Inventaire et écologie des oiseaux nicheurs dans les Djebels des hauts plateaux

Inventaire et écologie des oiseaux nicheurs dans les Djebels des hauts plateaux

Synthèse climatique

L’établissement d’une synthèse des facteurs climatiques à savoir la pluviométrie et la température fait appel à l’étude des deux paramètres suivants :  Le diagramme pluviométrique de Bagnouls et Gaussen.  Le quotient pluviométrique d’Emberger. 

Diagramme pluviométrique de Bagnouls et Gaussen 

Le diagramme pluviométrique de Bagnouls et Gaussen nous permet de mettre en évidence la période sèche et humide de notre zone d’étude (Bagnouls et Gaussen, 1957). Un mois est biologiquement sec lorsque le rapport précipitation (P) sur température (T) est inférieur à 2 (P/T<2). Sur la base de l’équation P = 2T, nous avons réalisé le diagramme pluviométrique de la région d’étude. Selon Bagnouls et Gaussen, une période sèche est due aux croisements des courbes de température et des précipitations. Cette relation permet d’établir un histogramme pluviométrique sur lequel les températures sont portées à une échelle double des précipitations. – Guelma : L’analyse du diagramme (Figure 03) montre que la période sèche est d’environ 05 mois. Elle s’étend du mois de juin jusqu’au mois d’octobre, tandis que la période humide s’étend du mois de novembre jusqu’au mois de mai. – La wilaya de Mila montre une alternance de deux période, l’une humide s’étalant sur sept mois a peut prés, du début de novembre jusqu’à mai, et l’autre sèche de cinq mois, de juin jusqu’au début d’octobre (Figure 05). – Oum El-Bouaghi, Souk-Ahras et Constantine : le diagramme pluviométrique (figure 04. 06 et 07) nous montre un allongement de la période sèche qui s’étale du mois de mai au mois de septembre, alors que le climat méditerranéen est caractérisé par une période sèche essentiellement estivale. – Annaba : d’après le diagramme de Gaussen pour la période 1980-2014 (Figure 08), on remarque deux périodes distinctes : l’une sèche débutant à la fin du mois d’avril jusqu’au début du mois d’octobre, l’autre humide qui commence de la fin du mois d’octobre jusqu’au mois d’avril. – Les courbes pluviométriques ainsi établies, nous ont permis de visualiser deux saisons distinctes pour les wilayas d’El-Tarf et Skikda : l’une sèche de mai à septembre et l’autre humide d’octobre à avril (Figure 09, 10). Figure 03 : Diagramme pluviométrique de la Figure 04 : Diagramme pluviométrique de la région de Guelma (2000-2015). région de Souk-Ahras (2000-2015). Figure 05 : Diagramme pluviométrique de la Figure 06 : Diagramme pluviométrique de la région de Mila (2000-2015). région de Constantine (2000-2015).  Figure 07 : Diagramme pluviométrique de la Figure 08 : Diagramme pluviométrique de la région de Ouem El-Boiaghi (2000-2015). région d’Annaba (2000-2015). Figure 09: Diagramme pluviométrique de la Figure 10 : Diagramme pluviométrique de la région de Skikda (2000-2015). région d’El-Tarf (2000-2015). 

Climagramme d’Emberger

L’indice pluviométrique d’Emberger nous aide à définir les cinq étages bioclimatiques méditerranéens, du plus aride jusqu’à celui de haut montage (Emberger, 1955). Son principe se base sur le régime des précipitations et des températures qui s’expriment selon, la formule suivante: Q2= quotient pluviométrique d’Emberger. P= précipitation annuelle moyenne (mm). M= Température des maxima du mois le plus chaud (°K). m= Température des minima du mois le plus froid (°K). Figure 11: Situation des wilayas dans le climagrame d’Emberger (2000-2015). Ch

Chois des sites 

Description de site de reproduction

Le ravin de Ras El Maa (36°15’53.27″N- 7°29’1.73″E) a une longueur (507 m), une élévation (1021 m) et une altitude (65 m) au niveau de sol, c’est l’une plus importants la falaise de la wilaya de Guelma qui est située dans la région de Bouhachana, dont la distante entre les deux régions est 28 km de Guelma, relevant de la daïra de Khezaras, la commune de Bouhachana. Elle a été créée lors du dernier découpage administratif de 1985, et elle est réputée pour son relief montagneux, et ses saisons hivernales particulièrement rigoureuses où les chutes de neige sont tés fréquentées. Perchée à 905 m d’altitude, couvrant une superficie de 62 km2 et abritant 5 597 habitants, cette commune rurale englobe 24 mechtas dont les plus importantes sont celles de Ras-El-Ma, Aouicha, Gaâ El-Kef, El Berd, Guergour et El-Hammam. Durant la période de reproduction beaucoup de rapaces fréquentent cette falaise, il est considéré comme un site important pour la nidification. Figure 12 : carte de situation géographique de la région d’études (Boumaaza O). CHAPITRE II : Matériel et méthodes 29 Figure 13 : photo de la falaise Ras El Maa 14.05.2015 (Boumaaza O). 

Matériel et méthodes

Ce chapitre est consacré à la présentation de la méthodologie appliquée dans les stations d’études. La mise en place d’un inventaire des communautés d’oiseaux dans un espace aussi vaste que celui de Nord-est de l’Algérie, doit répondre à plusieurs contraintes : – Caractérisation spatiale en vue d’une analyse des relations entre l’avifaune et l’habitat. – Rapidité d’exécution. – Simplicité et répétitition. La caractérisation des habitats, nous permet une stratification pour le choix des unités d’échantillonnages (stations) représentatives des différents habitas de la région d’étude. La rapidité d’exécution permet de mettre en place suffisamment d’unités d’échantillonnage et d’effectuer plusieurs répétition afin d’appréhender au mieux les exigences des communautés et des espèces.

Les méthodes d’inventaire des rapaces

Le but de cette étude est de recenser et inventorier les espèces de rapaces aussi bien diurnes que nocturnes, dans cette région de l’Algérie. Pour l’identification des oiseaux de proie, nous avons utilisé des guides ornithologiques spécialisés à savoir : Clark, (1999) ; Ferguson-Lees et Christie, (2001), et Kemp et Kemp, (1998). Celui sur les Oiseaux d’Afrique de l’Ouest, de Borrow et Demey, (2001), a également été employé. Pour la reconnaissance des noms vernaculaires des espèces de rapaces inventoriés, nous avons eu recourt à la check-list de l’African Bird Club (Lack, 2004).

Les rapaces diurnes

Notre travail d’inventaire a fait appel à la méthode de dénombrement routier (Johnson, (1978) ; Fuller et Mosher, (1981) ; Bibby et al., (2000), afin de déterminer les abondances relatives de chaque espèce de rapace et d’établir des comparaisons avec des données similaires, tant plus anciennes que récentes, concernant la sous-région. De ce fait, nous avons considéré que c’est la méthode appropriée pour la réalisation des inventaires des rapaces diurnes.

 Les rapaces nocturnes

Pour les rapaces nocturnes (hiboux et chouettes), des sorties nocturnes ont été réalisées en employant la méthode des stations d’écoute et de « play-back ». Nous avons essayé d’effectuer le maximum des sortis nocturnes, sachant que dons le pratique, il est fort difficile de mener à bien le programme après les longues journées consacrées aux dénombrements routiers diurnes. 

Types d’habitat

Les transects routiers traversaient une grande variété d’habitats, qui ont été regroupés selon trois catégories : le domaine rural, les aires protégées et les villes. Le domaine rural comprend des territoires soumis à une utilisation humaine, principalement l’agriculture et l’élevage, mais également des petits hameaux. Ce milieu rural, qui s’avère prédominant au voisinage des routes inventoriées, recouvre en fait des zones fortement dégradées et converties à l’agriculture (intensive et extensive) et à l’élevage. Le terme d’« Aires protégées » comprend les Parcs nationaux, les réserves de faune, et les forêts classées bénéficiant d’un certain degré de protection. Nous pouvons donc, les considérer connu des sites d’où les activités humaines sont, en principe, absentes ou restreintes. I.5. Méthodes d’analyse du peuplement avien selon le statut phénologique : La détermination du statut phénologique des rapaces de la région d’étude passe par la séparation entre les espèces résidentes et les espèces migratrices.  Les Nicheurs sédentaires : se sont les espèces présentes toute l’année, et se reproduisent sur le territoire Nord-est de l’Algérie. Leur nombre est augmenté par des individus de passage en période de migration.  Les Nicheurs migrateurs : Ce sont des espèces présentes au niveau du territoire de la région d’étude durant la période de reproduction (mars à aout).  Les nicheurs occasionnels : se sont des espèces ne se reproduisant pas chaque année au niveau de Nord-est de l’Algérie. Généralement, ses espèces ont un statut hivernant ou de visiteuse passagers.  Les hivernants : Ce sont les espèces qui apparaissent vers la fin de l’été et résident jusqu’à la fin de l’automne.  Le visiteur de passager : Ce sont des migrateurs stricts, observés pendant leurs passages entre l’Europe et l’Afrique subsaharienne.

Méthode d’analyse du peuplement avien selon les origines biogéographique

La distribution des espèces aviennes signalées dans la région d’étude est étudiée en fonction de leur origine biogéographique, suivant la classification de Voous (1960). L’auteur expose 13 types fauniques au sein des populations d’oiseaux. En effet Blondel et al (1978), regroupe ces types fauniques en 5 principales catégories. Elles sont qualifiées de méditerranéenne, holarctique, paléarctique, européenne, et européo-turkestanienne (tableau 13). (Tableau 09) : Composition faunistique selon les origines biogéographique. Catégories fauniques types fauniques Méditerranéenne Méditerranéen, Indo-africain, turkestano-  méditerranéen, paléoxéromontagnard, Holarctique Holarctique, vieux Monde (ancien monde) Paléarctique et paléo-montagnarde Paléarctique et paléo-montagnard européenne Européen européo-turkestanienne européo-turkestanienne Selon Dermatis (1996) et Blondel (2003), cette théorie ne constitue qu’une subdivision artificielle, dont les résultats ne peuvent pas être réunis dans un système définitif, elle nous aide à comprendre, même hypothétiquement, l’origine des espèces animales actuelles. La catégorie faunique méditerranéenne au sens large est originaire des régions chaudes et semi-arides, de plainée de moyenne montagne de l’Europe méditerranéenne et de l’Asie du Sud-ouest. Pour ce qui est de la catégorie faunique holarctique (l’Ancien Monde), elle est très largement distribuée dans l’ensemble de la région holarctique. Par ailleurs, la catégorie faunique paléarctique et paléo-montagnarde représentent la faune boréale ou montagnarde. Enfin la catégorie européenne correspond à la faune de l’Europe tempérée. I.7. indices écologiques appliqués à l’avifaune : Les indices écologiques utilisés sont : des indices de composition comme la richesse, l’abondance et les fréquences d’occurrences et centésimales. Des indices de structure tels que la diversité de Shannon-Weaver et l’équitabilité.

La richesse spécifique de l’avifaune des stations d’études 

La richesse représente le nombre total des espèces entrant dans la composition de l’avifaune. Elle est obtenue à partir de l’ensemble des relevés. Nous pouvons la considérer comme un son estimation d’autant plus précise de la richesse réelle que l’effort de l’échantillonnage est élevé (Fellons, 1990). Selon (Blodle 1979) ce paramètre fait ressortir le cumul progressif des nouvelles espèces notées au fur et mesure qu’on agrandit l’aire prospectée, par adjonction de nouvelles station Plus se ce fait la pression d’observation. Il s’ensuit une décélération progressive de la courbe de la richesse cumulée que plafonne lorsque toutes les espèces inféodées au biotope sont collectées au moins une fois.  Pour notre travail, pour chaque station d’étude, nous avons déterminé la richesse totale, richesse totale de Nord-est de l’Algérie, la richesse du littorale et la richesse continentale.

L’abondance

Il s’agit du nombre total d’individus de chaque espèce recensée pendant une sortie (Blondel 1975). L’étude de la biologie et de l’écologie de ces oiseaux a été abordée par la mesure de certains indices écologiques liés directement à l’équilibre des peuplements : l’abondance totale, la richesse spécifique, l’indice de diversité de Shannon et Weaver ainsi que l’indice d’équitabilité. Les résultats de l’étude sont représentés graphiquement sous forme de moyennes mensuelles. I

Indice de diversité de Shannon et Weaver

Cette approche est une application aux communautés naturelles de la théorie de l’information élaborée en 1948 par Shannon (Legendre et legendre, 1979). – L’indice de Shannon et Weaver n’a de signification écologique que s’il est calculé pour une communauté d’espèces exerçant la même fonction au sein de la biocénose L’indice de diversité de Shannon (H’) mesure le degré et le niveau de complexité d’un peuplement. Plus il est élevé, plus il correspond à un peuplement composé d’un grand nombre d’espèces avec une faible représentativité. A l’inverse, une valeur faible traduit un peuplement dominé par une espèce ou un peuplement à petit nombre d’espèces avec une grande représentativité (Blondel 1975). L’indice de Shannon peut être calculé par la formule suivante: Avec H’ : indice de biodiversité de Shannon. i : une espèce du milieu d’étude. Pi : Proportion d’une espèce i par rapport au nombre total d’espèces (S) dans le milieu d’étude (ou richesse spécifique du milieu), qui se calcule de la façon suivante : Où ni est le nombre d’individus pour l’espèce i (Effectif de l’espèce n) et N est l’effectif total (les individus de chaque espèce).

Indice d’équitabilité 

L’indice d’équitabilité (E) permet d’apprécier les déséquilibres que l’indice de diversité ne peut pas estimer. Plus sa valeur a tendance à se rapprocher de un, plus il traduit un peuplement équilibré (Legendre et Legendre 1979). De ce fait, l’évolution de la structure de l’avifaune aquatique peut être exprimée de façon plus intéressante par l’évolution temporelle de son indice d’équitabilité. E= H’/H max H max=Log2(S) H’= indice de diversité S = Richesse spécifique. L’équitabilité varie entre 0 et 1, tend vers 0 quand la quasi totalité des effectifs est concentrée sur une espèce ; elle est de 1 lorsque toute les espèces ont la même abondance. L’indice de l’équitabilité détermine, soit le rapprochement ou bien l’éloignement entre H’et Hmax. Cet aspect est indicateur de la diversité, en raison du rapprochement d’indice de diversité de la valeur 1, ou de l’éloignement (Seddik, 2011).

Analyse statistique 

Toutes les analyses ont été effectuées après vérification des critères de normalité (Test de Kolmogorov-Smirnov) et d’homoscedasticite (test de Levene) des différentes Variables dépendantes et indépendantes. Les variables qui ne suivent pas de distribution normale ont été transformées en Log10, afin d’apporter des perfectionnements de normalité et nous permettre d’utiliser les tests paramétriques. Dans le cas contraire, d’autres tests non paramétriques ont été utilisés tels que le test de Mann-Whitney. Des régressions linéaires (y= ax+b) ont été réalisées entre l’abondance des rapaces au niveau de Ras El-Maa (variable indépendante) et les fluctuations de la richesse spécifique (nombre d’espèces), (variable dépendante). Des régressions quadratiques on été réalisées entre l’évolution des indices écologiques ainsi que la richesse totale du Nord-est et les richesses continentale et littorale, dans le but est de mieux comprendre leur variation inter mensuelle en fonction de l’avancement de la période d’études en date Julian (1er février = 0 j première sortie sur terrain jusqu’au 30 septembre = 200 jour avec un intervalle de 15 jour) pour les sorties de Ras El-Maa.

Table des matières

Chapitre I Description des sites d’étude
1. Situation géographique
1.1. Les wilayas continentales
1.1.1. Guelma
1.1.2. Mila
1.1.3. Constantine
1.1.4. Souk-Ahras
1.1.5. Oum-El-Bouaghi
1-2 Les wilayas du littoral
1-2-1 El Tarf
1. 2.2. Annaba
1.2.-3. Skikda
2. climatologie des régions d’étude
2.1. Guelma
2.1.1. Précipitations
2.1.2. Température
2.2. Mila
2.2.1. Précipitations
2.2.2. Température
2.3. Constantine
2.2.1. Précipitations
2.2.2. Température
2.5.1. Précipitations
2.4.2. Température
2-5 Oum-El-Bouaghi
2.5.1. Précipitations
2.5.2. Température
2.6. El tarf
2-6-1. Précipitations
5.1.2. Température
2.7 Annaba
2.7.1. Précipitation
2.7.2. Température
2.7. Skikda
2.8.1. La température
2.8.2. précipitations
3. Synthèse climatique
3-1 . Diagramme pluviométhrique de Bagnouls et Gaussen
3-2. Climagramme d’Emberger
Chapitre II
I.1. Description de site de reproduction
I.2.Matériel et méthodes
I.3. Les méthodes d’inventaire des rapaces
I.3.1. Les rapaces diurnes
I.3.2. Les rapaces nocturnes
I.4. Types d’habitat
I.5. Méthodes d’analyse du peuplement avien selon le statut phrénologique
I.6. Méthode d’analyse du peuplement avien selon les origines biogéographique
I.7. indices écologiques appliqués à l’avifaune
I.7.1. la richesse spécifique de l’avifaune des stations d’études
I.7.2. L’abondance
I.7.3. Indice de diversité de Shannon et Weaver
I.7.4. Indice d’équitabilité
I.8. Analyse statistique
II. Paramètres de la reproduction
II.1. Biologie de la reproduction
II.1.1. Recherche des nids et suivi
II.1.2. Date et période de ponte
II.1.3. Grandeur de ponte
II.14. Succès de reproduction
6- Matériel
Chapitre III
I-L’avifaune de la région d’étude
I.1. Liste systématique de l’Avifaune de la région d’étude
I.1.1. Littoral
I.1.2. Continentale
I.1.3. Nord-est
I.2. Origines biogéographiques (OR)
I.3. des rapaces de la région d’étude (2014-2015) selon les milieux
I.4. Statuts Phénologie des espèces
I.4.1. Littoral4
I.4.2. Continentale
I.4.3. Nord-est
I.5. La richesse spécifique des régions
I.5.1. La richesse de littorale et Continentale
I.5.2. Nord-est
I.6. Statut de conservation
II. Phénologie répartition des espèces.
II.1. Les rapaces diurnes
II.1.1. Famille des Pandionidés
II.1.1.1 Balbuzard pécheur
II.1.2. Famille des Accipitridés
II.1.2.1. Élanion blanc
II.1.2.2. Milan noir
II.1.2.3. Milan royal
II.1.2.4. Vautour percnoptère
II.1.2.5. Vautour fauve
II.1.2.6. Circaète jean-le blanc
II.1.2.7. Busard cendré
II.1.2.8. Busard des roseaux
II.1.2.9. Epervier d’Europe
II.1.2.. Buse variable
II.1.2.. Buse féroce – Buse du Maghreb
II.1.2.. Aigle royal
II.1.2.13. Aigle botté
II.1.2.14. Aigle de Bonelli
II.1.2.15. Autour des palombes
II.1.2.16. Bondrée apivore
II.1.3. Famille des Falconidés
II.1.3.1. Faucon crécerellette
II.1.3.2. Faucon crécerelle
II.1.3.3. Faucon hobereau
II.1.3.4. Faucon kobez
II.1.3.5. Faucon pèlerin
II.1.3.6. Faucon d’Eléonore
II.1.3.7. Faucon de Barbarie
II.1.3.8. Faucon lanier
II.2. Les rapaces nocturnes
II.2.1. La famille des Tytyonidés
II.2.1.1. Effraie des clochers
II.2.2. La famille des Strigidés
II.2.2.1. Hibou grand-duc ascalaphe
II.2.2.2. Hibou moyen-duc
II.2.2.3. Petit-duc scops
II.2.2.4. Chevêche d’Athéna (d’Europe)
II.2.2.5. Chouette hulotte
Chapitre III
I. Evolution des indices écologiques
I .1. Abondance des espèces
I .2. Richesse spécifique
I .3. Relation abondance richesse
I .4. Indices de diversité et d’équitabilité
I .4.1. Indice de Shannon
I .4.2. L’Indice d’équitabilité
II. Chronologie d’occurrence des différentes espèces de Rapace nicheur dans la région d’étude
II.1. Les Falconidés
II.1.1. Localisation et matériaux de constructions des nids
II.1.2. Phénologie de la reproduction
II.1.2.1.Grandeur de la ponte
II.1.2.2. Le succès à l’éclosion
II.1.2.3. Le succès à l’envol
II.2. Les Accipitridés
II.2.1. Localisation et matériaux de constructions des nids
II.2.2. Phénologie de la reproduction
II.2.2.1. Grandeur de la ponte
II.2.2.2. Le succès à l’éclosion
II.2.2.3. Le succès à l’envol
III- LeMilan noir
III.1. Suivi des effectifs de Milan noir à Ras El Ma
III.2. Localisation des nids
III.3. Mesure des caractéristiques des nids
III.4. Phénologie de la reproduction
III.4.1. Date de première ponte
III.4.2. La période de ponte
III.4.3. La taille ou grandeur de ponte
III.4.4. Mensuration des œufs
III.4.5. Nombre d’œufs éclos
III.4.6. Le succès à l’éclosion
III.4.7. Envol des jeunes
III.4.8. Le succès à l’envol
III.4.9. Succès de la reproduction
III. Discussion
Conclusion

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