LE DEVELOPPEMENT ET LE SECTEUR AGRICOLE

Le processus de développement du pays en développement

Les étapes nécessaires pour atteindre le développement économique sont, selon Walt Rostow, il a énoncé une théorie de décollage en 1961, qui a se représente les étapes de la croissance économique. Plus précisément, les étapes qu’une société non développé doit suivre pour arriver au développement économique. « Ces étapes sont commencées par la société traditionnelle, puis les conditions préalables du démarrage ou décollage, les progrès de la maturité et se termine par la dernière étape ère de la communication de masse » 1 Rostow a dit que cette théorie est valable pour tous les pays non développé. La société traditionnelle, la plupart de société ou pays non développé est déminée par le secteur agricole. Ce secteur est basé par une technique traditionnelle non production ou technique à rendement très faible. La société traditionnelle est une société manque de nouvelle technologie et une ancienne technique très faible évolutive. On peut dire que cette étape est la source principale de la richesse. L’évolution d’une société dépend de l’exploitation de ses ressources naturelles en particulier l’agriculture. La condition préalable au démarrage, c’est la période de changement social, modification de la technique ou de moyen utilisé dans l’agriculture. Au cours de cette étape, la société change les conditions inefficaces ou peu efficace par des nouvelles  techniques plus favorables. Depuis la deuxième étape, on utilise les progrès techniques qui ne nécessitent plus l’utilisation d’une forte force de travail en physique. Pourtant, la société a besoin de la modernisation. Le démarrage, une période pendant laquelle la société finit par renverser les obstacles et les bagages qui s’opposaient à sa croissance régulière. Dans l’étape du démarrage, la société traditionnelle change totalement à une société moderne qui présente des nouveaux progrès techniques et technologies. Cependant, le secteur agricole a un développement de productivité et un rendement plus élevé. Le progrès de la maturité, toutes les branches d’activité et tous les secteurs dans la société utilisent les progrès techniques et les nouvelles technologies. Cette étape montre la productivité optimale de la société ou d’un pays. Toute la chaine d’approvisionnement de la production agricole se déroule qui affecte la performance économique du pays. L’ère de la consommation de masse, après l’étape précédente le revenu par tête des agents économiques est suffisant. Ils ont une tendance d’acquérir les produits de luxes, les produits valeureux. Cependant, la tendance ou le mode de vie des ménages dépend de la quantité du revenu qu’ils perçoivent. En fait, un pays dominé par le secteur agricole doit favoriser ce secteur pour sortir le blocage de développent. Limites de l’étape de développement de Walt Rostow : Il y a des critères qu’on peut critiquer ces étapes de Rostow. On peut distinguer ces étapes en deux catégories. D’abord, Rostow n’a pas pris en compte le système-socioéconomique qui n’est pas identique pour toutes les sociétés. Par exemple, la théorie de croissance capitalisme oppose la théorie de Rostow. Pour les capitalistes, le déterminant du développement c’est le capital, donc, on peut sauter une ou des étapes selon la capacité de capital. La deuxième critique sur la chronologie, la société doit une vision linéaire, c’est à dire, le temps passé est totalement consommé donc il ne revient plus. Il fait atteindre la production plus élevé possible dans une période très courte possible. 

Les fluctuations cycliques agricoles

On entend par fluctuations cycliques, ce sont des équilibrages au niveau économique. Ce dernier peut être impliqué par un changement ou une variation de variable économique. La variation du produit agricole peut réajuster l’équilibre macroéconomique. Ce réajustement se réalisé par la modification du prix au prix d’équilibre qui s’égalise le demandeur et l’offreur. L’équilibre économique donc deviendra stable si le prix d’équilibre présente sur le marché. L’apparition des fluctuations agricoles est cyclique c’est à dire elle apparait dans la période où les variables qui pourraient entrainer ces fluctuations se réalisent. L’offre et la demande sont de deux variables déterminants du cycle de marché agricole. Le cycle agricole est un phénomène répétitif. La caractéristique du secteur agricole au cours de l’année est identique à l’année suivante. Cependant, on peut prévoir le phénomène qui peut réaliser de l’année futur. Une question se pose, quelle raison pourrait-elle influencer un phénomène cyclique ? D’abord, la variation de la surface de la terre à cultiver entraîne un impact sur la production agricole. Comme la diminution de la surface à cultiver empêche le mécanisme de fonctionnement de l’agriculture. Elle est un obstacle de déroulement du processus de développent de la production, par conséquent, la production diminuera. Mais grâce aux techniques agricoles des agriculteurs, différents cultures peuvent remplacer à un ou des autres cultures. Ainsi, il y a des terres qui ont un caractère substituable. Mais la substituions de la culture est souvent défaillante à cause des erreurs techniques. L’inélasticité de l’offre par rapport à la demande provoque une fluctuation cyclique de tout marché agricole. L’insuffisance de l’offre sur le marché ne satisfait pas la demande. La rigidité de l’offre donc se manifeste avec un niveau de prix élevé. Mais il y a quelques types de produits agricoles qui ne peuvent pas être influencés la rigidité de prix. D’ailleurs, des autres raisons peuvent induire l’inélasticité de l’offre, la technique de l’agronome ou de l’agriculteur incohérente. En effet, le rendement de l’agriculteur n’est  pas rentable. Il ne suffit pas répondre la quantité nécessaire sur le marché. La demande est supérieure à l’offre, le prix devrait augmenter automatiquement. Ainsi, il y a le phénomène cyclique n’influence pas la demande. Diminution de prix au niveau très faible cela induit une diminution de l’offre. L’offreur n’est pas sensible au prix proposé par le demandeur. On sera le déséquilibre sur le marché, la demande est supérieure à l’offre. Par contre, si la demande est flexible c’est à dire, elle accepte la variation de prix sur le marché. Il n’y aura pas un écart entre l’offre et la demande car le demandeur s’adapte au prix proposé par l’offreur. Nous avons vu la généralité provoquant la fluctuation cyclique de produit agricole. Le déséquilibre provient par des fluctuations. Quel moyen peut empêcher les déséquilibres ? Il y a des politiques qui peuvent réajuster les déséquilibres du marché agricole. Ces politiques sont souvent influencées directement aux offreurs. D’ailleurs, le commerce extérieur, l’exportation et l’importation des biens et servies joue un rôle important sur le déséquilibre du marché interne. Les investisseurs et l’agriculteur n’importent que les matières importantes à l’agriculture et aux investissements. L’excédent de la quantité de produit importé que celle la demande dans le marché interne induit la diminution du prix du produit importé et le prix de la production locale aussi. Par conséquent, il aura une dépréciation de la valeur monétaire nationale. En fait, toutes les politiques destinées d’éliminer ou diminuer la fluctuation du prix agricole exerce une action analogue qui présente une comparaison entre deuxmodes defonctionnements similaires. On entend un cycle c’est une variation constante, périodique d’un phénomène. Donc un cycle agricole est une variation d’une situation ou de phénomène agricole dans une période au cours de l’année courante et revient identiquement à l’année suivante. Le phénomène agricole apparait d’un mouvement alterné. Le terme cycle constitue trois grandes idées. Ce sont, la périodicité, le cycle endogène, et le cycle autogène. Chaque période successive de la théorie économique soulève deux problèmes étroitement liés. D’abord, est-ce-que le phénomène alternance du produit agricole mérite-il de l’appellation cycle agricole ? Puis, est-ce qu’il y a une interdépendance entre le cycle agricole et la fluctuation générale de l’économie, ou il a de son propre phénomène alternance ? Section 2 : Le réajustement de déséquilibre agricole 9 Concernant la première question les cycles agricoles ne présentent que les phénomènes doués qui constituent trois idées à la notion cycle. Ce sont la périodicité, le cycle endogène et le cycle l’autogène. La périodicité d’un cycle agricole est la période dans laquelle le cycle agricole se réalisé c’est le phénomène alternance.la périodicité est une idée évidente pour le secteur agricole. La périodicité d’un cycle agricole est irrégulière. Les influences externes par exemple les événements politiques sont influencés surprises par le quasi régularité des différents cycles. Une question peut s’imposer, quelle est la différence entre les cycles agricoles et les cycles généraux ? Le cycle les agricole se présente le phénomène endogène. Il y a donc une interdépendance entre les phases dans un cycle. Même phénomène apparait dans la phase précédente et phase suivante. On constate que le phénomène du cycle endogène explique l’apprentissage de niveau du prix de l’offreur. L’augmentation du prix entraine automatiquement l’accroissement de l’offre. On peut considérer que le niveau de prix est un phénol le plus déterminant de l’offre. Le cycle agricole présente le phénomène l’autogène. Nous avons vu ci-dessus qu’un élément extérieur devient troubler l’équilibre sur le marché. L’équilibre va apparaitre par l’écart entre l’offre et la demande. Cet écart appartient à une phase d’un cycle agricole. Deux cas peuvent induire le déséquilibre du marché. Soit par l’élasticité de l’offre par rapport à la demande soit par l’inverse. Le cycle L’autogène présente dans le mécanisme des cycles agricoles. Le mécanisme du cycle agricole ne se déroule pas lorsque le mécanisme est défaillant par le facteur interne elle-même. L’inélasticité de l’offre est un facteur principal de blocage du mécanisme du mouvement du cycle agricole. Dans ce cas, le cycle agricole autogène est défaillant par l’inélasticité de l’offre, le mouvement du cycle ne suit plus automatiquement le mécanisme. Pour corriger cette défaillance, il nécessite un facteur de déblocage externe. La défaillance du cycle autogène des cycles agricoles se lie au cycle autogène de leur rapport avec les cycles généraux de l’économie. Certains auteurs n’ont contesté qu’aucune interdépendance entre les cycles agricoles et les cycles généraux de l’économie. Les cycles agricoles ont son mécanisme particulier aucune influence aux cycles généraux de l’économie. Joseph Shumpter affirme dans l’ouvrage intitulé Busines Cycle que « Chaque marché et chaque activité possèdent une structure propre et se 10 trouvent placés à chaque instant dans des conditions particulières qui déterminent leurs réactions. Ainsi, si nous observons que les indices des séries des prix et des quantités de chaque industrie se modifient d’une façon différente de celle des auteurs activités, il n’y a aucune raison de conclure que des forces spécifiques sont propres, de nier la réalité d’une fluctuation générale » . En prenant comme exemple le cycle agricole particulier comme le café qu’il y a une variation de demande de consommateur. La variation de la demande aussi détermine la durée du cycle de production. En outre, des influences extérieures peuvent entraîner la fluctuation du café. En fait, il n’est où varier la morphologie du cycle de production agricole que la durée de production. On constate que aucun cycle agricole ayant un mécanisme particulier, ces cycles est toujours manifester avec les cycles généraux. En fait, les cycles agricoles présent deux phases mais Shumpter a prouvé qu’un cycle agricole constitue quatre phases. La seconde phase divise en deux, on n’est se prononcé qu’en examinant les conditions particulières dans lesquelles chaque cycle se manifeste. D’ailleurs, il reconnait que les cycles agricoles peuvent avoir une physionomie propre. Dès que les nouvelles technologies apparaissent, les cycles agricoles vont les dépendre. La présentation de l’innovation dans le secteur agricole montre la perfection incessante des multiples opérations qui exigent les défient à l’agriculture. Nombreux progrès techniques ne peuvent pas s’adapter à l’agriculture. Ils nécessitent les particularités des terroirs, cultures et des travaillants. Cependant, la forme et la durée d’un cycle agricole dépend de la quantité et de la qualité de l’innovation utilisée. On a vu les cycles particuliers dans le secteur agricole, mais qu’est-ce qu’on entend par le cycle général ? Le cycle général est un cycle agit sur le marché, il ne limite pas à un secteur. Généralement, la variation de revenu des agents économiques joue le rôle important sur marché. L’apparition d’une fluctuation du cycle général est engendrée par la diminution du revenu national. Comment se manifestent-ils le cycle agricole et le cycle général ? La manifestation de ces deux cycles est très différemment. Alors que dans le cycle général niveau de prix et la quantité de produit sont les deux variables qui déterminent le mécanisme de ses cycles. Mais ces deux variables n’influent pas aucun changement dans le cycle agricole. Les deux variables, le prix et la quantité sont des variables  principales dans l’économie générale. Il y a une relation inverse entre ces deux variables, l’augmentation de l’une induit une diminution de l’autre. Souvent, la variation de la quantité induit la variation de prix. Des raisons peuvent être influencées la diminution ou l’augmentation ou stabilisation de la quantité de production dans l’entreprise. En prenant comme un exemple l’industrialisation en France, avant l’industrialisation, il était une crise sur la vente commerciale. La variation de la quantité a provoqué le déséquilibre sur le marché ou bien la défaillance de la loi de l’offre et de la demande. Il était l’insuffisance de la marchandise demandée par les commerçants, ce qui était entrainé la hausse du prix car l’offre devient inférieure à la demande. Cette situation était apparue dans la phase prospérité et la phase dépression. Le marché peut être suivi la loi ce qu’on appelle la loi de King. Si le marché a soumis ou non cette loi, les agriculteurs seront rencontrés à la phase de la prospérité par la fluctuation de la production agricole : rendements déficitaires ou par la récolte plantureuse. Le marché qu’il existe l’effet de la loi de Kong ou non, la fluctuation de la quantité de la révolte ne présente pas à ces deux marchés différents. En fait, il est très difficile d’apprécier la situation agricole. Le phénomène cycle général est le facteur de mouvement ondulatoire de l’économie. Mais chaque activité de la production a son évolution ou sa tendance cyclique. Un exemple de la récolte agricole, il y a des plantes qui nécessité de pluie, on les cultive à la saison pluviale et en milieu humide. Par contre, des végétaux qu’ils n’ont pas besoin de pluie, on les plante en saison été ou hiver et dans les zones pluviales rare. On résume, chaque semence a son cycle cohérent. Ainsi, la compensation de ce cycle agricole dans un milieu déterminé la tendance cyclique agricole de l’économie générale .