Introduction
Pour respecter les engagements Français au protocole de Kyoto et afin de réduire nos émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050, les pouvoirs publics ont mis en œuvre une réglementation plus stricte en matière de chauffage et d’isolation. Cette lutte contre le réchauffement climatique liée aux consommations d’énergies fossiles, fortes productrices de gaz à effet de serre, notamment de CO2, a été programmée dans le cadre du plan climat adapté en 2004 et réactualisé en 2006.Face a cet enjeu de réduction de nos consommations et dans la mesure où l’on opte pour une chaudière à gaz, qu’elles sont les solutions possibles et comment se situe notre produit ?
Face a cet enjeu de réduction de nos consommations et dans la mesure où l’on opte pour une chaudière à gaz, qu’elles sont les solutions possibles et comment se situe notre produit ?
Le gaz reste le combustible le plus pratique et le plus efficace pour chauffer une habitation. Il est plus économique que l’électricité et quand on dispose du chauffage central, on change rarement de source d’énergie. De plus dans le domaine du chauffage à eau chaude les chaudières à gaz évoluent régulièrement vers plus de rendement et moins de rejets.
Les principaux types de chaudières en concurrence sur le marché sont les chaudières basses températures et hauts rendements, les chaudières à condensation et bien sûr notre produit Aer « la pulsatoire ». Avec une chaudière basse température, l’eau qui alimente le réseau de chauffage est à une température moyenne de 50°contre 90° pour les chaudières d’ancienne génération. De plus ce type de chaudière est équipé de brûleurs modulants bas Nox. Ce type de chaudière permet de 12 à 15% d’économies par rapport à une chaudière standard récente. La chaudière basse température est donc amortissable en une dizaine d’années. La chaudière à condensation est encore plus performante puisque son rendement est de 20% supérieur à celui d’une chaudière standard récente. Cette performance s’explique par son mode de fonctionnement particulier : la récupération de la chaleur latente contenue dans les fumées. Equipée , elle aussi de brûleurs modulants qui permettent d’adapter la puissance aux besoins, la chaudière à condensation permet de faire de 15 à 20% d’économies d’énergies par rapport à une chaudière standard récente, ce matériel est donc amorti en 4 à 6 ans. La chaudière pulsatoire se situe dans la catégorie des chaudières à condensation mais au lieu d’un brûleur ouvert, la chaudière pulsatoire dispose d’une chambre de combustion qui débouche sur un faisceau de tubes en spirale. Les rejets, compte tenu de leurs types et de leur nature, peuvent se faire via un simple tube de PVC, ce qui facilite l’installation ainsi que les possibilités d’emplacement de la chaudière. L’entretien lui aussi est simplifié puisqu’il n’y a pas de brûleur.
Conclusion :
Compte tenu de la situation économique et de la volonté des pouvoirs publics d’inciter les particuliers à réaliser des travaux permettant des économies d’énergies, il semble opportun de faire connaître notre produit et donc de développer les démarches auprès des installateurs et du grand public.
