décisions du conseil d’UFR

décisions du conseil d’UFR

Pour des raisons techniques, les comptes-rendus ont été envoyés tard et en grand nombre. Afin de laisser aux conseillers le loisir de les lire complètement, le directeur propose de remettre leur discussion au prochain conseil. En l’absence de demande de modification, ils seront réputés adoptés. o Informations diverses :  publications de postes, état de l’enquête diplômes, taux de réussite : La discussion sur ces sujets est reportée au conseil d’UFR du 18 mars, qui devra établir un bilan des besoins pédagogiques de l’UFR pour orienter les recrutements de la commission de spécialistes.  Votes des statuts de l’université Le CA de l’université a voté hier lundi 21 janvier le titre III des nouveaux statuts de l’université à une large majorité (34 voix pour, 13 contre). Ces statuts sont le résultat d’un important travail mené dans le cadre d’une commission pluraliste ad hoc, puis (après diffusion à tous les personnels durant les congés de Noël) au sein de la commission de statuts. Les acquis important de ce travail tiennent à la définition de la géométrie des conseils (le conseil d’administration aura 30 membres soit le maximum prévu par la loi), du corps électoral (chez les enseignants-chercheurs, ce sont les disciplines et non plus les composantes qui constituent les sous-collèges), et surtout des compétences des conseils.

En particulier, le CEVU est consulté sur la pédagogie et la vie universitaire et le CS s’impose comme administrateur des moyens de la recherche, mais aussi comme régulateur des carrières des enseignants-chercheurs, de la même manière que le Comité Technique Paritaire régira les carrières des BIATOSS. Ces dispositions permettent d’encadrer le pouvoir présidentiel fortement accru par la loi du 10 août 2007 (dite LRU) : bien qu’il ne s’agisse pas à proprement parler de contre-pouvoirs, au moins les modalités d’une gouvernance transparente et démocratique sont dessinées par les nouveaux statuts. Le CA est convoqué le 4 février prochain pour voter le reste des statuts. A partir de là, le processus d’élection des nouveaux conseils aboutira à un scrutin le 10 avril…  conseil du SGEL (service général des langues) et élection du directeur Mardi 15 janvier, Ghalib Al-Hakkak, administrateur provisoire du SGEL a été élu directeur sur un programme conforme aux demandes récurrentes des élus étudiants au conseil d’UFR : plus de langues disponibles, TD de langue véhiculaire organisés en groupes de niveaux transversaux, mention du niveau sur les relevés de notes… C’est l’opportunité de voir les revendications sur l’enseignement des langues enfin satisfaites et le niveau en langues de nos étudiants amélioré par une utilisation plus efficace des moyens. o Passage en apprentissage du Master TIDE Le service de la pédagogie a demandé la régularisation du basculement en apprentissage d’une partie des étudiants du Master TIDE.

La maquette est inchangée, mais l’emploi du temps a été modifié du fait que les étudiants sont d’abord des salariés. La maquette présentée par Marie Cottrell détaille les modalités de fonctionnement de la spécialité, en particulier l’encadrement spécifique des étudiants par des tuteurs, voir Annexe I. Le projet est voté à l’unanimité moins deux abstentions (dont une par procuration). o RI : accueil des étudiants séoudiens. La présidence de l’Université a communiqué une lettre d’intention qui fait état d’un projet d’adaptation de diplômes de l’université pour recevoir des étudiants saoudiens boursiers de leur gouvernement (voir Annexe II). Le dispositif prévu articule des années de formation à la langue française et des années de formation disciplinaire. L’opportunité de développer un projet spécifique apparaît improbable pour l’UFR d’économie qui a déjà mis en œuvre des diplôme « passerelle » pour permettre l’accompagnement vers la francophonie. Suite à ce débat, le conseil de l’UFR vote à l’unanimité une demande d’information sur les DU passerelles en vue de publier le bilan de leur fonctionnement, tant du point de vue des ressources que des résultats. Le directeur précise que cette publicité est normalement organisée par le CEVU. o Jury unique en Licence et M1 Afin d’harmoniser les délibérations, le directeur propose un jury unique par année de licence.

Après un débat il est convenu que les délibérations se tiendront sous la conduite de responsables de divisions qui appliqueront des critères identiques afin de sélectionner les étudiants dont le cas nécessite une attention particulière. La seconde partie de la délibération réunira les responsables de division sous la présidence de l’un d’entre eux (de fait président de jury) pour régler les difficultés repérées au préalable. Il semble souhaitable que le directeur des études assure la continuité harmonieuse entre les jurys de L1 et L2. o Calendrier des équivalences et opération publicitaire, Afin d’éviter l’engorgement observé l’an dernier, le directeur propose un nouveau calendrier des opérations d’admission (cf. annexe III). Sarah Zerbib communique les observations de Sylvie Villa relatives à l’étalement des candidatures pour éviter un engorgement du bureau des équivalences. Il est précisé que ce dispositif n’exclut pas des candidatures hors délai mais il faut pouvoir répondre assez tôt aux étudiants et donc solliciter un dépôt anticipé des dossiers. A cette fin il paraît souhaitable d’envisager une opération de communication.

 

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