 : ALLIANCE DE CLASSES ET TRAJECTOIRE PARTENARIALE
CHAPITRE VII : MISE EN OEUVRE DE LA STRATEGIE ENVIRONNEMENTALE ET DISTRIBUTION DES TACHES
VII.1 : CADRE STRATEGIQUE DE DEVELOPPEMENT POUR LA COMMUNE RURALE D’AMBODIRIANA
VII.2 : SUBORDINATION DES INSTANCES PUBLIQUE A LA PLANIFICATION
VII.3 : LES BAILLEURS DE FOND ET LES ONG DANS LE PROCESSUS DE DEVELOPPEMENT
VII.4 : ENCADREMENT DE PROXIMITE DES RAPPORTS DE GENRE ET DE MENAGE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
ANNEXES
CURRICULUM VITAE-RESUME

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