LA CRISE ET LE DECLIN DES ADMINISTRATIONS TRADITIONNELLES DANS LES PAYS DU TIERS-MONDE 

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L’OBSERVATION IN SITU

C’est une méthode qui permet une immersion dans le groupe pour étudier et comprendre les phénomènes dont nous voulons rendre compte. Nous l’avons appliqué avec notre institution d’accueil.
Pour notre cas spécifique, l’observation s’est présentée sous trois (03) formes :

L’implication contrôlée

Le problème de toute observation, nous dit Anne Ancelin- SCHUTZENBERGER, spécialiste du psychodrame est que «l’observateur doit être objectif et impliqué sans s’engager affectivement. Lorsque nous parlons de la relation de l’émotion et de l’engagement de l’observateur avec une observation adéquate à ce qui se passe, il ne s’agit, bien entendu, ni d’émotion névropathique, ni d’émotion incontrôlée qui submerge le sujet qui observe mais de sa présence à la situation, de son existence dans la situation… Il s’agit d’être impliqué sans s’impliquer… , d’avoir une attitude qui consiste en une sorte d’implication contrôlée assurant à la fois (et c’est là le paradoxe de la méthodologie en Sciences Humaines) l’indispensable présence de l’observateur en groupe en lui ménageant une certaine distance à son égard29».

La capacité d’empathie

L’empathie est la sympathie intellectuelle par laquelle nous sommes capables de comprendre le vécu de quelqu’un d’autre sans l’éprouver pour autant de façon réelle dans notre propre affectivité. Elle est différente de la sympathie qui est une identification quasi émotionnelle. Pour Carl Roger, ce terme indique la capacité de s’immerger dans le monde subjectif d’autrui, de participer à son expérience dans toute la mesure où la communication verbale et non verbale le permet…, de capter la signification profonde des paroles de l’autre bien plus que de répondre à leur contenu intellectuel…, il s’agit d’une sensibilité altérocentrique … d’une sensibilité sociale … d’une réceptivité aux réactions d’autrui … d’une participation à l’expérience d’autrui sans se limiter aux aspects purement émotionnels d’une appréhension de l’expérience à partir de l’angle de la personne qui l’éprouve… tout en demeurant émotionnellement indépendant.30

L’attention aux formes comportementales et au contexte

L’observateur doit comprendre le contexte situationnel tel qu’il est vécu par les sujets observés, car, comme le dit P. FRAISSE « une situation est toujours relative à l’individu qui est en situation … La « vision propre » du sujet reste toujours une variable importante. Le sujet interprète toujours la situation et particulièrement les intentions de l’observateur; il est donc important que ce dernier soit toujours attentif à envisager la situation non à son point de vue mais à celui du sujet.31»

LE DEROULEMENT DE L’ENQUETE

Le type d’enquête qui semble le plus approprié à notre étude est l’enquête d’analyse ou de diagnostic, car elle permet de chercher la réponse à une question pratique.
Le planning que nous avons effectué dans le cadre de ce travail s’est étalé sur une période de seize (16) mois. Ceci nous a permis de mettre en branle les méthodes et techniques avec les lesquelles les investigations ayant abouties au recueil des données effectuées en vue d’appréhender l’objet d’étude.
Ainsi, les travaux de terrain que nous avons effectués se sont déroulés essentiellement avec les animateurs d’Enda Jeunesse-Action d’une part, et certains de ses partenaires d’autre part, dont nous avions fait les cibles de notre étude.

La phase de la pré-enquête

Etant un des responsables du club EVF (Education à la Vie Familiale) dans le CEM où nos exerçons, l’idée de travailler sur les ONG comme sujet de Mémoire de Maîtrise nous a intéressé dès que nous avons eu notre Licence en Sociologie.
Pour nous y aider, nous avions consacré assez de temps à faire ce que nous avons appelé une « phase d’imprégnation ». Elle a consisté : d’une part, à partir du mois de juillet 2003 à nous rendre sur le terrain pour rencontrer des responsables d’ONG, discuter avec eux de leurs préoccupations, de la vie de leur organisation, des relations qu’elles entretiennent avec leur environnement…D’autre part, à rencontrer certains chercheurs spécialistes de ces questions. Nous avions consacré les mois de juillet, août et septembre 2003 à nous préparer à mieux cerner le sujet par la tenue d’entretiens exploratoires et la poursuite de la recherche bibliographique.
Il nous fallait alors faire le point de nos lectures et entretiens exploratoires afin de choisir une problématique de recherche c’est ce que nous fîmes avec la présentation d’un projet de recherche.
En outre, nous avions également élaboré des outils méthodologiques, qui pendant cette phase ont été testés sur le terrain avec une dizaine de cibles dont quatre avec le guide d’entretien adressé au personnel d’Enda J-A, trois avec le questionnaire adressé à ces mêmes cibles et trois avec le guide d’entretien adressé aux populations.
Ces outils ont ensuite, après avoir été soumis à l’appréciation du directeur de mémoire, fait de l’objet de correction. Ces corrections faites, ils ont été adoptés.

L’enquête proprement dite

Nous savons que, la recherche en Sociologie implique l’exigence de rigueurs, le recours à des procédures logiques, ainsi qu’à des modes d’observation et d’analyses particulières. Parmi ceux-ci, l’enquête occupe une place de choix. Elle est une méthode d’observation permettent de saisir la réalité. Enquêter c’est poser des questions à des gens choisis d’une certaine manière afin d’être éclairé sur tel ou tel problème. L’enquête nous recommande de poser des questions précises à des individus qui sont sélectionnés au moyen de l’échantillonnage le plus approprié.

La constitution de l’échantillon

Nous avions retenu, dans le cadre de ce travail trois composantes à partir desquelles nous devions constituer un échantillon. Elles sont : le personnel d’Enda J-A, les associations et groupements travaillant avec l’ONG et ensuite la catégorie d’individus ciblés par l’institution. Ainsi, notre cible privilégiée dans le cadre de cette étude était constituée par le personnel d’Enda J-A. Ces seize (16) membres ont fait l’objet de plusieurs entretiens individuels comme de groupe. En outre, vingt (20) sur les cent cinquante (150) associations et groupements partenaires ont été interrogés sur cette catégorie. La technique d’échantillonnage qui nous a semblé la plus appropriée est l’échantillonnage boule de neige. Ceci du fait que dans beaucoup de cas en raison de l’intérêt que présentait certaines personnes vers qui des enquêtés nous orientaient, nous avions jugé nécessaire d’augmenter le nombre et nous en arrivâmes à quarante cinq (45) personnes enquêtés. Elles sont réparties comme suit : deux (2) membres par entité choisie (un responsable et un membre simple pour les quinze (15) et trois membres pour les cinq (5) autres.
Il faut également préciser que par souci de représentativité les vingt (20) associations choisies l’ont été sur la base de leurs zones d’intervention dans la région de Dakar. Celles-ci sont la Médina, Colobane, Liberté VI, les Hlm Montagne, les Parcelles assainies, Guédiawaye, Pikine, Thiaroye, Yeumbeul.
Les cinquante (50) autres personnes interrogées ne font pas partie des partenaires d’Enda J-A mais appartiennent à la catégorie d’individus ciblés par l’institution. Notre objectif en les incluant dans l’échantillon était d’explorer leurs vécus quotidiens et les stratégies qu’elles déploient pour faire face à leur situation de pauvreté.
Au total, nous avions interrogé cent onze (111) personnes qui ont été mises en confiance et placé dans une situation assez favorable pour que l’on puisse espérer avoir une connaissance objective dans ce présent travail. Très souvent d’ailleurs, nous analysions leurs propos en même temps que nous les recueillions. Ce mode correspondait à notre option méthodologique qui reposait principalement sur le qualitatif.

Le déroulement de l’enquête proprement dite

L’enquête proprement dite s’est déroulée à partir des contacts que nous prîmes avec des personnes ressources mais aussi quand nous avons commencé à administrer les entretiens et les questionnaires.
Pour un premier contact nous avions commencé par remettre des questions aux personnels de l’institution. Après avoir exploiter ces outils de recueil de données quantitatives et la familiarité aidant, nous sommes passé à la deuxième phase du travail avec les entretiens que nous avons eus d’une part avec le personnel de l’institution et d’autre part avec les personnes cibles.
Chaque entretien nous aura permis de percevoir des dimensions particulières de l’étude que nous menions et ainsi, l’objet d’étude s’est précisé de plus en plus.

Les outils de l’étude

Malgré l’option qualitative que nous avions prise dans le cadre de ce travail, il nous a semblé important de faire recours également aux méthodes quantitatives notamment quand il s’est agi de montrer le niveau de performance de l’ONG à partir de son mode d’organisation et de fonctionnement.
Cependant, nous avions voulu évité le reproche de MADELEINE GRAWITZ selon lequel certains chercheurs pour contourner les difficultés de la conceptualisation et des élucidations théoriques se livrent à des quantifications abusives. Les méthodes qualitatives ont permis de mieux saisir la signification des comportements des agents et d’aboutir à des efforts de conceptualisation et d’élucidation théorique. C’est en cela que leur choix nous a paru parfaitement justifié.

Les techniques d’investigation.

Elles se sont présenté en deux phases : une phase exploratoire et une phase de mise en œuvre des guides d’entretien.

La phase exploratoire

La phase exploratoire consista en une recherche documentaire et des entretiens exploratoires. Ces derniers nous ont permis de mieux orienter notre étude. Ainsi, ceux que nous avons eu avec Monsieur AMACODOU DIOUF qui est le vice président du CONGAD, Monsieur ALASSANE FAYE consultant à Enda Jeunesse-Action et Madame DIOUF de la cellule de suivi du Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP) ont été donc d’une importance considérable dès l’entame de notre étude.
En outre, la recherche documentaire s’est également avérée particulièrement précieuse. Par conséquent nous avons été à plusieurs centres de documentation situés à Dakar. Ces centres sont : le CODESRIA, ENDA tiers monde, le CRDI, le CONGAD, Le Projet de Lutte Contre la Pauvreté (PLCP), la Cellule de Suivie du Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté, le Programme d’Appui à la Réduction de la Pauvreté, la Direction de la Prévision et de,la Statistique (DPS), la Direction de l’Analyse, de la Prévision et des Statistiques (DAPS), la Bibliothèque Universitaire (BU), la Bibliothèque de l’Ecole Normale Supérieure, la Bibliothèque de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines.
Aussi, la recherche documentaire via Internet nous a-t-elle d’un apport fécond notamment le site de Enda Jeunesse-Action.

Le questionnaire

Le questionnaire adressé aux membres du personnel de Enda Jeunesse-Action a été confectionné essentiellement pour nous permettre de quantifier certains éléments explicatifs de la performance de l’ONG (Cf. page 105).

Les guides d’entretien

Etant des méthodes de recueil d’information qui se déroulent dans une relation de face à face entre l’interviewé et l’interviewer, ils nous ont fourni l’essentiel de notre base de données. Ainsi, les entretiens que nous avons eus avec le personnel d’Enda J-A se sont portés sur l’organisation et le fonctionnement de l’ONG, son niveau de performance, et ses relations avec les populations avec les populations cibles.
Nous avons également eu des entretiens avec les populations partenaires de l’ONG.
Ceux-ci ont essentiellement porté sur les rapports que l’institution entretien avec elles.

LES DIFFICULTÉS RENCONTRÉES

Comme toute recherche scientifique, des difficultés n’ont pas manqué à ce travail.
Elles sont de plusieurs ordres :
 Technique : la non publication des résultats du dernier recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) de l’année 2002 nous a poussé pour certaines données à nous référer à celles du recensement de 1988, qui, faut-il le rappeler, reste officiel.
 Matériel : il faut encaisser tous les « coups » des enquêtés. Ils ont leurs caprices, ne sont pas toujours dans les dispositions, et parfois n’ont réellement pas le temps de répondre à nos questions.
 Culturel : l’enquête fait peur au Sénégal. Et il y a en cela, un fondement culturel. L’angoisse réapparaît toujours lorsqu’il est question de se soumettre aux questions d’un inconnu. Celui-ci peut amener la répression fiscale, policière ou autre; d’où le développement d’un sentiment de méfiance, parfois même de rejet envers l’enquêteur.
 De la disponibilité : étant enseignant, les contraintes liées à notre travail ont fait que nous avons eu beaucoup de mal à nous consacrer à plein temps à ce travail.
Au total, il y a eu beaucoup de difficultés, mais nous avions au mieux essayé de les surmonter toutes.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE 
Première Partie : APPROCHE THÉORIQUE ET MÉTHODOLOGIQUE 
Chapitre I : APPROCHE THÉORIQUE 
1.1 – PROBLÉMATIQUE ET REVUE CRITIQUE DE LA LITTERATURE
1.2 – OBJET DE LA RECHERCHE
1.3 – LES RAISONS DU CHOIX DU SUJET
1.4 –LES OBJECTIFS DE LA RECHERCHE
1.5 – HYPOTHESES
1.6 – MODELE D’ANALYSE
1.7 – APPROCHE CONCEPTUELLE
1.7.1 – Définition des O.N.G
1.7.2 – Le concept de recherche-action participative (R.A.P.)
1.7.3 – Le concept de socio – organisation
1.7.4 – Le concept de performance
1.7.5 – Le concept de stratégie
1.7.6 – Introduction du concept pauvreté « trompeuse »
1.7.6.1 – Définition de la pauvreté
1.7.6.2 – Caractéristiques de la pauvreté
1.7.6.3 – Manifestations de la pauvreté
Chapitre II : APPROCHE METHODOLOGIQUE 
2 – 1 L’observation in situ
2.1.1. – L’implication contrôlée
2.1.2 – La capacité d’empathie
2.1.3 – L’attention aux formes comportementales et aux contextes
2.2 – Le déroulement de l’enquête
2.2.1 – La Phase de la pré – enquête
2.2.2 – L’enquête proprement dite
2.2.2.1 – La constitution de l’échantillon
2.2.2.2 – Le déroulement de l’enquête proprement dite
2.2.3 – Les outils de l’étude
2.2.3.1– Les techniques d’investigations
2.2.3.1.1 – La phase exploratoire
2.2.3.1.2 – Le questionnaire
2.2.3.1.3 – Les guides d’entretien
2. 3 – DIFFICULTÉS RENCONTRÉES
Deuxième partie : ANALYSE CONTEXTUELLE DE L’EMERGENCE DES O.N.G DANS LE TIERS ONDE ; ET APERCU SUR LA PAUVRETE A DAKAR 
Chapitre I : ANALYSE CONTEXTUELLE DE L’EMERGENCE DES O.N.G. 
1.1 – LA CRISE ET LE DECLIN DES ADMINISTRATIONS TRADITIONNELLES DANS LES PAYS DU TIERS-MONDE
1.2 – L’ÉMERGENCE DES O.N.G
1.3 – LES SOUTIENS EXTÉRIEURS
Chapitre II : APERÇU SUR LA PAUVRETÉ A DAKAR 
2.1 – ANALYSE PAR CAS DE LA PAUVRETÉ A DAKAR
2.1.1 – Évocation de quelques cas
2.1.2 – Essai d’analyse de ces cas
2.2 – ANALYSE STATISTIQUE DE LA PAUVRETÉ À DAKAR
2.2.1 – Profil démographique à Dakar
2.2.2 – Analyse socio-économique
2.3 – QUELQUES INITIATIVES POPULAIRES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ À DAKAR
2.3.1 – Une mallette de pauvre qui charme les riches
2.3.2 – « L’or des ordures : le compost
2.3.3 -La naissance et l’entretien de vigiles dans les quartiers menacés par l’insécurité
2.3.4 – Des circuits d’approvisionnement et de distribution du thé et autres denrées entretenues par des G.I.E de jeunes femmes
2.3.5 – Des femmes se solidarisent pour épargner leurs paniers de ménages des affres de la crise socio-économique
2.3.6 – Un bouillonnement culturel dans les quartiers avec des retombées économiques intéressantes
Troisième partie : REGARD SOCIO-ORGANISATIONNEL DE L’EXPÉRIENCE DE ENDA JEUNESSE-ACTION 
Chapitre I : PRÉSENTATION DE L’INSTITUTION 
1.1 – ENDA TIERS-MONDE
1.1.1 – Signification du logo
1.1.2 – Situation géographique
1.1.3 – Historique
1.1.4 – Mission et objectifs
1.1.5 – Organisation
1.1.6 – Les moyens
1.1.6.1 – Le personnel
1.1.6.2 – Les ressources financières
1.1.7 – Activités
1.2 – L’EQUIPE JEUNESSE-ACTION D’ENDA TIERS MONDE
1.2.1 – Les objectifs institutionnels de ENDA Jeunesse-Action
1.2.2 – L’approche
1.2.3 – Activités
1.2.4 – Amis et partenaires
1.2.5 – Moyens mis en oeuvre
1.2.5.1 – Moyens humains
1.2.5.2 – Moyens logistiques
1.2.5.3 – Moyens financiers
1.2.6 – L’organigramme
1.2.7 – Le programme régional Calao »
1.2.7.1 – Mandat et thématique
1.2.7.2 – Objectifs
1.2.7.2.1 – Actions entreprises
1.2.7.2.2 – Partenaire
Chapitre II : ÉLÉMENTS EXPLICATIFS DE LA PERFORMANCE 
2.1 – UNE ORGANISATION SOUPLE ET FLEXIBLE
2.2 – AMBIANCE DANS LA STRUCTURE ET RAPPORTS INTERPERSONNELS
2.3 – APPROCHE GENRE / GENERATION
2.4 – LE DÉVELOPPEMENT DE L’ESPRIT DÉMOCRATIQUE
2.5 – UNE FORMATION PERMANENTE
2.6 – UNE PASSION DU MÉTIER QUI INDUIT UN DON DE SOI
2.7 – UN SYSTEME DE PARTENARIAT AVEC LES GROUPES SOCIAUX BASE SUR LE RESPECT ET LA CONFIANCE MUTUELS
2.8 – UNE POLITIQUE UNITAIRE ENVERS SES PARTENAIRES
2.9 – UNE PROPENSION À REVOIR LES CONCEPTS DE TRAVAIL DU MONDE DES O.N.G.
2.10 – DES ANIMATEURS QUI ONT UNE CERTAINE PRATIQUE DES MILIEUX SOCIAUX CIBLES
2.11 – UNE PERMEABILITE FACE À LA CONTRADICTION
2.12 – UNE CAPACITE A REPONDRE POSITIVEMENT AUX SOLLICITATIONS SOCIALES DU PERSONNEL
2.12.1 – L’arbre de Noël pour le personnel
2.12.2 – L’existence d’une tontine
2.12.3 – L’existence d’une caisse de solidarité
2.12.4 – Prise en charge médicale
2.12.5 – L’existence d’un fonds social
Chapitre III – LES OBSTACLES ET LES LIMITES 
3.1 – L’INDIVIDU ETOUFFE
3.2 – AUTORITE DILUEE DANS LE GROUPE
3.3 – UNE CONFIANCE EXCESSIVE À LA MÉTHODOLOGIE DE RÉFÉRENCE : LA R.A.P
3.4 – INSUFFISANCE DE L’EFFECTIF PAR RAPPORT AUX NOMBREUSES SOLLICITATIONS
3.5 – UNE FAIBLESSE DE LA CAPITALISATION
3.6 – ABSENCE DE PERSPECTIVES TANGIBLES POUR LE PERSONNEL
3.7 – UNE EXIGUÏTÉ DES MOYENS ET UNE DÉPENDANCE FINANCIÈRE VIS À VIS DES BAILLEURS
3.8 – ABSENCE D’UNE VÉRITABLE SYNERGIE DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ À DAKAR
Chapitre IV – L’ÉQUIPE JEUNESSE-ACTION D’ENDA TIERS-MONDE VUE PAR LES ENQUETES 
CONCLUSION GÉNÉRALE 
BIBLIOGRAPHIE 
ANNEXE 

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