Complémentation alimentaire et production laitière

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Systèmes d’élevage

Au Sénégal, les deux systèmes d’élevage pratiqués selon les conditions agro-écologiques sont le pastoralisme et l’agropastoralisme.

Système pastoral

Caractéristique de la zone sylvo-pastorale et de la partie nord du bassin arachidier, ce système est basé sur l’exploitation extensive des ressources naturelles (Ousseini, 2011). Néanmoins, vers la fin de la saison sèche, les animaux sont complémentés à base d’arbustes, d’arbres émondés, de gousses d’Acacia et de la paille de brousse à cause de la disparition du couvert herbacé. L’abreuvement se fait au niveau des sources d’eau temporaires et permanentes et l’habitat est un enclos d’épineux (Faugère et al., 1990 ; Diouf, 2004).

Système agropastoral

Rencontré dans les zones agricoles du Sénégal (Bassin arachidier, la vallée du fleuve Sénégal, au sud et sud-est du pays), ce système est pratiqué par les agro-éleveurs sédentaires qui associent l’élevage à d’autres activités agricoles et commerciales (Ousseini, 2011). Pendant la saison sèche, les animaux exploitent les parcours naturels et des compléments à base de fanes de légumineuses et des restes de cuisine leur sont distribués. Pendant l’hivernage, ils sont attachés aux piquets dans la nature et leur abreuvement est effectué par des femmes (Faugère et al., 1990 ; Moulin et Faugère, 1996).

Performances de reproduction des caprins du Sénégal

Les mise-bas ont lieu toute l’année même si elles sont plus marquées entre octobre et mars (système pastoral) et entre octobre et juin (système agropastoral). L’âge à la première mise-bas est de 14,8 mois (CS) et de 12,1mois (CD) pour un rythme de reproduction de 1,66 par an (CS) et de 1,96 par an (CD). La taille de la portée est de 1,7 et de 2, respectivement, pour la Chèvre du Sahel et la Chèvre Djallonké. Toutefois, la prolificité est plus élevée et plus variable chez les races du Sud que chez celles du Nord (ovins et caprins) et est plus grande et plus variable chez les caprins que chez les ovins. La production laitière atteint 0,3 l/j (CS) au Sénégal contre 1,5 litres en Mauritanie. La chèvre guinéenne, qui n’est pas traite au Sénégal, produit 0,9 litres (tableau II).

Complémentation alimentaire et production laitière

Complémentation alimentaire

Importance

Chaque année pendant la saison sèche, l’un des principaux facteurs de faible production des animaux élevés sur pâturage est la malnutrition due au régime alimentaire déficitaire à la fois en volume et en valeur nutritive. Ainsi, les éleveurs ont de plus en plus du mal à trouver suffisamment d’aliments, non seulement, pour maintenir leur poids mais assurer la survie des animaux.
Dans ces conditions, le recours à la complémentation est la meilleure solution pour combler ce déficit. Il consiste à apporter aux micro-organismes du rumen les substances nutritives nécessaires à leur croissance et à assurer les conditions favorables à une dégradation optimale des fibres dans le rumen (Moujahed et al., 2000). Les compléments alimentaires peuvent être présents soit sous forme simple ou composée à base d’urée, de mélasse et de minéraux (Preston, 1986 ; Alexandre et al, 2002 ; Moujahed et al., 2003 ; Zoundi et al, 2003). Ils peuvent aussi être des résidus de récolte, des sous-produits agro-industriels. Par ailleurs, l’ajout de compléments alimentaires aux rations afin de maximiser la production et d’améliorer la santé des animaux d’élevage est de plus en plus pratiqué actuellement (Desnoyers, 2008).

Produits de complémentation

Résidus de récolte

Ce sont des sous-produits issus directement des activités agricoles et qui sont regroupés en résidus de céréales (pailles de riz, de maïs, de sorgho et de mil) et de légumineuses (fanes et/ou coques d’arachides et de niébé). Les balles de mil et les rafles de maïs sont aussi utilisées.

Sous-produits agro-industriels

Tourteaux

Ce sont des résidus résultant du traitement des graines ou des fruits oléagineux en vue de l’extraction d’huiles comestibles, industrielles ou pharmaceutiques. Ils sont une importante source de protéines, d’énergie, de vitamines du groupe B et de phosphore mais ils sont déficients en calcium.
Malgré l’importance des tourteaux dans l’alimentation, leur utilisation exige certaines précautions. En effet, les mauvaises conditions de récolte et de stockage des graines d’arachide ou du tourteau, par exemple, favorisent le développement d’un champignon qui produit une toxine (aflatoxine) très dangereuse pour les monogastriques. Même si les ruminants sont relativement peu sensibles, des retards de croissance ont été observés chez les jeunes. De même, le tourteau de coton contient une toxine, le gossypol, dangereuse pour les monogastriques et les animaux pré-ruminants. Il faut donc éviter de le donner aux jeunes animaux (avant ou juste après le sevrage) et limiter les quantités chez les femelles allaitantes.

Drêches de brasserie

Ce sont des résidus solides séparés du moût liquide qui donne la bière après cuisson et addition du houblon. Les drêches favorisent la lactation surtout chez les vaches laitières. Toutefois, elles sont sensibles à l’installation des fermentations néfastes dues à la durée de stockage. Les drêches sont des aliments peu fibreux, riches en protéines mais peu énergétiques.

Mélasse

La mélasse est un aliment bon marché qui, grâce à son appétibilité, à ses sucres et à ses sels, favorise la consommation des fourrages de mauvaise qualité (Corcy, 1991). Elle est une source d’oligoéléments (Moujahed et al., 2003), de minéraux (calcium et potassium) et de soufre, substance nutritive dont manquent souvent les chèvres (Jansen et van den Burg, 2004). Elle est en outre une excellente génératrice d’énergie fermentescible rapidement disponible dans le rumen sous forme d’ATP qui permet l’utilisation optimale de l’ammoniac produit par l’urée (Carl et Kees, 2000). Elle a un pouvoir hygiénique par la désinfection du tube digestif.

Sous-produits de meunerie

Ce sont des produits alimentaires obtenus après moulinage des produits agricoles.
Il s’agit de la farine basse de riz ainsi que des sons de mil, de riz, de blé et de maïs.

Sels minéraux

Ils interviennent dans la couverture des besoins en minéraux. Les principaux éléments à apporter sont le phosphore, le sodium et certains oligo-éléments comme le cuivre, le zinc, le cobalt, l’iode, … C’est ainsi qu’il faut mettre à la disposition des animaux des pierres à lécher de façon permanente.

Produits industriels

Urée

L’urée est la source d’azote rapidement fermentescible dans le rumen générant des concentrations optimales en N-NH3 pour l’activité de la flore microbienne dont les ruminants ont besoin pour synthétiser les acides aminés (Moujahed et al., 2003). Son emploi est particulièrement intéressant en complément de fourrages pauvres en azote (paille, certains fourrages en zone subtropicale…). Son apport dans les rations à base de fourrages ligno-cellulosiques améliore la digestibilité des matières sèche, organique et azotée totale (Triki et al., 2010).

Méthionine

C’est un acide aminé obligatoire pour l’initiation de la biosynthèse et de la conservation de tout polypeptide. Il peut faciliter l’oxydation mitochondriale des acides gras à chaîne longue en contribuant à la synthèse de la carnitine.

Antioxydants

Un antioxydant est défini comme étant toute substance qui, en faible concentration par rapport au substrat susceptible d’être oxydé, prévient ou ralentit l’oxydation de ce substrat (Halliwell, 1999 cité par Pastre, 2005). On distingue les antioxydants synthétisés par l’organisme et ceux apportés par l’alimentation (Pastre, 2005).

Effets de la complémentation sur la production laitière

Concentrés à base d’urée-mélasse dans l’alimentation

Pour optimiser l’utilisation de l’urée dans l’alimentation des ruminants, Corcy (1991) a suggéré qu’il faut l’incorporer dans des blocs à lécher ou dans des aliments liquides comme les mélasses. L’urée pourrait alors aider un troupeau « débroussailleur » à valoriser les fourrages pauvres (Moujahed et al., 2003) et à maintenir les conditions favorables à la cellulolyse dans le rumen (Preston, 1986).

Effets sur la croissance

Plusieurs travaux de recherche ont montré que la complémentation des fourrages pauvres par les blocs multinutritionnels améliore la croissance des animaux. Le GMQ varie de 288 à 400 g/j et de -53 à 67 g/j, respectivement, pour les veaux de vaches ou de buffles et les petits ruminants (tableau III).
Les effets sur la croissance se remarquent aussi sur les modifications de la hauteur au garrot, du périmètre thoracique et de la longueur du corps. En effet, Ferdous et al. (2010) ont trouvé que la variation moyenne journalière de la hauteur au garrot est de 0,075 et de 0,059 cm, respectivement, pour les veaux des vaches et de buffles lorsque la paille de riz était complémentée par les blocs. Pour ce qui est de la variation du périmètre thoracique, le gain moyen du tour de poitrine est de 0,24 cm pour les veaux de vaches et de 0,30 cm pour les veaux de buffles. Les mêmes auteurs ont constaté que le gain journalier de la longueur du corps a été de 0,31 cm et de 0,36 cm, respectivement, pour les veaux des vaches et de buffles.

Effets sur la production laitière

Les effets des blocs multi nutritionnels sur la production laitière sont importants.
L’augmentation de la production laitière varie de 30% à 57,1% (tableau IV).
Chez les vaches recevant du fourrage vert (37 kg/j), Singh et Singh (2003) ont signalé qu’il est possible de remplacer jusqu’à 50% de la ration de base par de la paille (sur la base de la matière sèche) lorsque celle-ci est complémentée par les blocs, sans pour autant risquer de grandes variations ni de la production laitière ni du poids de l’animal.
Mazed et al. (2004) avaient constaté que la supplémentation de la paille de riz par des blocs chez les vaches indigènes au Bangladesh a un effet positif sur la production laitière et les paramètres de reproduction comme l’intervalle de reproduction.

Méthionine

La méthionine est un acide aminé limitant pour la production laitière avec certains régimes (Devillard et al., 2007 ; Kudrna et al. , 2009). Le rendement laitier et la teneur protéique du lait peuvent être améliorés grâce à une supplémentation de la ration avec ses dérivés. L’ester isopropylique de l’hydroxy-analogue de méthionine (HMBi) permet d’accroître le taux protéique du lait (St-Pierre et Sylvester, 2005 cité par Devillard et al., 2007 ; Rulquin et al., 2007 ; Wang et al., 2010).
Dans la complémentation, la D, L méthionine peut être utilisée soit à l’état libre ou encapsulé. La D, L méthionine libre ou, beaucoup fréquemment, l’un de ses analogues hydroxylés a eu des effets positifs surtout sur la fraction lipidique du lait (Wang et al., 2010). Cependant, la teneur en protéines du lait était améliorée en utilisant la D, L méthionine protégée (Poljicak-Milas et Marenjak, 2007 ; Broderick et al., 2008 ; Allauddin et al., 2009 ; Flores et al., 2009 ; Kudrna et al., 2009 ; Yang et al., 2010).
En effet, Yang et al. (2010) ont remarqué que la production laitière est passée de 18,95 à 19,996 kg et les matières grasses ont augmenté de 3,05 à 3,51% durant la période d’expérimentation. Les mêmes constats ont été faits par Allauddin et al. (2009) et Kudrna et al. (2009), respectivement, pour les vaches et les buffles.
Par contre, les travaux réalisés par Poljicak-Milas et Marenjak (2007) ont montré que la méthionine n’a pas amélioré les constituants du lait de chèvre contrairement à la production. Toutefois, l’effet de la complémentation de la méthionine sur les protéines et les matières grasses du lait est important si la ration est riche en protéines (Devillard et al., 2007).
Il faut noter que la période de la complémentation chez une vache laitière a un effet important sur la production laitière. En effet, le début de la lactation était la période propice à la manifestation d’un effet favorable (augmentation de la production laitière et/ou du taux protéique) à la complémentation en méthionine (Rémond et al., 1989 ; Rulquin, 1992 ; Schmidt et al., 1999). En effet, si la complémentation est appliquée en milieu de lactation, Rémond et al. (1989) ont remarqué qu’il n’y avait pas de modification en rapport avec la quantité de lait produite ou sa composition, les quantités d’aliments ingérées et les variations de poids vifs. Néanmoins, une réponse positive portait uniquement sur le taux protéique (Rulquin, 1992).

Antioxydants

Chez tout être vivant, il existe, en permanence, un équilibre entre les dégâts causés par les molécules oxydantes et leur réparation. Pour éviter l’apparition du stress oxydatif, il est intéressant de soutenir les défenses anti oxydantes de l’organisme pour éviter cette rupture (Pastre, 2005).
Le rôle des antioxydants chez les ruminants a été à la base de plusieurs recherches. En effet, les antioxydants préviennent la formation des radicaux libres en plus de la diminution du stress oxydatif et de l’augmentation de l’immunité (McDowell, 2002 ; Pastre, 2005 ; van Ryn, 2009). Les apports exogènes semblent les plus faciles à réaliser par des apports de compléments alimentaires (Pastre, 2005).
Ils déterminent une qualité du lait caractérisée par une absence de germes, peu de cellules somatiques et l’absence de caillots (Weiss, 2009 ; Zhao et Lacasse, 2008). D’une façon générale, les antioxydants améliorent la santé de la femelle et la qualité du lait (tableau V).

Milieu et période d’expérimentation

La présente étude a été menée à la ferme de l’EISMV de Dakar située à Keur N’diaye Lô dans la zone des Niayes durant la période de juin 2011 à avril 2012. C’est une zone caractérisée par une température moyenne de 24,9°C, une humidité relativement élevée (55%) et une pluviométrie annuelle moyenne de 620 mm.

Animaux et procédure d’expérimentation

Au total, 53 chèvres adultes (2,5 ans) et 15 boucs de la race Sahel ont été achetés auprès de groupements d’éleveurs. Dès leur arrivée à la ferme, ils ont été identifiés par des boucles, déparasités, pesés et vaccinés contre la Peste des Petits Ruminants (PPR), l’entérotoxémie et la pasteurellose. Nous avons également déterminé leur âge par la méthode de la dentition et toutes les chèvres étaient soumises à un diagnostic de gestation par l’échographie avant leur achat.

Conduite de la reproduction

Dans le but de regrouper les mises -bas, les boucs sont restés séparés des chèvres et la méthode des éponges vaginales a été mise en œuvre pour la synchronisation des chaleurs deux mois après l’arrivée des animaux. Cette méthode consistait à introduire au fond du vagin des chèvres une éponge contenant 45 mg d’acétate de fluorogestone (FGA) au moyen d’un applicateur. Le retrait des éponges a eu lieu à J11, juste 2 jours après l’administration d’une dose de 1,6 ml de gonadotropine sérique (PMSG) et de 0,2 ml d’estrumate à chaque femelle. 48 heures après le retrait des éponges, les femelles ont été mises aux boucs et les saillies ont été contrôlées.

Conduite alimentaire et dispositif expérimental

Avant la synchronisation, les chèvres et les boucs étaient nourris de la paille à volonté et recevaient un complément de 300 g/animal/jour de tourteaux d’arachide et de son de blé dans les proportions respectives de 1/3 et 2/3. Après la synchronisation, les chèvres et les boucs étaient conduits au pâturage de 10 h à 17 h et abreuvés au retour. L’eau et les blocs à lécher étaient servis ad libitum. Au lendemain de la mise bas, chaque chèvre était directement stabulée dans un box individuel de 0,66 m x 3 m (figure1).
Figure 1 : Chèvre stabulée dans un box individuel (source : auteur)
La répartition se faisait de façon aléatoire et alternativement dans l’un des deux lots (lots 1 et 2) auxquels nous avons affecté deux régimes de complémentation alimentaire combinant différemment le son local de riz, le tourteau d’arachide, la mélasse, l’urée et le complexe antioxydant-méthionine (antioxydants, méthionine, sels minéraux sous forme de trace). La répartition en différents lots tenait compte du poids de la mère et de ses chevreaux, le sexe et le nombre de chevreaux. Les effectifs et les régimes alimentaires correspondant aux différents lots sont décrits dans le tableau VI.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
Chap. I. Elevage caprin au Sénégal
I.1. Cheptel caprin
I.1.1. Races caprines du Sénégal
I.1.1.1. Chèvre guinéenne ou chèvre Djallonké (CD)
I.1.1.2. Chèvre du Sahel (CS)
I.1.2. Effectifs et évolution
I.2. Systèmes d’élevage
I.2.1. Système pastoral
I.2.2. Système agropastoral
I.3. Performances de reproduction des caprins du Sénégal
Chap. II. Complémentation alimentaire et production laitière
II.1. Complémentation alimentaire
II.1.1. Importance
II.1.2. Produits de complémentation
II.1.2.1. Résidus de récolte
II.1.2.2. Sous-produits agro-industriels
II.1.2.2.1. Tourteaux
II.1.2.2.2. Drêches de brasserie
II.1.2.2.3. Mélasse
II.1.2.2.3. Sous-produits de meunerie
II.1.2.3. Sels minéraux
II.1.2.4. Produits industriels
II.1.2.4.1. Urée
II.1.2.4.2. Méthionine
II.1.2.4.3. Antioxydants
II.2. Effets de la complémentation sur la production laitière
II.2.1. Concentrés à base d’urée-mélasse dans l’alimentation
II.2.1.1. Effets sur la croissance
II.2.1.2. Effets sur la production laitière
II.2.2. Méthionine
II.2.3. Antioxydants
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
Chap.III. Matériel et méthodes
III.1. Milieu et période d’expérimentation
III.2. Animaux et procédure d’expérimentation
III.2.1. Conduite de la reproduction
III.2.2. Conduite alimentaire et dispositif expérimental
III.3. Collecte et analyse statistique des données
III.3.1. Collecte des données
III.3.1.1. Pesées et notation d’état corporel des animaux
III.3.1.2. Production laitière
III.3.1.3. Analyses physico-chimiques du lait
III.3.1.3.1. Dosage de la matière grasse (MG)
III.3.1.3.2. Dosage de la matière azotée (PB)
III.3.1.3.3. Dosage de la matière sèche (MS) et des matières minérales (MM)
III.3.2. Analyse statistique des données
Chap. IV. Résultats et discussion
IV.1. Résultats
IV.1.1. Effet de la supplémentation sur les performances zootechniques de la Chèvre du Sahel au Sénégal
IV.1.1.1. Effet de la supplémentation sur la production laitière (PL), le Gain Moyen Quotidien (GMQ) et la Note d’Etat Corporel (NEC) de la Chèvre du Sahel au Sénégal
IV.1.1.2. Effet de la supplémentation sur la consommation alimentaire (CA) et l’indice de consommation (IC) chez la Chèvre du Sahel au Sénégal
IV.1.2. Effet de la supplémentation sur la composition physico-chimique du lait de la Chèvre du Sahel au Sénégal
IV.1.3. Effet de la supplémentation sur l’évolution pondérale et le GMQ des chevreaux sahéliens au Sénégal
IV. 2. Discussion
IV.2.1. Performances zootechniques des Chèvres du sahel au Sénégal
IV.2. 2. Effet de la supplémentation sur la composition physico-chimique du lait chez la Chèvre du Sahel au Sénégal
IV.2.3. Performances zootechniques des chevreaux du Sahel au Sénégal
Recommandations
Conclusion
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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