Littérature axée sur les valeurs de la biodiversité

Télécharger le fichier original (Mémoire de fin d’études)

Situation géographique et cadre institutionnel

La présente étude s’est déroulée dans 3 zones bien déterminées au Nord de Morondava. La localisation de chaque village par rapport aux plans d’eau a été considérée, ainsi que l’état et l’abondance des produits d’eau douce et l’accessibilité à chaque site.
Le choix de ces villages a donc été fonction de la présence de ces plans d’eau: cours d’eau, rivières, marais, ou lac et l’exploitation par la population locale de ces ressources.
Après une étude préliminaire les sites suivants ont été choisis :
• Bedo village près du lac Bedo
• Andranolava village près de la rivière Andranolava et a été sélectionnée pour son accessibilité et la permanence de l’eau tout au long de l’année et sa distance par rapport au lac Bedo est de 2km. Une partie de la population exploite ce lac.
• Antanimbaribe situé dans les marais qui forment le site de Bedo où l’eau existe en permanence et où les paysans pratiquent la pêche toute l’année.
Ces villages appartiennent au complexe de zones humides de Bedo.
Le site de Bedo se trouve dans la Commune de Beroboka Nord, Sous-prefecture de Belo sur Tsiribihina, Prefecture de Morondava. Les relevés sur GPS des coordonnées géographiques ont donné : – au centre du lac : 19°55.8690’ S, 044°32.8876’E
– pour le marais: 19°56.6983’ S, 044°32.1870’ E
Le village de Beroboka quant à lui se trouve à 69km au Nord Est de la ville de Morondava. Il est traversé par la RN8 A reliant cette dernière à Belo sur Tsiribihina. Antanimbaribe et Andranolava font parti des 6 campements du Fokontany de Beroboka Sud qui appartient à la Commune rurale de Bemanonga- Région Menabe District Morondava.
La zone d’étude se situe à une altitude de 3 à 7 m et occupe une superficie de 1962 hectares dont :
– 412 ha de lac,
– 747 ha de marais,
– 803 ha de bassin versant.
Bedo se trouve dans la région du Menabe Central entre la rivière de Morondava et le fleuve de Tsiribihina. Il se situe à l’extrémité occidentale de forêt de Marandravy et d’Analabe. Il est formé par trois types de zones humides :
Milieu d’études
• Le lac est formé d’un plan d’eau, de profondeur maximale, de un mètre (1 m). Ouverte au soleil, sa majeure partie n’est pas permanente, elle pourrait se dessécher vers la fin de mois de Novembre et attendre la saison des pluies pour être à nouveau rempli d’eau.
• Les marais constituent la partie périphérique du lac et occupent la partie aval de la rivière Mandroatsy, son affluent. Recouverts en totalité par une végétation aquatique, ils peuvent persister toute l’année. Plusieurs villages dépendent de ces marais pour les rizières et autres champs de culture comme les cannes à sucre et les cultures maraîchères.
• La rivière Mandroatsy traverse une zone de forêts, c’est un cours d’eau permanent, elle alimente le lac et ses marais. C’est aussi la source d’eau des villages périphériques, mais aussi elle entre dans les systèmes d’irrigation des champs et des rizières.
Le site a été récemment classé site RAMSAR c’est-à-dire en zone humide d’importance internationale en 2006 de type marine et côtière remplissant les critères 2, 3, 4, 6,7 et plus exactement remplissant les conditions G et H1
Carte 1: Site de Bedo
Source : DURELL, 2004

Climat

Le site de Bedo, situé au centre Ouest malgache, appartient au climat tropical sec avec 2 saisons bien distinctes :
• Une saison chaude et pluvieuse de Décembre à Mars (Asara)
• Une saison sèche du mois d’Avril à Novembre (Asotry)
Pour la zone de Morondava, la pluviométrie annuelle enregistrée est de 785mm et les précipitations se répartissent sur 44 jours tout au long de l’année. Le mois de Janvier est le mois le plus arrosé avec 241,6mm de pluies tandis que le mois d’Août est le mois le plus sec avec 2,2mm de précipitations.
Le mois de Janvier est le mois le plus chaud avec une température moyenne de 27,6°C et le mois de Juillet est le mois le plus froid avec une température moyenne de21, 6°C.
Pour ce qui est du vent, la mousson d’été y déverse des pluies à caractères orageux pendant la saison chaude. Le vent d’alizé déchargé de son humidité par son passage sur les régions centrales et orientales, par contre, n’a aucun effet sur le régime pluviométrique et détermine une saison sèche très accentuée (RAZAFIARISERA, 2001)
Ce tableau peut être représenté par le climat-diagramme de Walter et Lieth
Le site d’étude a un climat tropical subaride et chaud (Koechlin, 1974)

Géomorphologie

La zone d’étude se trouve dans la zone continuellement soumise aux courants marins de l’ouest du Canal de Mozambique et modelé par l’influence de la périodicité des actions des cours d’eaux de régime irréguliers du versant occidental de l’île. Depuis l’extension du défrichement des forêts environnantes, l’impact des actions d’origines anthropiques se fait sentir. Analabe, la forêt la plus proche du site, a été le champ de culture industrielle de sisal des années 60 et début 70. La culture sur brûlis des migrants, ex-ouvriers de cette sisaleraie, s’y développe depuis, voici environ trois décennies. Ce déboisement a favorisé les actions de l’érosion, de l’envasement en latérite rouge et de l’ensablement du lac qui, à la longue, transforment petit à petit la constitution du fond du lac. ¾ La géologie : Le site est le résultat de la sédimentation alternée du bassin côtière emprisonnée par les dunes de l’ouest et des collines et des plateaux de l’est. A chaque saison de pluie, il reçoit l’envasement ferralitique des latérites des collines environnantes et l’ensablement venant des faibles hauteurs qui l’entourent. Les détritus végétaux venant des forêts périphériques se déposent dans ses bas-fonds. A chaque saison sèche, il est le bassin de décomposition des matières organiques venant de la végétation lacustre qui l’entoure. Les marées lui apportent les éléments minéraux venant de la mer. Ces divers sédiments s’y déposent et caractérisent Bedo (Durell, 2004)
La morphologie géologique du site appartient à la catégorie de la formation récente des couches sédimentaires sablonneuses et alluviales fluviales de l’ouest de Madagascar. Les plus anciennes couches datent du précambrien et au-dessus les strates sont formées des sédiments de jurassiques et crétacés.

Hydrographie

De l’eau douce est fournie en permanence au lac et aux marais par la rivière Mandroatsy, affluent de Bedo (Durell, 2004). En plus, l’eau douce de pluie de l’été austral, au moins durant quatre mois par an, remplit le lac et les marais constituant une cuvette de réception de l’eau torrentielle du ruissellement venant du bassin versant environnant. L’eau souterraine, probablement chargée de particules minérales venant de l’eau d’infiltration dans les sols des collines environnantes pour devenir après des nappes phréatiques, pourrait alimenter aussi ce site.
L’eau salée apportée par les marées du Canal de Mozambique dans laquelle se jette Mandroatsy, a une influence permanente sur Bedo et son complexe de zones humides (Durell, 2004). Au moins, deux fois par mois (marée de pleine lune et marée de nouvelle lune), Bedo et ses zones humides sont les lieux de rencontre de l’eau salée de la marée montante et de l’eau douce de la rivière qui se jette en permanence dans la mer. Il arrive alors des moments où une grande partie de l’eau du lac et de ses marais devient saumâtre. Cette eau saumâtre reste permanente dans le système d’évacuation de Mandroatsy ou l’exutoire est formé par trois chenaux naturels constituant les branches de son petit delta qui s’ouvre à l’ouest du site avant de se déboucher vers la mer et d’entretenir la mangrove du littoral de la zone.
La salinité de l’eau du lac varie avec les saisons. Elle est pauvre en période de pluie et s’accroît de plus en plus avec l’évaporation du lac de la saison sèche. La teneur en sel marin de l’eau du lac et le dépôt des éléments d’origines marines expliquent la sédimentation en sels marins du lac et de ses marais.
Le lac Bedo et ses marais périphériques connaissent les fluctuations du niveau de l’eau. Inondés à partir du mois de janvier, ils atteignent sa profondeur maximale en fin de saison humide. En fin de saison sèche, période de leur étiage, le niveau d’eau le plus profond atteint à peine les genoux, on peut circuler à pied dans le lac qui n’occupe plus que le dixième de sa superficie maximale.
Les variations dues aux marées touchent surtout la zone en aval du lac qui s’étend vers la mer se trouvant à trois kilomètres de la sortie de la rivière Mandroatsy. La rencontre de l’eau douce et de l’eau salée de la mer entretient l’humidité et la vie aquatique de la zone.

Pédologie

Le lac et les marais sont formés de vase noire gluante ; c’est la formation du complexe de colluvion riche en argile agglutinant des matières organiques surtout végétales lacustres.
Les sols du bassin versant de Bedo varient avec les divers degrés de l’érosion de ses pentes. Sa partie supérieure est constituée de sols ferrugineux tropicaux. La teneur en humus y devient minime ou nulle avec la disparition des forêts primaires détruites par les feux de brousse et le rabougrissement par les feux de pâturage de la savane arborée envahie par le Ziziphus. La proportion du mélange sablonneux augmente avec le type de couverture de végétation qui le couvre. Elle est beaucoup plus grande dans la partie intermédiaire du bassin versant recouverte par les plantes rampantes gazonneuses (mandavohita). Par contre, elle diminue dans la partie inférieure argileuse noire, occupée par le matsia, plante herbacée haute. Par ailleurs, le lac et les marais sont constitués de sols hydromophes.

Milieu biotique

Flore

Le site est caractérisé par la présence en grande surface de Typha angustifolia qui dispose d’une valeur économique importante des riverains. Eichornia crassipes (espèce introduite et envahissante) commence à se développer dans l’un des canaux exutoires.
Pour les forêts avoisinantes du site, KOECHLIN (1974) place la forêt de Morondava dans la région biogéographique occidentale et dans le domaine phytogéographique de l’Ouest. La végétation primaire de ce domaine est constituée de forêts denses sèches décidues à Dalbergia (FABACEAE), Commiphora (BURSERACEAE), et Hildegardia (STERCULIACEAE) ainsi que sous des conditions particulières des forêts marécageuses, des marais herbeux, des forêts ripicoles et des alluvions et des mangroves.

Faune

Environ 2% de la population totale de Sarcelle de Bernier Anas bernieri se trouve dans le site Bedo. Les arbres de la forêt littorale servent d’endroits de nidification et de dortoirs des Ardéidés en particulier Ardea humbloti (VU). C’est un site de rassemblement de grand nombre des Anatidés et des flamants. Plus de trente espèces des oiseaux d’eau l’utilisent dont certaines sont migrateurs ou visiteurs (Pelecanus rufescens). La forêt qui l’entoure est l’habitat naturel de la tortue à queue plate Pyxis planicauda et des huit différentes espèces de Lémuriens observés dans la forêt de Kirindy. Les poissons exotiques (Tilapia sp et Channa striata) et une espèce d’Anguilles y sont très abondants. Leur exploitation donne des ressources économiques aux villageois. La rivière Mandroatsy tributaire de ces zones humides contient de Paratilapia polleni. C’est une espèce endémique devenue très rare dans les zones humides de centre-ouest de Madagascar.

Milieu humain

Dans la zone d’étude c’est-à-dire dans les 3 villages la population est jeune car 49% des habitants ont moins de 16ans (Source : mairie de Beroboka Nord et Fokontany de Beroboka Sud)2.
Les caractéristiques ethniques sont d’une importance particulière dans cette région. En effet, c’est une zone de migration abritant une population hétérogène du point de vue ethnique. Les « Sakalava » qui constituent la seule population autochtone représentent une partie non négligeable de la population.
D’une manière générale, chaque hameau correspond à des segments de lignage relatif à chaque type de migrant, à l’exception de Beroboka centre. Dans cette communauté multiethnique, les « Ray aman-dreny » ou chef de lignage jouent un rôle d’organisateur de vie sociale et économique de la population : règlement de conflit, direction de cérémonie, partage de terre à cultiver aux nouveaux venus (migrants).

Régime foncier et propriété

Le site Bedo est un terrain domanial, il appartient à l’Etat. Les produits halieutiques sont sous le contrôle du Service de la Pêche de Morondava mais les autres ressources naturelles sont sous la gestion administrative du Cantonnement des Eaux et Forêts de Belo-sur-Tsiribihina.
La partie orientale du site est formée de forêts de la propriété privée du SIAM appartenant à la famille De Heaulme dont le village d’Andranolava et d’Antanimbaribe. La tanne de la partie nord et nord-ouest est incluse dans le domaine privé de l’AQUAMEN. Elle sera destinée pour une nouvelle extension du terrain de culture de crevette de cette entreprise industrielle.

Occupation actuelle des sols (y compris l’eau)

Cinq principaux villages (Beroboka Sud, Beroboka Nord, Tanandava, Tanambao, Lambokely) et cinq hameaux (Mandroatsy, Sabora, Bedo, Antanimbaribe et Morafeno) se trouvent autour du site Bedo et l’utilisent pour jouir le droit d’usage traditionnel.
La Commune de Beroboka dans laquelle se trouve le site de Bedo a 25 km de rayon. Sa superficie cultivable représente les 60% de son territoire mais seulement, moins des 30 % de celle-ci sont cultivés. Comme site culturel au nord, à 200 m de Bedo, se trouve un cimetière de style traditionnel. La mer se trouve à 3 ou 4 km à l’Ouest. Une dune boisée constitue une barrière naturelle au Sud-Ouest de site.
Les marais sont les plus importants endroits de collecte des plantes pour la vannerie. Le Typha angustifolia (Vondro) et Sporobolus indicus (Matsia) sont utilisés pour la construction de la toiture des cases de la majorité de la population locale.
Le site est un lieu de pêche le plus important des villages riverains. Il sert également de pâturage d’élevage extensif de zébus de la population locale. En outre, c’est l’une des zones la plus importante pour la chasse sportive. Il offre aussi, pour les ornithologues un endroit de recherche sur les oiseaux d’eau de la région de Morondava.
Les parties en amont en suivant le lit de rivière Mandroatsy seront converties en rizières. Aux alentours, la majeure partie d’Analabe, terrain privé défriché de la famille De Heaulme, autrefois exploitée pour la plantation de sisal, est utilisée actuellement pour la culture d’arachide et de manioc, par ses anciens ouvriers. Les traces de la plantation de sisal y persistent. Un élevage en captivité de quelques centaines de tortues terrestres (Geochelone radiata et Pyxis arachnoides) saisies du trafic intercepté à La Réunion, île voisine, est installé à Morafeno à 2 km du site, géré par la Conservatoire Vivante d’Analabe.
La tanne du côté nord-ouest est réservée pour l’extension du développement de la culture crevettière de l’AQUAMEN et la ferme actuelle se situe à 10 km au nord-ouest de Bedo.

Activités économiques

La zone est caractérisée par une grande diversité de ressources naturelles. Il en résulte une spécialisation plus ou moins poussée de chaque groupe ethnique à une activité donnée.
Ainsi les Antanosy, Tanala, Korao et Betsileo sont des riziculteurs. Les Antandroy s’adonnent aux cultures sèches. Pour les Sakalava originaires de la région, on peut les classer en 3 catégories :
) Les Sakalava Vezo qui ont comme activité principale la pêche
) Les agriculteurs qui pratiquent en général la riziculture avec deux récoltes par an, le Vary « Asara » et le Vary « Asotry » et les cultures sèches comme les arachides, le maïs.
) Ceux qui font des activités prédatrices telles que la chasse des oiseaux sauvages dont la pintade et la cueillette de tubercules comestibles comme le « Oviala » ou Dioscorea acuminata Toutefois cette spécialisation par groupe ethnique n’est que relative car tous les habitants adoptent toujours des activités secondaires et d’appoint.
Pour l’élevage on a l’élevage bovin de type extensif car le bœuf y joue un double rôle :
) Rôle économique : moyen de production et d’épargne et constitue une source de revenu (vente de lait et de bovin)
) Rôle social : reflète le niveau de vie de la famille (richesse, source de prestige) mais il sert aussi de sacrifice ou de don lors des différentes cérémonies telles que funérailles, mariage, pratique rituelle.
L’aviculture contribue à l’amélioration des revenus monétaires de la famille. La vente sporadique de produits avicoles permet de satisfaire les besoins quotidiens de celle ci. L’autoconsommation ne s’observe qu’en de très rares occasions : fête nationale, accueil d’un hôte de marque… On a aussi pu dénombrer quelques têtes de porcs dans les villages.
Mais d’autres activités sont aussi pratiquées par la population locale comme les activités commerciales comme l’épicerie, l’hôtellerie car la ville de Beroboka est un lieu d’arrêt pour les voyageurs de la RN8. Quelques femmes du village s’adonnent à la vannerie et les produits sont surtout destinés à l’utilisation familiale. Quelque fois les produits sont vendus en cas de commande.
Le vaste marais s’étendant de Beroboka Centre jusqu’à la limite Est de la mangrove abrite des poissons d’eau douce, des anguilles et surtout de la chevaquine.

Table des matières

1. INTRODUCTION
1.1 Contexte général
1.2 Problématique et justificatif de l’étude
1.3 Objectifs
1.4 Hypothèses de recherche
2. PRESENTATION DU MILIEU D’ETUDES
2.1 Milieu physique et cadre institutionnel
2.1.1 Situation géographique et cadre institutionnel
2.1.2 Climat
2.1.3 Géomorphologie
2.1.4 Hydrographie
2.1.5 Pédologie
2.2 Milieu biotique
2.2.1 Flore
2.2.2 Faune
2.3 Milieu humain
2.3.1 Régime foncier et propriété
2.3.2 Occupation actuelle des sols (y compris l’eau)
2.3.3 Activités économiques
3. METHODOLOGIE
3.1 Investigations bibliographiques
3.2 Cartographie
3.3 Enquêtes
3.4 Observations personnelles
3.5 Inventaire des ressources
3.5.1Flore
3.5.2 Faune
3.6 Traitement et analyse des données
3.7 Limites et contraintes de l’étude
3.7.1 Méthodologie
3.7.2 Inventaire
4. RESULTATS ET INTERPRETATIONS
4.1 Synthèses bibliographiques
4.1.1 Quelques définitions
4.1.2 Littérature axée sur les méthodes d’analyse « filière »
4.1.3 Littérature axée sur les valeurs de la biodiversité
4.2 Potentialités des zones humides de Bedo
4.2.1 Flore
4.2.2 Faune
4.3 Description des espèces étudiées
4.3.1 Flore
4.3.2 Faune
4.4 Matériels utilisés pour la pêche
4.4.1 Pêche à la nasse ou « andrema »
4.4.2 Pêche à pieds avec la moustiquaire
4.4.3 Pêche à la ligne ou « firango »
4.4.4 Pêche au harpon ou « fitsoho »
4.4.5 Pêche à la senne
4.5 Etude des filières des produits d’eau douce
4.5.1 Délimitation de la filière
a- Filière des poissons d’eau douce
b- Filière chevaquine
c- Filière des crevettes d’eau douce
4.5.2Typologie des acteurs
a- Filière des poissons d’eau douce
b- Filière chevaquine
c- Filière des crevettes d’eau douce
4.5.3 Analyse comptable de la filière
a- Filière des poissons d’eau douce
b- Filière chevaquine
c- Filière des crevettes d’eau douce
4.5.4 Organisation de la filière
a- Filière des poissons d’eau douce
b- Filière chevaquine
c- Filière crevette d’eau douce
4.6 Analyse FFOM de la filière des produits d’eau douce
a- Filière des poissons d’eau douce
b-Filière chevaquine
c- Filière crevette d’eau douce
4.7 Valorisation des plantes des zones humides
4.8 Valeurs associées au site
4.8.1 Valeurs sociales et culturelles
4.8.2 Valeurs hydrologiques
4.9 Menaces et pressions sur le site
5. DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
5.1 Importance de la filière
5.2 Vérification des hypothèses
5.3 Perspectives de développement de la filière des poissons d’eau douce
5.4 Perspectives de développement de la filière des crevettes d’eau douce
6. CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *