LA CONTRIBUTION CHINOISE DANS L’EVOLUTION ECONOMIQUE

LA CONTRIBUTION CHINOISE DANS
L’EVOLUTION ECONOMIQUE

 LE BREF RAPPEL DES RELATIONS SINO-SENEGALAISES 

Bien avant l’époque du christianisme, les pays africains étaient en contact permanent avec les Chinois jusqu’à l’arrivée des Européens au XV Emme siècle en Afrique pour interrompre quasiment tous les liens amicaux entre ces deux parties du monde. Ces deux continents se retrouveront officiellement à partir des années 1950 à l’occasion de la conférence des non-alignés à Bandung en 1955. Cette rencontre a permis aux nations asiatiques de nouer des relations diplomatiques avec les pays africains nouvellement indépendants comme l’Egypte, de soutenir les mouvements d’indépendance et le développement de certains pays du sud par des assistances agricoles, médicales et infrastructurelles comme le Sénégal. Ce dernier pays a réussi à nouer des relations diplomatiques stables de manière définitive qu’à partir de 2005 avec l’empire du Milieu.

 Les premiers contacts 

Les relations sino-africaines ont une longue histoire car, elles remontent au II Emme siècle avant Jésus christ26. Cependant, leurs véritables interactions ont eu lieu lors du voyage de découverte de l’amiral Zheng He, qui est venu avec ses 317 navires pour accoster sur les cotes d’Afrique Australe notamment au Somalie, à Zanzibar, au Kenya … Cette navire était composé de commerçants, d’historiens, de géographes et de médecins dont chacun avait une mission à faire à travers leur voyage. Après ces succincts contacts entre ces deux contrées, les Chinois fouleront de nouveau le sol africain au XV Emme siècle par le biais des Occidentaux pour travailler dans les chantiers de minerais et la construction du chemin de fer MombasaKampala. Ces immigrés étaient promis à un emploi et une vie meilleure c’est pour cela qu’ils y sont retrouvés en masse. Jadis, jusqu’au XIX Emme siècle, l’empire du Milieu n’était pas libre de ses rapports avec les autres coins du monde car, miné par les conflits fratricides et les Occidentaux dont chacun cherche une portion de terre à exploiter. Toutefois, les efforts étrangers étaient sans conséquences majeures car les communistes de Mao Zedong ont réussi à rétablir l’ordre sans coups féries en délocalisant les étrangers afin de siège au pouvoir le 1er octobre 1949. Une fois arrachée la victoire aux mains des nationalistes qui étaient obligés de fuir vers l’ile de Formose, les communistes demeurent sous la conduite d’une nouvelle classe politique qui prône un socialisme pur et dur dans sa relance économique à travers les différents plans 26 Enda cacid « la chine et l’Afrique, les faits et chiffres, évaluation des relations commerciales, de l’investissement et de l’aide publique au développement », Dakar, Sénégal, Novembre 2012, 93p. 22 quinquennaux, la campagne des cent fleurs et le grand bon en avant …Avec Mao, c’est la Chine pour les Chinois et non pas la Chine pour tout le monde. A cette époque, le peuple chinois s’intéressait peu aux alliances et coopérations avec l’Afrique surtout le Sénégal. C’est à travers la conférence de Bandung, organisée en 1955 en plein guerre froide sur l’initiative des cinq pays non-alignés du Tiers monde à savoir l’Inde, le Pakistan, la Birmanie, l’Indonésie et Ceylan que les pays d’Asie plus particulièrement la Chine a eu la volonté et l’audace d’aider et soutenir ses frères africains et sud-américains27. En effet, c’était la première conférence de portée internationale à l’absence des Etats Unis, l’union soviétique et l’Europe à en croire Adama GAYE dans son livre intitulé : « Chine-Afrique : le dragon et l’Autriche : essai d’analyse de l’évolution contrastée des relations sino-africaines : sainte ou impie alliance du XXIe siècle. Ainsi, cette rencontre avait pour objectif de s’unir les peuples du Tiers monde et de rompre avec le système colonial pour mettre en avant leurs propres directives du développement dans une coopération qui répond à des principes à savoir : la non-ingérence, le respect mutuel, le gagnant-gagnant, la non-agression mutuelle, les avantages réciproques lors des échanges, la coexistence pacifique. Cette vision matérialisée par les principes précitées constitue un tremplin pour la Chine de se rapprocher du continent noir (Ibrahima Xalil Niang, 2016, 444p). Le véritablement point de départ des relations modernes entre les pays asiatiques et ceux des pays africains fraichement autonomes comme l’Egypte d’Abdel Nasser, la Guinée de Sékou Touré et l’Algérie est le congrès de Bandung. Quant aux autres pays africains comme le Sénégal, leurs relations avec la Chine sont devenues officielles qu’en 1971 malgré leurs amitiés datant de 1964 à l’aube de l’indépendance nationale. Dorénavant, le Sénégal fut libre de mener une vie diplomatique avec n’importe quel Etat du monde notamment l’empire du Milieu, affiché sans détour à s’allier avec tous les pays sudistes désireux. 

 Les prémices diplomatiques 

La politique diplomatique chinoise envers les pays du Tiers monde n’a réussi à prendre forme qu’à partir du congrès de Bandung tenu en 1955 sur l’ile de Java. Par le biais de cette conférence, la République populaire de Chine a manifesté un grand intérêt pour l’Afrique . En effet, elle est déterminée à soutenir par tous les moyens possibles les nations sudistes qui aspirent à être libre bien avant les années 60 dans un monde secoué à l’époque par un tiraillement politique entre le bloc de l’Est, dirigé par les Soviétiques (l’URSS) et le bloc de l’Ouest, dirigé par les Etats Unis et la bande des non- alignés. Pour arriver au bout de son effort, l’empire du Milieu n’a pas hésité un instant a procède à une politique au ras du sol, en finançant les mouvements d’indépendance, en octroyant des aides et prêts aux pays en lutte pour la libération et ceux qui sont nouvellement autonomes et refusent du coup l’Etat taiwanais et la logique des deux surpuissances de l’époque. Cette politique a permis à la Chine juste après les indépendances de contracter de coopérations sur beaucoup de demains avec pas mal de pays africains comme l’Egypte, la Guinée, le Sénégal qui est d’ailleurs la porte d’entrée en Afrique de l’Ouest et diplomatiquement puissant dans ce contrée. La Chine et le Sénégal autrefois amis depuis 1964, puis divergent quelques années suite à une irruption taiwanaise au sein du champ politique et économique du Sénégal sous la présidence de Léopold Sédar Senghor. A l’époque, Taipeh fut membre au sein du Conseil de Sécurité de l’ONU et avait une politique du chéquier. En effet, ils contractent des alliances par l’argent dépouillé des caisses chinoises lors de la guerre entre les communistes et les nationalistes avant le 1er octobre 1949. Illico presto, ressaisi de l’avantage qu’offrent ses relations diplomatiques avec la Chine, le Sénégal renoue de manière officielle ses relations avec la RPC à partir du 7 décembre 1971, l’année ou la Chine est devenue de manière officielle à son tour membre au Conseil de Sécurité de l’ONU grâce aux votes africains. Dorénavant, les visites diplomatiques surgissent de part et d’autre et Senghor se rend en Chine le 18 mai 1974 (Ibrahima Xalil Niang, 2016, 444p). Toutefois, cette relation n’a duré que quelques dizaines d’années avant d’être dissous officiellement le 3 janvier 1996 en faveur de son rival moribond sur l’ile. C’est sous le président Abdoulaye Wade que le Sénégal a noué de relations diplomatiques définitives avec la Chine. A ce sujet, son ministre des Affaires étrangères Cheick Tidiane GADIO avait avancé : « qu’il est content pour le Sénégal qui a pu faire la justice à place ». Depuis lors, les actes diplomatiques surgissent à travers les visites d’hautes autorités de part et d’autre, les échanges et investissements s’intensifient et les coopérations 28 La république populaire de Chine comme partenaire au développement de l’Afrique. 24 voient le jour dans divers domaines ainsi que les échanges d’ambassadeurs et les rencontres internationales comme le Forum sur la coopération sino-africaine(F.O.C.A.C). En somme, les premiers contacts sont presque matérialisés qu’à partir de la conférence de Bandung et surtout après l’indépendance de certains pays africains comme le Sénégal. L’autonomie de ce dernier pays fut marquée par sa liberté politique, économique, culturelle c’est ce qui lui a poussé d’ailleurs de mener une vie diplomatique avec la Chine de manière discontinue depuis l’aube des indépendances jusqu’en 2005. A compter de cette date jusqu’à nos jours, leurs alliances demeurent sans failles. Toutefois, la diplomatie chinoise est réussie au « pays de téranga» par une politique d’insertion par divers moyens et voies aux activités locales. D’ailleurs, ces politiques d’insertion font l’œuvre du chapitre suivant.  

LES DIVERSES FORMES D’INSERTION CHINOISE AU NIVEAU LOCAL

La politique d’ouverture chinoise à l’extérieur notamment au Sénégal est sans doute une politique bien structurée qui obéit à des normes et étapes en l’occurrence les coopérations dans les différents domaines et rencontres comme les conférences et visites de hautes autorités de part et d’autre dès le début du second moitié du XX e siècle . 

 Les différents domaines de la coopération

 La Chine a longtemps manifesté des intérêts pour l’Afrique. A titre d’exemple, elle n’a pas hésité d’user de tous les moyens possibles pour arriver à ses fins, en organisant des conférences comme celle de Bandung en 1955 et visites de hautes personnalités chinoises en terre africaine comme au Sénégal surtout avec l’indépendance de ce dernier. C’est avec l’avènement des indépendances que les pays africains ont commencé à établir des relations diplomatiques avec cette puissance asiatique dans tous les secteurs29.Ainsi, l’Egypte est le premier pays à avoir échangé des Ambassadeurs avec la Chine en 1956 sous la présidence d’Abdel Nasser tandis que le Sénégal ne s’alliera avec l’empire du Milieu qu’en 1971. En s’adossant de cette alliance, le fils céleste multiplie ses pas dans le continent et s’efforce à développer des relations de partenariat stratégique global avec le Sénégal. Pour mieux s’insérer localement, elle augmente ses échanges de haut niveau et collabore avec le Sénégal sur plusieurs domaines dont la politique. Sur ce plan, les premiers présidents du Sénégal visitèrent la Chine tandis que de hautes personnalités chinoises foulèrent le sol sénégalais comme Li Zhaoxing. D’ailleurs, c’est lors de la visite de ce dernier par le biais de la coopération, une dette sénégalaise de 10 milliards de FCFA fut annulée pour respecter les engagements du gouvernement chinois pris lors du Forum sur la coopération sino-africaine de 200630 . Par ailleurs, leur coopération économique fut surtout matérialisée par l’assistance chinoise au Sénégal, en l’octroyant quatre importants crédits sans intérêts, destinés à la réalisation de plusieurs infrastructures dont le stade de l’amitié par l’entreprise chinoise (Hainan China) installée au Sénégal à l’aube des indépendances. A cette prestation s’ajoute, un soutien financier du gouvernement de la République populaire de Chine à la République du Sénégal pour la lutte contre le paludisme. A titre d’exemple, dans le cadre du 29 DIOP, Moustapha sokhn, A La République populaire de Chine comme partenaire au développement de la République du Sénégal : Enjeux et perspectives, E N A-BREVET ENA 2007, 38 p 30NIANG, Ibrahima Xalil : « Les relations entre le Sénégal et la Chine : Contexte, Enjeux, et Perspective », Dakar, le 19 décembre 2016, 444p. 26 programme national de lutte contre le paludisme, le soutien de l’empire du Milieu avait beaucoup amoindri le taux de mortalité dû au paludisme (Ibrahima Xalil Niang). Ainsi, le domaine sanitaire fut touché grâce à leur coopération dont les accords sont immédiatement suivis par l’envoi d’une équipe médicale appelée : « les médecins aux pieds nus » pour la lutte contre les maladies tropicales qui décimaient les populations sans défense sanitaire. Outre, de 2006 à 2010, le gouvernement du Sénégal avait bénéficie de Pékin de l’organisation et du financement d’un séminaire de formation des hauts fonctionnaires du ministère de la santé en Chine dans le cadre de la lutte contre le malaria de 0,22 millions d’euros mise à leur disposition pour l’acquisition de centaines de milliers de l’artémises pour le traitement du paludisme31 . Parallèlement à ces coopérations pré listées, une autre s’avère être indispensable pour l’insertion chinoise au Sénégal en l’occurrence l’éducation .Ce secteur constitue vraiment un tremplin pour la collaboration entre l’empire du Milieu et le « pays de la téranga ». Ainsi, la Chine participe à la formation des jeunes sénégalais par l’octroi de bourses d’étude aux étudiants et chercheurs sénégalais. En plus de ces offres, par le biais de la coopération, elle a institué un institut Confucius au sein de l’Université CHEICK ANTA DIOP de Dakar (UCAD) permettant aux étudiants et chercheurs de suivre des cours en langue chinoise32 . Les coopérations culturelles et sportives ont été aussi des domaines vitaux et inéluctables pour l’intégration chinoise au Sénégal avéré par les gestes chinois matérialisés par l’édification des stades et le musée des civilisations noires. Ces différentes formes de coopération constituent certes des moyens pour l’empire du Milieu d’accéder dans les divers secteurs d’activités des pays alliés. Toutefois, elles sont décidés lors des rencontres d’une part entre les pays du Tiers mondes et d’autre part entre la Chine et ces Alliés sudistes notamment la Cote d’ Ivoire, le Sénégal, L’Ethiopie… 

La conférence de Bandung et le Forum sur la coopération sino-africaine 

La conférence de Bandung 

Cette conférence des nations afro-asiatiques avait réuni les nations à savoir : la Birmanie, le Cambodge, la République populaire de Chine, l’Egypte, l’Ethiopie, la Cote de l’or, l’Iran, le Japon, la Jordanie, le Laos, le Liban, le Liberia, la Libye, le Népal, les Philippines, l’Arabie Saoudite, le Soudan, la Syrie, Siam, la Turquie, la République populaire du Vietnam, l’Etat du 31 NIANG, Ibrahima Xalil, op, cit, le 19 décembre 2016, 444p 32 Idem 27 Vietnam et Yémen33.C’était le premier congrès de portée internationale à l’absence des Etats –Unis, de l’Union Soviétique et l’Europe34 . Ainsi, lors de cette tribune, les représentants afro-asiatiques ont étudié le rôle de l’Asie et l’Afrique et ont examiné les moyens grâce auxquels les peuples des pays représentés peuvent réaliser des coopérations économiques, culturelles et politiques les plus étroites. Economiquement, les pays participants reconnaissent unanimement la nécessité urgente d’encourager le développement en leur sein par l’adoption de décisions primordiales pour la croissance économique commune. Parmi les directives retenues par cette rencontre nous avons : le désir général d’une coopération économique sur la base des intérêts mutuels, le respect de la souveraineté nationale, la nécessité d’une coopération avec les pays en dehors de la zone afro-asiatique y compris les investissements des capitaux étrangers, la décision de s’accorder une assistante technique dans toutes les mesures du possible sous forme : d’expertise, de projets pilotes, d’établissement, d’instituts de recherche et de formation nationale. C’est dans cette perspective, que les Instituts Confucius sont institués dans pas mal de pays sudistes. L’établissement sans retard d’un Fonds des Nations Unies pour le Développement Economique ainsi que l’allocution par la Banque Internationale de Reconstruction et du Développement d’une plus grande partie de ces ressources aux pays afro-asiatiques, font partir des décisions prises lors de la tribune de Bandung. En effet, ils reconnaissent la nécessité vitale de stabiliser le commerce des marchandises dans la zone. De surcroit, lors de la conférence le secteur culturel n’était pas épargné par ces décisions comme la coopération culturelle entre les pays frères ainsi que la lutte contre le racisme et la promotion de leurs cultures longtemps déchirées et méprisées par les cultures occidentales. Bandung avait surtout pour objectif de s’unir les peuples du Tiers monde et de rompre de façon définitive avec le système colonial pour mettre en avant leurs propres directives de développement qui obéissent à des normes notamment la non-ingérence, le respect mutuel des souverainetés nationales, la non-agression, la réciprocité des avantages dans les contrats et la coexistence pacifique (Adama GAYE, 2016, 444p). L’issue de cette rencontre débouche sur l’appel à l’aide des pays asiatiques à l’Afrique. C’est dans cette perspective qu’affirme le premier ministre indien de l’époque Jawaharlal Nehru : « Je pense qu’il n’y a rien de plus terrible que l’immense tragédie qu’a vécue l’Afrique depuis plusieurs siècles tant du point de 33 www.cvce.eu 34 Au moment de la conférence, l’Europe, les états unis et union soviétiques se consacré au rivalité est-ouest entre le bloque de L’ URSS et le bloque des Etats unis. Cette rencontre concerné surtout les pays non alignés en l’occurrence le tiers monde. 28 vue raciale que politique. », avant d’ajouter : « Il appartient à l’Asie d’aides l’Afrique au mieux de ses possibilités car nous sommes des continents frères  ». Autrement dit, longtemps victimes racialement et politiquement par les Occidentaux, il incombe aux pays non-alignés autonomes d’aider les pays africains de se départir du joug colonial. Pour bien mener ce combat, les peuples afro-asiatiques comptent faire respecter à tout un chacun les principes fondamentaux des droits de l’homme tels qu’ils sont définis dans la charte des Nations Unies et appuyer totalement le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et leur liberté. Toutes ses décisions ainsi que leur application dans une coopération transparente dont chacun trouve pleinement ses intérêts ont permis le contact de ces peuples partout dans leurs interactions dans les divers domaines prioritaires. Cependant les relations entre l’Asie et l’Afrique de même l’Afrique et la Chine furent plus visibles par le biais de Zhou Enlai. Il fut un homme célèbre du parti communiste chinois et il s’était rendu en Afrique au début des années 1964 après le congrès pour mener une politique de reconnaissance chinoise sur la scène internationale. Ainsi parmi les pays visités nous avons : l’Algérie, l’Ethiopie, le Ghana et plus tard le Sénégal sous le président Léopal Sédar SENGHOR36 . Par ailleurs, un notre moyen de rapprochement chinois à l’Afrique fut nécessaire pour la diplomatie jaune. C’est en ce sens, qu’ils ont initié le Forum sur la coopération sino-africaine à l’an 2000 qui sera détaillé aux pages suivantes. 

Table des matières

 DEDICACES
REMERCIEMENTS
SIGLES ET ABREVIATIONS
SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : HISTORIQUE DES RELATIONS SINO-SENEGALAISES
CHAPITRE I : LE BREF RAPPEL DES RELATIONS SINO-SENEGALAISES
CHIPATRE II : LES DIVERSES FORMES D’INSERTION CHINOISE AU NIVEAU LOCAL
DEUXIEME PARTIE : LES FORMES ET LES SECTEURS ECONOMIQUES DU SENEGAL
SOUTENUS PAR LA CHINE
CHAPITRE I : LES FORMES DE SOUTIEN
CHAPITRE II : LES SECTEURS D’ACTIVITES DU SENEGAL SOUTENUS PAR LA CHINE
TROISIEME PARTIE : LE MOTIF DE LA CONTRIBUTION CHINOISE DANS L’ECONOMIE
DU SENEGAL
CHAPITRE I : LA PLACE PRIMORDIALE DU SENEGAL DANS LA DIPLOMATIE ET LES
AFFAIRES CHINOISES
CHAPITRE II : LES RETOMBEES CHINOISES DANS LES DEUX DIFFERENTS DOMAINES
DE LA COOPERATION : LE COMMERCE ET L’INVESTISSEMENT
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES

 

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