Projet de création d’un centre de collecte des produits agricoles

Les différentes formes de la riziculture

Actuellement, l’agriculture malgache se heurte avec l’influence de la modernisation de l’agriculture et l’évolution démographique du pays.Pour les paysans, la restructuration des terrains cultivables exige et nécessite l’amélioration de la production. De nos jours, nous avons constaté la juxtaposition d’une culture de rente, culture moderne avec l’utilisation des machines et des produits, agronomiques comme les engrais chimiques avec une production de plus en plus importante et d’une culture traditionnelle qui reste toujours archaïque avec de rendement encore faible.
Avec cette riziculture irriguée qui demande et nécessite de l’eau, il y a aussi la riziculture sur « TANETY » ; cette riziculture irriguée était pratiquée saisonnièrement.
La saison rizicole se manifeste surtout dans la saison de pluie. Mais ce qui différencie la riziculture sur rizière et la culture de riz sur « TANETY », c’est d’abord l’apport en eau.
Ainsi cette dernière ne s’applique que durant la saison d’été Australe. C’est à dire là où il y a de la pluie, pendant la période pluviale. Alors, pour la riziculture, la pratique rizicole pourrait être permanente si l’eau est insuffisante et persiste dans la rizière.

La modernisation de la riziculture

Cette modernisation de l’agriculture se relie avec l’évolution de l’agronomie et l’explosion démographique dans le monde comme à Madagascar. Las paysans ont des problèmes car la terre cultivée devient de plus en plus étroite. Et les gens de la campagne se posent la question comment peut-on nourrir la famille ? Car ses activités en tant que cultivateur ne permettent pas d’améliorer la condition de vie du ménage.

« Le riz c’est la vie »

Divers autres facteurs renforcent ainsi cette incapacité de production des paysans malgaches comme l’insécurité en ville comme à la campagne, la variation climatique. Mais pour solliciter les cultivateurs malgaches, avec l’appui de l’Etat et les ONG nationales et internationales dans le secteur rizicole, des campagnes de meilleures productivités sont lancées. Les paysans qui sont capables d’apporter de rendement très élevé en ce qui concerne la riziculture y sont récompensés. L’Etat avec le MAP et ses ONG comme l’AID et le PROJER aident les paysans à mieux spécialiser les agricultures en particulier la riziculture.
Avec les différentes séances d’information sur la semence améliorée, l’existence des encadreurs et formateurs agricoles dans des régions rurales, l’utilisation de l’agronomie dans l’agriculture, ceux là qui poussent les paysans à améliorer ses rendements sur leurs productions. Cela signifie ainsi qu’il leur faut plus de soins apportés pour l’agriculture pour avoir une meilleure qualité et quantité de production.
C’est pourquoi, d’ici quelques années à venir, le Gouvernement malgache viserait la surproduction de riz pour Madagascar. Mais comment peut – on préserver ce produit rizicole ? Et cette production va- t- elle être destinée où ? C’est ainsi que nous avons ce projet qui sera à la demande du marché.

LES CARACTERISTIQUES DU PROJET

Les caractéristiques du projet dépendront de la nature juridique, de l’objet et des intérêts lors de la création de cette entreprise.

L’objectif et l’intérêt du projet

Chaque projet nécessite une étude préalable avant sa réalisation. Mais comment peut-on affronter l’avenir ? Alors le projet consiste à une demande spécifique permettant de structurer méthodiquement et progressivement une réalité à venir. Notre projet regroupe les activités de production et d’exploitation suivante : la collecte du riz proprement dite, ramassage et stockage de paddy et de riz blanc, les soins et les moyens de stocker le produit pour être à l’abri des fléauxnaturels (cyclones, poux du riz) après la transformation des produits, la dimension des marchés ciblés (avec la remise de la production sur le marché)

La fiche technique du projet

La fiche technique ou signalétique du projet engendrera au choix de la forme et dépendra de la taille de l’entreprise et les objectifs fixés. Il y a trois sortes de sociétés à savoir les sociétés de personnes, les sociétés des capitaux et les sociétés hybrides. Ces dernières sont appelées aussi sociétés à responsabilité limitée ou SARL celles qui nous intéressent. De ce fait, nous baptiserons notre entreprise en Société A Responsabilité Limitée.

ETUDE DES CONTEXTES ENVIRONNEMENTAUX DU SITE DU PROJET

Nous concentrerons cette section vers la présentation globale du site d’implantation ainsi que ses caractères géographiques.

Contexte géographique

La Commune Urbaine d’Andapa, avec une superficie de 5433km 2 environ, (soit 8.785 Ha « Source BDS 00 de la FTM) se situe dans la partie Sud et sur la Côte Est du Province Autonome d’Antsiranana. Elle est limitée au Nord par le Fivondronana de Sambava et limitrophe du Faritany d’Antsiranana avec celui de Majunga au sud.
Aussi, elle est au centre Est de la Sous Préfecture d’Andapa et constitué par plus grande agglomération de la Sous Préfecture subdivisée en quatre Fokontany et par cinq autres fokontany à la périphérie immédiate de la ville. Ces quatre Fokontany sont reliés par une route goudronnée de quatre kilomètres tandis que les autres Fokontany sont reliés à la ville par des routes en sable compactées et praticables toute l’année à l’exception de celle reliant Sahamazava et Andongozabe. Quatre rivières (Antangena, Beanana, Ambêndrana et Ankaikely) traversent la Commune par se déverser dans le fleuve Ankaibe qui borde la limite Ouest de la Commune Urbaine. Ces quatre rivières constituent des éléments vitaux à la vie quotidienne des habitants de la Commune Urbaine d’Andapa tant sur l’utilisation domestique que sur l’inondation des rizières.

Contexte politique et économique 

Au début de l’année 2000, le Gouvernement Malgache s’engage à réaliser un développement rapide et durable. Pour se faire, il met en priori l’instauration d’un Etat de droit, la bonne gouvernance, lutte contre la corruption, respect de la démocratie, développement des infrastructures, éducation, routes, santé, l’appui du secteur privé.
Pour atteindre un taux de croissance économique plus élevé, le Gouvernement accentue ses efforts par extension du champ d’investissement, par renforcement de la stabilité politique et économique et par une ouverture et libéralisation de l’économie. Les objectifs de croissance économique rapide requièrent un niveau important d’investissement.
La relance de l’économie requiert aussi la remise en confiance des investisseurs tant malgaches qu’étrangers. Le Gouvernement actuel s’engage à rembourser les crédits : T.V.A des entreprises (détaxation), promotion et maintien des produits malgaches et amélioration de la compétitivité de l’économie. Pour assurer un développement rapide et durable ou équitable, Madagascar a adopté un environnement global favorable. Ces exigences se traduisent par l’instauration d’une politique de décentralisation et de déconcentration de l’Administration et des activités diverses comme dans le secteur d’agriculture. L’objectif du Gouvernement sur ce secteur est d’améliorer la production ainsi que le rendement obtenu, réduire les coûts et étendre l’accès à des capitaux prêtés.
En conclusion, l’analyse des contextes environnementaux du projet est très importante car grâce à la connaissance du milieu environnemental où l’on veut instaurer le projet, on peut déterminer les opportunités et menaces liées au projet ainsi que les forces et faiblesses qu’on peut rencontrer à propos du projet. Ceci est indispensablepour mener à bien le projet et pour son efficacité.

La présentation de la région

Abstraction faite de la ville de SAVA, la zone de SAVA est de loin la plus dynamique de toute la Province et dans le moteur de l’économie de la région. La commercialisation intéresse à la fois les marchés publics et les points de vente privés. 40 marchés dont 29 agricoles, animent le commerce de la zone. Ce sont des marchés périodiques, une ou deux fois par semaine. La plupart des vendeurs sont des immigrants ambulants des hauts plateaux et du Sud-est qui viennent par camions. Les Arabes et lesIndopakistanais monopolisent le commerce de gros dans toute la Sous-préfecture et sont souvent propriétaires des lignes de transport régionales. SAVA est une zone côtière et un endroitde loisirs. L’artisanat est encore négligeable dans la ville de SAVA et il est peu important dans la zone en dehors de la ville. Il est surtout des activités familiales : bijouterie, menuiseries, coutures, etc.
Ces activités intéressent surtout les immigrants, qui, faute de terres à culture, dans la zone réputée pour sa fertilité naturelle, préfèrent produire des objets utilitaires. Dans la région de SAVA, l’artisanat concerne surtout le secteur bois et fer. Les activités sont également de types familiaux, ponctuels dans le temps, au gré des demandes. Les problèmes des artisans se situent au niveau de l’acquisition de l’équipement et du matériel, et à la recherche de débouchés plus larges.

L’ANALYSE DE L’OFFRE

Pour l’offre, nous pouvons élaborer la spécificité de l’offre globale avant d’entrée à son analyse.

La spécificité de l’offre globale

Par définition, « un marché est un lieu de confrontation de l’offre et de la demande » . En d’autre terme, c’est l’ensemble des personnes et des organisations de l’acte, sortes qui ont et qui peuvent avoir une influence sur la consommation des types de production dans un environnement donné. Aussi, sur le plan économique, « l’offre c’est la quantité de bien que le producteur est prêt à offrir sur le marché à un prix déterminé » . Or, sur le plan marketing, l’offre consiste à analyser les concurrents directs qu’indirects, c’est à dire une étude sur les entreprises qui ont le même produit ou substitut que le notre.
De même, l’offre globale représente la variation dequantité offerte au sein du centre sans que le prix de ce service se modifie, ni sous une influence d’autres facteurs (temps, etc). L’offre est une fonction croissante en fonction du prix du service à rendre.
Si le prix d’un service augmente, tous les opérateurs économiques se concentreront à cette activité, alors que le nombre d’offreur augmente aussi.
La nécessité individuelle ou collective des biens ou services d’un client conditionne le nombre d’offreur existants. L’offreur devrait rendre une qualité de service, le choix de prestation afin que les quantités offertes pour les clients soient satisfaisantes.

Le marché de l’offre locale

Sur le plan national, le secteur des produits agricoles revêt un statut un peu particulier. En effet, même s’il y a quelques entreprises qui collectent déjà des produits agricoles; elles sont très peu commercialisées. Seuls deux types de production sont vendus sur le marché local :
– des produits secs dont les éléments sont utilisésdans les industries agroalimentaires.
Les produits sont directement vendus et livrés parles industriels aux usines utilisatrices comme RAMANANDRAIBE EXPORTATION. Prix Pe Qe Quantité « Le riz c’est la vie »
Les produits frais utilisés journalièrement. Dans ce cas, les entreprises collectent ainsi leur propre produit à partir des matières premières achetées sur place et les revendre pour obtenir des bénéfices.
Quoi qu’il en soit, la part de marché local ne représente qu’une quantité négligeable dans l’absorption de la production agricole. Cette dernière peut être commercialisée dans le marché local aux grandes sociétés de producteur comme le MAGRO, mais il est préférable de l’exporter.

L’ANALYSE DE LA DEMANDE

Cette section abordera la spécificité de la demande et la demande existante sur le lieu d’implantation.

La spécificité de la demande

Quand il y a toujours de l’offre, il y a aussi de la demande et c’est la loi du marché. Mais comment peut-on produire la loi de l’offre et de la demande sur le marché ? En général et presque dans tous les foyers malgaches le riz est la nourriture la plus sollicitée. De même, il est la base de notre alimentation dans la vie de chaque ménage. Dans tous les marchés à Madagascar comme dans la région, nous trouvons en permanence de la production rizicole. L’utilisation de toutes les terres cultivables aptes à acquérir la culture du riz et avec l’amélioration de mode de culture permet de rehausser la productivité. Ainsi, par le biais de la pratique de culture de spéculation avec l’usage des motorisations et des machines pour l’agriculture à Madagascar, la croissance démographique et les conditions de vie de plus en plus rudes sont des facteurs qui poussent les paysans à mieux développer leurs moyens de produire.

La demande globale sur le site du projet 

La culture du riz nécessite de l’eau et de la chaleur. Le riz et ses produits dérivés sont toujours à la demande sur les marchés que nous réaliserons cette entreprise. Elle permet de promouvoir la pénurie du riz surtout pendant la période dite soudure et d’empêches la flambée du prix sur le marché. La demande se caractérise par la quantité et la qualité de production induite par le coût. L’existence de notre centre pousse les paysans à améliorer le taux de productivité. Il permettra ainsi de rééquilibrer le prix sur le marché pendant la période de soudure.
Mais comment peut-on définir l’autosuffisance de production ? Alors que nous trouverons toujours du riz sur les marchés intérieurs. Ainsi est- il suffisant pour faire nourrir chaque ménage. Les Malgaches se nourrissent principalement de riz et c’est valable pour quasiment l’ensemble des régions de l’Ile. La production nationale ne peut pas satisfaire la demande de la population. C’est pourquoi en 2004 nous avons importé plus de dix milles tonnes de riz des pays d’Asie du Sud-Ouest pour ravitailler les marchés intérieurs. Cette importation représente 10% de l’ensemble de la consommation nationale. En moyenne chaque malgache consomme 135 kg / an. C’est un pays à grand consommateur de riz.

L’ANALYSE DE LA CONCURRENCE

Dans cette section, nous avons deux sortes de concurrents qui sont le prix sur l’achat et le nombre de collecteurs sur le marché où se trouve notre lieu d’implantation.
Ces concurrents nous permettraient de déduire et de définir la part de notre marché. Et c’est pourquoi nous nous intéresserons au dit projet.

La place des concurrents existants

Après la période de récolte rizicole, c’est le moment pour la collection. Mais comment pourrions nous faire pour faire face à nos adversaires sur les marchés locaux.
Le nombre de collecteurs qui sont définis comme nos majeurs concurrents reste peu important. Cela nous permettrait un large terrain de détail pour la collecte de riz. Ainsi, la fluctuation du prix et le coût promoteur peu respectable impliqueraient une rude concurrence.
Alors, ce prix de production rizicole varie et selon sa quantité et sa qualité sur divers facteurs telles que : la valeur de riz récolté, les conditions climatiques et les pratiques de culture… Nous avons constaté à Madagascar différents types de produit rizicole, en l’occurrence nous avons le « Mamoriaka fotsy », le « Vary mainty », le « Tsipala », le « Kirminy ».
En outre, durant la période de soudure, le plat préféré des malgaches reste toujours le riz. Mais pendant cette période sept pourcent des malgaches dans des régions du Betsileo et du Sud remplacent le riz par des autres nourritures comme le manioc et le mais.
Pendant ce temps, l’Etat importe dix pourcent de consommation locale en riz.
Ce riz importé de l’Inde, de Pakistan, de Thaïlande, de Japon c’est à dire les pays du « dragon de sud- Est ». En général, ce riz serait vendu sur les marchés malgaches à Ar sept cent le kilo.

La part de marché

« Cette part de marché présente le rapport entre le marché déjà occupé et le marché existant » . Elle englobe les créneaux à envisager au niveau du marché. Mais comme il y a divers types de productions vendues sur le marché, pour les productions agricoles, le riz prend une place prépondérante et il fait partie de ce quel’on appelle « PPN », ou Produit de Première Nécessité pour les ménages à Madagascar.
La privatisation sur le plan économique laisse le choix libre aux secteurs privés. Le marché exigerait la qualité et la quantité de produit à vendre. Le produit rizicole serait toujours utile pour l’ensemble de la société. Ainsi le marché offre encore de terrain à élaborer, c’est à dire que sa saturation est loin d’être atteint. Selon les indicateurs fondamentaux, le nombre de population dans cette entité régionale d’Antsiranana fuse actuellement 953 733 d’habitants résidents dont 173 325 sont urbains et 780 408 ruraux. Alors à l’aide de la méthode d’occupation de part de marché, nous avons la formule suivante :

LA THEORIE GENERALE SUR CRITERES D’EVALUATION

Ce chapitre élucidera et mettra en relief les valeurs théoriques du centre. Ainsi, il va définir la nécessité et l’apport de notre centre sur son lieu d’implantation et sur les autres régions d’influences.

LA THEORIE D’EVALUATION SELON LES OUTILS

Ce chapitre élucidera et mettra en relief les valeurs théoriques du centre. C’est à dire la Valeur Actuelle Nette, le Taux de Rentabilité Interne, l’Indice de Profitabilité, et la Durée de Récupération des Capitaux Investis.

La valeur Actuelle Nette

Cette rubrique comportera la définition, la formule ainsi que l’interprétation de la Valeur Actuelle Nette nécessaire à une éventuelle réalisation du projet.

Définition

La méthode de la VAN estime qu’un projet est rentable si la somme des Cash-flow ou MBA actualisés, minorée du montant du capital investi, est positive. Pour actualiser ces flux, l’entreprise choisit son propre taux correspondant au coût de son capital, c’est-à-dire à la fois le taux correspondant à son financement et celui en dessous duquel aucun investissement ne peut être envisagé. Notons que le capital investi est la somme qu’il faut engager pour mettre le nouvel investissement en place.

Table des matières

REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX ET DES FIGURES
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE: IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I: PRESENTATION DU PROJET
SECTION 1: HISTORIQUE DU PROJET
SECTION 2: CARACTERISTIQUES DU PROJET
SECTION 3: ETUDE DES CONTEXTES ENVIRONNEMENTAUX DU SITE DU PROJET
CHAPITRE II: ETUDE DE MARCHE VISE
SECTION 1: PRESENTATION DU MARCHE VISE
SECTION 2: ANALYSE DE L’OFFRE
SECTION 3: ANALYSE DE LA DEMANDE
SECTION 4: ANALYSE DE LA CONCURRENCE
CHAPITRE III: THEORIE GENERALE SUR LES CRITERES D’EVALUATION
SECTION 1: THEORIE D’EVALUATION SELON LES OUTILS
SECTION 2: THEORIE D’EVALUATION SELON LES CRITERES
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE COLLECTE
SECTION 1: COLLECTION DES MATERIELS UTILISES
SECTION 2: COLLECTION DES PRODUITS D’EXPLOITATION
CHAPITRE II: CAPACITE DE COLLECTION
SECTION I: CHIFFRE D’AFFAIRES PROCURES
SECTION 2: ASPECTS QUANTITATIFS ET QUALITATIFS
SECTION 3: STRATEGIE ET POLITIQUE MARKETING A ADOPTER
SECTION 4: DIFFERENTS FACTEURS DE PRODUCTION
CHAPITRE III: ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1: DIFFERENTS TYPES D’ORGANISATION
SECTION 2: ORGANIGRAMME
SECTION 3: CHRONOGRAMME
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINACIERES DU PROJET
CHAPITRE I : COUTS DES INVESTISSEMENTS
SECTION 1 : INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
SECTION 2 : AMORTISSEMENT DES BIENS
SECTION 3: PLAN DE FINANCEMENT
SECTION 4: COMPTES DE GESTION
CHAPITRE II : ETUDE DE FAISABILITE DU PROJET
SECTION 1: COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
SECTION 2: BILANS PREVISIONNELS
CHAPITRE III: EVALUATIONS ET IMPACTS DU PROJET
SECTION 1: EVALUATIONS ECONOMIQUES DU PROJET
SECTION 2: EVALUATIONS FINANCIERES
SECTION 3: EVALUATIONS ET IMPACTS DU PROJET
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE

projet fin d'etude

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