Propagation des ondes électromagnétiques dans l’atmosphère

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Objectif des télécommunications

Définition

Dans un vaste sens, les télécommunications comprennent l’ensemble des moyens techniques nécessaires à l’acheminement d’informations entre deux points. Cet ensemble de moyens doit être aussi fidèle et fiable que possible. Les informations sont à priori quelconques ; l’acheminement de ces informations peut être à une distance quelconque avec des coûts raisonnables.
L’objectif des télécommunications est de permettre l’échange, à distance, d’informations. Tout système de télécommunication, qu’il soit numériqueou analogique, qu’il transporte de la voix, de l’image ou de données quelconques sous forme de bits, peut se résumer par la figure 2.01 :
Figure 2.01 : Système de communication

Commentaire

• Les communications sont une technique, donc une œuv re humaine. Le besoin de communication, inhérent à tout homme, existe sans elles. Elles ne font qu’amplifier et prolonger les possibilités de le satisfaire. Les principaux moyens techniques sont de nature électromagnétique.
• Contrairement aux services postaux, les télécommunications ne concernent que l’information à transmettre, et non pas son support matériel (papier, disque, bande magnétique, etc.). Cette information peut prendre des formes très diverses telles que de la parole, de la musique, des images fixes ou mobiles, des textes, des données.
• L’usager qui confie son information aux systèmes de télécommunications souhaite qu’elle soit restituée sans pertes et sans altérations. Undes principaux problèmes à résoudre est de garantir un degré élevé de fidélité, c’est-à-diree dtransparence, malgré les inévitables imperfections et perturbations que présentent les moyens disponibles.
• L’usager attend des télécommunications un service permanent, disponible en toute circonstance. Assurer cette fiabilité en dépit des pannes partielles, imprévisibles et inévitables, est aussi une préoccupation primordiale.
• La mise en relation, conformément à leurs ordres, de deux usagers quelconques, afin de leur permettre ensuite de se faire parvenir des informations, est un problème de commutation (switching). Cela est une branche importante des télécommunications.
• Le transport d’information à une distance quelconqu e, qui peut être très grande (comme le cas des communications spatiales), est un problème de transmission. La transmission est une autre branche également importante des télécommunications.
• L’art de l’ingénieur consiste à trouver la solution la plus économique à un problème de communication, dans un éternel compromis entre coûtet qualité. Le coût doit être pris au sens large, c’est-à-dire du point de vue matériel, frais de développement, exploitation, etc. Les télécommunications n’échappent pas aux lois dumarché : c’est finalement l’usager qui juge si les coûts sont raisonnables.

Les types de services

Les services offerts par les télécommunications sedistinguent par :
• Le type d’informations transmises
• Le nombre de partenaires impliqués
• Le rôle respectif que jouent ces partenaires (mode de communication : conférence,
dialogue, monologue).
Lorsqu’un certain nombre d’usagers bénéficient du même service, l’ensemble des liaisons physiques entre eux constitue un « réseau ». Le réseau peut servir à la « diffusion » d’informations transmises unilatéralement d’une source vers plusieurs destinataires (monologue), ou inversement,
à la collecte d’informations en provenance de plusi eurs sources vers le même destinataire. Si les liaisons entre partenaire ne sont pas permanentes, mais établies de cas en cas selon leurs ordres, le réseau est dit « commuté ». Il comprend alors, en lusp des moyens de transmission, des dispositifs capables d’interpréter et d’exécuter ces ordres (centraux, commutateurs).
Dans sa forme la plus courante, le réseau commuté ste « banalisé », c’est-à-dire que ses organes de transmission et de commutation sont mis en commun, à disposition d’un grand nombre d’usagers qui ont accès à ce réseau par un moyen de transmission individuel.

Milieu ou canal de transmission [4] [22]

Le canal de transmission des télécommunications travaille dans la gamme d’ondes de l’hyperfréquence actuellement.

Définitions de « lignes et ondes »

Dès ses débuts, la technique des télécommunications utilisé des fils métalliques pour guider les signaux porteurs d’information; puis elle s’est af franchie de cette liaison matérielle entre l’émetteur et le récepteur, pour faire un usage direct du rayonnement omnidirectionnel (radiodiffusion), ou plus ou moins étroitement dirigé (faisceaux) d’ondes électromagnétiques.
On désigne par « ligne » un milieu matériel fini detransmission.
Il peut consister par exemple en
• deux fils métalliques nus parallèles : ligne aérienne
• deux conducteurs concentriques : paire coaxiale
• un tube métallique : guide d’ondes
• un guide filiforme diélectrique translucide : fibreoptique.
On donne le nom de « câble » à une unité constructi ve, comportant une ou plusieurs lignes, et protégée contre les influences physiques, chimiquesou électromagnétiques extérieures (dans l’air, dans l’eau ou dans la terre).
Bien que, dans le cas d’une transmission par ligne, l’énergie (et donc l’information) soit aussi transportée en fait par une onde électromagnétique guidée, on réserve le terme de « transmission par onde »au cas où aucun élément matériel spécifique ne guide les signaux tout au long du trajet de l’émetteur vers le récepteur.

Description d’une transmission

L’information issue d’une source est transmise via un EMETTEUR dans un CANAL de transmission (atmosphère, ligne électrique, fibre optique, par exemple).
Un autre utilisateur va récupérer sur le CANAL, grâce à un RECEPTEUR, le signal transmis auquel se seront superposés des parasites : BRUIT ou perturbations.
Dans l’exemple de radiofréquences de la figure 2.02 on a une transmission unidirectionnelle (simplex) comme pour la radio, à distinguer d’une t ransmission bidirectionnelle alternée (half- duplex) dans le cas du talkie-walkie ou d’une transmission bidirectionnelle (full duplex) dans le cas du téléphone analogique.
Dans la télécommunication, il y a deux moyens de ansmettre les informations : par la transmission analogique et la transmission numérique.

La transmission analogique [4] [23]

Principe

Dans une transmission analogique, l’information en provenance d’une source continue (information analogique) est représentée par les variations continues d’un paramètre des signaux transmis. Chaque détail concernant ce paramètre des signaux eçusr est considéré par le destinataire comme étant porteur d’information. C’est pourquoi toute modification de ce paramètre, si minime soit-elle, en cours de transmission, conduit à une altération irréversible de l’information analogique qu’il porte.
La transmission analogique peut être considérée comme un cas limite de la transmission numérique, lorsque le nombre d’états m par moment tend vers l’infini. Comme la puissance disponible est limitée, l’écart entre ces états devient infiniment petit et il n’est plus possible de les discerner à l’aide de seuils.
La différence essentielle entre une transmission analogique et une transmission numérique se situe donc dans la façon dont le destinataire interprète les signaux qu’il reçoit :
• En fonction d’un alphabet fini convenu préalablement avec la source, dans le cas de la transmission numérique
• Selon tous les détails d’un paramètre convenu préablement avec l’émetteur, dans le cas de la transmission analogique.

Les fréquences transmises

Considérons plus particulièrement le cas de la téléphonie analogique. Le récepteur est bien entendu l’oreille. Sachant que l’homme ne peut ente ndre que des sons compris entre 20Hz et 20kHz, on se contente a priori de ne transporter que des signaux qui se situent dans cette gamme de fréquence. Cependant, le téléphone sert essentiellement à la conversation (on n’écoute que rarement de l’opéra par le biais d’un téléphone !),on se limite alors aux fréquences comprises entre 300 et 3400Hz.

Caractéristique des signaux transmis

A l’émission, les signauxu E (t) , aléatoires comme les messages qu’ils représentent, sont caractérisés principalement par
• la largeur de bande occupée par leur densité spectrale (unilatérale) de puissanceSE(f )
• leur puissance PSE ou leur niveau LSE .

Caractéristiques du canal de transmission

Comme le cas d’une transmission numérique, le canal est défini par
• Sa fonction de transfert H(f ) qui exprime les distorsions linéaires (d’affaiblissement et de phase) du canal et dont découle sa largeur de bande,
• La densité spectrale de puissance N (f ) des perturbations qui l’affectent,
• La statistique de ces perturbations.
A cela s’ajoute une caractéristique dont l’importance est typique de la transmission analogique :
• La linéarité de la caractéristique entrée-sortie dusystème. Les distorsions non linéaires sont en effet la cause de produits d’intermodulation qui perturbent la transmission par un bruit supplémentaire.

Critère de qualité de transmission analogique

Les principaux critères d’évaluation dans le cas decette transmission :
• Le niveau (puissance) absolu de réception LSR du signal à la sortie du système de transmission,
• Le rapport signal sur bruitR en ce même point 10 lg xR = LSR – L NR (2.02)
• Le taux de distorsion harmonique d1 (voir l’équation 2.03) qui exprime l’effet des non linéarités du système sur un signal sinusoïdal deréquencef f1 par le rapport entre la valeur efficace de l’ensemble des harmoniques U n (n ³ 2) et celle du signal distordu (que l’on peut approcher, pratiquement, par la valeur efficace de la fondamentale U1 ).
Le taux de distorsion d1 dépend de l’amplitude du signal. Il peut aussi être exprimé en décibels par20 lg d1 .

La transmission numérique [4] [23]

Principe

La transmission numérique a pour objet la communication, d’un point (émetteur) vers un autre (récepteur), d’une information discrète provenant d’une source qui ne dispose que d’un nombre fini « n » de caractères (« alphabet »).
Par une convention préalable, le destinataire a connaissance de l’alphabet utilisé par la source. Il peut donc interpréter l’information qu’il reçoit en fonction de cet alphabet. Il compare les signaux reçus (déformés et perturbés par la transmission dans le canal), à la liste des caractères possibles et en déduit par une décision lequel de ces caractèresest le plus probablement à l’origine du signal reçu.
L’information numérique transmise peut ainsi, en principe, être régénérée intégralement à la réception. Toutefois, si la distorsion ou la perturbation des signaux reçus est telle qu’elle simule l a présence d’un autre caractère, des erreurs de régénération irréversibles apparaissent. Leur probabilitéε est le caractère principal d’appréciation de la qualité de la transmission numérique. Pour la téléphonie numérique, les principes fondamentaux restent les mêmes. Ce système possède de nombreux avantages sur la téléphonie analogique: meilleur filtrage du bruit, compatibilité avec la transmission de données informatiques, etc. Ici, le signal n’est pas transmis directement mais il est d’abord numérisé. Etant donné que l’on se limite à des fréquences inférieures à 4000Hz, d’après le théorème de Shannon, on peut prendre unefréquence d’échantillonnage de 8000Hz. Chaque échantillon est codé sur 8 bits, ce qui donne un débit de 64kbits/s.

Représentation de l’information numérique

Les caractères produits par la source sont représentés pour la transmission par des signaux physiques composés d’une suite de moments, ou signaux élémentaires, de duréeTM . Dans le cas général, chaque moment peut prendrem valeurs (transmission m -aire).
Le nombre de moments nécessaire pour représenter un desn caractères dont dispose la source dépend de m selon la relation m ³ n .

Mode de transmission

La loi de correspondance entre les « m » valeurs de chaque moment, et les caractéristiques du signal physique qui les représente constitue le mode de transmission.
Le signal émis est composé d’une suite aléatoire designaux élémentaires, correspondant chacun à un moment.
On admettra que pour une transmission numérique enbande de base, les signaux élémentaires sont des multiples d’un signal élémentaire de base dontla forme, à l’émission est u Ek = a k u BE (t) avec k 0,1,…, m1 (2.06) a k est un coefficient pouvant prendre m valeurs.
Le mode est alors caractérisé par :
• la forme u BE (t) du signal élémentaire de base à l’émission ; 22
• les coefficients a k ;
• une éventuelle loi séquentielle imposant certainescontraintes à la détermination des coefficients a k en fonction des signaux émis précédemment (modes mémoire)à.

Influence du canal

Le canal peut être caractérisé par
• la fonction de transfert H(f ) dans le domaine fréquentiel ou sa réponse impulsionnelle h(t) dans le domaine temporel ;
• la densité spectrale de puissance et la distribution statique des amplitudes des perturbations (bruits) qui l’affectent.
Connaissant la forme u BE (t) des signaux élémentaires de base émis ou leur transformée de Fourrier UBE (f ) , on en déduit les caractéristiques correspondantesdes signaux élémentaires de base à la réception, en l’absence de perturbations : u BR (t) u BE (t) * h(t) (2.07)
La formule (2.07) permet d’évaluer la déformationdes signaux de base et ensuite des distorsions linéaires du canal, en particulier leur étalement ansd le temps et l’influence qu’ils risquent d’avoir sur les moments voisins. Par ailleurs : U BR (f ) U BE (f )H(f ) (2.08)

Notion de perturbation

Les perturbations, qui affectent le signal en cours de transmission, rendent la discrimination des m valeurs par le récepteur plus difficile, et peuvent devenir la cause d’erreurs de régénération dont la probabilité dépend :
• de la distribution statique des perturbations (donc de leur puissance) ;
• de l’amplitude des signaux utiles reçus et de leur forme;
• du nombre d’états m.
Il en résulte que l’information reçue par le destinataire n’est pas exactement identique à celle émise par la source. Les erreurs de transmission, qui expriment cette différence entre les caractères émis et reçus, ont une probabilité d’apparition quin’est pas forcément égale à celle des erreurs de régénération sur les moments. En effet, par un codage approprié et l’adjonction d’une redondance correspondante, il est possible de détecter la présence d’un moment erroné dans un caractère et d’en refuser l’interprétation, ou même de corrigercertaines erreurs et de restituer un caractère correct, bien qu’il contienne des moments erronés.
Dans certains cas, notamment dans les transmissions par ondes, la fonction de transfert du canal est soumise à des fluctuations aléatoires. On parle alors de perturbations multiplicatives, telles que les baisses brusques et aléatoires appelées « évanouissements » ou « fading » (phénomène dépendant de la fréquence), dues à des couches de ’atmosphèrel à températures différentes. Il existe aussi comme perturbation :
• l’effet de la variation de l’indice de réfraction atmosphérique et de son gradient, modifiant la courbure du faisceau et, par conséquent, le pointage optimal des antennes ;
• l’effet de l’absorption (ou pertes) en cours de tra jet, due à de fortes précipitations (surtout sensible aux fréquences très élevées).
En raison du caractère aléatoire des évanouissements, on peut les considérer comme une sorte de bruit, appelé « bruit multiplicatif », car au lieu de se superposer au signal comme le font les perturbations usuelles (bruit additif), il agit sur l’intensité des signaux reçus en la multipliant par un facteur variable aléatoire.

Intérêt du numérique face à l’analogique (transmission vocale) 

Le grand intérêt est la qualité de la transmission vocale. En effet, une conversation n’a pas de propriété particulière, ce qui rend difficile la distinction entre le bruit et le signal désiré lors ed la réception. Par contre un signal numérique possède esd caractéristiques précises. Par exemple, la régularité dans le temps de l’envoi de paquets de bits permet de corriger certaines erreurs : quand on observe deux variations de 0 à 1 trop proches, o n supprime la moins probable. Ceci permet de retrouver quasiment un signal identique entre l’émission et la réception. De plus, des systèmes de correction d’erreurs minimisent encore les déformations.
En télécommunication numérique, on peut égalementimplémenter des algorithmes de compression de données et des méthodes de multiplexage plus performantes et ainsi optimiser l’usage de la bande passante disponible. C’est un a utre avantage qui justifie le remplacement de l’analogique par le numérique.
Enfin, le passage au numérique permet d’assurer un meilleur interfaçage avec les données issues d’un ordinateur. Ainsi, avec un même appareil, on peut à la fois converser et s’échanger des informations telles que des fichiers, des images. C’est donc une force supplémentaire du numérique face à l’analogique.
Cependant, on ne peut pas négliger l’analogique.
Le signal porteur d’information est en hyperfréquence ; c’est le signal modulant qui utilise des ondes centimétriques.

Modulations [4] [23]

La modulation est une opération qui consiste à transposer un signal représentant une information en un autre signal sans modifier sensiblement l’information qu’il porte. On distingue deux grandes catégories de modulation : les modulations analogiques et les modulations numériques.

Modulations analogiques

Principe

Dans les modulations analogiques, la convention de modulation consiste à faire varier un paramètre (amplitude, fréquence, phase, durée, etc).du signal secondaire proportionnellement à la valeur instantanée du signal primaire. Ces modulations ne modifient pas la nature de l’information (analogique ou numérique).

Modulation analogique discrète

Dans le sens où les modulations analogiques ne modifient pas la nature de l’information portée par des signaux avant et après modulation, l’information est numérique d’origine. On désigne par modulations analogiques discrètes des procédés danslequel
• Le signal primaire est porteur d’information numérique, binaire ou m-aire, et peut de ce fait prendre m valeurs discrètes ;
• La porteuse est un signal sinusoïdal
• Le signal secondaire est obtenu par la variation discrète d’un des paramètres (amplitude, fréquence ou phase) de la porteuse selon les m valeurs possible du signal primaire.

Modulations numériques

Principe

Les modulations numériques consistent à convertir une information analogique, portée par un signal à variations continues, en une séquence de caractères discrets, issu d’un alphabet fini de q caractères.
Il est important de souligner que les modulations numériques associent aux valeurs exactes d’une grandeur analogique physique (signal primaire) des nombres entiers, sans réalité physique. Afin d’être transmis, ces nombres doivent être représent par des signaux (signal secondaire). Pour la démodulation, ces nombres doivent être extraits designaux secondaires par régénération. C’est à partir de ces nombres (et non pas directement des signaux secondaires) que des valeurs physiques discrètes du signal démodulé sont déterminées parneu convention préétablie. Le signal ainsi reconstitué n’est donc pas analogique au sens exact du terme, mais ne peut être que la traduction physique de l’information numérique transmise.

Types

La principale modulation numérique est la modulation par impulsion et codage. A chaque échantillon analogique, elle fait correspondre un nombre (parmi q) qui est ensuite représenté sous forme codée adéquate.
Les modulations numériques différentielles ne codent pas la valeur de chaque échantillon, mais la différence par rapport à l’échantillon précédent.
Les modulations numériques adaptives sont celles où la loi de correspondance entre les valeurs analogiques et leur représentation numérique dépende ce qui s’est passé précédemment.
Les fréquences sont divisées en plusieurs classes ontd fait partie l’hyperfréquence. Chaque classe présente des avantages et des inconvénients. Pourtant, les télécommunications ne pourront plus se passer de l’hyperfréquence de nos jours.

Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE 1 . EVOLUTION DE LA TELECOMMUNICATION
1.1 Communication visuelle
1.2 Télégraphe visuel et mécanique
1.3 Télégraphe électrique
1.4 Téléphone
1.5 La radio
1.6 La télévision
1.7 Les satellites
1.8 Internet
1.9 Les réseaux sans fils
1.9.1 L’idée de réseau sans fil
1.9.2 Leur catégorie
1.10 Le GSM
1.10.1 Conception
1.10.2 Caractéristique de l’interface radio
1.10.3 Les services
1.11 Le CDMA
1.11.1 Historique
1.11.2 Description
1.11.3 Les méthodes utilisées par le CDMA
1.11.4 Bande de fréquence utilisée
1.12 Les réseaux locaux WiFi (ou Wireless Fidelity)
1.12.1 Présentation
1.12.2 Disponibilité
1.12.3 Les fréquences utilisées
1.13 Le WiMax
1.13.1 Généralités
1.13.2 La gamme de fréquence utilisée
1.13.3 Les contraintes techniques
1.13.4 Usages du WiMAX
CHAPITRE 2 . PRINCIPES ET METHODES
2.1 Objectif des télécommunications
2.1.1 Définition
2.1.2 Commentaire
2.1.3 Les types de services
2.2 Milieu ou canal de transmission
2.2.1 Définitions de « lignes et ondes »
2.2.2 Description d’une transmission
2.3 La transmission analogique
2.3.1 Principe
2.3.2 Les fréquences transmises
2.3.3 Caractéristique des signaux transmis
2.3.4 Caractéristiques du canal de transmission
2.3.5 Critère de qualité de transmission analogique
2.4 La transmission numérique
2.4.1 Principe
2.4.2 Représentation de l’information numérique
2.4.3 Mode de transmission
2.4.4 Influence du canal
2.4.5 Notion de perturbation
2.5 Intérêt du numérique face à l’analogique (transmission vocale)
2.6 Modulations
2.6.1 Modulations analogiques
2.6.1.1 Principe
2.6.1.2 Modulation analogique discrète
2.6.2 Modulations numériques
2.6.2.1 Principe
2.6.2.2 Types
CHAPITRE 3 .ETUDE FREQUENTIELLE
3.1 Les basses et moyennes fréquences
3.1.1 Etude
3.1.2 Inconvénients
3.2 Les hautes fréquences
3.2.1 Gamme de fréquence
3.2.2 Présentation
3.2.3 Inconvénients
3.2.3.1 Problème de distance
3.2.3.2 Solution pour la distance
3.2.3.3 Problème en fréquence
3.2.3.4 Solution pour la fréquence
3.3 Les hyperfréquences
3.3.1 Très hautes et ultra hautes fréquences
3.3.1.1 Avantages et conditions
3.3.1.2 Inconvénient et limite
3.3.1.3 Principes
3.3.2 Modulation
3.3.3 Mode de transmission de l’hyperfréquence
3.3.3.1 Moyen de transport
3.3.3.2 Charges
3.3.4 Les faisceaux micro-ondes
3.3.4.1 Généralités
3.3.4.2 Les satellites de télécommunication
3.3.4.3 Orbites géostationnaires
CHAPITRE 4 . LES ONDES
4.1 Propagation des ondes électromagnétiques dans l’atmosphère
4.1.1 Mode de propagation d’ondes
4.1.2 Puissance de rayonnement
4.1.3 Polarisation d’une onde
4.1.3.1 Les types de polarisation
4.1.3.2 Applications des polarisations
4.2 Fréquence et longueur d’onde
4.3 Génération d’onde
4.4 Présentation de l’atmosphère
4.4.1 L’atmosphère terrestre
4.4.2 Particularité de l’ionosphère
4.5 Les types de propagation
4.5.1 Propagation superficielle
4.5.2 Propagation ionosphérique
4.5.2.1 Avantages
4.5.2.2 Désavantages
4.5.3 Propagation troposphérique
4.6 Condition aux limites
4.6.1 Les ondes d’espace
4.6.2 Choix de l’hyperfréquence pour les satellites
4.6.3 Rayon équivalent de la terre
4.6.4 Rayon de courbure de la trajectoire de la transmission
4.6.5 Propagation en visibilité directe
4.7 Classification des gammes d’ondes
4.8 Gammes d’ondes attribuées à la radiodiffusion
4.9 Gammes d’ondes attribuées aux radiocommunications
4.10 Réception en diversité
CHAPITRE 5 . NOTIONS SUR LES ANTENNES
5.1 Les antennes
5.1.1 Définition des antennes
5.1.2 Source isotrope : définition et propriétés
5.1.3 Caractéristique d’une antenne à l’émission
5.1.4 Caractéristiques d’une antenne à la réception
5.1.5 Propriétés des antennes de grande surface
5.1.6 Antennes filiformes
5.2 Transmission par ondes
5.2.1 Hypothèses
5.2.2 Affaiblissement de la liaison
5.3 Comparaison critique des milieux de transmission
5.3.1 Cas des liaisons point-à-point
5.3.2 Cas des réseaux de diffusion
5.4 Etude sur l’antenne
5.4.1 Onde plane
5.4.2 Les équations de Maxwell
5.4.3 Le vecteur de Poynting
5.4.4 Potentiels de Lorentz (Potentiels retardés)
5.4.5 Formules pour le champ rayonné par l’antenne
5.4.6 Diagramme de rayonnement
5.5 Gain et directivité de l’antenne
5.5.1 Définition : Gain
5.5.2 Définition : directivité
5.5.3 Relation entre le gain et le diagramme de rayonnement
5.6 Adaptation d’une antenne. Bande de fonctionnement]
5.7 Résistance de rayonnement
CHAPITRE 6 . GUIDE D’ONDE RECTANGULAIRE
6.1 Fréquence critique dans un guide d’onde rectangulaire
6.2 Impédance d’onde dans le guide d’onde rectangulaire de longueur infinie
6.3 Impédance d’onde dans le guide d’onde rectangulaire de longueur finie
6.4 Puissance électromagnétique dans le guide d’onde rectangulaire
6.5 Rapport d’onde stationnaire
6.6 Une étude simple sur une antenne parabolique
CHAPITRE 7 . SIMULATION SOUS MATLAB
7.1 Organigramme
7.2 La page d’accueil
7.3 La longueur d’onde critique
7.4 La puissance électromagnétique dans le guide
7.5 Impédance d’onde
CONCLUSION GENERALE
ANNEXE 1 : DEMONSTRATION DES EXPRESSIONS
A.1.1 Guide d’onde rectangulaire
A.1.1.1 L’impédance d’onde
A.1.1.2 La puissance électromagnétique
A.1.2 Guide d’onde circulaire
A.1.2.1 Onde E
A.1.2.2 Onde H
A.1.2.3 Fonction de Bessel
A.1.2.4 Les impédances
A.1.2.5 Vitesse de variation de phases
A.1.2.6 Vitesse de groupe harmonique
A.1.2.7 Vitesse de propagation de l’onde ou vitesse de la première harmonique
ANNEXE 2 : CODES SOURCES
A.2.1 Longueur d’onde critique
A.2.2 Fréquence critique
A.2.3 Puissance électromagnétique
A.2.4 Impédance d’onde
BIBLIOGRAPHIE
RESUME

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