MODELISATION DES DESORDRES HYDRAULIQUES DUS AUX CREUSEMENTS D’EXCAVATIONS

MODELISATION DES DESORDRES HYDRAULIQUES DUS AUX CREUSEMENTS D’EXCAVATIONS

SIMUL AT ION DECOUPL EE DES PHASES DE TRAVA UX DANS LE CAS ELAST IQU E

En se limitant au domaine élastique, ce chapitre présente l’effet de la présence de nappe phréatique sur les ouvrages souterraine en cours d’exécutions à travers quelques exemples d’application de la procédure de calcul découplée. On commence d’abord par des exemples simples unidimensionnels, on s’intéresse ensuite aux cas plus complexes pour étudier les chargements différés sur le soutènement des tunnels (en conditions bidimensionnelles) et l’effet de la réparation d’une partie du soutènement (en conditions tridimensionnelles). Le but est de démontrer comment cette procédure découplée peut être mise en œuvre avec le code Flac.

SIMULATION DECOUPLEE DES PHASES DE TRAVAUX DANS LE CAS ELASTIQUE – EXEMPLES UNIDIMENSIONNELS

On présente ici quelques exemples d’application de l’approche découplée pour simuler les phases de travaux les plus souvent rencontrées lors de la construction des ouvrages de soutènement. On considère d’abord des problèmes unidimensionnels pour lesquels une solution analytique peut être trouvée sans difficulté. On montre ensuite comment retrouver cette solution analytique par une voie numérique avec le code Flac. On s’intéressera d’abord à la modélisation des situations à court et à long terme, puis à la phase transitoire. Le but est de proposer, pour chacune des phases de travaux courantes dans le domaine des soutènements, une technique de simulation numérique (éventuellement plusieurs), en exposant clairement la technique de simulation numérique retenue et en précisant les limites de validité de l’approche proposée. IV.2.1 Rabattement de la nappe Un des aspects importants du comportement des ouvrages de soutènement pendant leur construction est l’effet des mouvements de la nappe phréatique. Ces mouvements peuvent avoir une origine naturelle : ils peuvent être liés à la variation du niveau d’une rivière voisine ; ils peuvent aussi être une conséquence d’opérations de pompage d’eau souterraine (pour l’irrigation, par exemple) ou une disposition destinée à faciliter la réalisation de travaux (il est courant d’abaisser le niveau de la nappe lorsque l’on réalise une tranchée ou une excavation pour améliorer leur stabilité). 

Position du problème

On considère une couche de sol horizontale, d’épaisseur D, qui repose sur un substratum rigide et imperméable. Dans la configuration initiale, la couche est entièrement saturée. Le niveau de la nappe est confondu avec la face supérieure de la couche : la pression du fluide est égale à la pression atmosphérique sur le plan z = D. (NGUYEN PHUONG D., 2003) Chapitre IV Simulation découplée des phases de travaux dans le cas élastique 100 On suppose que la nappe est “ rabattue ”, c’est à dire que le niveau de la surface sur laquelle la pression du fluide est égale à la pression atmosphérique est abaissé à la cote z = H (avec H < D). Au-dessous du niveau de la nappe, le sol est toujours saturé ; au-dessus de ce niveau, l’espace poreux est occupé par de l’air et non plus par de l’eau. Dans ce qui suit, on définit la charge hydraulique par h = p/γw + z, où p désigne la pression de fluide et γw le poids volumique de l’eau. Les charges hydrauliques initiales et finales sont donc celles représentées sur la Figure IV.1. Dans la réalité, il existe une zone non saturée au-dessus du niveau de la nappe, dans laquelle l’espace poreux n’est pas occupé par un seul fluide (l’air ou l’eau), mais où les deux fluides coexistent. L’existence de cette zone non saturée est due au fait que le fluide remonte au-dessus du niveau de la nappe par capillarité. Le comportement mécanique de cette zone ne peut être décrit par la théorie des sols saturés considérée ici. Mais, d’une part, l’étendue de cette zone dépend du sol considéré (les effets de capillarité sont quasiment négligeables dans un sable propre) et, d’autre part, la zone non saturée est en fait scindée en deux zones : une zone dans laquelle le degré de saturation est très élevé (supérieur à 95%), et dont le comportement peut être considéré en première approximation comme voisin de celui du milieu saturé, et une zone où le degré de saturation est beaucoup plus faible, avec une zone de transition d’extension très réduite, dans laquelle le degré de saturation chute brutalement. Nous ferons ici l’hypothèse que l’approximation consistant à négliger l’étendue de la zone non saturée permet d’obtenir une estimation raisonnable du tassement de la couche résultant du rabattement de la nappe.

Résolution analytique du problème

La résolution analytique du problème consiste à étudier les champs de contraintes et de pression dans les situations initiale et finale du problème ainsi que le tassement du sol. Il est à noter que l’on ne précise pas comment on passe de la situation initiale à la situation finale : on ne peut donc pas étudier le régime transitoire. Figure IV.1 : Rabattement de la nappe. (NGUYEN PHUONG D., 2003) Chapitre IV Simulation découplée des phases de travaux dans le cas élastique 

Situation initiale des champs de contraintes et de pression

On suppose que, dans la situation initiale, le squelette et le fluide sont au repos. L’équation de conservation de masse de fluide se réduit à div v = 0, et on déduit alors de la loi de Darcy que le champ de pression du fluide initiale po vérifie : 0 0 grad p  w ez  La surface libre de la nappe est au sommet de la couche (z = D), la pression du fluide y est donc nulle, on obtient immédiatement : w p (D z) 0   D’autre part, on fait l’hypothèse que la direction verticale est une direction principale du champ de contraintes initial, et qu’il présente une symétrie de révolution autour de cette direction : ( ) 0 0 0 x x y y z z z   z e e  e e  e e L’équation d’équilibre s’écrit : 0 0 Div  ez  où γ = γsa + γfa désigne le poids volumique de la couche de sol saturée d’eau, égal à la somme des poids volumiques partiels γ fa = γwn du fluide et γ sa = γs(1–n) du squelette (n est la porosité). La condition mécanique sur la limite supérieure de la couche (surface libre) s’écrit : .ez  0 surle plan z  D 0  Compte tenu de cette condition à la limite, la projection de l’équation d’équilibre sur la direction verticale donne immédiatement la contrainte verticale σ°z dans la couche : σ°z = – γ (D – z) et la contrainte horizontale σ°x dans la couche est donnée par : σ°x = Ko σ°’z – p° = Ko(σ°z + p°) – p° où Ko est le coefficient de poussée des terres au repos. On trouve donc : σ°x = Koσ°z – (1 – Ko) p° = [Ko – (1 – Ko) γw/γ]σ°z IV.2.1.2.2 Situation finale On se place maintenant dans la situation “ à long terme ” en supposant qu’au bout d’un temps suffisamment long, on parvient à nouveau à une situation où le fluide et le squelette sont immobiles. La vitesse du fluide est nulle, et on obtient le champ de pression par la loi de Darcy. On prendra garde au fait que, désormais, le fluide saturant n’est plus le même dans les zones au-dessus et audessous de la nappe, c’est à dire pour 0 < z < H et pour H < z < D. Considérant la masse volumique de l’air comme négligeable, et en écrivant que la pression des deux fluides est nulle p α = 0 au niveau du toit de la nappe z = H, on obtient : p α = 0 pour H < z < D Chapitre IV Simulation découplée des phases de travaux dans le cas élastique 102 p α = 0 = (H – z) γw pour 0 < z < H Les hypothèses précédentes permettent de découpler le problème hydraulique du problème mécanique et de calculer le champ de pression p indépendamment du champ de contraintes σ. Il s’agit maintenant de résoudre le problème mécanique, dans lequel le champ de pression est connu, et où ξ et ε sont respectivement le champ de déplacements et de déformations du squelette. L’équation d’équilibre s’écrit : div σ – γ ez = 0 et la loi de comportement : σ – σo = λo trε 1 + 2µ ε – (p – p°) 1 ; avec les conditions aux limites suivantes : ξ = 0 sur le plan z = 0 σ. ez = 0 sur le plan z = D Il est important de rappeler que le poids volumique du milieu poreux est différent au- dessous et audessus de la nappe : γ = γs (1-n) pour H < z < D γ = γ s a + γ f a = γs (1 – n) + γw n pour 0 < z < H Compte tenu des symétries que présente la géométrie du problème, il est raisonnable de supposer que le déplacement est vertical et ne dépend que de la coordonnée verticale z : z    (z) e Le champ de déformations s’écrit donc : ε = ε(z) ez⊗ ez avec ε(z) = ∂ξ(z)/∂z d’où l’on conclut que le champ de contraintes σ est de même forme que le champ de contraintes initial σ° : σ = σz(z) ez⊗ ez + σx(z) (ex⊗ ex + ey⊗ ey) La projection de l’équation d’équilibre sur la verticale, compte tenu des conditions aux limites et de la continuité de la contrainte verticale sur le plan z = H donne : ∂σz/∂z = γ s a d’où σz = – γ s a (D – z) H < z < D ∂σz/∂z = γ s a + γ f a d’où σz = – γ s a (D – H) – (γ s a + γ f a) (H – z) 0 < z < H La loi de comportement s’écrit alors : σz – σz° = (λo + 2µ)ε – (p – p°). À partir des champs de pression initiale et finale, on obtient : p ∝ – p° = – (D – z) γw H < z < D Chapitre IV Simulation découplée des phases de travaux dans le cas élastique 103 p ∝ – p° = (H – z) γw – (D – z) γw = – (D – H) γw 0 < z < H On obtient par ailleurs, ainsi à partir des champs de contraintes initial et final : σz – σ°z = – γ s a (D – z) + (γ s a + γ f a) (D – z) = γ f a (D – z) H < z < D σz σz – σ°z = – (γ s a + γ f a) (H – D) +γ s a (D – H) = γ f a (D – H) 0 < z < H Ce qui donne, pour la contrainte effective verticale : σz ’ – σ°z’ = – (1 – n) γw (D – z) H < z < D σz ’ – σ°z’ = – (1 – n) γw (D – H) 0 < z < H Et finalement : n w D  Z HzD         2 1 (1 ) 0 n w D  H  zH     0 2 1 (1 ) 0    On détermine pour finir la contrainte effective horizontale :   n D H  z H n D Z H z D w x x w x x                 0 2 ‘ ‘ (1 ) 2 ‘ ‘ (1 ) 0 0 0 0 0 0             Le diagramme des contraintes et des pressions dans la couche de sol est présenté sur la Figure IV.2. 

Table des matières

CHAPITRE I : ECOULEMENT DE L’EAU A TRAVERS UN MILIEU POREUX
I.1 Introduction
I.2 Généralités sur les milieux poreux
I.2.1 Définition et morphologie des pores
I.2.2 Etude granulométrique du milieu poreux
I.2.3 Caractéristiques physiques du milieu perméable
I.2.4 Définition et différents types de porosité
I.2.4.1 La porosité efficace, coefficient de porosité
I.2.4.2 La porosité effective
I.2.4.3 La porosité cinématique
I.2.4.4 Indice des vides du milieu poreux
I.2.5.1 Densité – Poids spécifique
I.2.6 La perméabilité
I.2.6.1 Définition
I.2.6.2 Le coefficient de perméabilité
I.3 Etude mécanique de l’écoulement à travers un milieu poreux
I.3.1 Loi fondamentale de l’écoulement – Loi de Darcy
I.3.2 Dispositif expérimental de DARCY
I.3.3 Validité de la loi de Darcy
I.3.4 Généralisation de la loi de DARCY aux écoulements tridimensionnels
I.3.5 Application de la théorie des écoulements à potentiel des vitesses aux écoulements souterrains
I.3.5.1 Existence d’un potentiel de vitesses.
I.3.5.2 Les surfaces équipotentielles .
I.3.6 Equations des écoulements en régime permanent.
I.3.6.1 Equation de continuité.
I.3.6.2 Equation de Laplace
I.3 Etude cinématique des écoulements à potentiel des vitesses et description du mouvement
I.3.1 Système de référence
I.3.1.1 Méthode de Lagrange
I.3.1.2 Méthode d’Euler
I.3.2 Ligne de courant, surface et tube de courant
I.3.3 Lignes équipotentielles
I.3.4 Fonction de courant
I.3.5 Conditions aux limites
I.4 Méthodes de résolution de ces équations .
I.4.1 La méthode analytique
I.4.2 Méthode graphique
I.4.3 Méthodes analogiques
I.4.4 Méthodes numériques
I.5 Conclusion
CHAPITRE II : ANALYSE DES ÉCOULEMENTS VERS LES TUNNELS – ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
II.1. INTRODUCTION
II.2. EFFETS DU CREUSEMENT D’UN TUNNEL EN PRÉSENCE D’UNE NAPPE PHRÉATIQUE.
II.2.1. L’écoulement des eaux souterraines vers l’ouvrage – caractéristique majeur
II.2.2. Problème liés à l’écoulement des eaux vers les tunnels – Observations de chantiers
II.2.3 Analyse des observations – Conclusions
II.3. Modélisation des écoulements hydrauliques dans les sols en présence de surface libre
II.3.1. L’eau dans les sols
II.3.2. Modélisations usuelles des problèmes pratiques d’écoulement en présence de surface libre
II.3.2.1. Préliminaires
II.3.2.2 L’approche analytique
II.3.2.3. Les approches expérimentales
II.3.2.4. Les approches numériques
II.4. Calcul des écoulements vers les tunnels – Revue des travaux antérieurs
II.4.1. Description des méthodes de calcul
II.4.1.1. Ecoulement en régime permanent
Cas d’une nappe à surface libre
Cas d’une nappe à niveau piézométrique constant
II.3.2.2. Ecoulement en régime transitoire
Cas d’une nappe à surface libre
II.3.3. Commentaires
II.5. Conclusion
CHAPITRE III : PRESENTATION DE L’OUTIL NUMERIQUE UTILISE ET LOIS DE COMPORTEMENT
III.1. INTRODUCTION
II.2. GENERALITES
III.3. DESCRIPTION DU CODE DE CALCUL
III.3.1. Méthode des différences finies (FDM)
III.3.2. Analyse Lagrangienne
III.3.3. Schéma de résolution explicite
III.3.4. Formulation numérique en différences finies : passage du problème continu à la discrétisation
III.4. FORCES NON EQUILIBREES (UNBALANCED FORCE)
III.5. PRESENTATION DU CODE BIDIMENSIONNEL (FLAC2D)
III.6. PRESENTATION DU CODE TRIDIMENSIONNEL (FLAC3D)
III.6.1. Formulation du modèle 3D en différences finies explicite
III.6.2. Description du modèle mathématique
III.6.3. Formulation numérique
III.6.4. Nomenclature
III.6.5. La solution statique
III.6.6. La solution dynamique
III.6.7. Le maillage en différences finies
III.6.8. Création de fichiers de données en Flac3D
III.6.9. Méthodologie de simulation avec Flac3D
III.6.. Génération de maillage
III.7. MODELISATION DE L’ECOULEMENT
III.7.1. Modélisation de l’écoulement en Flac
III.7.2. Modélisation de l’écoulement en Flac3D
III.7.3. Modélisation de l’écoulement de l’eau avec le calcul de la surface phréatique
III.8. ELEMENTS DE STRUCTURE
III.8.1. Eléments câble
III.8.2. Eléments poutre
III.8.3. Eléments barre
III.9. MODELES DE COMPORTEMENT
III.9.1. Le modèle élastique linéaire isotrope : Loi de Hooke dans Flac
III.9.2. Le modèle Elasto-Plastique de Mohr-Coulomb dans Flac3D
III.9.2.1. Notion de surface de charge
III.9.2.2. Notion de règle d’écrouissage
III.9.2.3. Notion de loi d’écoulement
III.9.3. Modèle de comportement de l’interface
III.. CONCLUSION
CHAPITRE IV : SIMULA TION DECOU PLE E DES PHASE S DE TRAVA UX DANS LE CAS
EL AS TI QUE
IV.1 INTRODUCTION
II.2 SIMULATION DECOUPLEE DES PHASES DE TRAVAUX DANS LE CAS ELASTIQUE –EXEMPLES UNIDIMENSIONNELS
IV.2.1 Rabattement de la nappe
IV.2.1.1 Position du problème.
IV.2.1.2 Résolution analytique du problème
IV.2.1.2.1 Situation initiale des champs de contraintes et de pression
IV.2.1.2.2 Situation finale
IV.2.1.3 Résolution numérique découplée
IV.2.1.3.1 Modèle de calcul numérique en Flac
IV.2.1.3.2 Modélisation du changement de la pression
IV.2.1.3.3 Modélisation de l’effet de changement de poids volumique
IV.2.1.3.4 Prise en compte des contraintes initiales en Flac
IV.2.1.3.5 Résultats de calcul numérique Flac3D
IV.2.2 Effet d’un écoulement vertical permanent
IV.2.2.1 Position du problème
IV.2.2.2 Résolution analytique du problème
IV.2.2.3 Forces d’écoulement, facteur déstabilisateur
IV.2.2.4 Résolution numérique découplée du problème
IV.2.3 Excavation et l’évolution de la pression dans le temps
IV.2.3.1 Position du problème
IV.2.3.2 Résolution analytique du problème
IV.2.3.2.1 Situation initiale des champs de contrainte et de pression
IV.2.3.2.2 Situation à court terme
IV.2.3.2.3 Situation à long terme
IV.2.3.2.4 Problème transitoire – évolution du champ de pression
IV.2.3.3 Résolution numérique découplée du problème
IV.2.3.4 Confrontation à la solution analytiqu
IV.2.4 Conclusions – remarques
IV.3 APPLICATION AU CHARGEMENT DES REVETEMENTS DE TUNNEL DUS AUX
VARIATIONS DE PRESSION D’EAU
IV.3.1 Introduction
IV.3.2 Position du problème
IV.3.2.1 Formulation du problème à court terme
IV.3.2.2 Problème à long terme
IV.3.3 Modélisation numérique découplée et comparaison avec le mode couplé par Flac2D
IV.3.4 Résultats du calcul des efforts induits dans le revêtement -Flac2D-
IV.3.5 Application directe de la charge hydraulique et option relaxation
IV.3.5.1 Comparaison avec l’application d’une pression hydrostatique
IV.3.5.2 Confrontation des résultats.
IV.3.6 Cas du revêtement semi-perméable
IV.3.7 Influence du taux de déconfinement
IV.3.8 Conclusion – perspectives
IV.4 APPROCHE SIMPLIFIEE DE LA REPARATION DES REVETEMENTS DE TUNNEL
IV.4.1 Position du problème
IV.4.2 Modélisation numérique découplée bidimensionnelle avec Flac2D
IV.4.2.1 Construction du jeu de données
IV.4.2.2 Résultats de calcul avec Flac2D
IV.4.2.3 Influence du taux de déconfinement
IV.4.2.4 Conclusions – remarques
IV.4.3 Modélisation numérique tridimensionnelle avec Flac3D
IV.4.3.1 Construction du jeu de données
IV.4.3.2 Influence de la longueur de la zone en réparation L/D
IV.4.4 Comparaison aux résultats analytiques
IV.4.4.1 Cas sans prise en compte de l’eau dans le modèle (sol sec)
IV.4.4.1.1 Solution analytique
IV.4.4.1.2 Modélisation numérique tridimensionnelle avec Flac3D
IV.4.4.1.3 Résultats et Discussion – Estimation Qualitative
IV.4.4.2 Cas Avec prise en compte de l’eau dans le modèle
IV.4.4.2.1 Calculs couplés et découplés
IV.4.4.2.2 Résultats et Discussion – Estimation Qualitative
IV.4.4.2.2.1 Sans installation du revêtement (démolition)
IV.5.4.2.2.2 Avec installation du revêtement
IV.4.4.2.3 Comparaison quantitative avec la solution analytique avec eau
IV.4.4.3 Comparaison qualitative et quantitative entre les cas Sans et Avec prise en compte de l’effet
de l’eau
IV.4.4.4 Etude paramétrique
IV.4.4.4.1 Influence du module volumique du fluide (eau) Kw (Pa)
IV.4.4.4.2 Influence de la Perméabilité du sol K (m/s)
IV.4.4.4.3 Influence de la cohésion du revêtement C (Pa)
IV.4.5 Conclusions et remarques
IV.5 CONCLUSION
CONCLUSION GENERALe
Références Bibliographiques.

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