Effets sur les performances zootechniques des poulets de chair

Effets sur les performances zootechniques des poulets de chair

MAÏS ET SORGHO DANS L’ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR

VALEUR ALIMENTAIRE DU MAÏS ET DU SORGHO

Parmi le disponible céréalier de la zone tropicale, le maïs et le sorgho sont très utilisé dans la ration des volailles domestiques toutefois peu d’informations sont disponible sur leur valeur nutritive. C’est pourquoi les nutritionnistes utilisent les données obtenues sur le maïs et le sorgho d’Amérique du Nord ou d’Europe. 

VALEURS NUTRITIONNELLES DU MAÏS

Originaire de l’Amérique centrale notamment du Mexique (F.A.O. 1993), le maïs est une céréale de choix dans l’alimentation des poulets de chair (Smith, 1992). Ceci se justifie par la bonne digestibilité de sa matière organique avec un TDN (Nutriment Digestible Total) estimé à 80,75% ainsi que sa valeur énergétique élevée, 3432Kcal/kg (Ferrando, 1976). Ainsi, l’alimentation animale représente 35% des débouchés du maïs (Figure 4).  Source : ONIC Figure 4 : Répartition des utilisations du maïs Tableau VII Valeur énergétique et composition du maïs Composition Teneur [1] Teneur [2] Energies (kcal/kg) 3300,0 – Matière sèche (%) – 86 Protéines (%) 9,0 8,7 Lipide (%) 3,9 4 Humidité (%) 10,0 14 Fibres (%) 3,0 2,7 Calcium (%) 0,2 0,02 Phosphore (%) 0,4 0,28 Lysine (%) 0,2 0,25 Méthionine (%) 0,2 0,19 Source 1: Seshaiah (2000) 2 : Anselme (1987) Répartition des utilisations du maïs: ( Millions de tonnes Moyenne 99/2000 à 2001/2002 Source ONIC) 10% 48% 35% 4% 1% 2% Exportation des produits exportation des grains Alimentation animale Amidonerie Semoulerie Semences et autres Thèse vétérinaire                                                                                Paul Armand AZEBAZE 42 2.1.1.1. Composition chimique du maïs Plusieurs études ont été menées pour étudier la composition chimique du maïs, les résultats diffèrent sensiblement selon la zone de culture. Mais bon nombre d’auteurs reconnaissent que le maïs contient peu de cellulose (2,7% de MS) (Ferrando, 1969) et une proportion relativement élevée de matière grasse (4,8% de MS) (F.A.O., 1993). Par contre, le maïs est pauvre en protéines (8% de la MS) (Smith, 1992) et presque dépourvu du sodium (0,01% de la MS) et du calcium (0,01% de la MS) (Larbier et Leclercq, 1992). Son phosphore lié sous forme de phosphore phytique est pratiquement indisponible en raison du faible taux de phytase dans cette céréale. Le phosphore total est estimé à 0,31% de la MS et le phosphore disponible à 0,06% de la MS (Larbier et Leclercq, 1992). Selon les mêmes auteurs la teneur en amidon du maïs est élevée (72,5% de MS), celle en sucre est faible (2,4% de la MS). Enfin le maïs contient une quantité importante de pigments xanthophylles, environ 25ppm (Larbier et Leclercq, 1992). A la différence du sorgho, le maïs ne contient pas de facteurs antinutritionnels tels que les tanins.

Valeur énergétique

Le maïs a la valeur énergétique la plus élevée parmi les céréales, du fait de sa teneur en matière grasse élevée (Larbier et Leclercq, 1992). L’énergie métabolisable du maïs récolté au Sénégal est estimée à 3350 kcal/Kg alors qu’elle est estimée à 3798 kcal/kg pour le maïs récolté en France (Anselme, 1987).

Valeur protéique

Le maïs est généralement pauvre en protéines. La variabilité de ce paramètre est faible. L’écart type est de l’ordre de 7g/kg de protéine brute (Larbier et Leclercq, 1992). Selon ces mêmes auteurs, les protéines du maïs présentent un profil en acides aminés très déséquilibré : déficit en lysine, en tryptophane et excès en leucine (tableau VIII). Tableau VIII : Teneur du maïs en différents acides aminés Céréales Acides aminés Maïs Protéines brutes (%) 10,20 Lysine (%) 0,28 Méthionine (%) 0,22 Méthionine + Cystine (%) 0,44 Tryptophane (%) 0,07 Thréonine (%) 0,36 Glycine + Sérine (%) 0,78 Leucine (%) 1,28 Isoleucine (%) 0,40 Valine (%) 0,52 Histidine (%) 0,29 Arginine (%) 0,49 Phénylalanine + tyrosine (%) 0,96 Source : Larbier et Leclercq (1992) 

Digestibilité du maïs

La digestibilité d’un aliment indique son degré d’utilisation. Elle s’exprime quantitativement par le coefficient d’utilisation digestive (C.U.D). Le TDN introduit par les américains donne aussi une idée sur la digestibilité des aliments. D’une manière générale, le maïs présente une bonne digestibilité. Ceci s’explique par : ™ L’absence de facteurs antinutritionnels, tels que les tanins ; ™ une faible teneur en cellulose, en moyenne 2,5% de la matière sèche ; ™ une bonne digestibilité de l’amidon et des protéines. Ferrando (1969) rapporte les valeurs trouvées par quatre auteurs ayant travaillé sur la digestibilité des nutriments en maïs chez les volailles (tableau IX). Tableau IX : Coefficients de digestibilité établis pour le maïs Auteurs TDN % Bolton 82 Fraps 80 Kubota 80 Titus 81 Source : Balton, Fraps, Kubota et Titus cités par Ferrando (1969) Cette excellente digestibilité du maïs met à la disposition des volailles l’énergie contenue dans ses graines. 2.1.2. VALEURS NUTRITIONNELLES DU SORGHO Le sorgho est moins utilisé par rapport au maïs à cause de sa teneur en énergie qui est plus faible que celle du maïs, mais aussi à cause de la présence des tanins. Selon Seshaiah (2000) si le sorgho sans tanins est rendu disponible et est meilleur marché que le maïs, il peut être employé à 30% en alimentation de la volaille à la place du maïs. Le tableau X présente la valeur énergétique et la composition chimique du sorgho.  Tableau X : Valeur énergétique et composition chimique du sorgho Composition Téneur[1] Téneur [2] Energies (kcal/kg) 2650,0 – Matière sèche (%) – 88 Protéines (%) 10,0 9,5 Lipide (%) 3,0 3 Humidité (%) 9,0 12 Fibres (%) 4,0 2,43 Calcium (%) 0,2 0,05 Phosphore (%) 0,3 0,34 Lysine (%) 0,3 0,22 Méthionine (%) 0,3 0,16 Tanins (%) – 0,19 Source1 : Seshaiah (2000) 2 : Anselme (1987) 2.1.2.1. Composition chimique du sorgho Le sorgho a une forte teneur en amidon (70% de la MS), une proportion non négligeable en matières grasses (environ 3,3% de la MS). Il est légèrement plus riche en protéines que le maïs (11,4% de la MS) (F.A.O., 1990). De même, il est presque dépourvu de calcium (0,03% de la MS) et la disponibilité de son phosphore est faible (0,06% de la MS) (Larbier et Leclercq, 1992). Il est important de préciser que la composition chimique du sorgho varie en fonction des souches comme le montre le tableau XI.  Tableau XI : Composition chimique de quatre souches de sorgho cultivées en 1976 au Sénégal. Composition Souche de Sorgho MPB (%MS) MG (%MS) Amidon (%MS) Sucre (%MS) Cellulose brute (%MS) 114M 12,00 3,30 61,80 2,30 5,10 I450 18,70 2,90 58,70 2,40 3,80 X4010 14,80 4,20 66,70 2,30 2,40 X4053 14,70 4,00 70,10 2,30 1,60 Source : Anselme (1987) MPB : Matières Protéiques Brutes MG : Matières Grasses MS : Matières Sèches

Valeur énergétique

Le sorgho est riche en énergie métabolisable à cause de sa forte teneur en amidon et de la présence non négligeable de matières grasses. La teneur en tanin réduit cette valeur énergétique. Larbier et Leclerq (1992) ont trouvé qu’une teneur en tanins de 1% réduit la valeur énergétique. De même, Fuol et al. cité par Gualtieri et Rapaccini (1990), ont montré que, lorsque la teneur en tanins du sorgho passe de 0,2 à 0,02%, son énergie métabolisable augmente de 2617 à 3516 kcal/kg d’aliment. 2.1.2.3 Valeur protéique Le taux protéique du sorgho (11,4% de la MS) est supérieur à celui du maïs (Smith, cité par Vias 1995). Selon Labier et Leclerq (1992), les acides aminés du sorgho sont relativement équilibrés. Le sorgho est pauvre en acides aminés  soufrés. En effet, il est riche en leucine, en phénylalanine, et pauvre en lysine, méthionine et tryptophane (tableau XII). Tableau XII : Teneur du sorgho en différents acides aminés Source : Larbier et Leclercq (1992) 

Minéraux et vitamines

Les teneurs en macro-éléments dans les grains de sorgho sont comparables à celles des autres céréales. Comme elles, le sorgho est carencé en la plupart des éléments minéraux. Selon Sauvant et al. (2002), nous avons des teneurs de 3,24g/kg MS en phosphore et 0,35g/kg MS en calcium dans du sorgho grain. Dans tous les cas, des complémentations sont nécessaires. L’apport de phosphore pose toujours d’avantage de problème que pour les autres éléments minéraux. Ce ne sont pas les solutions de supplémentation qui font défaut, mais leur utilisation doit être raisonnée sur deux plans : ƒ cet élément coûte beaucoup plus cher que le calcium ou le sodium, l’excès de phosphore dans une ration alimentaire est donc néfaste au plan économique pour l’élevage. Mais cela est également néfaste sur le plan Céréales Acides aminés Sorgho Protéines brutes (%) 12,00 Lysine (%) 0,28 Méthionine (%) 0,19 Méthionine + Cystine (%) 0,40 Tryptophane (%) 0,11 Thréonine (%) 0,40 Glycine + Sérine (%) 0,78 Leucine (%) 1,66 Isoleucine (%) 0,53 Valine (%) 0,66 Histidine (%) 0,26 Arginine (%) 0,47 Phénylalanine + tyrosine (%) 1,14  écologique, car éliminé sous forme de phosphate il est polluant dans l’environnement. ƒ la difficulté ne s’arrête pas là, car le phosphore contenu dans les grains est à 70% sous forme de phosphore phytique, c’est à dire inclus dans la structure moléculaire des ions phytates (facteur antinutritionnel) donc peu disponible pour l’animal qui les consomme. Le sorgho ne contient quasiment pas de phytases endogènes, à la différence du blé et plus encore du seigle, dans lesquels ces enzymes améliorent beaucoup la disponibilité du phosphore et de nombreux autres oligo-éléments. Le grain de sorgho est une source relativement riche de vitamines hydrosolubles du groupe B. Les concentrations de thiamine, de riboflavine et de niacine dans le sorgho sont comparables à celles du maïs. Les autres vitamines du complexe B présentes dans le sorgho en quantités significatives sont la pyridoxine, l’acide folique, l’acide pantothénique et la biotine (Sauvant et al. 2002). Le sorgho-grain, consommé comme concentré, n’est pas source de vitamine C. On trouve par contre dans la graine de sorgho des quantités détectables de vitamines liposolubles, à savoir D, E et K. Leur concentration n’est pas très différente de ce qu’on trouve dans le maïs. La vitamine A constitue par contre une différence notable, car le sorgho n’en contient pas du tout à la différence du maïs. Certaines variétés de sorgho à endosperme jaune contiennent du bêta-carotène qui pourrait être transformé en vitamine A. Mais compte tenu du caractère photosensible des carotènes et de la variabilité due aux facteurs environnementaux, ce précurseur de la vitamine A est négligeable. 2.1.2.5. Facteurs antinutritionnels On considère traditionnellement que les grains de sorgho sont dévalorisés par leur teneur en tanins. Ces molécules sont des polymères de polyphénols. Il existe  deux types de tanins : les premiers sont dit hydrolysables et portent peu à conséquence ; les seconds, dis condensés sont défavorables sur le plan nutritionnel. Les variétés de sorgho riches en tanins contiennent généralement le type condensé, et selon Larbier et Leclercq (1992) les tanins condensés sont des composés plus ou moins polymérisés de 4 à 6 flavines hydroxylés. Quant aux tanins hydrolysables, selon les mêmes auteurs, ce sont des composés constitués d’acides phénoliques et d’oses. La particularité de ces facteurs antinutritionnels est de se lier aux protéines et d’entraîner leur précipitation surtout dans la lumière du tube digestif, formant ainsi des complexes résistants aux attaques enzymatiques. Cette propriété confère à l’aliment un caractère astringent et diminue ainsi fortement son appétence. Hulse et al. Cités par Ibrahim et al. (1988) ont montré que les tanins inhibent l’activité des enzymes notamment les amylases et les protéases. Asquith et Butler (1986) ont confirmé ces résultats en montrant que les tanins inhibent l’activité des enzymes du tube digestif, ce qui a un effet négatif sur l’utilisation des protéines. La sensation de dessèchement de la muqueuse buccale, provoquée par la formation de complexes entre les tanins et les amylases salivaires, est donc fortement pénalisante dans le cadre de l’alimentation animale, car toute baisse d’ingestibilité diminue l’intérêt de l’aliment. Chez les volailles en général et le poulet de chair en particulier ils réduisent la consommation alimentaire (Rostango et al. 1973), la digestibilité et la rétention azotée (Stephens et al. 1972). Ce caractère antinutritionnel entraîne certaines conséquences chez les volailles : ™ Retard de croissance chez les poussins alimentés avec des sorghos à forte teneur en tanins (Salunkhe et al. cité par Loul., 1998) ;  ™ le changement de goût de la viande (Pelerson cité par Gualtieri et Rappacini, 1990) ; ™ des anomalies des pattes caractérisées par une courbure avec élargissement des jarrets (Gualtieri et Rappacini, 1990) ; ™ la réduction de la production, du poids et de la qualité des œufs (Armanov et al. Cité par Gualtieri, 1990). Certains effets antinutritionnels du sorgho à teneur élevée en tanins sont dus à des flavonoïdes associés à faibles poids moléculaires qui sont facilement absorbés, empêchant l’utilisation métabolique des produits alimentaires digérés et absorbés (Butler, 1988 ; Mehansho et al., 1987). Ces effets antinutritionnels n’influencent plus significativement la digestibilité de l’énergie et des protéines chez les volailles, si leur concentration est inférieure à 2,6 g/kg (soit 0,26%) (Mcnab J.M., Boorman K.N., 2002). Le sorgho pauvre en tanins qu’on rencontre en Afrique ne présente pas ces inconvénients (Anselme, 1987). 

Digestibilité du sorgho

Un aliment ne remplit son rôle que si l’animal l’ingère et peut le digérer. La digestibilité est la proportion de l’aliment brut ou de ses nutriments, assimilable par l’organisme au cours du passage dans le tube digestif. Un aliment concentré, comme une céréale, est généralement bien consommé par tous les animaux, sauf en cas de perturbation par un facteur antinutritionnel, par exemple. La digestibilité du sorgho dépend de sa teneur en tanins. Ce dernier à une action néfaste sur la digestibilité des protéines. Rostango et al, cite par Gualtieri et Rapaccini (1990) montrent que la digestibilité apparente des acides aminés du sorgho riche en tanins est de 22% alors que cette valeur est de 71% chez les sorghos ayant une faible teneur en tanins.

Table des matières

PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR L’ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR AU SENEGAL
I.1. DIGESTION CHEZ LA VOLAILLE
I.2. GENERALITES SUR L’ALIMENTATION DES POULETS
I.3.BESOINS ALIMENTAIRES DU POULET DE CHAIR
I.3.1. DIFFRENTS TYPES DE BESOINS ET RECOMMANDATIONS
I.3.1.1. Besoins en eau
I.3.1.2. Besoins en énergie
a). Souche
b). Régime alimentaire
c). Température ambiante
1.3.1.3. Besoins en protéines et acides aminés
a) Souches
b) Régime alimentaire
c) Température ambiante
1.3.1.4. Besoins en minéraux
1.3.1.5. Besoins en oligo-éléments et en vitamines
1.3.1.6. Besoins en cellulose
1.4 MATIERES PREMIERES COURAMMENT UTILISEES ET LEURS APPORTS
1.4.1. SOURCES D’ENERGIE
1.4.1.1. Céréales
1.4.1.2. Sous-produits des céréales
1.4.1.3. Matières grasses
1.4.2. SOURCES DE PROTEINES
1.4.2.1 Sources de protéines végétales
1.4.2.1.1. Tourteau de soja
1.4.2.1.2. Tourteaux d’arachide et de coton
1.4.2.1.3. Levures
1.4.2.2. Sources de protéines animales
1.4.2.2.1. Farines de poisson
1.4.2.2.2. Farine de sang
1.4.3. SOURCE DE MINERAUX ET DE VITAMINES
CHAPITRE 2 : MAÏS ET SORGHO DANS L’ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR
2.1. VALEUR ALIMENTAIRE DU MAÏS ET DU SORGHO
2.1.1.1. Composition chimique du maïs
2.1.1.2. Valeur énergétique
2.1.1.3. Valeur Protéique
2.1.1.4. Digestibilité du maïs
2.1.2. VALEURS NUTRITIONNELLES DU SORGHO
2.1.2.1. Composition chimique du sorgho
2.1.2.2. Valeur énergétique
2.1.2.3. Valeur protéique
2.1.2.4. Minéraux et vitamines
2.1.2.5. Facteurs antinutritionnels
2.1.2.6. Digestibilité du sorgho
2.2. ADAPTATION DU SORGHO AU REGIME DES
VOLAILLES
2.2.1. ESSAIS DE SUBSTITUTION DU MAÏS PAR LE SORGHO
2.2.2. CONSOMMATION ALIMENTAIRE ET INDICE DE CONSOMMATION
2.2.3. PERFORMANCES DE CROISSANCE ET D’ENGRAISSEMENT
2.2.4. RENDEMENT DE LA CARCASSE
2.2.5. VITALITE ET MORTALITE
DEUXIEME PARTIE : EVALUATION DE L’EFFET DE LA SUBSTITUTION DU SORGHO PAR LE MAÏS SUR LES PERFORMANCE ZOOTECHNIQUES DES POULETS DE CHAIR
CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODE
2.1. SITE DU TRAVAIL ET PERIODE D’ETUDE
2.2. CHEPTEL EXPERIMENTAL
2.3. MATERIELS UTILISES
2.4. RATION ALIMENTAIRE
2.5. METHODE
2.51. CONDUITE DES OISEAUX
2.5.1.1. Préparation du local
2.5.1.2. Arrivée et démarrage des poussins
2.5.1.3. Croissance et finition : Conduite de l’essai
2.5.1.3.1. Pesées hebdomadaires et détermination du rendement carcasse
2.5.1.3.2. Mesure de la consommation alimentaire
2.5.2‐ ABATTAGE DES ANIMAUX
2.5.3 – CALCUL DES VARIABLES ZOOTECHNIQUES
2.6. ANALYSE STATISTIQUE DES RESULTATS
Thèse vétérinaire Paul Armand AZEBAZE
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSIONS
2‐1 RESULTATS
2‐1‐1 EFFETS DE LA SUBSTITUTION SUR LA CROISSANCE
2‐1‐1‐1 Le poids vif des oiseaux
2 ‐1‐1‐2 la vitesse de croissance des oiseaux
2‐1‐2 EFFETS DE LA SUBSTITUTION SUR LA CONSOMMATION ET L’EFFICACITE
ALIMENTAIRE
2‐1‐3 EFFETS DE LA SUBSTITUTION SUR LA CARCASSE
2‐1‐4 EFFET DE LA SUBSTITUTION SUR LA MORTALITE.
2‐1‐5 DONNEES ECONOMIQUES
2.2. DISCUSSION
2.2.1 EFFET DE LA SUBSTITUTION SUR LE POIDS VIF CORPOREL ET LE GAIN MOYEN QUOTIDIEN
2.2.2 EFFETS DE LA SUBSTITUTION SUR LA CONSOMMATION ET L’INDICE DE
CONSOMMATION
2.2.3 EFFETS DE LA SUBSTITUTION SURLA CARCASSE
2.3 RECOMMANDATIONS
2.3.1 RECOMMANDATION EN DIRECTION DES AGRICULTEURS
2.3.2 RECOMMANDATION EN DIRECTION DES FABRIQUANTS D’ALIMENT ET ACTEURS DE L’ALIMENTATION ANIMALE
II.3.3 RECOMMANDATION EN DIRECTION DE L’ETAT
CONCLUSION

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