ANALYSE « MICRO » DU PRODUIT LE GRAND TLEMCEN

ANALYSE « MICRO » DU PRODUIT LE GRAND TLEMCEN

L’analyse du produit dans sa dimension « micro » permet, tant à l’investisseur qu’à l’acteur territorial, de connaître le produit et ses caractéristiques, avec ses forces et ses faiblesses. L’investisseur tiendra compte de l’analyse du produit dans la comparaison qu’il aura à faire entre les différentes destinations possibles de son investissement, afin d’éclairer son choix, en fonction des critères qu’il aura arrêté préalablement. L’acteur territorial quand à lui, prendra en considération l’analyse du produit afin de connaître son territoire. Il pourra ainsi exploiter les forces de son territoire en vue d’attirer l’investissement et influer positivement sur les faiblesses du produit, de sorte qu’elles ne constituent pas un handicap à l’investissement.Mis à part la commune de Tlemcen, dont la création remonte à l’ère coloniale, les autres communes constituant le grand Tlemcen sont de création assez récente. En effet, les communes de Mansourah et Chetouane ont été créées en vertu de la – Les Mérinides de Fez s’emparent de Tlemcen en 1337, et la ville demeura sous leur règne quelques années avant de redevenir capitale des Zianides. La ville restera une cité royale jusqu’au XVI siècle, date de la régence des Turcs en 1555.Malgré l’occupation Mérinide, il faut reconnaître qu’il ont réalisé certaines mosquées et fondé la ville de Mansourah en 1299, lors du premier siège de Tlemcen qui dura plus de 7 ans.

Le parc se caractérise par 294 l’existence de 2.884 Hectares de forets, une flore très variée regroupant 904 espèces floristiques dont 19 espèces protégées et 54 espèces champignons. Par ailleurs, la faune compte les espèces suivantes :- 16 espèces manif ères, dont 08 protégées,- 102 espèces d’oiseaux, dont 38 protégées,- 07 bactériens,- 33 insectes. Même si les trois communes constituant la grand Tlemcen ne représentent que 1,24% de la superficie total de la wilaya de Tlemcen, la population y résidant estimée au 30 juin 2006, représente 24,12% de la population totale de la wilaya, formant par là les densités les plus importantes de la wilaya. B. En matière de formation professionnelle : Les établissements existants dans les communes qui nous intéressent sont au nombre de huit, avec une capacité théorique totale de 2.500 places, et un effectif réel se situant aux alentours de 5.500 stagiaires, ce qui souligne un manque important en structures de formation professionnelle.Les formations dispensées préparent les stagiaires à affronter le monde professionnel. Ainsi, on retrouve les formations en informatique bureautique (saisie, programmation, maintenance), les métiers du bâtiment (maçonnerie, plomberie, chauffage, peinture, menuiserie, menuiserie métallique et électricité), les métiers d’entretien et réparation (mécanique auto, électricité auto, tôlerie, tour, froid), ainsi que les arts traditionnels et la formation paramédicale.Malgré son caractère industriel et touristique, Tlemcen constitue une zone agricole, en effet, si on prend en considération la sur face agricole totale du grand Tlemcen et celle des communes se trouvant dans un rayon de moins de 20 Km, la surface agricole serait supérieure à 104.000 hectares, et le nombre d’exploitants de ces terres avoisinerait 8.000 exploitants dont plus de 87% sont des exploitants privés.

Malgré son caractère industriel et touristique, Tlemcen constitue une zone agricole, en effet, si on prend en considération la sur face agricole totale du grand Tlemcen et celle des communes se trouvant dans un rayon de moins de 20 Km, la surface agricole serait supérieure à 104.000 hectares, et le nombre d’exploitants de ces terres avoisinerait 8.000 exploitants dont plus de 87% sont des exploitants privés. A ce titre, un fond national de promotion des activités artisanales a été créé,297 et la formation professionnelle en arts traditionnels a été réactivée après des années d’absence. Ainsi, dans les centres de formation professionnels des communes du grand Tlemcen, les stagiaires sont formés dans plusieurs métiers de l’artisanat pour assurer la pérennité de ces métiers.  Conscients de la faiblesses des ressources propres des collectivités territoriales, et à la faveur d’une aisance financière de l’État, soutenue par une hausse importante des prix des hydrocarbures, les pouvoirs publics ont consenti un important programme d’investissement public ayant pour objectif, entre autre, de revaloriser les attributs des territoires et asseoir les conditions favorables au bien êtres des citoyens et à la création d’activités économiques.Il est encore prématuré d’évaluer l’impact de ces investissements sur l’attractivité du territoire, mais il y a lieu de signaler que, dans l’esprit des responsables territoriaux, ces investissements ont pour objectif la satisfaction des besoins de la population et l’amélioration des conditions de vie, et non pas le renforcement des attributs du territoire ou la satisfaction des besoins des investisseurs et des entreprises, ni même pas l’amélioration de l’environnement des affaires au sein du territoire.

 

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