Suivi de la population d’Aigrette ardoisée (Egretta ardesiaca)

Suivi de la population d’Aigrette ardoisée (Egretta
ardesiaca)

 Caractéristiques physiques 

 Climat et Température

 Le climat de la région de Dakar est influencé par l’alizé maritime qui est une masse d’air de direction Nord à Nord-Ouest. Cette masse d’air confère au littoral un climat azonal marqué par une fraîcheur des températures. La température moyenne annuelle se situe aux environs de 25°C. Elle est parmi les plus faibles des régions du Sénégal et varie en fonction des saisons. La présence de l’harmattan, faiblement ressentie dans cette partie des Niayes élève la température à un maximum de 31°C pendant la période comprise entre les mois de mai et juin A B Mémoire de Master II/ 2014. Marième DIONE/ Ecologie et Gestion des Ecosystèmes Page 5 (Diop, 2013). Pendant la saison pluvieuse (hivernage), les précipitations sont provoquées par la présence de la mousson en provenance du sud-ouest issue de l’anticyclone de SainteHélène. L’hivernage (saison pluvieuse) dure généralement 2 à 3 mois (entre juillet et septembre) avec un cumul moyen annuel compris entre 390 mm et 540 mm de pluie (Ndiaye, 2014

 Relief 

Le relief des Niayes de Dakar est caractérisé par une succession de dunes et de dépressions inter dunaires. Ces dépressions sont situées au pied du talus des massifs dunaires (Essouli, 2005). Elles constituent des zones inondables pouvant être des plans d’eau (étangs, cuvettes ou lacs par exemple). 

 Réseau hydrographique

 Les eaux des Niayes proviennent essentiellement de la nappe phréatique des sables quaternaires et des précipitations. En effet, la remontée de la nappe consécutive aux apports des pluies, provoque l’affleurement d’un plan d’eau libre dans les dépressions. L’écoulement de la nappe en direction des lacs entretient de façon quasi-permanente un plan d’eau à l’intérieur de ces dépressions. Cet écoulement est plus accentué en hivernage que pendant la saison sèche à cause de l’apport pluvial. Actuellement avec la dégradation persistante des conditions climatiques, ces écoulements de surface deviennent de plus en plus rares (Touré, 2004). 

La salinité 

 Lac Retba Selon Sow et al. (2008), l’eau du lac Retba se caractérise par une forte concentration en sel de l’ordre de 80 à 350 g/l suivant les saisons. Dans les étangs qui lient le lac à l’océan, la teneur en sel varie entre 5,8 et 38 g/l suivant la saison. En fin de saison sèche, le taux de sel est de 32 à 38 g/l.  Lac Mbeubeuss Le lac Mbeubeuss est caractérisé par des eaux saumâtres à salées en fonction des saisons. Sa position continentale favorise le phénomène d’évaporation qui induit l’élévation de la salinité.  Technopôle Il existe trois types de sols dans le Technopôle (Niaye de Pikine). Il s’agit des sols extrêmement salins (SES), rencontrés dans les bas-fonds des dunes ; les sols légèrement salins (SLS), retrouvés dans les pentes des dunes et les sols non salins (SNS) dans les zones dunaires (Ndiaye et al., 2012). 

 La flore et la faune 

La flore

 La végétation des Niayes de Dakar est un héritage des périodes humides du Quaternaire récent. Dans ces Niayes proprement dites (les dépressions), l’affleurement de l’eau pendant toute l’année favorise le développement d’une végétation luxuriante où dominent Elaeis guineensis et Cocos nucifera. La strate herbacée est assez importante et est composée de graminées. Sur les plans d’eau du Technopôle se trouvent les espèces aquatiques (hydrophytes): Typha australis, Phragmites australis, Nymphea lotus (Touré, 2004 ; Ndao, 2012 ; Gadiaga, 2014). Des ilots de mangrove à Avicenia africana y sont également retrouvés. Sur les berges du lac Mbeubeuss, Typhas australis, Phragmites communis et Tamarix indica sont également présents et constituent une végétation naturelle. A cette végétation naturelle, celle des lacs Mbeubeuss et Retba, s’ajoute le périmètre de reboisement situé sur le cordon dunaire qui sépare ces lacs et l’Océan Atlantique. Ce périmètre est composé, pour l’essentiel, par une végétation constituée de Casuarina equisetifolia (filaos).

La faune

 Dans la végétation luxuriante, vit une faune très variée. Cette faune est composée d’organisme du sol (Protozoaires, nématodes, vers de terre, insectes…) qui constitue une grande partie du régime alimentaire des oiseaux. Des mammifères sont également présents de même que des reptiles. On peut citer les reptiles de l’ordre des squamates tels que le varan d’eau (Varanus niloticus), le varan des sables (Varanus panoptes), l’agame commun (Agama agama). D’autres reptiles ophidiens (serpents) sont également notés. La faune ichthyologique est caractérisée par les carpes et les choléres (communication personnelle des pêcheurs). La faune la plus remarquable et la plus visible est l’avifaune (Ndao, 2012). Cette avifaune est constituée d’espèces migratrices et d’espèces résidentes. 

 Les activités économiques 

 Le maraichage Les Niayes constituent une zone éco géographique à vocation maraîchère qui est l’activité dominante. Le maraichage est généralement une activité masculine. Cependant la vente des produits est faite par les femmes. Le maraîchage est pratiqué dans cette zone grâce à la proximité de la nappe phréatique. L’irrigation des plants se fait à partir des « céanes », puits traditionnels qui varient entre 1 et 10 mètres de profondeur. Les spéculations dépendent des saisons. Ce sont principalement: lactuca (salade), Mentha sp (nana), Allium porum (oignon), Brassica sp (chou), Hibiscus sabdariffa (bissap), Ipomea batatas (patate douce), Lycopersicum esculentum (tomate cerise), Capsicum frutescens (piments). (Fall et al., 2004 in Diop, 2006). Ces plantes sont fertilisées avec des fertilisants chimiques, et des pesticides sont utilisés dans la lutte contre les insectes. Ces derniers constituent une ressource alimentaire essentielle pour les oiseaux.  La floriculture La floriculture est une activité pratiquée dans le Technopôle. Son expansion est possible grâce au centre de recherche horticole de Cambérène (CRHC) (Diop, 2006).  La pêche Elle est pratiquée dans le Technopôle et au lac Mbeubeuss surtout par les Diolas et les Sérères (communication personnelle des pêcheurs). Chaque jour, sur les différents plans d’eau du Technopôle et au lac Mbeubeuss des dizaines de pêcheurs recueillent des quantités importantes de poissons dont deux variétés sont citées un peu plus haut. Parfois ces pêcheurs sont en compétition avec les oiseaux piscivores.  L’extraction de sel L’exploitation du sel pratiquée au lac Retba a débuté dans les années 1970 (Sy, 2000). L’extraction de sel se fait par plusieurs dizaines de pirogues d’une capacité de 1 à1, 5 tonne de sel. Ce sel extrait, arrivé au bord du lac, est déposé au sol sous forme de tas comportant des signes distinctifs. La richesse de la zone en sel a fait qu’elle est dépourvue de poisson.  Le tourisme Le lac Retba constitue un site qui attire les touristes à cause de sa coloration rose. Plusieurs campements touristiques sont notés dans les alentours du lac. La plupart de ces campements sont implantés dans les villages de Niaga Wolof et de Niaga Peul (Sy, 2000). Le lac Retba est une zone très perturbée par les nombreux visiteurs qui viennent chaque jour et la présence de Mémoire de Master II/ 2014. Marième DIONE/ Ecologie et Gestion des Ecosystèmes Page 8 nombreux vendeurs ambulants d’objets d’art. Cette perturbation est aussi causée par les nombreuses voitures qui parcourent le lac. 

 Présentation de l’espèce étudiée

 Position Systématique Embranchement 

 Chordata Classe : Aves Ordre : Ciconiiformes Famille : Ardeidae Sous famille : Ardeinae Genre : Egretta Espèce : Egretta ardesiaca (Wagler, 1827) Noms vernaculaires : Aigrette ardoisée en français, Black heron en anglais, Comme toutes les espèces de sa sous famille, elle se nomme « Khode » en wolof et « Ndanaw» en sérère.

 Description 

L’Aigrette ardoisée, Egretta ardesiaca (Wagler, 1827) (figure 5) est un héron africain de la famille des Ardeidae. Comme tous les Hérons et Aigrettes, elle se distingue par ses pattes longues, avec des doigts longs et sans palmures. Son pouce très développé est opposable aux trois autres doigts (Dekeyser et Derivot, 1966 ; Woodcock and Hayman, 1982 ; Serle et Morel, 1993 ; Gueye, 2011). Elle a un cou long en forme de S qui se replie au vol (Serle et Morel, 1993 ; Girard, 2003 et Gueye, 2011). Sa taille varie entre 48 à 55 centimètres pour une envergure de 90 à 95 centimètres (Borrow et Demey, 2004). Son poids est compris entre 270 et 390 grammes. Le plumage est semblable chez les deux sexes. Chez l’adulte, il est entièrement noir, avec des reflets bleuâtres ou gris ardoisé (Malzy, 1967). Cette couleur foncée lui a valu le nom d’héron noir. Chez les juvéniles la couleur du plumage est plus terne et plus brune (Girard, 2003 ; http://www.oiseaux-birds.com/fiche-aigrette-ardoisee.html). Sa tête est surmontée d’une calotte ornée d’une crête ébouriffée de plumes noires lancéolées sur l’arrière de la tête et sur la nuque. Ses yeux sont jaune vifs et son bec long, rectiligne et pointu (Dekeyser, 1962 ; Gueye, 2011) est noir. Les plumes des ailes, incluant les secondaires, les axillaires, les scapulaires et les couvertures inférieures, sont longues et larges contrairement aux primaires qui sont larges. Leurs doigts de couleur jaune orangé vif sont surmontés de pattes noires. Figure 5: Aigrette ardoisée, Egretta ardesiaca au Technopôle  En vol, lorsque ces caractères distinctifs ne sont pas visibles, il faut se fier à la couleur très sombre du plumage et à la couleur jaune des semelles. (Http://www.oiseaux.net/oiseaux/aigrette.ardoisee.html).

Habitat et distribution

L’Egretta ardesiaca est une espèce confinée en Afrique où elle est résidente et nicheuse. Elle peut être sédentaire, migrateur intra-africaine ou occasionnel (Borrow et Demey, 2004). Son aire de distribution s’étend sur 8.500.000 km². En effet elle occupe toute l’Afrique subsaharienne (AEWA, 2008) jusqu’au Madagascar. (http://www.birdlife.org/datazone/speciesfactsheet.php?id=3704). On la retrouve au sud du Sahara, du Sénégal au golfe de guinée puis sur une étroite superficie du Nigéria jusqu’à l’extrême ouest de la Somalie, puis vers le sud tout le long de la côte de l’océan Indien et en Madagascar (Forget, 2010). Au Sénégal, l’Egretta ardesiaca est retrouvée au niveau des Niayes, au Parc National des Oiseaux de Djoudj (PNOD), au Bureau d’Information des Parcs du Nord (BISPN), au Bountou Baat/ Mboumbaye, au Parc National de la Langue de Barbarie (PNLB) , au Parc National du Delta du Saloum (PNDS), au lac de Guier, à la Réserve Spéciale de la Faune (RSF) du NDIAEL, au Parc National de Niokolo koba (PNNK), à la petite côte (Palmarin, Sendou, SOCOCIM (Pinthiour), aux Aires Marines Protégées (AMP) de Joal), dans la zone de la Casamance, du Parc National de la Basse Casamance (PNBC), au parc d’Abéné, à la Réserve Ornithologique de Kalissaye(ROK) et à l’Estuaire du Saloum (Groppali, 2006 ; PADERCA, 2008, (DPN, 2015). L’Aigrette ardoisée fréquente les eaux douces et saumâtres. Elle vit dans les eaux peu profondes ouvertes, comme les bords des lacs et des étangs. Elle peut également être trouvée aux bords des marais, des rivières, des mangroves, et des prairies inondées de façon saisonnière (Forget, 2010 ; Watson, 2013 et Woodcock et Hayman, 1982). Dans les zones côtières, il peut être trouvé en s’alimentant le long des ruisseaux de marée (http://www.gbif.org/species/2480878).

Statut de conservation

 La tendance de la population semble être stable. La taille de la population peut connaître une grande fluctuation au cours des années. Cependant malgré ces fluctuations d’effectifs, la population n’approche pas le seuil de Vulnérable (VU). L’Aigrette ardoisée est évaluée comme préoccupation mineure (PM). 

 Comportement et régime alimentaire

 L’aigrette ardoisée est renommée pour sa technique de pêche qui lui est caractéristique. Lorsqu’elle recherche sa pitance, par la marche rapide ou lente, l’Aigrette ardoisée déploie complètement ses ailes et forme une sorte de parapluie (ombrelle) (Girard, 2003 ; Kushlan, 2011). Après la formation de cette ombrelle, l’Aigrette se sert de son bec comme d’un harpon et frappe verticalement sa proie. D’après Malzy (1962) ce comportement permet d’empêcher la réverbération c’est-à-dire la réflexion de la lumière. Si la séquence est interrompue, les ailes partiellement soulevées sont rétractées immédiatement. Si non, elle peut garder cette position deux à trois secondes. Pendant ce temps, elle remue la vase du fond avec ses doigts pour faire remonter les proies. Ensuite, l’Aigrette ardoisée se déplace sur une certaine distance pour former une autre ombrelle, généralement en quelques secondes. Cette technique de parapluie n’est pas toujours utilisée, en certaines occasions l’Aigrette ardoisée capture sa proie en restant debout avec le bec en diagonale et les ailes le long du corps. Certaines Aigrettes ardoisées se nourrissent en solitaire, sur leur territoire d’alimentation bien défendu. Tandis que d’autres se nourrissent en groupes allant parfois jusqu’à 200 individus (http://www.gbif.org/species/2480878). Elle peut tolérer l’approche étroite d’autres espèces. Les poussins nidicoles sont nourris par leurs parents par régurgitations (Malzy, 1967 ; Gueye, 2011). Après la pêche l’Aigrette ardoisée ébouriffée, rejoint un perchoir. Elle se secoue vigoureusement et laisse ses plumes se remettre en ordre lentement. La séance de pêche peut durer une dizaine de minutes à quelques heures, suivant les circonstances, la visibilité et la disponibilité des proies. Habituellement silencieuse, elle peut émettre des cris comme un gloussement profond quand elle pêche en groupe. L’aigrette ardoisée se nourrit de poissons, mais elle n’est pas exclusivement piscivore. Selon la disponibilité des proies, le régime alimentaire peut varier. Elle peut consommer des amphibiens et des invertébrés (insectes, mollusques, crustacés) (Anonyme, 2005, Kushlan et Hancock, 2005).

 Reproduction 

La reproduction a lieu après un pic de la saison des pluies et pendant les périodes d’inondation, lorsque les sites d’alimentation en eau peu profonde se développent. Ainsi le calendrier réel diffère selon les régions (Woodcock et Hayman, 1982): la reproduction se passe de novembre à janvier en Afrique du Sud, de mars à juin en Afrique oriental, et de Mémoire de Master II/ 2014. Marième DIONE/ Ecologie et Gestion des Ecosystèmes Page 11 juillet à août en Afrique occidentale. Selon Malzy (1967), la période de reproduction va de fin octobre à avril à Tanarive (Madagascar). Au Sénégal la reproduction est notée dans la Réserve Ornithologique de Kalissaye avec 256 nicheurs en 1982 (PADERCA, 2008) et dans les Niayes avec 250 couples en 1996 (Coulthard, 2001). Cette reproduction se passe dans des colonies isolées ou mixtes avec d’autres Hérons ou Aigrettes. Ces colonies peuvent se compter en centaines (http://www.gbif.org/species/2480878). Selon Gueye (2011), pendant cette reproduction le mâle et la femelle sont semblable. Les pieds jaune-orange des deux sexes deviennent une couleur rouge vif. Sur le site du nid, le mâle se met sur un perchoir pointant sa tête avec le cou bien tendu vers le haut et invite la femelle à regarder de plus prés. Après l’accouplement le couple construit le nid (http://www.planetofbirds.com/ciconiiformesardeidae-black-heron-egretta-ardesiaca). Le mâle se charge d’apporter le matériau et la femelle confectionne le nid (Gueye, 2011 ; Anonyme, 2005). Ce dernier est une plateforme solide construit de bâtons et de brindilles. Il a un diamètre de 25 à 35 cm et est situé entre 1 à 6 m en haut des arbres, des buissons ou des roselières à proximité ou sur l’eau (Kushlan et Hancock, 2005). La taille de la couvée est de 2 à 4 œufs, le plus souvent 3 par nid (Malzy, 1967). Ces œufs sont incubés par les deux sexes pendant une durée 18 à 30 jours. Pour défendre son nid le mâle émet des cris rauques. Les juvéniles atteignent la maturité à l’âge de 1 à 2 ans (http://www.avibirds.com/html/herons/Black_Heron.html#.VOWg4ubz03k). I.2.7 Migration Même si l’Aigrette ardoisée est considérée comme une espèce sédentaire en Afrique, elle effectue des mouvements afrotropic (Http://wpe.wetlands.org). Les mouvements de l’Aigrette ardoisée sont en fonction de l’apparition des zones d’alimentation en eaux peu profonde. Par conséquent les voies migratoires de l’Aigrette ardoisée sont peu connues.

Table des matières

DEDICACES
REMERCIEMENTS
Liste des acronymes et Sigles
Liste des figures
INTRODUCTION
Chapitre I : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I.1 Zone d’étude
I.1.1 Présentation des Niayes et localisation de nos sites d’étude
I.1.1.1 Le Technopôle
I.1.1.2 Le Lac Retba
I.1.1.3 Le lac Mbeubeuss
I.1.2 Caractéristiques physiques
I.1.2.1 Climat et Température
I.1.2.2 Relief
I.1.2.3 Réseau hydrographique
I.1.2.4 La salinité
I.1.2.5 La flore et la faune
I.1.2.5.1 La flore
I.1.2.5.2 La faune
I.1.3 Les activités économiques
I.2 Présentation de l’espèce étudiée
I.2.1 Position Systématique
I.2.2 Description
I.2.3 Habitat et distribution
I.2.4 Statut de conservation
I.2.5 Comportement et régime alimentaire
I.2.6 Reproduction
I.2.7 Migration
Chapitre II : MATERIEL ET METHODES
II.1 Matériel
II.2 Méthodologie
II.2.1 Bibliographie
II.2.2 Prospections préliminaires
II.2.3 Collecte de données de terrain
II.2.3.1 Décompte des oiseaux
II.2.3.2 Etude du comportement
II.2.4 Traitement et analyse des données
II.2.5 Les limites de l’étude
Chapitre III : Résultats et Discussion
III.1 Résultats
III.1.1 Caractérisation des habitats
III.1.2 Effectif de la population d’Aigrettes ardoisées dans les différents sites d’étude
III.1.2.1 Répartition spatio-temporelle des Aigrettes ardoisées dans les différents sites d’étude
III.1.3 Etude du comportement
III. 1.3.1 Ethogramme
III.1.3.2 Le budget temps
III.2 Discussion
Conclusion, perspectives et recommandations
Références bibliographiques

 

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