L’économie de la zone est essentiellement basée sur l’agriculture et l’élevage

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MONOGRAPHIE DE LA ZONE D’INFLUENCE

La zone d’influence de la route étudiée englobe :
• Une partie de la commune urbaine de Fianarantsoa ;
• Les deux communes rurales de Nasandratrony et d’Isaorana du district de Fianarantsoa II.

DELIMITATION DE LA ZONE D’ETUDE :

La zone d’étude représente 0,7% de la superficie de la région Haute Matsiatra et 0,02% de la grande île. L’ensemble est limité par :
• Au nord, par les communes rurales d’Anjoma Itsara et d’Ambondrona ;
• Au sud, par les communes rurales de Soatanana et d’Ankarinarivo Manirisoa ;
• A l’est, par la commune rurale d’Iavinomby Vohibola ;
• A l’ouest, par la commune rurale d’Ambalamidera
Les tableaux ci-après donnent la superficie totale de la zone et des communes concernées par l’étude.

CARACTERISTIQUES PHYSIQUES :

Climat, Condition météorologique et air :

La station synoptique de Fianarantsoa (Beravina) sous la Direction de la Météorologie et de l’Hydrologie- service inter Régional sud de la météorologie et de l’Hydrologie province de Fianarantsoa—culmine à 1.106m d’altitude et permet de mesurer les pressions atmosphériques, les températures, les humidités relatives, les précipitations et les vitesses du vent.
Les stations pluviométriques d’Ambalavao sud, d’Alakamisy Ambohimaha et Ambohimasoa permet de mesurer les précipitations.
Les données météorologiques disponibles présentées ci-dessous ont été relevées sur la station synoptique de Beravina au cours des années 1990-1995-2000-2002.
Le climat de la région de Fianarantsoa est du type climat tropical d’altitude selon l’étude faite par Cornet.
SH 2d : étage subhumide à saison sèche non atténuée par les brouillards 10°C<Tm<13°C
SH 2e : étage subhumide à saison sèche non atténuée par les brouillards 7°C<Tm<10°C
SH 1e : étage subhumide à saison sèche atténuée par les brouillards 7°C<Tm<10°C
Hhe/d : étage humide – sous étage humide Tm<13°C
Hpe : étage humide – sous étage per humide 13°C<Tm<17°C
Tm : moyenne des températures minimale du mois le plus froid.
Le trait marquant est l’évolution rapide des conditions climatiques sur une distance de 80 km, car on passe du climat per humide à l’est au climat subhumide à l’ouest.

Pluviométrie :

Dans la région Haute Matsiatra, les isohyètes annuelles sont au niveau 800-900 mm avec une légère augmentation jusqu’à 1.400 mm au fur et à mesure que l’on monte vers le Nord et allant jusqu’à 2000 mm à la frontière est de la région. Vers le sud et sud-ouest de la région, on remarque une nette stabilisation des courbes isohyètes avec leurs étalements dans l’espace.
La période pluvieuse commence en octobre. La quantité des pluies reçue la plus importante est entre le mois de décembre et le mois de janvier. Celle-ci décroit rapidement au mois d’avril et Mai. La période sèche coïncide avec le mois de Mai au mois d’octobre au cours de laquelle sont enregistrées des précipitations sous formes de crachin.

Relief :

La région Haute Matsiatra présente un relief montagneux, heurté par des massifs vigoureux isolés et sillonnés par des dépressions étroites. L’agencement du relief peut se concevoir à partir de l’Andringitra qui s’élève brusquement (pic Boby : 2.600m) au-dessus du seuil de Ranotsara et qui s’étend, le long de la RN7 et la partie méridionale des hautes terres centrales qui correspond à la zone d’affleurement la moins large du socle ancien. Les zones étudiées présentent un relief tourmenté et offrent des paysages de rizière en gradins typiques.

Pédologie :

La région Haute Matsiatra est caractérisée par des sols ferralitiques jaunes /rouges et rouge, de superficies assez importantes, mais discontinues. On trouve la présence des sols ferrugineux tropicaux qui couvre la partie centrale de la région. Cet ensemble est réuni dans l’espace de la région par des sols peu évolués, ainsi que des sols dunaires sableux. Les terrasses rizicoles (kipahy) constituent une particularité de la région. Les bas-fonds portent essentiellement des sols hydro morphe à Gley. Leur mise en valeur a commencé depuis l’installation de la population dans la zone et comporte 2 aspects : aménagement et mise en culture Pour pallier l’insuffisance bas-fonds et profitant des possibilités de captage d’eau en hauteur, les paysans ont installé des terrasses irrigables sur les flancs des collines.

Ressources en eau :

L’hydrographie de la région Haute Matsiatra est caractérisée par le bassin versant du MANGOKY. Le réseau hydrographique de ce bassin versant prend sa source dans les régions Haute Matsiatra et d’Ihorombe (rivière Manantanana-zomandao et Ihosy). Sa superficie totale est de 55.750 km et il se déverse dans le canal de Mozambique une fois récupéré par le fleuve MANGOKY. Les principales rivières de la région sont : Mitody, Manambaroa, Fanindrona (à l’est), Fikasana traversant Fandriana et Manandriana.
Mais aucune de ces rivières ne traverse le tronçon étudié. Celui –ci n’est arrosé que par des cours d’eau et des ruisseaux :
• Le ruisseau Reamasina pour la commune rurale de Nasandratrony ;
• Les cours d’eau Isandra, Maroanana et Ambatomalaza pour la commune rurale d’Isaorana.

MILIEU SOCIAL ET HUMAIN :

Population et Démographie :

1. Nombre d’habitants et densité de la population :
En 2006, l’effectif de la population de la zone du projet est estimé à 21750 habitants. Le tableau suivant résume le nombre d’habitants et densité de la population dans la zone d’étude.
2. Natalité- Mortalité :
Le taux de fécondité varie de 89 à 166 pour mille et le taux de natalité est de 24 à 37 pour mille. Les taux de natalité les plus faibles sont enregistrés dans les Districts d’ Ambalavao et d’Ambohimasoa dans la sous-préfecture de Fianarantsoa I.
Le taux de mortalité (de 7 à 15 pour mille) est sous-estimé par rapport à la moyenne nationale 15 pour mille. Les tendances sous régionales indiquent que le plus fort taux est constaté à Fianarantsoa II et le plus faible à Fianarantsoa I et Ambalavao.
3. Evolution de la population :
D’ après les données des recensements de 1975 et de 1993, le taux moyen annuel d’accroissement démographique de la zone du projet est de 2,6%.
Le tableau ci-après montre les projections de la population dans 10 ans.
4. Taille moyenne d’un ménage :
La taille moyenne d’un ménage est 7 personnes pour la commune rurale de Nasandratrony et 6 personnes pour celle d’Isaorana. Ces chiffres sont supérieurs à la moyenne nationale qui est 5 personnes pour un ménage.

Service socio-sanitaire :

Le taux de couverture sanitaire de la zone est de :
 1 Médecin pour 6273 habitants ;
 1 Infirmier pour 4182 habitants ;
 1 Sage-femme pour 12546 habitants ;
 1 Aide sanitaire pour 6273 habitants.
Ces taux sont supérieurs aux moyennes nationales. Pourtant, les autorités locales évoquent qu’en générale, les conditions sanitaires ne sont pas bonnes dans la zone d’étude. Parmi les problèmes de santé, les responsables communaux soulignent le manque de personnel médical, l’éloignement de certains villages et le recouvrement des couts qui freine la population à aller à l’hôpital. En cas de graves maladies, les populations sont évacuées à l’hôpital principal de la ville de Fianarantsoa.
1. Principales maladies :
Les principales maladies rencontrées dans la zone sont : la bronchite, les diarrhées, la dysenterie, le paludisme, les maladies cutanées et la parasitose intestinale. Pour l’ensemble de la zone, le taux de vaccination est de 100% et le taux de mortalité infantile est de 27 pour mille.
2. Adduction d’eau potable :
Dans la zone du projet, le taux d’accès des populations aux infrastructures d’eau potable est encore faible. Le village de Nasandratrony n’est pas équipé d’eau potable. Celui d’Isaorana dispose de quelques bornes fontaines alimentées par des sources. La plupart des populations des hameaux restants s’approvisionnent en eau auprès des sources.
3. Alimentation et état nutritionnel :
Les populations s’adonnent à une agriculture essentiellement vivrière. De ce fait, leurs repas quotidiens sont constitués principalement par : du riz, du manioc et de patate douce. Pendant période de soudure, ces deux produits complètent ou remplacent le riz.

SECTEUR ECONOMIQUE : L’économie de la zone est essentiellement basée sur l’agriculture et l’élevage.

Agriculture :

Les principales spéculations actuellement pratiquées par les habitants de la zone sont le riz et le manioc. La presque totalité des vallées sont exploitées et les pentes présentant des possibilités d’irrigation sont occupées par les rizières en étage. Les autres cultures vivrières (manioc, patate douce, haricot, mais, etc.…) destinées surtout à l’autoconsommation sont très pratiquées et cultivées sur les tanety.
Les cultures maraichères se développent surtout dans la partie est de la zone et en particulier à Fianarantsoa I et II (zone rurale), pour l’approvisionnement de la ville. Elles sont installées généralement sur alluvions et en bas pente. La viticulture et la culture de tabac commence à prendre de l’essor à Isaorana.
Le tableau suivant récapitule les superficies, les rendements, et les productions agricoles dans la zone du projet.

Elevage :

L’élevage (bovin, porcin et des volailles) occupe une place importante dans la vie socio-économique des populations dans la zone.
Le tableau ci-après montre le nombre de tête et type d’élevage dans la région.
1. Elevage de bovin :
Du type traditionnel, l’élevage de bovin conserve un caractère extensif. L’exigüité des pâturages et les contraintes des travaux agricoles poussent les paysans éleveurs à adopter un mode semi-intensif (gardiennage sur parcours limité pendant une partie de la journée et parcage le soir). Les principaux pâturages sont représentés par les savanes.
L’élevage occupe une place importante dans les activités des populations. La conduite des animaux varie selon la disponibilité des terres de parcours et l’intérêt manifesté par les paysans aux bovins (fabrication des fumiers, traction des matériels, piétinage des rizières)
La population considère le bétail non seulement comme source de produits destinés à l’alimentation humaine et comme facteur de production, mais il est également une richesse sociale et joue un rôle important dans l’économie de la Région .
Les autorités locales soulignent la nette régression des effectifs des bovidés dans cette zone. Cette situation est due par des actes de vol de bétail qui sévit jusqu’ a ce jour malgré les différentes actions menées pour le rétablissement de la sécurité.
2. Elevage de porcin :
La propagation des maladies comme la peste porcine Africaine, la maladie teschen et les pasteurose porcine sur une partie importante du territoire national a fait chuter considérablement la production porcine. Comme la zone du projet n’est pas épargnée et d’ après l’effectif recensé dans les dix dernière années, on a enregistré généralement une augmentation sur l’élevage des porcs.
3. Elevage de volaille :
L’élevage de volaille est en générale du type familiale. Chaque ménage en possède quelque tête. Pour les deux communes rurales de Nasandratrony et d’Isaorana, la vente de volaille apporte un revenu d’appoint non moins important aux paysans.

Tourisme :

Le secteur tourisme n’est pas encore développé dans la région. La zone ne dispose d’aucun site d’intérêt touristique. La recherche des lieux touristiques de la part de la Direction Régionale du Tourisme en collaboration avec les collectivités territoriales décentralisées et la maison du tourisme va renforcer ces atouts.

Activité culturel :

De nombreux us et coutumes betsileo instaurés par les ancêtres sont encore respectes par les habitants et se déroulent selon des rituels précis : le « famadihana » (exhumation), le « fanefana » (commémoration des morts), le « famorana » (circoncision). La célébration de ces us et coutumes est suivie de cérémonie ou rite traditionnel au sein de la communauté.

CONCLUSION PARTIELLE :

L’agriculture et l’élevage sont les principales activités économiques de la population dans les communes rurales de Nasandratrony et d’Isaorana. Pour l’agriculture, il éxiste différentes variétés de culture, mais la riziculture occupe une majeure partie des terrains cultivés.
Par ailleurs sur l’élevage, l’insécurité règne un peu partout et entraine une diminution des effectifs de productions.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE 1 GENERALITES DU PROJET
Chapitre 1. PRESENTATION DU PROJET
I. GENERALITES
II. LOCALISATION DU PROJET
III. CARACTERISTIQUES DE LA ROUTE ETUDIEE
IV. OBJECTIF DU PROJET
Chapitre 2. MONOGRAPHIE DE LA ZONE D’INFLUENCE
I. DELIMITATION DE LA ZONE D’ETUDE
II. CARACTERISTIQUES PHYSIQUES
A. Climat, Condition météorologique et air
B. Pluviométrie
C. Relief
D. Pédologie
E. Ressources en eau
III. MILIEU SOCIAL ET HUMAIN
A. Population et Démographie
1. Nombre d’habitants et densité de la population
2. Natalité- Mortalité
3. Evolution de la population :
4. Taille moyenne d’un ménage
B. Service socio-sanitaire :
1. Principales maladies
2. Adduction d’eau potable
3. Alimentation et état nutritionnel
IV. SECTEUR ECONOMIQUE
A. Agriculture
B. Elevage
1. Elevage de bovin
2. Elevage de porcin
3. Elevage de volaille
C. Tourisme
D. Activité culturel
V. CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE 2 ETUDES TECHNIQUES
Chapitre 1. ETAT GENERAL DE LA CHAUSSEE
I. ETAT DE LA CHAUSSEE
A. Chaussée
B. Ouvrage
II. LES DEGRADATIONS RENCONTREES
A. Nid de poule
B. Epaufrure de rive
C. Ravinement longitudinal
D. Fissure longitudinale :
E. Faïençage ou fissure maillée
F. Peignage du revêtement
III. ETAT DES LIEUX ET AMENAGEMENTS
Chapitre 2. ETUDES GEOTECHNIQUES
I. GENERALITES
II. ETUDE DES MATERIAUX
A. Les matériaux meubles
1. Caractéristiques des matériaux meubles
2. Essais sur les sols meubles
3. Reconnaissance de la plate forme
B. LES MATERIAUX ROCHEUX
1. Les essais géotechniques pour les matériaux rocheux
2. Les matériaux rocheux pour la mise en oeuvre de la couche de base et de roulement
3. Provenance des matériaux rocheux
Chapitre 3. ETUDE DE L’ASSAINISSEMENT
I. ETUDE HYDROLOGIQUE
A. Détermination du débit à évacuer par la méthode rationnelle
On obtient Q = 0.031m3/s
Débit des eaux venant de la chaussée
On obtient Q’ (m3/s) = 0.278 x 0.95 x 286.3 x 0.000188 = 0.014 m3/s
Soit :
Q0 = 0.014 + 0.031
Q0 = 0.045 m3/s
B. Dimensionnement des ouvrages hydrauliques
C. Dimensionnement de fossé de pied :
1. Hypothèse de calcul
2. Exposition de la théorie
3. Calcul des pentes des fossés If
4. Calcul de débit maximal évacuable par le fossé
II. DIMENSIONNEMENT DES OUVRAGES DE DECHARGE
A. Calcul de la pente réelle I
B. Calcul de la vitesse d’écoulement
C. Cas du dalot au PK6+580
1. Calcul de pente
2. calcul de la vitesse d’écoulement
3. Calcul de la hauteur de dalot
On obtient
Y = √ 0.18 ;
Le débit évacuable sera aussi
Vérification des conditions
H = 0.20 + 0.20
H = 0.40 m <0.70 m
Vens = 0.25 m/s
III. ETUDE D’ELEMENTS EN B.A
A. Dimensionnement de la dalle d’un dalot d’assainissement au PK6+580
1. Hypothèses de calcul
2. Calcul des sollicitations
3. Combinaison à l’ELU
4. Combinaison à l’ELS
5. Détermination des armatures longitudinale à L’ELU
6. Détermination de la section de l’armature longitudinal à l’ELS
7. Détermination des armatures transversales
Chapitre 4. DIMENSIONNEMENT DE LA CHAUSSEE
I. ETUDE DU TRAFIC
A. Trafic passé
B. Trafic actuel
C. Taux d’accroissement « i »
D. Trafic cumulé N
II. DIMENSIONNEMENT DE LA CHAUSSEE
A. Choix de la couche de revêtement
B. Choix de la couche de base
C. Dimensionnement par la méthode CEBTP ou LNTPB
III. CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE 3 TECHNOLOGIE DE MISE EN OEUVRE
Chapitre 1. TERRASSEMENT ET OUVRAGE
I. GENERALITES
A. Définition
B. Principes
II. LA CAMPAGNE TOPOGRAPHIQUE
III. LES TRAVAUX DE TERRASSEMENT
A. Préparation du terrain
1. Arrachage et abattage des arbres
2. Le décapage :
3. Le dessouchage et débroussaillage
4. La mise hors d’eau de la plate forme
B. Exécution de déblai
1. Définition
2. Mode d’exécution
C. Exécution de remblai :
1. Définition
2. Mode d’exécution
3. Confection des talus
4. Protection des talus
5. Le compactage
IV. LA CONSTRUCTION DES OUVRAGES
A. Les fossés de crête
B. Les fossés de pied
C. Les ouvrages de décharge
1. Les dalots
2. Les buses
Chapitre 2. MISE EN OEUVRE DE LA COUCHE DE FONDATION
I. GENERALITES
II. MISE EN OEUVRE DES PLANCHES D’ESSAI
III. MISE EN OEUVRE DES MATERIAUX MEUBLES
IV. LES DIFFERENTS ESSAIS ET CONTROLE APRES MISE EN OEUVRE
Chapitre 3. MISE EN OEUVRE DE LA COUCHE DE BASE
I. MISE EN OEUVRE
II. CONTROLE ET ESSAI APRES MISE EN OEUVRE
Chapitre 4. MISE EN OEUVRE DE LA COUCHE D’IMPREGNATION
I. GENERALITES
II. MISE EN OEUVRE
III. CONTROLE ET SURVEILLANCE
Chapitre 5. MISE EN OEUVRE DE LA COUCHE DE REVETEMENT
I. MISE EN OEUVRE
II. REMARQUE
III. CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE 4 EVALUATION DU COUT DU PROJET ET IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX
I. DEFINITION DES PRIX
Série 01: INSTALATION ET REPLI DE CHANTIER
Prix 01-01: Installation et repli de chantier
Série 02 : TERRASSEMENT
Prix 02-01 : Désherbage et débroussaillement
Prix 02-02 : Abattage d’arbre
Prix 02-03 : Décapage
Prix 02-04 : Délai meuble
Prix 02-05: Deblai rocheux
Prix 02-06: Remblais en provenance de déblai
Prix 02-07: Remblai d’emprunt
Prix 02-08: Enlèvement d’éboulement
Prix 02-09: Engazonnement
Série 03 : ASSAINISSEMENT
Prix 03-01: démolition d’ouvrage maçonné ou bétonné
Prix 03-02 : curage des dalots
Prix 03-03 : curage des buses :
Prix 03-04 : fouilles pour ouvrage
Prix 03-05 : Béton B1 dosé à 250kg/m3
Prix 03-06 : Béton B2 dosé à 350kg/m3
Prix 03-07: Acier pour béton armé
Prix 03-08: Gabion pour structure et protection
Prix 03-09: Perrés maçonnés
Prix 03-10: Curage des fossés en terre
Prix 03-11: Curage des fossés maçonnés
Série 04 : CHAUSSEE
Prix 04-01 : Démolition de la chaussée existant
Prix 04-02 : Reprofilage léger
Prix 04-03 : Couche de fondation en matériaux sélectionnés :
Prix 04-04 : Couche de base en GCNT 0/315
Prix 04-05 : Imprégnation au cut back 0/1
Prix 04-06 : Couche de revêtement en cut back 400/600
Prix 04-07 : Gravillon pour enduit superficiel
Prix 04-08 : Plus-value de transport au prix 04-03 pour distance D<5 km
Prix 04-09 : Point à temps
Série 05 : SIGNALISATION ET EQUIPEMENT
Prix 05-01 : Bornes kilométriques
Prix 05-02: Balises de virage
Prix 05-03: Panneau de signalisation
II. BORDEREAU DETAIL ESTIMATIF
Chapitre 2. IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX
I. ETUDE DES IMPACTS SUR L’ENVIRONNEMENT
II. IMPACTS SOCIAUX
III. IMPACTS SUR LES CONDITIONS DE CIRCULATION SUR L’AXE
IV. IMPACTS POSITIFS SUR LE PROJET
V. IMPACTS NEGATIFS SUR LE PROJET
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
ANNEXES N°1 : Croquis des Emprunts Ŕ LNTPB
ANNEXES N°2 : Abaques de dimensionnement de la chaussée
ANNEXES N°3 : Abaques pour la détermination de la section d’armature
ANNEXES N°4 : Valeur de β1, k et ρ1 en fonction de μ1
ANNEXES N°5 : Valeur du coefficient de ruissellement « C »
ANNEXES N°6 : Abaques pour la détermination de la vitesse et la pente critique du dalot
ANNEXES N°7 : Schéma d’itinéraire et d’aménagement
ANNEXES N°8 : Profils en travers types

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