Echantillonnage pendant les descentes sur terrain

Echantillonnage pendant les descentes sur terrain

Ce chapitre consiste à analyser les aspects sociologiques, au niveau de la société concernant la dimension sociale. Nous allons décrire l’étude de pensée des auteurs sociologiques, comme KARL MARX et Emile DURKHEIM, l’étude de la réalité sociale s’explique de plusieurs façons. K.MARX est un sociologue qui a fait des recherches sur l’étude des classes. Dans sa propre réflexion, il définit la classe sociale comme étant « un ensemble d’Hommes caractérisé par la place qu’ils tiennent au sein du système de production ». C’est le sens le plus souvent utilisé. Les classes entretiennent entre elles des rapports de production qui représentent l’ensemble des liens économiques et sociaux.

Dans son ouvrage, il définit aussi la classe en deux : En premier : « une classe est la conscience de classe », c’est-à-dire le sentiment d’appartenir à un groupe ayant des intérêts communs. Le second est défini « par les rapports conflictuels qu’elles entretiennent avec les autres classes car il existe un rapport de conflits causé par l’opposition entre le prolétariat et la bourgeoisie. Il existe un rapport de domination et d’exploitation entre les travailleurs et les propriétaires du capital. C’est pour cette raison que nous nous référons à l’observation et à l’analyse de l’environnement social, pour connaitre la structure sociale en milieu rural concernant la société rurale malgache. dépend de la réflexion des auteurs sociologiques. Donc, les spécialistes dans ce domaine sont nombreux : par exemple, le sociologue français Emile Durkheim2.

Etude des faits sociaux, selon DURKHEIM

Emile Durkheim, est le père de la sociologie française, né en 1858 et mort en 1917.Du point de vue intellectuel, c’est lui qui a fondé la sociologie en tant que discipline scientifique, auteur d’un ouvrage intitulé « Règles de la méthode méthodologique », il pense que le sociologue doit étudier les « faits sociaux » et les porter comme objet pour fonder une science. Selon sa propre réflexion, il définit les faits sociaux, comme manières de penser, d’agir et de sentir qui existe en dehors des consciences individuelles et qui sont dotées d’un pouvoir de .coercition en vue de suivre un acte susceptible d’être exercé sur l’individu. Donc de cette définition, l’étude d’un fait social est expliquée d’une manière objective, et est caractérisée par les forces extérieures. Pour cette raison, il faut traiter les faits sociaux comme des choses. Durkheim dit aussi que le sociologue doit pouvoir être extérieur à son sujet d’étude, s’il veut que son travail soit scientifique. A partir de cette indication, nous pouvons avoir la tendance d’exercer une action basée sur des phénomènes sociaux, laquelle est une construction de l’esprit, c’est-à-dire constitution d’idée, d’hypothèse. Par contre, il explique que nous venons du dehors, elles ne peuvent pénétrer en nous qu’en s’imposant, donc nous avons toujours besoin de tous les éléments étrangers menés par les forces extérieures.

De plus, les faits sociaux désignent à peu près tous les phénomènes qui passent à l’intérieur. Cela veut dire que l’homme ne peut vivre au milieu des choses sans se faire des idées dans lesquelles il règle sa conduite. Un fait social n’est expliqué que par un autre fait social. Donc, pour Durkheim les démarches nécessaires pour que le sociologue arrive à comprendre les faits sociaux consiste en ce qui suit : • Le sociologue ne peut se contenter d’interroger l’individu sur ses motivations, il ne doit pas non plus les expliquer en accordent une place prépondérante à des faits étrangers, puis il affirme au contraire que « la cause déterminante d’un fait social doit être cherchée parmi les faits sociaux antécédents » ; alors, la vision portée par Durkheim est totalement contraire à celle de Max Weber, car il dit que, pour l’individu, le fait social est provoqué par la force antérieure d’une manière subjective.

Historiquement, le terme « développement durable » a été utilisé pour la première fois en 1987, dans le rapport intitulé « Notre avenir à tous » publié par la commission mondiale pour l’environnement et le développement. Mais depuis la conférence de Rio en 1992, le concept du développement durable doit encadrer la coopération internationale, comme les politiques nationales et locales de développement. Ce concept fait la promotion d’un compromis nécessaire entre la nécessité de préserver l’environnement des excès des activités humaines et le droit à un épanouissement économique et social des populations selon cette figure : D’une autre façon théorique, par rapport à sa mise en œuvre après la définition proposée par le rapport Brundtland en 1987, pour un concept c’est-à-dire « le développement durable », sa signification s’explique par deux interprétations : la durabilité faible et aussi la durabilité forte. Pour plus de détails, il est utile de connaitre les éléments importants qui déterminent les différences. Cela se fait à partir des objectifs qui sont les véritables piliers du développement durable.

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