BOSSUET ET LA REPRÉSENTATION DE LA MORT AU XVIIe SIÈCLE

LA RHÉTORIIQUE DE LA MORT À L’’ÂGE CLASSIIQUE BOSSUET

RHÉTORIQUE ET PRÉDICATION 

L’éloquence sacrée

Historique La rhétorique2 s’est imposée depuis une quarantaine d’années dans le champ des études littéraires3 . Le double contraste entre l’omniprésence contemporaine de la rhétorique et le silence sur la rhétorique sacrée d’un côté, entre ce silence et la présence considérable de l’éloquence de la chaire au XVIIe siècle de l’autre, mérite d’être considéré4 . Pour comprendre en quoi le croisement de la rhétorique et du christianisme fait difficulté, il faut remonter aux origines de la rhétorique. Art de penser et art de dire se sont à l’origine, c’est-à-dire pour l’Antiquité, recouverts exactement dans le cadre d’une culture orale, fondée sur un art de la mémoire et dont l’expression la plus haute était l’éloquence de l’orateur de l’agora, du forum, de la curie, éloquence codifiée et étroitement liée à la vie politique et sociale5 . Liée d’emblée à un projet pédagogique, la rhétorique s’inscrit dès l’Antiquité dans l’institution oratoire, destinée à former l’orateur politique et judiciaire, puis  dans le programme médiéval des arts libéraux : elle se place dans le trivium entre la grammaire et la dialectique6 . Si l’on considère la rhétorique comme une technique autonome, on manque son articulation à une théorie complexe des discours. C’est alors, seulement, que prend sens la réduction de la rhétorique à une de ses parties constitutives, l’ « elocutio ». Mais comment le discours littéraire, pour Aristote objet de la « poétique », a-t-il pu se trouver assujetti à la seule rhétorique de l’élocution ? Au travers de ces questions, tout à la fois théoriques et historiques, se lisent différents topoï, divers systèmes de représentations et d’évaluation7 . Comme on le voit, la rhétorique, à faire parler d’elle et pour elle-même, entraîne à ce genre qu’Aristote dit épidictique, qui dispense la louange ou le blâme. Pour parer au blâme, il convient d’articuler la rhétorique à une éthique – ce que fait Quintilien8 , à qui les orateurs chrétiens rendent hommage : la rhétorique sera vertueuse ou ne sera pas : La rhétorique, dont nous nous efforçons de fixer les règles et dont nous avons conçu l’image idéale, cette rhétorique qui convient à l’homme de bien et qui est, en un mot, la vraie rhétorique sera une vertu9 . Parce qu’elle est une technique, la rhétorique s’articule sur une méthode générale, la dialectique10. Il convient maintenant de souligner que la rhétorique est une spécialisation pratique de la dialectique, en ceci qu’elle vise explicitement trois genres de discours : délibératif, judiciaire, épidictique.

 Mise en place d’une rhétorique chrétienne : l’apport latin

Pour comprendre comment une rhétorique chrétienne va pouvoir néanmoins se mettre en place, il faut considérer en quelques mots l’apport latin, d’autant que c’est en latin que s’est pensée la rhétorique chrétienne.  Le système aléthique a quatre formes et se transforme comme suit : le nécessaire/le certain ; le contingent/le contestable ; le possible/le probable ; l’impossible/l’exclu. 18 L’épistémique se divise selon l’opinion, la croyance, le savoir. Le savoir étant la certitude, c’est-à-dire l’assentiment issu d’un fondement de connaissance qui est suffisant aussi bien objectivement que subjectivement. 39 évidemment décisif, envers qui Bossuet reconnaîtra sa dette dans un opuscule datant de 1669-1670, Sur le style et la lecture des Écrivains et des Pères de l’Église pour former un orateur19 : « Ce que j’ai appris du style (…), je le tiens des livres latins, et un peu des Grecs20 » ; et parmi les Latins, il nomme en premier lieu Cicéron, pour le De Oratore, L’Oratore, le Pro Murena, Le Pro Marcello, « quelques Catilinaires, quelques Philippiques21 . » Mais ce n’est pas seulement sur le plan du style que la rhétorique chrétienne est redevable de Cicéron, c’est aussi sur le plan technique et conceptuel car techniquement, Cicéron a défini pour la postérité les trois tâches de l’orateur – instruire (docere), plaire (delectare), émouvoir (movere) 22 – et conceptuellement il est celui qui a voulu revenir sur le divorce constaté et déploré par Platon entre rhétorique et philosophie pour réconcilier sagesse et éloquence23 . Un facteur de sens contraire va cependant interférer pour retarder jusqu’au IVe/Ve siècles la fondation d’une rhétorique chrétienne.  Cette tripartition est déjà en germe chez Aristote, avec la distinction des preuves logiques, éthiques et pathétiques. La tripartition aristotélicienne de l’ethos, du pathos et du logos peut être décrite comme une triple convention : le logos, le discours, est une construction de l’esprit humain qui invente des arguments pour présenter une réalité sous un certain jour. Le pathos, grâce auquel doit se produire la persuasion, est obtenu par un ensemble de figures et de mises en scène propres à produire la persuasion. Loin d’être une comédie, une mascarade ou une duperie, cette mise en scène, cette fiction, n’est possible que parce que la rhétorique entretient un rapport conventionnel au langage. oratoire de Quintilien (1er siècle après Jésus-Christ). Aristote avait distingué trois parties dans la rhétorique. On entend par « parties » les phases par où passe nécessairement la genèse du discours : la découverte des preuves (inventio), leur organisation, autrement dit, le plan du discours (dispositio) et leur expression, autrement dit le style (elocutio). L’invention (inventio) est la phase de la conception. Il faut trouver le thème essentiel et les arguments qui vont servir. Pour Aristote, ces arguments sont de deux types, l’exemple et l’enthymème24 . La codification de cet art est la topique, ou étude des lieux (topoï 25), partie essentielle de l’invention. Mais l’invention ne consiste pas seulement à trouver des arguments ; il faut les rendre sensibles au cœur. Persuader, c’est à la fois déduire et séduire. Pour cela, une étude du logos, de l’éthos et du pathos s’impose pour comprendre la prédication de Bossuet.  « L’exemple est un fait réel ou fictif qui permet l’induction et le raisonnement par analogie. Ce genre de preuve, faible mais frappante, est approprié au genre délibératif. L’enthymème est une déduction, une sorte de syllogisme « mou » ; car ses prémisses ne sont pas évidentes mais seulement vraisemblables. Il est approprié surtout au genre judiciaire. Il consiste à poser des prémisses vraisemblables pour les juges et à en tirer comme conclusion ce dont on veut les persuader. On le voit, la rhétorique est bien l’art de prouver le pour et le contre, ou du moins de donner ses chances à l’un comme à l’autre. »  Le lieu (topos) est un terme aussi usuel qu’ambigu. Il peut désigner au moins trois choses : le lieu est un argument type qui peut servir à tel moment de n’importe quel discours. Dans l’exorde, on s’excuse de son inhabileté à parler par exemple. Mais si le contenu des lieux varie avec les âges, il y a toujours des lieux. Est lieu tout élément de preuve, tout ce dont on peut tirer argument. Distinguons les lieux « extrinsèques », comme les pièces à conviction, et les lieux « intrinsèques », opinions générales. Les lieux sont enfin des questions très générales qu’on peut poser dans n’importe quel cas, et qui permettent d’argumenter pour ou contre : « les lieux sont les étiquettes des arguments sous lesquels on va chercher tout ce qu’il y a à dire dans l’un ou l’autre sens »  La rhétorique utilise, dès ses fondements, trois notions centrales dans la pensée grecque et latine, que résume Cicéron lorsqu’il dit que la rhétorique consiste à « prouver la vérité de ce qu’on affirme, se concilier la bienveillance des auditeurs, éveiller en eux toutes les émotions qui sont utiles à la cause », Cicéron, L’Orateur, Paris, Les Belles Lettres, coll. « Bude Serie Latine », 2001. Michel Meyer les nomme les « instances oratoires », dont les relations déterminent les genres rhétoriques ou « institutions oratoires » 41 Le logos27 représente le raisonnement et le mode de construction de l’argumentation. Il s’adresse à l’esprit rationnel de l’interlocuteur, au sens logique et dépassionné. C’est à lui que l’on pense en premier quand on parle de convaincre. Roland Barthes affirme : « Par le raisonnement, il s’agit de faire une violence juste à l’esprit de l’auditeur, dont le caractère, les dispositions psychologiques, n’entrent pas alors en ligne de compte : les preuves ont leur propre force28. » Pour Michel Meyer, « argumenter est ainsi inhérent à la nature du discours, de son emploi et de sa contextualisation intersubjective. Le logos sert à questionner et à répondre29. » (juridique, politique, littéraire ou économico-publicitaire principalement), Meyer, Michel, La rhétorique, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je ? N° 2133 », 2004. La tripartition aristotélicienne de l’ethos, du pathos et du logos peut être décrite comme une triple convention : le logos, le discours, est une construction de l’esprit humain qui invente des arguments pour présenter une réalité sous un certain jour. Le pathos, grâce auquel doit se produire la persuasion, est obtenu par un ensemble de figures et de mises en scène propres à produire la persuasion. Loin d’être une comédie, une mascarade ou une duperie, cette mise en scène, cette fiction, n’est possible que parce que la rhétorique entretient un rapport conventionnel au langage. Voir Argumentation et Rhétorique, vol. I, Paris, Hermès, 1991. 27 Selon le dictionnaire Le Robert, le mot « logos » est un mot grec signifiant à la fois « parole » et « raison ». Il évoque notamment une faculté propre à l’homme d’appréhender le monde en utilisant le langage au service de la raison. Rey, Alain (éd.), Le Robert. Dictionnaire analogique de la langue française, Tome VI, article « Logos », Paris, Le Robert, 1986, p. 54-55. 28 Voir Barthes, Roland, éd. cit., p. 198. Ce n’est pas parce qu’une prédication est de l’ordre du spirituel qu’elle doit faire l’économie d’un raisonnement rigoureux et être empreinte d’une pensée riche et profonde. Les vérités spirituelles qu’une prédication développera en s’appuyant sur le texte biblique ont donc besoin d’être démontrées méthodiquement, avec rigueur et honnêteté. Il est important de suivre une logique en prêchant ; c’est pourquoi on gagnera à suivre un plan bien défini. Il ne s’agit pas de s’enfermer dans un traditionnel plan « introduction, trois parties égales, conclusion » parfois présenté comme modèle inamovible. 29 Meyer, Michel, Principia Rhetorica. Une théorie générale de l’argumentation, Paris, Fayard, 2008, p. 168, « Le but n’est pas de transformer le sermon en présentation technique, ou en une conférence inabordable pour certains. On cherchera à allier simplicité et intelligence qui ne sont pas contradictoires, bien au contraire. Ce n’est pas parce qu’un argument a l’air compliqué qu’il est perçu comme plus véridique. S’il ne s’agit pas de présenter des évidences ou des banalités pour susciter l’adhésion, le plus efficace sera d’exposer des vérités qui seront accessibles et limpides et qui répondront aux questions que les auditeurs peuvent se poser. Il s’agit 42 Parce que la prédication a pour but de générer des choix de la part des auditeurs, celle-ci doit encourager à une prise de décision. Or, une décision se prend comme le fruit d’un processus en plusieurs étapes que sont : l’information, la conviction, le désir et enfin l’action. La dimension du logos d’une prédication contribuera aux deux premières étapes de ce processus. Ce n’est pas parce qu’une prédication est de l’ordre du spirituel qu’elle doit faire l’économie d’un raisonnement rigoureux et être empreinte d’une pensée riche et profonde. Les vérités spirituelles qu’une prédication développera en s’appuyant sur le texte biblique ont donc besoin d’être démontrées méthodiquement, avec rigueur et honnêteté. Il est important de suivre une logique en prêchant ; c’est pourquoi on gagnera à suivre un plan bien défini. Il ne s’agit pas de s’enfermer dans un traditionnel plan « introduction, trois parties égales, conclusion » parfois présenté comme modèle inamovible30 . Si donc une prédication qui persuade s’appuiera sur la dimension du logos en tant que démarche logique et argumentée, le caractère spécifiquement chrétien de ce mode de communication invite à considérer le logos dans une dimension plus vaste. En effet, le mot logos a un sens qui s’est élargi avec le temps, pouvant prendre des sens variés. Même dans la philosophie, il a pu avoir une dimension bien entendu non seulement de donner des informations, mais aussi de les partager en montrant leur exactitude et leur pertinence. La dimension du logos d’une prédication agira donc comme un socle sûr et solide sur lequel pourra se construire un choix réfléchi et engageant pour l’auditeur. » 30 Si ce modèle n’a rien de mauvais, il n’est pas la seule option. L’essentiel n’est pas tant dans la forme que prendra le plan d’une prédication que précisément dans le fait d’en avoir un, que le prédicateur suivra et que les auditeurs pourront distinguer, ce qui facilitera leur compréhension et la mémorisation du message prêché. 43 spirituelle31, mais il prendra un sens encore plus spécifique dans le Nouveau Testament. D’après Vulliez, Hyacinthe le terme logos dans le Nouveau Testament désigne souvent le message32 . En d’autres termes, on peut affirmer que s’appuyer sur le logos pour un prédicateur revient non seulement à présenter un message qui offre un raisonnement sans reproche, mais aussi qui s’appuie d’une part sur la Bible en tant que Parole de Dieu, et d’autre part sur Jésus-Christ en tant que Parole incarnée33 . Le pathos34 est l’ensemble des émotions que l’orateur cherche à provoquer chez ses interlocuteurs. Ce mot grec que l’on peut traduire par « souffrance », « passion » évoque donc la nécessité de ne pas laisser l’auditeur indifférent. Il ne s’agit pas bien entendu de le faire « souffrir » au sens premier du terme mais en quelque sorte de le déplacer, de le surprendre, de l’étonner, de susciter chez lui 31 Si le terme logos « était très employé chez les Grecs, surtout depuis Héraclite (vers 550-480 av. J.-C.), il a pris des sens variés suivant les périodes et les écoles. Les stoïciens en firent « le principe divin qui pénètre et gouverne le monde ». Quant à Philon d’Alexandrie (vers 20 av. J.-C.), philosophe juif de la diaspora grecque, il employa le mot logos près de 1200 fois dans ses œuvres. Pour lui, il était « une émanation de Dieu, l’instrument de la création», Vulliez, Hyacinthe, Et la Parole prend chair, Paris, Cerf, 2002, p. 177. 32 (Marc 2.2 ; 4.33 ; 16.20 ; Luc 1.2 ; 5.1). Dans le Livre des Actes, il apparaît douze fois avec le sens d’évangile, de bonne nouvelle. Jean apporte une nouveauté radicale : le logos n’est plus le message mais Jésus-Christ lui-même, la personne historique et concrète de Jésus de Nazareth qu’il nomme par cette expression d’une portée inouïe : « parole incarnée » (Jean 1.1 ; 1.14 ; 1 Jean 1.1). Cité par Vulliez, Hyacinthe, éd. cit., p. 183. 33 Cette multiplicité de sens ou de référence n’est pas spécifiquement chrétienne. En effet, « cette indétermination du logos entre l’acte de dire et la chose dite, appartenance mutuelle du discours et de la chose, source d’abord de paradoxes sophistiques, dominera jusqu’au bout la pensée grecque », Auroux, Sylvain, (éd.), Les notions philosophiques. Dictionnaire, Tome 1, article « Logos », Paris, Presses Universitaires de France, 1990, p. 1501. 34 Rey, Alain, (éd.), Le Robert. Dictionnaire analogique de la langue française, Tome VII, article « Pathos », Paris, Le Robert, 1986, p. 1174 : « Partie de la rhétorique qui traite des moyens propres à émouvoir l’auditeur ; ensemble des mouvements, des figures qu’on employait pour y parvenir », 44 une forme de passion, avec des sentiments tels que l’enthousiasme, la pitié, la joie, la colère, la crainte, l’admiration35 . Le pathos revient presque à un choc, en tous cas, c’est tout ce qui affecte l’auditoire et modifie son jugement en conséquence. D’où l’importance qu’il y a à jouer sur ces affects, afin de provoquer une réaction, une réponse, que l’orateur espère conforme à ce qu’il souhaite36 . Toucher un auditoire consiste à relever les questions auxquelles il est sensible, qui l’émeuvent ou même le passionnent, en le problématisant dans ses valeurs ou dans son être. Les décisions doivent être éclairées et mûries par des arguments logiques, mais c’est dans la dimension affective que les choix se prennent. 

Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE 1 : RHÉTORIQUE ET PRÉDICATION
1.1 L’éloquence sacrée
1.1.1 Historique
1.1.2 Mise en place d’une rhétorique chrétienne : l’apport latin
1.1.3 Saint Augustin : le théoricien chrétien
1.2 Bossuet : Prédicateur et Théoricien
1.2.1 Le langage du Cœur
1.2.2 Bossuet : entre kénose et ornementation
2 CHAPITRE 2 : BOSSUET ET LA REPRÉSENTATION DE LA MORT AU XVIIe SIÈCLE
2.1 Le Récit invariant chrétien
2.2 Le Péché, La Mort et le Temps
2.3 L’Amour, la Grâce et la Foi
2.4 Les Œuvres
3 CHAPITRE 3 : L’ÉLOQUENCE DE BOSSUET
3.1 Prêcher avec persuasion
3.1.1 Le pouvoir d’action de la parole
3.1.2 Bossuet : le renversement rhétorique
3.2 Une éloquence qu’on croirait divine
3.2.1 Une parole paradoxale
3.2.2 Une parole adressée au cœur
Conclusion partielle
4 CHAPITRE 4 : BOSSUET ET LES PASTEURS PROTESTANTS : COALITION CONTRE L’ATHÉISME
4.1 Les représentations de l’athée
4.1.1 Extravagance et folie de l’impie
4.1.2 Le reniement du cœur
4.2 Etude comparée de styles
4.2.1 Oralité et théâtralité
4.2.2 Images et métaphores obsédantes
4.2.3 Une rhétorique interrogative
5 CHAPITRE 5 : DIRE ET FAIRE FAIRE
5.1 Un plan social d’inspiration divine
5.1.1 Le paradoxe de la pauvreté
5.1.2 Le plan social divin
5.2 Rhétorique de l’éloge et stratégie de contournement
5.2.1 Le discours encomiastique
5.2.2 La Providence
6 CHAPITRE 6 : VERS LA CONVERSION ET LA PÉNITENCE
6.1 L’exemplum ou la conversion par l’exemple
6.1.1 Méditer et se convertir
6.1.2 Le Christ : l’exemplarité de l’exemple
6.2 La répétition outil de la conversion
6.2.1 Une fonction dévotionnelle
6.2.2 Une pédagogie de la conversion
6.3 Le rythme de la mort
6.3.1 Emouvoir et consoler
6.3.2 L’action de la grâce et de la prédestination
6.3.3 Persuader et convaincre
Conclusion partielle

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