ANALYSE DE LA SITUATION ECONOMIQUE DES PAYS AFRICAINS DE LA ZONE FRANC

OPTIMALITE DE L’INTEGRATION REGIONALE ET DYNAMIQUE DE CONVERGENCE ECONOMIQUE DANS LES UNIONS MONETAIRES

ANALYSE DE LA SITUATION ECONOMIQUE DES PAYS AFRICAINS DE LA ZONE FRANC

La situation économique des pays africains de la Zone Franc doit être analysée parallèlement à l’évolution de leurs structures et surtout des performances enregistrées sur le plan institutionnel. Pour mieux analyser cette situation, il serait intéressant, par exemple, de comparer les économies de la zone par rapport à celles des pays hors Zone Franc et/ou même de faire une comparaison de leurs performances avant et après la dévaluation du franc CFA de 1994. Dans une première section l’étude de la situation économique d’avant 1994 de la Zone Franc permettra de voir, d’une part, l’évolution des échanges intra zone, des termes de l’échange, des taux de change effectif réel, de l’état du système bancaire et financier, de l’endettement et, d’autre part, l’évolution de quelques grandeurs macro-économiques clés que sont le PIB réel, l’inflation, l’épargne nationale (en pourcentage du PIB). La deuxième section fera l’objet d’un essai de bilan de la dévaluation du franc CFA de 1994. De ce bilan, nous allons faire la distinction entre les grandeurs les plus performantes et celles qui n’ont pas donné assez de satisfaction, d’une part, et voir si la dévaluation a permis aux pays de la Zone Franc africaine de relever les défis du développement, d’autre part. 

La situation économique de la Zone Franc en Afrique avant la dévaluation du franc CFA de 1994 (de 1970 à 1993)

Jusqu’en 1986, les unions monétaires africaines de la Zone Franc connaissaient une certaine stabilité économique grâce notamment à la couverture des déficits de la balance des paiements courants par le biais des découverts des comptes d’opérations, qui allège la contrainte extérieure, d’une part, et l’absence du risque de change qui favorise l’entrée de capitaux étrangers, d’autre part. 30 Vers la fin des années 80, s’installe une crise profonde provoquée surtout par la dégradation des termes de l’échange, la baisse du dollar vis-à-vis des autres grandes devises internationales et les politiques agressives de dépréciation des taux de change pratiquées par les pays limitrophes à la zone, notamment le Ghana et le Nigeria. Ainsi, l’état économique des pays africains de la Zone Franc se reflète surtout à travers les évolutions de ses termes de l’échange, de ses échanges intra zone, de son taux de change effectif réel, de son système financier et bancaire et du poids de sa dette. Tous ces facteurs vont influencer les niveaux du PIB réel, de l’inflation et de l’épargne nationale. 

Les échanges intra zone

Depuis plus de trente ans, la Zone Franc a toujours été incapable de dépasser la coopération monétaire. Elle n’est pas parvenue non plus à favoriser les échanges commerciaux entre les pays membres, qui ne dépassent pas 10% de la totalité de leurs échanges extérieurs avant 1994 (cf. Tableau 1; Zone Franc: Commerce intra zone). La part dans le commerce mondial des pays de la zone a baissé en moyenne de 4.1% par an entre 1985 et 1993. En 1995, elle augmentera de 6.7%. Toutefois, cette part de marché des pays de la zone reste très faible et représente en moyenne moins de 1% du commerce mondial, pendant que ce dernier augmente en moyenne de 6.8% par an entre 1986 et 1996. Le commerce intra-zone des pays africains de la Zone Franc est en moyenne de 8.9% entre 1970 et 1993. Il est de 10.6% en Afrique de l’Ouest et 6.4% en Afrique Centrale. 

Tableau 1 : Zone Franc CFA ; commerce intra-zone (en pourcentage du commerce extérieur total) : 1970-1993. Régions/Pays Part du commerce intra zone Pays de la Zone Franc CFA Bénin Burkina Faso Cameroun République Centrafricaine Tchad Comores République du Congo Côte d’Ivoire Guinée Equatoriale Gabon Mali Niger Sénégal Togo 5.1 22.0 6.1 3.5 14.5 0.0 1.5 7.6 16.6 2.6 23.3 6.3 9.0 6.5 Moyenne des pays de la Zone Franc CFA 8.9 Pays de l’Afrique de l’Ouest membres de la Zone Franc CFA Bénin Burkina Faso Côte d’Ivoire Mali Niger Sénégal Togo 4.9 21.9 6.5 23.2 6.2 6.0 5.8 Moyenne des pays de l’Afrique de l’Ouest membres de la Zone Franc CFA 10.6 Pays de l’Afrique Centrale membres de la Zone Franc CFA Cameroun République Centrafricaine Tchad République du Congo Guinée Equatoriale Gabon 4.3 3.2 13.3 0.7 16.2 0.8 Moyenne des pays de l’Afrique Centrale membres de la Zone Franc CFA. 6.4 Sources: FMI, Direction of Trade Statistics, Tiré de Tanin Bazoumi et Jonathan Ostry « Macroeconomic shocks and trade flows within Subsaharan Africa : Implications for Optimum currency Arangements », document de travail du FMI N° 95/142. Cependant, l’essentiel des échanges se fait avec la France, en particulier, et de plus en plus avec l’Union Européenne, en général.

Toutefois, les relations commerciales entre les pays africains de la Zone Franc et la France sont devenues faibles avec le temps au bénéfice de l’Union Européenne (cf. graphique 1 suivant). 32 Source: Etude du Ministère Français de la coopération relative aux perspectives de la zone franc eu égard à la crise Asiatique, Nov. 1998. Cette baisse relative dans les relations commerciales intervient au moment ou l’aide publique au développement fournie par la France à la Zone Franc CFA diminue elle aussi. Les investissements directs étrangers français dans la Zone Franc représentent, à nouveau, moins de 1%, à partir de 1994, de la totalité des investissements étrangers de la France, après avoir connu une hausse au niveau le plus élevé de 1.8% en 1993 (cf. annexe 1). Enfin, avec la dévaluation des monnaies des pays voisins, notamment le naira pour le Nigeria et le cédi pour le Ghana, la tendance des flux commerciaux est inversée en faveur de ces derniers car, le franc CFA à cause de sa convertibilité, s’est transformé en monnaie de référence dans les échanges entre les pays membres de la zone et leurs voisins. Pire, les flux de l’ensemble des importations n’ont cessé de croître entraînant la propagation de la fraude au point d’anéantir les activités de substitution à l’importation. 

L’évolution des termes de l’échange

Graphique 1: Zone franc CFA : Relations commerciales avec la France et l’Union Européenne (UE), en pourcentage : 1990-1996. 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 Bénin Burkina Faso Côte d’Ivoire Mali Niger Sénégal Togo UMOA Cameroun Rép. Centraf. Tchad Rép. Congo Guinée Equat. Gabon Sous-zone BEAC Total zone CFA Pays/Région % France U.E. 33 Lorsqu’on retient la période 1975 – 1985, on remarque que les termes de l’échange se sont améliorés pour les pays de la Zone Franc alors qu’ils se sont détériorés pour les pays hors Zone Franc5.

Sur la période 1986-1993, les performances économiques des pays africains de la Zone Franc sont moins bonnes à cause de la surévaluation du franc CFA due, en partie, à la baisse du dollar par rapport au franc français mais aussi à la dégradation des termes de l’échange pour ces pays (cf. tableau 2). Tableau 2 : Zone Franc CFA ; variation des termes de l’échange: 1986-19966. Moyenne Moyenne 1986-93 1994-96 1994 1995 1996 Termes de l’échange Service de la dette publique extérieure Taux d’intérêt à court terme Taux d’intérêt à court terme réel (Variation en pourcentage annuel) -5.6 0.9 -0.3 5.6 -2.4 (En pourcentage du PIB) 21.1 18.0 20.8 16.3 16.9 (En pourcentage) 10.2 8.5 9.3 7.7 9.6 -9.7 -13.3 -6.2 2.3 Source : données communiquées par les autorités et estimation des services du FMI. En effet, la crise économique des pays africains de la Zone Franc a été accentuée par une longue baisse des cours mondiaux du café, du cacao, du pétrole, etc., alors qu’une large partie des recettes publiques proviennent de l’exportation de ces matières premières.

Toute chose étant égale par ailleurs, on remarque qu’entre 1985 et 1993, les termes de l’échange des pays membres de la Zone Franc ont diminué en moyenne de 50% ; c’est-à-dire qu’un pays doit exporter environ une fois et demie pour acheter à l’étranger la même quantité de bien d’équipement. Or, l’augmentation de la production n’a pas été suffisante dans son ensemble pour compenser la baisse de ces cours. Par exemple, la production de cacao est d’un rendement de 2 tonnes par hectare en Malaisie et en Indonésie, qui n’ont commencé leur production qu’au milieu des années 80, et représente 15% du marché mondial. En Côte d’Ivoire par contre, premier producteur mondial avec 30% du marché, le rendement n’est que de 0.45 tonne7. Conséquence, la majorité de ces 5 Rémi Godeau (1995): « Le franc CFA: pourquoi la dévaluation de 1994 a tout changé ». Ed. Sépia, p. 108. 6 Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, Congo, Gabon, Guinée Equatoriale, République Centrafricaine et Tchad. 7 Rémi Godeau (1995) : «Le franc CFA : pourquoi la dévaluation de 1994 a tout changé». Ed. Sépia, p. 108. 34 économies étant très dépendantes d’un nombre restreint d’exportations primaires, leurs recettes représentent la majorité de l’ensemble des recettes d’exportation et connaissent de ce fait des déficits de plus en plus lourds. 

L’évolution du taux de change effectif réel

La dépréciation du dollar américain de 35% entre 1985 et 1987 a entraîné un renforcement du franc français. Ainsi, les prix des marchandises importées d’Europe et d’Asie deviennent plus attractifs pour les consommateurs de la zone et la production locale s’expose de plus en plus à la concurrence des autres pays en développement, dans un monde encore marqué par les premier et deuxième chocs pétroliers. Cependant, comme la part dans le commerce mondial des pays membres de la zone a baissé dans cette période, toute chose égale par ailleurs, le franc CFA est moins demandé et perd donc sa valeur ; il ne reflète plus la réalité des économies africaines de la Zone Franc. Mais, la couverture par le franc français contraint les opérateurs économiques à acheter à un prix supérieur à sa juste valeur. Il apparaît ainsi des situations de surévaluation du franc CFA, différentes selon les pays de la zone, surtout entre 1986 et 1993.

Le taux de change effectif réel s’est apprécié en moyenne de 17.7% entre 1985 et 1987 et de 9.4% en moyenne par an entre 1985 et 1990, même si on peut observer un gain relatif de compétitivité au début des années 90 se traduisant par une dépréciation de l’ordre de 4.79% en moyenne par an entre 1991 et 1993 (cf. Tableau 3). Cela semblait être influencé par les chocs pétroliers de 1974 et 1979, d’une part, mais aussi par la détérioration des termes de l’échange au milieu des années 80, d’autre part. Cette situation difficile pousse les investisseurs à fuir la zone car, ils ont trouvé normal depuis longtemps, de payer plus de 50 FCFA sur la zone ce que l’on achetait pour 1 FF en France. Ceci va, sans tarder, conduire à un réajustement du taux de change en 1994 pour retrouver l’équilibre. Le taux de dévaluation ainsi appliqué à l’incertain sera de 50%, en référence au taux 35 de surévaluation de la Côte d’Ivoire. Naturellement, la dévaluation du franc CFA a eu un effet notoire sur l’évolution du taux de change effectif réel qui est passé de 7.06% en 1993 à 81.36% en 1994, même si cet effet a tendance à baisser au fil des années avec un taux de 7.96% en 2000 et une situation d’appréciation en 1998 (-8.34%). 

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : SITUATION ECONOMIQUE ET OPTIMALITE DES UNIONS MONETAIRES AFRICAINES DE LA ZONE FRANC
CHAPITRE I : ANALYSE DE LA SITUATION ECONOMIQUE DES PAYS AFRICAINS DE
LA ZONE FRANC
I-1. La situation économique de la Zone Franc africaine avant la dévaluation du franc CFA de 1994 (de 1970 à 1993)
I-1.1- Les échanges intra zone
I-1.2- L’évolution des termes de l’échange
I-1.3- L’évolution du taux de change effectif réel
I-1.4- Analyse de la situation des systèmes financier et bancaire
I-1.5- l’Endettement
I-1.6- Une analyse de l’évolution de quelques indicateurs macro-économiques clé
I-1.6-1. Le PIB réel
I-1.6-2. L’inflation
I-1.6-3. L’épargne nationale
I- 2. Essai de bilan de la dévaluation du franc CFA de 1994
I-2.1- Les bonnes performances macro-économiques
I-2.2- Les indicateurs moins performants
I-2.3- La contribution des divers secteurs d’activité à la croissance économique (ou moteurs de la croissance) dans les unions africaines de la Zone Franc
I-2.4- La dévaluation et la capacité des économies africaines de la Zone Franc à relever les défis du développement
I-2.4-1. Les changements dans les conditions de vie et l’absorption interne
I-2.4-1.1. L’évolution de la distribution des revenus
I-2.4-1.2. L’accès à l’éducation et aux soins de santé
I-2.4-1.3. L’absorption interne
I-2.4-2. Les mutations structurelles
I-2.4-2.1. La prédominance du secteur primaire
I-2.4-2.2. La faiblesse du secteur industriel
I-2.4-2.3. Le faible niveau d’investissement
I-2.4-2.4. Le développement du secteur informel
I-2.4-2.5. La tendance vers l’intégration économique
CHAPITRE II : ANALYSE DES CRITERES DE RECONNAISSANCE D’UNE ZONE
MONETAIRE OPTIMALE ET LEUR ADPTABILITE AU CONTEXTE DE LA ZONE FRANC AFRICAINE
II-1. Définition de la zone monétaire optimale
II- 2. Les critères de reconnaissance d’une zone monétaire optimale et leur validité dans la Zone Franc
II-2.1- Les critères anciens : l’analyse de MUNDELL et ses prolongement
II-2.1-1. La présentation de MUNDELL : le critère de mobilité des facteurs
II-2.1-2. Les critères dérivés du commerce international 60
II-2.1-2.1. Le critère de degré d’ouverture des économies : Mc KINNON
II-2.1-2.2. Le degré de diversification des économies : KENEN
II-2.2- Le degré d’intégration financière
II-2.2-1. Le degré d’intégration financière publique (ou intégration fiscale) :JOHNSON (1970)
II-2.2-2. Le degré d’intégration financière privée : INGRAM et SCITOVSKY
II-2.3- La rupture avec MUNDELL : de la convergence des taux d’inflation à théorie «néohayekienne» des monnaies concurrentielles .
II-2.3-1. La similitude des taux d’inflation : HARBERLER, FLEMING, DE GRAUWE
II-2.3-2. La théorie « Néo hayekienne » des monnaies concurrentielles
II-2.3-3. Le degré d’intégration des politiques économiques
II-2.4- Les arguments modernes en faveur des zones monétaires optimales
II-2.4-1. L’analyse en terme d’avantages-coûts.
II-2.4-2. L’explication du choix de la monnaie unique à partir du processus d’ajustement face à des chocs d’offre et de demande :
l’approfondissement de la théorie éclectique
II-2.4-3. Le degré de flexibilité des facteurs dans un environnement incertain
II-2.4-4. La question de la courbe de Philips et la politique monétaire
II-2.4-5. Le degré de coordination des politiques budgétaires et monétaires
II-2.4-6. La degré de solidarité entre les pays candidats à une ZMO : A.O. OSSA
II-3. Les unions monétaires africaines de la Zone Franc sont-elles optimales ?
II-3.1- Des insuffisances certaines : les unions monétaires africaines de la Zone Franc sont non optimales
II-3.2- Les raisons de la pérennisation des acquis de la Zone Franc
DEUXIEME PARTIE : CONVERGENCE ECONOMIQUE, METHODOLOGIE ET TESTS
DES INDICATEURS DE CONVERGENCE
CHAPITRE III – LA CONVERGENCE DES ECONOMIES DE LA ZONE FRANC (UEMOA et CEMAC)
III-1. Les enjeux de la convergence des économies
III-2. Fondements théoriques et les résultats empiriques sur la convergence des économies
III-2.1-Les fondements théoriques
III-2.1-1.Les hypothèses de convergence économique
III-2.1-2. La robustesse de la convergence conditionnelle
III-2.2- Les résultats empiriques de travaux sur la convergence économique
III-2.3- Les difficultés pratiques de la convergence des économies
III-3. Les critères de convergence économique dans les unions économiques et monétaires africaines de la Zone Franc (UEMOA et CEMAC) : définition et concepts
III-3.1- Les critères de convergence de premier rang
III-3.2- Les critères secondaires de convergence
III-3.3- Les conditions nécessaires pour une mise en œuvre efficace du nouveau système de convergence dans les unions économiques et monétaires africaines de la Zone Franc
CHAPITRE IV – METHODOLOGIE ET TESTS DES INDICATEURS DE CONVERGENCE ECONOMIQUE
IV-1. Définition de la convergence économique
IV-2. La convergence économique réelle régionale des pays membres des unions Monétaires africaines de la Zone Franc
IV-2.1- Présentation du modèle de convergence économique réelle régionale
IV-2.1-1. La σ-convergence
IV-2.1-2. La β- convergence
IV-2.1-3. La détection de clubs de convergence dans la Zone Franc
IV-2.2- Application du modèle de convergence économique réelle régionale aux PAZF
IV-2.2-1. La σ-convergence
IV-2.2-1.1. Analyse de l’évolution des niveaux de PNB/tête
IV-2.2-1.2. Analyse des disparités sous-régionales et inter-régionales de revenu par tête
IV-2.2-2. La β-convergence
IV-2.2-2.1. Tests de convergence absolue
IV-2.2-2.2. Tests de convergence conditionnelle
IV-2.2-2.3. Tests de clubs de convergence .
IV-3. La convergence des variables (indicateurs) conjoncturelles (ou convergence des Politiques économiques) et la convergence des variables (indicateurs) structurelles (ou convergence des structures) dans les unions monétaires de la Zone Franc en Afrique
IV-3.1- Présentation du modèle
IV-3.2- Source de données
IV-3.3- Analyse des données et examen de l’évolution des variables (indicateurs) de convergence conjoncturelle ou de politiques économiques des variables conjoncturelles de structure politiques et des structures économiques dans l’UEMOA et dans la CEMAC
IV-3.3-1. Les indicateurs (variables) de convergence conjoncturelle (ou convergence des politiques économiques )
IV-3.3-1.1.Evolution des taux d’inflation
IV-3.3-1.2. Evolution des taux de croissance du PIB
IV-3.3-2. Les indicateurs (variables) de convergence structurelle (o convergence des structures économiques)
IV-3.3-2.1. Evolution des taux d’endettement
IV-3.3-2.2. Evolution des soldes budgétaires en pourcentage du PIB
IV-3.3-2.3. Evolution des taux d’inflation
IV-3.4- Tests de convergence des politiques et des structures économiques
IV-3.4-1. Tests de convergence des variables conjoncturelles (ou convergence des politiques économiques)
IV-3.4-1.1.Tests de convergence des taux d’inflation annuels moyens
IV-3.4-1.2. Tests de convergence des taux de croissance du PIB
IV-3.4-2. Tests de convergence des variables structurelles (ou convergence des structures économiques)
IV-3.4-2.1. Tests de convergence des taux d’endettement
IV-3.4-2.2. Tests de convergence des Soldes budgétaires en pourcentage du PIB
IV-3.4-2.3. Tests de convergence des taux d’investissement
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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