Les métiers de la surveillance et de la sécurité

Les métiers de la surveillance et de la sécurité

C’est parce que nous vous avons parlé que nous avons eu l’idée de créer une véritable collection sur les métiers équestres et c’est parce que le guide des métiers vous a semblé un peu trop difficile que nous avons décidé de produire des petits livres, faciles à lire et à compulser, contenant à la fois les contenus techniques des métiers, des formations et des diplômes ainsi que les adresses des centres de formations en France. Beaucoup d’entre vous se pose des questions sur leur avenir professionnel et le choix d’un métier est toujours compliqué : gagne t’on sa vie dans le cheval ? Comment on fait pour devenir dentiste équin ? Est ce que masseur de chevaux ça existe ? Une des question qui revient souvent est le circuit pour devenir garde équestre ? quelle formation ? quel niveau scolaire à l’entrée ? Quel age faut il avoir ? Y a t’il un centre de formation à tel ou tel autre endroit ? Nous allons donc tout vous dire et ainsi il ne vous restera plus qu’a choisir la bonne voie. Pourtant, il faut faire attention. Nous vous l’avons dit souvent au cours de nos rencontres. Il y a loin entre le rêve et la réalité d’un métier consacré aux chevaux. Il est vrai que la plupart d’entre vous, surtout les filles, sont en plein fantasmes, partagé entre le sentiment porté au cheval et l’idée d’une vie agréable, à cheval toute la journée. Vous devez absolument prendre conscience que c’est un boulot comme un autre, avec au dessus de soi un patron pas toujours conciliant, des horaires à respecter, dans le beau temps ou sous la pluie.

En tout cas, que cela ne vous empêche pas de réussir vos études : plus vous aurez de diplôme plus vous serez armés pour vous faire embaucher plus tard. Du fait de la réforme de juillet 1999, les missions de l’établissement public « les Haras nationaux », ont été parfaitement définies. On y trouve la mise en œuvre de la politique d’orientation de l’élevage des équidés, la protection des équidés, la conservation et l’amélioration des races, l’identification des équidés et la tenue du fichier central des équidés immatriculés, l’identification et le contrôle des établissements ouverts au public pour l’utilisation des équidés, la collecte et le traitement des informations économiques sur les marchés et métiers du cheval, la mise en valeur et la promotion des produits et le développement des techniques et pratiques sportives, la définition ou la mise en œuvre des actions de formation, la proposition et la mise en œuvre des grandes orientations de recherche et de développement, la mise en place de partenariats locaux. L’ensemble de ces missions est ventilé sur trois pôles recouvrant 3 directions spécifiques (voir ci-dessous). Les Haras constituent un établissement public placé sous la tutelle du Ministère de l’Agriculture, dirigé par un conseil d’administration composé de 24 membres et par une direction générale. Il dispose de structures consultatives, de comités (comité stratégique et comité d’orientation scientifique et technique) et de quatre commissions (courses, sport, loisir et trait).

Pêche et des Affaires rurales Au sein du Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche et des Affaires rurales, la direction générale de l’enseignement et de la recherche (DGER) a la responsabilité des orientations pédagogiques et de l’activité éducatrice de tous les établissements, centres et organismes de formation et d’enseignement supérieur et technique. La DGER exerce les compétences du ministère relatives à la recherche et à la formation initiale (apprentissage, enseignement général technologique et professionnel, enseignement supérieur) et continue. La DGER définit aussi la politique de recherche agronomique, biotechnologique et vétérinaire. Elle participe à la politique de développement et d’animation rurale. Elle mène une politique de création et de promotion de l’usage des ressources éducatives multimédia, avec l’aide du Centre national de promotion rurale (CNPR). Elle conduit toutes les actions de développement de la coopération internationale. Les collaborations internationales se multiplient au travers de parcours de formation, stages, expertises, accueil d’étudiants.

L’implication dans les programmes européens est permanente. L’activité de la DGER est organisée autour des enseignements supérieurs et secondaires (général, technologique et professionnel), de la formation continue et de l’apprentissage, de la recherche, du développement et de l’animation rurale, de la coopération internationale qui sont rassemblés dans la filière du progrès. La politique de recherche du Ministère de l’Agriculture est coordonnée par la DGER, qui a en charge les organismes de recherche placés sous co-tutelle avec le ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche. L’enseignement général, technologique et professionnel public et privé est investi de l’ensemble des missions fixées par les lois de 1984. L’important réseau des exploitations (13 500 ha), des ateliers technologiques et des centres de ressources des établissements permet, outre l’accomplissement des missions de formation initiale et continue, d’accompagner l’évolution du développement agricole et agro-industriel en liaison avec les organisations professionnelles. L’animation dans le milieu rural s’appuie sur une collaboration étroite entre les établissements et le mouvement associatif.

 

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