Les fuites d’eaux usées du réseau d’assainissement

Les fuites d’eaux usées du réseau d’assainissement

CADRE PHYSIQUE ET HUMAIN DE LA COMMUNE DE MEDINA

 Si le milieu physique est resté statique, le cadre humain quant à lui est en dynamique perpétuelle au niveau de la Médina. Ainsi, ces différents cadres a priori indépendants influencent de façon directe ou indirecte l’assainissement dans ce quartier qui fête cette année ses cent ans. Nous nous intéresserons à ces divers cadres de la ville dont l’étude permettra d’avoir une lisibilité sur le fléau des eaux usées dans la commune. Carte 1: Localisation de la commune de la Medina I) la Médina : cadre physique et humain Le cadre physique de la Médina commande l’étude des aspects liés au relief, au climat et à l’hydrogéologie. La végétation n’est pas prise en compte car la commune est en zone totalement urbanisée .Les aspects que nous allons étudier le seront de façon succincte car les problèmes d’assainissement dérivent parfois des aspects physiques et humains du milieu. De prime abord il serait judicieux de faire une brève présentation de la zone d’étude. Av Blaise DIAGNE M de la C D SECK 30 I-1) Présentation de la commune Carte 2: Bâti dans la Commune de la Médina Source : DTCG La Commune de Médina se situe dans la région de Dakar capitale du Sénégal dont elle constitue l’une des communes. La région comprend 4 départements que sont : Dakar ; Pikine, Guédiawaye et Rufisque. Le département de Dakar est la partie la plus occidentale de la région et intègre dans son territoire la commune de la Médina l’une des portes d’entrée du plateau ce qui lui confère une position stratégique dans l’armature urbaine dakaroise. Dakar couvre une superficie de 550 31 km2 soit 0,33 % du territoire national et concentre près de 55 % des citadins du pays. C’est ce qui explique la macrocéphalie (Mbow, 1985) dont souffre le pays depuis maintenant cinq décennies. Cette situation est rendue possible grâce à la concentration par les colons de la majeure partie des infrastructures et des équipements du pays sur un espace (Dakar plateau) dont la superficie n’excède pas 7 km2 .Ce qui fait que le plateau et ses abords la Médina restent les parties les plus prisées de Dakar (Sène, 2010). C’est dans ce secteur que l’on note un développement fulgurant de la sky-line6 (Mbow, 1985) dakaroise avec ses effets collatéraux sur l’assainissement. La Commune de Médina s’étend sur une superficie de 24,5km² ; elle est limitée au nord par le boulevard de la Gueule Tapée, au sud par l’avenue Malick Sy, à l’est par l’autoroute et à l’ouest par l’océan Atlantique et la Corniche ouest. Comment est formé le relief à la Commune de la Médina

 Le relief et la géologie 

Carte 3: Géologie du Cap-Vert Source : Seck, 1970 Avec une carte topographique à l’échelle 1/50000e nous distinguons 3 parties dans la presqu’île du cap vert : -une partie orientale élevée avec des altitudes dépassant parfois 100 mètres ; 6 La silhouette d’ensemble du bâti d’une ville. 32 -une autre partie occidentale formant la tête de la presqu’île dans laquelle se situe… « La plaine basse qui fait suite au plateau vers le nord où se développe une agglomération hétéroclite- ville, quartier ou village … :c’est la Médina » et une partie intermédiaire formant un petit col (Seck, 1970). L’étendue qui couvre la plaine de la Médina présente divers accidents topographiques : -le sud-est de la presqu’île, depuis la pointe de Fann jusqu’à celle de Bel air se présente avec des côtes découpées, les caps et les anses (le cap du cimetière musulman, l’anse de Soumbédioune) ont fini de façonner la Médina au niveau de la corniche ouest ; A l’intérieur des terres, le site de la Médina est formé d’un synclinal ondulé et basculé d’ouest en Est. Il forme une plaine dont l’altitude est inférieure à 10 mètres. Cette plaine s’étend jusqu’à Fass, Colobane et Gueule Tapée et est délimitée par le plateau de Dakar ville (40 mètres) et les plateaux de la partie nord-ouest de la tête de la presqu’île, avec quelques centaines de mètres de haut au niveau des Mamelles. Le reste des plateaux dépassent rarement cinquante mètres. Comment cette partie est configurée hydro- géologiquement ?

 L’hydrogéologie 

Des affleurements de couches marneuses ou marno -calcaires se singularisent dans la zone. Ce substrat est donc constitué de terrains tendres non cuirassés sauf vers le cap du cimetière musulman (Seck, 1970). L’absence de cuirasses facilite la formation d’abrupts d’érosion à corniches dus aux effets combinés des vagues et des marées sur la côte. Le sol est essentiellement sablonneux dans presque toute l’étendue de la Commune d’Arrondissement. Les formations sableuses d’âge quaternaire s’étendent sur l’ensemble de la tête de la presqu’île et se poursuivent à l’est par un cordon littoral. Ces formations réunissent un système aquifère continu constitué : – d’une part, par les sables marins emprisonnés sous les coulées volcaniques issues du volcan des Mamelles qui renferment la nappe infra-basaltique du cap vert. Cette nappe est captive sous les coulées basaltiques des mamelles et libre au-delà et s’étend sur 50 km² avec une épaisseur moyenne de 50 mètres et repose sur un substrat imperméable : marnes et argiles de l’éocène inférieure ; 33 – et d’autre part nous distinguons les formations continentales (alluvions graveleuses et sables dunaires) qui longent le littoral de Dakar à Saint louis sur une dizaine de kilomètres de large. Ces formations contiennent la nappe dite de Thiaroye qui est un aquifère libre constituant le prolongement naturel de la nappe infra-basaltique avec laquelle il est en continuité. Les aquifères des sables quaternaires se comportent comme un réservoir unique (Travi,1988) Dans l’ensemble, l’hydrogéologie de la Médina associée à une topographie basse avec de faibles pentes et une faible profondeur du niveau statique prédispose la nappe aux pollutions (Chaoui ,1996) mais aussi le milieu aux inondations.

Le climat 

Le climat de la Médina est comme du reste celui de la région de Dakar qui est différent de celui de l’intérieur du pays. Il est constitué de deux périodes distinctes : -une période chaude de juillet à novembre dénommée la mauvaise saison (Seck, 1970) caractérisée par de fortes températures 36°C en moyenne avec des pics en août et en septembre, une forte tension de vapeur d’eau et des précipitations abondantes parfois. Ici, les précipitations tournent en moyenne autour de 336 mm par an (PIC, 2013). Les précipitations et les fortes températures transforment la ville en chaudière et constituent un prétexte à la consommation de grandes quantités d’eau et par voie de conséquences à la production d’énormes quantités d’eaux usées. C’est durant cette partie de l’année avec aussi les pluies qu’on note les pics des fuites d’eaux usées dans les rues de la Médina car les spécialistes estiment qu’une quantité de 100 litres d’eau potable consommée entraine un rejet de 80 litres d’eaux usées ; -une période fraîche qui dure de Décembre à Juin. Elle est caractérisée par des températures basses avec des moyennes de 25°C , les minima peuvent atteindre 18°C durant certains mois (janvier ,février, mars) et des maxima de 30°C notés aux mois de juillet aout .On peut noter des pluies pendant la saison sèche qu’on appelle pluies de heug7 .Durant la période fraîche du fait de la douceur du temps liée aux alizés maritimes qui soufflent sur la presqu’île du cap vert, la consommation d’eau se trouve amoindrie et par voie de conséquences nous noterons une faible 7 Pluies de mangues qui surviennent en saison sèche 34 consommation d’eau et une faible production d’eaux usées ce qui occasionne moins de fuites d’eaux usées dans la commune. La fluctuation du temps pas très chaud durant la grande partie de l’année ajoutée à cela la proximité avec le plateau constituent des facteurs d’implantation d’importantes populations à la Médina ce qui va contribuer à la modification du bâti et par ricochet occasionner des pressions énormes sur le réseau d’assainissement. II) Le cadre humain Beaucoup de facteurs sont à l’actif de la création de la Médina. Dès 1862 Dakar va connaître son premier plan d’urbanisme sous Pinet LAPRADE. Ce plan aura pour but, le lotissement des terrains du Tound8 afin d’accueillir les déguerpis du plateau. En 1902, les Français vont transférer la capitale de l’AOF de Saint Louis à Dakar qui va bénéficier pour l’occasion de grands travaux d’infrastructures (surtout avec le port). L’espace jadis confiné au plateau doit s’agrandir et aller au-delà des limites du premier plan d’urbanisme. La population de plus en plus nombreuse et avec son corollaire de problèmes d’urbanisation poussent les autorités coloniales à envisager une politique d’« assainissement » du plateau en le dépouillant de ses populations indigènes en majorité léboues et l’épidémie de peste qui s’est déclenchée au centreville sera le catalyseur du refoulement d’un nombre important de noirs du plateau vers la Médina. Ainsi, l’arrêté No-1467 du 19 septembre1914 sera signé par le gouverneur William Ponty et rendra effectif le projet colonial. Une bonne partie de la population autochtone va rejoindre de gré ou de force Tilène9 . 

L’épidémie de la peste de 1914 à 1915

 L’épidémie a duré d’avril 1914 à janvier 1915 (Mbokolo, 1935) et a été la plus importante de l’histoire de Dakar. Son origine était difficile à déterminer mais il faut noter qu’elle est partie d’Asie orientale avant de frapper Madagascar dès 1898 (Nicholas, 1953), on l’avait signalée peu après dans les îles de l’océan indien, puis sur les côtes mozambicaines avant d’atteindre l’Afrique du sud. Au Sénégal il y a eu une première épidémie de peste à Ziguinchor en1912 (Nicholas, 1953). Introduite à Dakar en 1914, la peste s’est installée dans toute la partie 8 TOUND signifie en ouolof dunes de sable, ces terrains correspondent à l’avenue Faidherbe, l’avenue William Ponty, l’avenue Jauréguiberry, la rue Blanchot et la route de Bel air. 9 Demeure des chacals en langue nationale wolof ce qui en dit long sur l’aspect sauvage du milieu. 35 occidentale du pays et de là, elle gagnera les villages de la presqu’île puis progressa le long du chemin de fer Dakar Saint Louis (Peltier et al ,1949). Malgré les mesures d’hygiène jadis préconisées ; Dakar et son port ne seront pas épargnés de l’épidémie. Devenue capitale de l’Afrique occidentale française (AOF) la ville occupe désormais une position centrale .Ainsi, les épidémies en plus de menacer tous les efforts économiques consentis, bouleversaient tout de même la main-d’œuvre et par conséquent ralentissait les travaux et allongeait les délais de livraison des ouvrages renchérissant ainsi les coûts de construction des infrastructures. Il faut désormais user de mesures énergiques pour éradiquer ce fléau même dans la discrimination raciale. C’est ainsi que l’autorité coloniale décida de faire du plateau une ville européenne c’est-à-dire une ville où tous les habitants seraient assujettis aux règles sanitaires appliquées aux européens et tout indigène qui voudra se soumettre strictement à cette règlementation doit pouvoir y habiter au même titre que n’importe quel européen . A défaut, il se fera refouler hors de cette enceinte10.Partout où elle a prévalu, la ségrégation s’est matérialisée par une coupure fondamentale engendrée par l’aménagement de boulevards de démarcation ou de zones non aedificandi assurant le rôle de cordon de sécurité c’est le cas ici avec l’Avenue Malick Sy ( Vennetier ,1949) . L’épidémie connut une tendance évolutive jusqu’en août 1914 (Mbokolo, 1935) et les zones les plus touchées au plateau sont : les rues Thiers, Félix Faure, Escarpait, Gambetta, Vincent, Blanchot. Pour faire face à cette virulente épidémie l’administration coloniale devait réagir vite. La maladie fit plus d’un millier de morts du côté de la population indigène et une centaine du côté des européens (Sakho ,1985). C’est ainsi que certaines mesures d’hygiène très gênantes restaient difficilement supportables par les populations locales en période d’épidémie . Les colons allaient jusqu’à faire évacuer les maisons des indigènes et les brûler aussitôt après (ANS). Ainsi, la ville fut l’espace où le noir colonisé fera l’expérience directe de la domination. Dans une vie de Boy et dans le Vieux Nègre et la médaille comme dans ville cruelle (Oyono,1956) et (Béti,1954) respectivement, ont montré que la ville coloniale est toujours bicéphale ; la ville blanche d’un côté ( le Tanga commerçant et administratif) et de l’autre la ville noire, le quartier indigène ( le Tanga des autres sans spécialité) (Ela , 1983).C’est cette dure 10 Proposition du Ministre des colonies article 2 (ANS, 3 G2/160). 36 dichotomie coloniale qui s’est traduite sur l’espace dakarois entre le Plateau et la Médina en cette veille de la Première Guerre Mondiale . Ces mesures vont rencontrer l’opposition des populations locales qui ne comprennent pas l’attitude des européens dans une situation pareille. Les lébous représentés par Blaise Diagne vont résister à leur déplacement vers la Médina et s’opposèrent à l’incendie de leurs demeures à des fins d’hygiène car craignant l’expropriation de leurs terres dans le plateau ( Betts , 1916) .Ainsi ,durant le mois de mai , des troubles faisaient rage contre d’abord les membres du conseil municipal ,puis contre ceux de la chambre de commerce , et plus tard contre le Maire Emile Masson. On notera des grèves chez les maraîchers et chez les pêcheurs (Mbokolo, 1935) ce qui provoqua des problèmes de ravitaillement en produits frais au niveau des populations européennes du plateau. Les émeutes étaient enregistrées au plateau et dans les quartiers qui étaient très touchés par l’épidémie de peste (Dièye, 2013).

Table des matières

Introduction Générale
Cadre théorique et méthodologique
Problématique
I – Contexte
II) Justification de l’étude
III) Objectif de recherche
III-1) Objectif général
III- 2) Objectifs spécifiques
IV) Hypothèses
IV-1) Hypothèse générale
V) Glossaire des concepts de l’assainissement
VI) Méthodologie
VI-1) La recherche documentaire
VI-1-2) L’observation directe
VI-1-3) Les entretiens
VI-1-4) Le pré-test
VI-1-5) La cartographie et la photographie
VI-1-6) Le traitement de données et de texte
VI-1-7) Les contraintes
PREMIERE PARTIE : ASPECTS GENERAUX DE L’ASSAINISSEMENT LIQUIDE AU SENEGAL
CHAPITRE 1 : ASPECTS LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES DE L’ASSAINISSEMENT
LIQUIDE AU SENEGAL
I) Aspects législatifs
I- 1) Le ministère de l’hydraulique et de l’assainissement .
I-1-1) Les directions
I-1-1-2) La direction de l’assainissement (DA)
I-1-1-2-1) Les missions
I-1-1-2-2) L’organisation de la direction de l’assainissement du Sénégal (DA)
I-1-2-1) Les structures sous tutelle
I-1-3-1) Les politiques et stratégies du secteur
I-1-3-1-1) Le Programme Eau et Assainissement pour le Millénaire (PEPAM)
I-1-3-1-2) La lettre de politique sectorielle de l’hydraulique et de l’assainissement en milieu urbain et rural
I-1-3-1-3) La loi sur le service public de l’eau potable et de l’assainissement (spepa)
II) Les aspects législatifs et règlementaires
I-1) Les aspects législatifs
I-2) L’aspect règlementaire
Conclusion partielle
CHAPITRE 2 : CADRE PHYSIQUE ET HUMAIN DE LA COMMUNE DE MEDINA
I) la Médina : cadre physique et humain
I-1) Présentation de la commune
I -1-1) Le relief et la géologie
I -1-2) L’hydrogéologie
I 1-3) Le climat
II) Le cadre humain
I-1) L’épidémie de la peste de 1914 à 1915
I-2) L’édification de la ville
I-3) Les travaux d’aménagement de la Médina
I-4) La population de la Médina
I-5) L’habitat et ses contraintes d’assainissement
Les grandes artères d’eaux usées de la commune de Médina
I-6) Les équipements de la commune
I-6-1) Les équipements sanitaires
– l’annexe du centre médico –social des fonctionnaires rue 15×8 ;
I-6-2) Les équipements éducatifs
Deuxième partie : fruites d’eaux usées de réseau, risques sanitaires et problèmes environnementaux pour les populations de la Médina
CHAPITRE 3 : LES EAUX USEES ET LES INFRASTRUCTURES D’ASSAINISSEMENT
AU SENEGAL
I) Historique de l’assainissement au Sénéga
II) Les différentes formes d’eaux usées
I-1-2) Les eaux usées
I-1- 1) Les eaux usées domestiques (eud)
I-1- 2) Les eaux vannes
I-1- 3) Les eaux usées ménagères
I-1-4) Les eaux usées industrielles
I-1-5) Les eaux de pluie
II-2) Les différentes formes de pollution des eaux usées
I I-2- 1) La pollution primaire ou physique
II-2 -2) La pollution organique ou pollution secondaire
II-2 -3) La pollution minérale ou tertiaire
III) les caractéristiques des eaux usées
III-1) Les paramètres physicochimiques
III-1-1). La température
III-1-2). Le potentiel hydrogène ( PH )
III-1-3). Matières en suspension (MES)
III-1-4). Demande biochimique en oxygène (DBO)
III-1- 5) La demande chimique en oxygène (DCO)
III-1-6) Les matières azotées
III-1-7) Les matières phosphatées
III-2) Les Paramètres microbiologique
III-2-1) Les Protozoaires
III-2-2) Les Helminthes
III-2-3) Les Virus
III-2-.4). Les coliformes totaux (CT) et les coliformes fécaux (CF)
III-2-5) Les streptocoques fécaux (SF)
IV) Le réseau d’assainissement de Dakar
IV-1) Les infrastructures d’assainissement de la commune
IV-1-1) Les infrastructures d’assainissement autonome
IV-1-2) Les infrastructures d’assainissement collectif
IV-2) Le système d’assainissement
IV-2-1) Le système d’assainissement collectif
Source : PDA/DAK 2025
IV- 3) L’entretien du réseau d’assainissement collectif
CHAPITRE 4 : LES CAUSES DES FUITES
I) Les causes naturelles
I-1) La topographie
I-1-1-2) Une nappe phréatique quasi affleurant
I-1-1-3) Ensablement
I) Les causes techniques
1) Les problèmes du réseau
II-1-1) La vétusté du réseau
II-1-2) Le dimensionnement du réseau
II-1-3) Le faible niveau d’entretien du réseau
II-1-4) Le sol et le matériau peu adaptés
II) Les causes humaines
III-1) Les mauvais comportements des populations
II-2) Le non-respect des normes d’urbanisme
III-3) Une mauvaise politique d’assainissement
CHAPITRE 5 LES CONSEQUENCES DES FUITES
I) Les risques sanitaires
I-1) Les principaux motifs de consultation dans la Commune
I-2) Le profil des malades
I-3) Les cinq maladies les plus fréquentes (2012, 2013,2014)
II) Les problèmes environnementaux
II-1) Dégradation du cadre de vie
II-1-1) La pollution de la nappe phréatique
II-1-2) Pollution des eaux de surface
II-1-3) Dégradation des infrastructures et déclin des activités économiques
III) Les recommandations pour la commune
III-1) La reconstruction du réseau
III-2) L’entretien régulier du réseau
III-3) Créer un réseau séparatif

 

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