RRC et intelligence collective dans le site commun

La complémentarité de la RRC et de l’ACC

Outre la RRC, l‟ICPM met aussi en lumière la convergence qui devrait se faire entre le concept de Changement Climatique et la RRC. Son adhésion au Groupe Thématique du Changement Climatique est cruciale. L‟article de MITCHELL T. et de VAN AALST M. démontre que les deux concepts ont les mêmes buts malgré leur chevauchement apparent. Ils expliquent que les activités de RRC s‟intègrent, à moyen et à long terme, aux mesures d‟adaptation aux variabilités climatiques . De plus, la RRC peut se concevoir tel un pont vers le Développement Durable dans son objectif d‟atteindre une résilience globale.
L‟Adaptation au Changement Climatique (ACC) pourrait se mettre entre les deux d‟une part, par ces projections à long terme partagé avec le Développement durable, et d‟autre part par ces activités de réduction de risque sous-jacents; mieux appréhendés par la RRC.

Le projet de site commun 

Concept innovant, le projet de site commun est fort pertinent. Il vise à concentrer en une seule zone d‟intervention les acquis des membres partenaires. Initié au début de la phase II du projet DIPECHO, l‟intérêt du projet est double. D‟une part, la zone d‟intervention sera une preuve concrète ou une vitrine des travaux de partenariat entre organismes vis-à-vis des bailleurs de fond. D‟autre part, les communautés concernées bénéficieront de la gamme complète des activités en RRC. Le rôle de l‟ICPM y est de promouvoir le projet dans ses activités de communication et de fournir une interface de coordination aux membres partenaires. Le projet n‟est encore qu‟à sa phase d‟expérimentation. Toutefois, un travail d’évaluation a été initié à travers ce mémoire de recherche.

Des outils pour évaluer l’intégration de la RRC

Nombreux sont les outils d‟évaluation de la RRC conçus par les organismes internationaux. Issus de leurs capitalisations d‟expérience, ces outils traduisent une collaboration fructueuse entre recherche scientifique et pratiques dans les domaines touchés par la RRC. D‟ailleurs, il y est souvent question d‟une part d‟approche participative : entre promoteurs de la RRC et les communautés cibles. D‟autre part, le caractère multidisciplinaire du risque est évident, car il interpelle la science sur les obstacles du compartimentage entre les disciplines.

Un appel à la transdisciplinarité

Le processus semble être déjà engagé vers la transdisciplinarité. Il est à remarquer en effet que des nuances devraient se faire entre pluridisciplinarité, multidisciplinarité et transdisciplinarité. La première est l‟étape où chaque discipline scientifique prend conscience de la partialité de son point de vue et que les autres sciences sont dans le même cas. L‟état
actuel de multidisciplinarité des sciences est cet échange d‟outils conceptuels entre elles. Le défi serait cette transdisciplinarité où le décloisonnement interdisciplinaire arrive à un niveau épistémologique. Cela veut dire que tout scientifique n‟adhère plus à une discipline, mais aux
méthodes, que d‟autres sciences partagent avec elle. Les grandes théories communes aux sciences des risques sont déjà nombreuses, telles la systémique, la théorie des jeux ou encore la théorie de la complexité.
En plus de cette remontée aux fondements théoriques de chaque discipline, les réflexions scientifiques sur le risque militent pour cette approche transversale. Et ce défi est à relever en recherchant des outils communs où théoriciens et praticiens trouvent convergence.
Nous avons perçu cela dans les outils d‟évaluation RRC. En répondant à la problématique du site commun, il a été possible ainsi d‟éprouver cette transversalité en appréhendant les risquesà travers leur spatialité.

Approches géographiques des risques 

La géographie entend cerner le risque par les deux éléments qui le compose. De ces origines ancrées dans les sciences naturelles, elle arrive en premier lieu à appréhender les interactions entre l‟atmosphère, l‟hydrosphère, la biosphère et la lithosphère.

LES AVANTAGES ET REVERS DU SITE COMMUN

Chaque membre partenaire œuvrant dans le site commun, apporte surement son expertise mais aussi ses faiblesses. L‟objectif serait d‟apprécier s‟il y a cette cohésion voulue entre acteurs. Pour cela, les cibles/indicateurs suggéré par LA TROBE et al. nous semblent adéquats à notre étude. Mais avant, il est nécessaire de justifier en quoi l‟idée d‟un site commun va innover, comment ce concept s‟est imposé, ses fondements théoriques et ses principaux objectifs. Le défi du site commun est assez ardu. Le fait de réunir plusieurs organismes et organisations ayant chacun(e) de grandes expériences dans leurs secteurs n‟est pas nouveau. L‟innovation réside dans le but de réunir toutes leurs expertises en RRC sur un même site. Mais avant tout il est important de présenter le contexte géophysique et socioéconomique de la zone d‟étude.

Un site aux risques hydroclimatiques élevés

Des risques liés à l’eau 

En ce qui concerne Vangaindrano, les aléas majeurs sont les cyclones tropicaux et les inondations. D‟autres aléas existent tel le grêle, les invasions acridiennes. Mais ils sont mineurs du fait de leur faible fréquence et par rapport aux deux autres cités précédemment.
Comme le montre le croquis suivant la commune se situe en aval du bassin hydrologique du fleuve Megnanara. Elle est délimitée par le fleuve Megnanara et son affluent au Sud. A proximité de l‟embouchure qui se déverse vers l‟Océan Indien ; le site d‟implantation de la ville est une zone de divagation du fleuve. Cela veut dire que Vangaindrano est fortement exposé à la montée des eaux. Notons ici que les Fokontany cibles sont situés de part et d‟autre du chef-lieu de district : Nagnasaha et Sahafero sont au Nord tandis que Tanimena et Taratasy sont au Sud.

Une vulnérabilité avérée 

Les résultats des enquêtes CAP ont aussi montré que les contextes sociaux et économiques des 4 Fokontany cibles ne le permettent pas de faire face surtout au cumul de catastrophes. Les plus récentes ont été le passage des cyclones Bingiza en 2011, et Giovanna et Irina en 2012. Leurs vulnérabilités flagrantes sont justifiées par un bas niveau de résilience de chaque Fokontany cible.

Une mise en avant des activités de RRC 

Selon les priorités dictées par le CAH , les secteurs suivants sont capitaux pour atteindre cette résilience à tous les niveaux concernés. D‟ailleurs, nombreux sont les auteurs qui proposent des outils d‟évaluation et d‟intégration basées sur ces secteurs clés. Les membres partenaires du site commun ont quant à eux regroupé ces secteurs dans ce qu‟ils nomment « paquet complet » de RRC.

Le WASH selon MEDAIR

L‟Eau, Assainissement et Hygiène (ou WAter, Sanitation and Hygien) est une priorité du fait que l‟eau est vitale. Mais c‟est aussi un des principaux facteurs de risques sanitaires.
La photo n°01 nous montre les comportements à changer. D‟un côté, il est très difficile de changer les habitudes des habitants à utiliser directement l‟eau des rivières. Quant à l‟autre aspect, l‟usage des puits traditionnels ne respectant pas les critères d‟eau potable peut être toutefois délaissé. Souvent submergé lors des inondations, comme celui de Morafeno cidessus, construire des puits en hauteur et surélevés est fort opportun pour les habitants. Pour le compte du site commun, l‟ONG MEDAIR apporte son savoir-faire dans l‟intégration du WASH sur les 4 Fokontany cibles. Les bonnes pratiques issues de ses autres projets tels Tsarakobaby y sont appliquées, notamment les procédures de mise en place d‟infrastructures pour un accès à l‟eau potable.

La culture d’igname à cycle court 

Pendant la phase III du projet DIPECHO, ICCO/SAFFJKM et CARE se sont concentrés sur la production d‟igname. Sa culture répond aux objectifs cités ci-dessus. L‟introduction d‟une variété d‟igname à cycle court, d‟environ 2 mois , a été initiée. Les tubercules d‟igname ont cette qualité de ne pas pourrir trop vite lorsqu‟elle est submergée par les eaux. Et face aux rafales de vent, seuls les tuteurs peuvent être endommagés. Les plants ne font que fléchir. En outre, les tubercules d‟igname sont aussi reconnus pour sa bonneconservation une fois récoltés, et sa valeur nutritive qui peut très bien remplacer le riz. Notons que la production d‟un pied varie entre 19 à 25Kg.

Des techniques rizicoles améliorées

L‟importance culturelle et culturale du riz à Madagascar n‟est plus à démontrer étant donné qu‟il est l‟aliment de base des Malgaches. En conséquence, les acquis des membres partenaires dans les techniques de production rizicole à cycle court sont considérables. Avec l‟appui de la FAO, CARE et SAFFJKM font une promotion des SRI et SRA avec la mise en place des greniers communautaires et leur gestion. Et malgré les réticences, les concernés sont conscients que des innovations sont nécessaires pour que la riziculture soit une activité génératrice de revenu.
Plusieurs objectifs sont à atteindre. Un des plus importants est la diminution de la période de soudure entre deux récoltes, celles du vary hosy et du vary tsipala. Réduire les risques d‟inondation, introduire des variétés plus résistantes et à cycle court, et améliorer les systèmes d‟irrigation convergent vers cet objectif. En fait, la période de soudure est un type de catastrophe similaire à la sècheresse par les carences alimentaires ou pire ; le kere, que la population subit lors de sa survenue. Il est également intéressant d‟y voir un critère de résilience, dans les mesures de relance post-catastrophes en riziculture. Ce serait relatif à la disponibilité des semences. Décaler le calendrier rizicole en dehors de la période cycloniquecontribue aussi à diminuer la vulnérabilité des communautés.

Une approche par les représentations spatiales

Les acteurs que nous avons cités précédemment ont leurs propres conceptions du site commun. En tenant compte de l‟outil conçu par LA TROBE S. et al., l‟approche est liée à la rubrique de planification géographique. Elle prend tous les indicateurs en compte certes, mais plus approfondies sont les analyses que nous voudrions entreprendre.

Un site commun et des perceptions spatiales diverses 

Par rapport au secteur d‟activités de chacun se perçoit un « environnement pertinent » qui pourrait être classé tel le risque en point, zone et ligne. Mais d‟autres détails sont à mettre en avant. Les travaux concernant la typologie des représentations spatiales nous indiquent une piste de recherche concernant la perception spatiale des risques. CARON C. et al. ont initié une classification des représentations spatiales que chaque « être » géographique pourrait concevoir. Nous avons pu entrevoir cette typologie à travers les approches des membres partenaires du site commun.
En premier lieu, les représentations spatiales relatives au WASH sont généralement cadrées dans une représentation ponctuelle et monothématique du site commun. Cela est justifié par une cartographie des points d‟eau prévus, réalisés ou abandonnés. Un aspect tridimensionnel de l‟espace est aussi pris en compte dans leurs démarches. Les techniciens enforage étudient en effet la stratification du sol et la profondeur de la nappe phréatique. En second lieu, les acteurs dans le domaine de la sécurité alimentaire conçoivent différemment le même site commun. L‟organisation foncière des lieux et les terres cultivables sont exprimées en zones et surfaces cultivables. L‟espace est perçu généralement en deux dimensions et il est plurithématique. A l‟opposé des acteurs du WASH, les techniciens agricoles réfléchissent sur la nature du sol, les facteurs climatiques, les zones de cultures adaptées, en plus des facteurs hydrologiques. Ce dernier point semble commun à tous par sa configuration en réseau.
La similitude aux représentations spatiales des agents techniques est cette conception en espace vectoriel de leurs zones d‟activités. Cela s‟explique par leurs démarches qui se focalisent sur les aspects physiques de l‟espace. Certes, ils n‟évacuent en aucun cas les caractères sociaux du territoire de leurs réflexions. Mais par rapport au point de vue de l‟ADL ou du chef Fokontany, il y a une nette différence.

Une désarticulation du processus

Les lacunes observées lors de nos travaux de terrain sont généralement relatives à la coordination des activités et ses répercussions sur les communautés cibles. En effet, ces dernières sont les premières à apprécier les approches de chaque membre partenaire. La rubrique concernant les relations externes de l‟outil d‟intégration sera ici adaptée au caractère multiacteurs du projet. Si les points positifs ont été cités plus haut, les failles seront exposées ici, en nous efforçant d‟en tirer des leçons.

Un cadre institutionnel complexe 

Selon le découpage administratif du territoire malagasy, les services territoriaux déconcentrés et les collectivités territoriales décentralisées sont imbriquées. Ceci serait en vue d‟un équilibre de pouvoir entre représentants de l‟Etat central et ceux qui sont élus au suffrage universel direct. De ce fait, les Fokontany sont subordonnés au district, tandis que les communes son chapeautées par la région. Cette organisation est défavorable à Vangaindrano.
Elle mine surtout le processus RRC.
En effet, la « ville » est à la fois chef-lieu de district et chef-lieu de commune. Il y a donc court-circuit dans l‟exercice de leurs prérogatives. L‟autorité du district s‟impose implicitement sur Vangaindrano aux dépens de la commune. En s‟adressant aux maires de quelques communes proches, les communes plus éloignées du chef-lieu de district ne présente pas ce genre d‟anomalie administrative. Les agents du MEDAIR avouent qu‟habituellement leur premier interlocuteur serait la commune. Ils ont remanié leur approche pour Vangaindrano en raison de ce contexte.
Les pouvoirs traditionnels ont aussi des conflits d‟autorité ayant des conséquences sur les activités RRC. Il importe de prendre en compte la caste d‟appartenance de chaque membre de CLGRC pour qu‟il y ait effectivité dans leurs tâches. Chaque hameau possède son lonake. Et chaque lonake est affilié soit au clan Rabehava, soit au Zafimananga, ou bien au Zafimahavaly . Les Antesaka semblent être très soucieux de ces institutions traditionnelles. Certes, SAFFJKM applique une démarche adéquate de concertation avec les leaders d‟opinion dans chaque communauté. Mais le cas de Sahafero n‟est pas anodin du fait que le premier CLGRC a été dissout à cause d‟une gestion floue des biens communs. Les conséquences sont un retour à zéro de l‟opérationnalité du comité. Les nouveaux membres seront alors à former de nouveau. En approfondissant, il a été évoqué qu‟actuellement, Sahafero est un foyer contestataire de l‟organisation en trois troky des foko Antesaka de Vangaindrano. Ce qui nous amène aux perspectives à long terme du projet. Afin d‟arriver à un changement de comportement des communautés, il serait opportun de comprendre ses aspects anthropologiques. Il serait même possible de répondre pourquoi Vangaindrano est un cimetière de projet.

Vers une désensibilisation aux bonnes pratiques

Il est clair que la multitude d‟organismes œuvrant à Vangaindrano et ailleurs change irrémédiablement l‟attitude des communautés envers les bonnes volontés de ces acteurs du développement. Le cas du site commun l‟illustre bien. Les techniques d‟encadrement promues par ICCO/SAFFJKM s‟intègrent bien au processus à long terme de RRC. Toutefois, elles sont difficiles à assimiler par les communautés sensibilisées.
Certes, il y a celles qui sont conscientes du message que les agents s‟efforcent de transmettre, mais le cas des chefs Fokontany exprimant leur aversion au processus initié est problématique. Pire encore, ces derniers profitent des attitudes concurrentielles entre organisations partenaires afin de satisfaire les mauvaises habitudes de « quémander » des habitants. Le manque de coordination s‟exprime aussi par la multiplication des associations.
Le cas des Associations des Usagers en Eau est remarquable. Et les conséquences sont assez graves car elles portent atteinte à la solidarité entre villages. Les membres de l‟association déclarent que seuls les habitants du hameau d‟implantation du puit ont le droit d‟en faire l‟usage . Toujours relatifs aux puits, certains forages furent des échecs. Les répercussions en sont assez négatives pour tous les partenaires du fait qu‟il y aurait eu des lacunes dans les étapes pré-terrain.

RRC ET INTELLIGENCE COLLECTIVE DANS LE SITE COMMUN

Nos travaux de terrain et notre recherche bibliographique ont conduit à une réflexion sur les processus en jeu dans une organisation sociale. Toujours dans l‟optique de réduire la vulnérabilité des communautés du site commun, parler d‟intelligence collective permettrait en fait d‟articuler les mécanismes endogènes et exogènes de RRC relatifs au site commun. Les travaux de coordination de l‟ICPM expriment cet effort d‟articulation entre communautés cibles, membres partenaires de la plateforme et les bailleurs de fonds. Afin de mieux comprendre ces relations à tisser entre RRC et intelligence collective, il serait intéressant de présenter les aspects du projet touchés par ce champ de recherche.

Une intelligence polymorphe

Des intelligences collectives 

Les propos de NOUBEL avancent qu‟il y a trois formes d‟intelligence collective. La première est originelle à toute organisation sociale ayant une proximité spatiale que ce soit humaine ou autre. Cette intelligence collective originelle s‟expérimente directement au sein du groupe de travail, dans la salle de réunion, de la meute de loups quand elle chasse une proie, de l‟équipe de football lors d‟un match…etc.
L‟intelligence collective pyramidale est la deuxième forme de l‟intelligence collective qui serait plus spécifique à l‟humain. Hiérarchique, elle se perçoit dans l‟organisation administrative de l‟Etat ou encore la structure traditionnelle des Antesaka. Les points saillants en sont la division de travail caractéristique de cette structure. L‟idée d‟autorité légitimée divinement, légalement, par filiation ou autres en est aussi un aspect spécifique. En conséquence, l‟accès au pouvoir et l‟accès à l‟information seront ainsi commandés par cette forme pyramidale de l‟intelligence collective.
L‟intelligence collective en essaim est le troisième type qui s‟illustre le mieux par l‟organisation sociale des insectes. La particularité des essaims serait que les individus n‟ont aucune idée du « projet global » de l‟entité supérieure dont ils en sont les constituants.
L‟exemple humain le plus parlant serait dans les liens entre les activités microéconomiques et ses répercussions au niveau macroéconomique . Selon NOUBEL, « de la multitude de transactions simples et probabilistes d’individu à individu émerge un système collectif très élaboré, pourvu de propriétés adaptatives et réactives à l’environnement .

Table des matières

SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE 
Section 1 : Contexte de l‟étude
Section 2: Problématique
Section 3 : Méthodologie
CHAPITRE I : CONCEPTION ET INTEGRATION DES RISQUES 
Section 1 : Le sens multiple de la notion de risque
Section 2 : La RRC au premier plan
Section 3 : Des outils pour évaluer l‟intégration de la RRC
CHAPITRE II : LES AVANTAGES ET REVERS DU SITE COMMUN
Section 1 : Un site aux risques hydroclimatiques élevés
Section 2 : Une mise en avant des activités de RRC
Section 3: Une approche par les représentations spatiales
Section 4 : Une désarticulation du processus
CHAPITRE III : RRC ET INTELLIGENCE COLLECTIVE DANS LE SITE COMMUN
Section 1 : Une intelligence polymorphe
Section 2 : L‟intelligence collective par la cartographie participative des risques
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES

projet fin d'etude

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