Tsimanampesotse : un exemple de zone humide exceptionnelle de Madagascar

Situation deTsimanampesotsedans son cadrerégional 

Localisation du Parc Nationalde Tsimanampesotse 

Le P.N de Tsimanampesotse fait partie intégrante de la Commune rurale de Beheloke, dépendant du District de Tuléar II au sein de la province de Tuléar. Il est placé sous la tutelle du Ministère des Eaux et Forêt et de l’Environnement, et administré par la D.G.E.F (Direction des Eaux et Forêts) et ses échelons décentralisés, en l’occurrence la D.I.R.E.F (Direction Interrégionale des Eaux et Forêts) de Tuléar, la C.I.R.E.F (Circonscription Interrégionale des Eaux et Forêts) de Tuléar et le C.E.F (Cantonnement des Eaux et Forêts) de Betioky Sud. En application de la loi programme N°97/012du 06/06/97portant la modification de la Charte de l’environnement, cette Aire Protégée est gérée par l’A.N.G.A.P, et plusparticulièrement par sa Direction Interrégionale de Tuléar.
La position géographique du parc confirme qu’il se trouve dans une région subaride. Il se trouve en effet au sein d’une région constituée en majeure partie de rocailles dans le plateau calcaire couvert de bush épineux (ou des fourrés xérophiles), et d’une plaine littorale du Sud-Ouest malgache.
En d’autres termes, cette zone coïncide sensiblement avec ce qu’on appelle le Mahafaly. Et le Mahafaly s’étend du nord au sud, du bassin de l’Onilahy jusqu’aux confins hydrographiques des grandesfleuvesdu Sud, la Menarandra et la Linta (cf. Carte n°1).

Historiques de Tsimanampesotse 

Etymologiquement, Tsimanampesotse vient du nom donné par les premiers riverains qui étaient liés avec le lac situé en contrebas de la falaise calcaire qui date de l’Eocène. Ces habitants ont cru qu’il pouvait exister des dauphins (ou fesotse en dialecte local) dans ce lac, étant donné la salinitéde seseaux. C’estainsiqu’ils l’ont baptisé Manampesotse,qui veut direlittéralementle lac pourvu de dauphins.Lesgéographesqui ont cartographié la zone, par contre, n’ont pas voulu garder ce nom à cause de l’absence d’espèce de poissons ou de dauphins. C’est pourquoi le fameux lac est par conséquent dénommé Tsimanampesotse ou le « lac sansdauphins ».
Depuis 1927, Tsimanampesotse était déjà la dixième Réserve Naturelle Intégrale de Madagascar avec une superficie de 17 520 ha. Elle fut l’objet d’une extension en Juin 1966 suivant le décret 66-242 etsasuperficie a étéamenée à 43 200ha.Sa conversion en Parc National N°16 n’a été effectuée qu’à partir de 2002 suivant le décret N°2002-797. En 2006, cette Aire Protégée est encore soumise à un projet d’extension.

Situation socio-économique régionale 

Cette zone aux environs de Tsimanampesotse se trouve dans une situation économique défavorisée. En effet, elle est très isolée car très loin de la grande ville de Tuléar. L’état piteux de la route nationale N°10 via Betioky Sud et celle qui mène jusque vers le littoral Sud-Ouest de Madagascar rend difficile à son accès.

Le mode de vie de la population 

La majeure partie de la population locale de cette région vit dans l’extrême pauvreté dont le pouvoir d’achat est moins d’un dollar par jour (indice de référence de l’O.N.E pour les zones rurales de Madagascar) et mène un mode de vie traditionnelle. Et la principale activité de survie des communautés de base réside dans le secteur primaire (agriculture, élevage pastoral et pêche artisanale), comme celle qu’on rencontre dans toutes les régions du pays. Les autres secteurs sont très peu développés, et les activités correspondantes sont exercées par un petit nombre de familles aisées, regroupé dans le chef lieu de la Commune rurale de Beheloke. Mais quelques fois, des petits commerçants peuvent se rencontrer dans les villages attirés par le tourisme comme Efoetse et Ambola.

Lesconditions socio-économiques 

On remarque dans la zone, la persistance d’une longue période de soudure dans l’année.
Celle-ci commence à partir du mois d’Août, début de l’ afaosa et ne s’achève qu’à partir du mois d’Avril, début de l’asotry (hiver). Au cours de l’afaosa (une courte saison intermédiaire sèche et chaude), aucune pratique agricole n’est possible à cause de l’évaporation du soltrès importante. Ce qui retarde très souvent le calendrier agricole. Ce dernier dépend aussi des premières chutes de pluies occultes. La vie paysanne est difficile à supporter car il n’y a pas d’autosuffisance alimentaire. La cueillette des fruits sauvages comme les baobabs, figuiers de barbarie, et la chasse destenrecsou des pintades assurent un appoint alimentaire. On peut dire que cette zone mène une économie de subsistance. La chasse et la cueillette, qui auparavant assuraient une activité d’appoint, deviennent désormais une des composantes principales du système de production pour certaines familles. Elles parviennent même de subvenir à renflouer le budget familial. Mais la raréfaction des produits oblige la population de s’enfoncer de plus en plus dansla forêt pour les trouver.
Du côté socioéducatif et culturel, cette contrée de Tsimanampesotse n’a pas bénéficié d’infrastructures de base et de services publics ou communautaires favorables. Quelques infrastructures sociales existent mais elles ne sont pas suffisantes ; et très souvent elles sont délaissées à cause du manque ou l’absence des responsables qualifiés sur place. Par conséquent, peu d’écoles sont opérationnelles, sinon des bâtiments publics sont construits mais leur fonctionnement laisse à désirer. Ceci est l’exemple des villages d’Efoetse, de Marofijery, et d’Ankilimivony.

LES ASPECTS NATURELS DE LA ZONE D’ETUDE

Les paramètres physiques 

Le relief dominé par des formations karstiques 

Notre zone d’étude présente un relief dominé par deux grandes unités morphogénétiques distinctes : le plateau calcaire Mahafalyet la plaine côtière tanalana.
Le plateau Mahafaly est une formation sédimentaire due à la consolidation des dunes flandriennes fossilisées de manière plus ou moins complète. Ce vaste ensemble est actuellement formé par des formations karstiques très développées suite à divers facteurs morphogénétiques et climatiques soutenus.
Ces rocailles de plateau peuvent être représentés en trois zones longitudinales (R. Battistini, 1964), tellesque :
-une zone orientale, dite zone des clairières, qui occupe la moitié de la partie est du plateau ;
-une zone médiane ou zone des dolines ;
-et enfin une zone occidentale ou encore zone des avens, qui s’allonge d’Itampolo au voisinage de Tsimanampesotse, un peu en contrebasde la zone desdolines.
Il est à noter que la superficie d’ensemble de ce plateau calcaire Mahafaly est de 9000 km².
Sa partie centrale, qui est la plus intéressante au point de vue de la morphologie karstique, est de l’ordre de 6000 km². Malheureusement, elle est la moins connue et la plus difficile à pénétrer. Et concernant la plaine côtière sableuse, de largeur variant entre 1,5 à 15 km, de superficie totale inférieure à 1500 km² entre les deux fleuves Onilahy et Linta (L. Guyot, 2002), elle est limitée à l’est par la falaise du plateau Mahafalyet àl’ouestpar le canal deMozambique.
Le karst mahafaly est façonné dans l’Eocène calcaire et marno-calcaire. Il présente dans sa partie la plus méridionale des affleurements d’âge éocène qui s’étendent largement entre le fleuve Onilahy, et le Mangoky dans sa partie septentrionale. C’est un exemple de karst « nu »imparfait en climat subaride, mais dont l’essentiel a dû se faire sous un climat plus humide que le climat actuel.
Le P.N de Tsimanampesotse fait partie de ce plateau karstique nettement bien visible. Des éléments principaux du modelé karstique se sont rencontrés dans cette région, à savoir : des avens, desdolines, des réseaux hydrographiques souterrains et d’autresformesde détails. Ceséléments de la géographie physique offrent un spectacle de paysage naturel typique des zones de karstification dont l’exploitation demande une bonne étude de faisabilité pour l’écotourisme. Dans cette étude, « les dolines sont décrites par les dépressions fermées sur l’affleurement de l’Eocène supérieur dans la zone desclairières » (2) . Et ces dernièresreprésentent despaysages typiques du Sud-Ouest.

Les paramètres climatiques 

L’écorégion du Sud connaît un climat le plus sec de Madagascar. Les précipitations sont, dans la plupart du temps limitées à une courte saison humide, ne durant pas plus de 4 mois. Elles peuvent se montrer erratiques dans les zones les plus arides où les périodes de sécheresse sont fréquentes. Dans l’ensemble, on peut assimiler l’écorégion du Sud à une zone climatique aride ou subaride.

Les températures 

On ne reçoit dans notre zone d’étude que de très faibles précipitations annuelles, tant bien sur le plan spatial que sur le plan temporel, avec des températures très élevées qui provoquent une évaporation annuelle très intense ; ce qui fait un déficit hydrique dans toute sa totalité. Notons qu’il existe des stations météorologiques dans les zones voisines, comme Beheloke, Anakao, et Tuléar. L’A.N.G.A.P à Efoetse aussi est dotée d’un pluviomètre et d’un thermomètre installés localement par les équipes du Centre National de Lutte Antiacridienne (C.N.A) de Betioky Sud en 2003. Ce qui a permis de faire un suivi météorologique dans la zone. De ce fait, des relevés sont établis régulièrement le matin à 6 heures et le soir à 18 heures, pour obtenir les minima et maxima des températures journalières.
Une grotte d’effondrement très développée (Andriamaniloke)dans le parc,à gauche et une forme d’adaptation de la végétation surdesroches karstiques,à droite de l’image. minimum de 19°2 C et un maximum de 29°3 C (L. Guyot, 2002). Puis, on observe dans la région que les températures les plus basses se situent au mois de Juillet ; et les plus chaudes prennent place aux moisdeDécembre et de Mars.
La figure suivante représente les courbes des températures enregistrées à la Station d’Efoetse en 2003 :

La circulation souterraine au voisinage de Tsimanampesotse 

Etant donné la topographie dunaire, la qualité des terrains gréso-calcaires perméables et l’aridité qui y règne, aucun système hydrographique n’affleure actuellement dans la région (cf. Carte n°4). Les études effectuées par R. Battistini (1964) ont bien montré que le plateau calcaire Mahafaly est à peu près en entier sans écoulement normal vers la mer, soit parce que les eaux de pluie s’infiltrent sur place à travers les calcaires perméables plus ou moins lapiazés (zone des  avens et des dolines) ; soit parce qu’elles s’écoulent en sheet flood vers le fond de dépressions fermées assez vastes comme celles d’Ankazomanga et d’Itomboina. Le même auteur affirme qu’« aucun cours d’eau ne débouche sur la plaine côtière dans les 165 km qui séparent l’embouchure de l’Onilahy du delta de Linta ».
En effet, on peut en déduire que cette zone est aréique. Cependant, la présence du lac Tsimanampesotse dans une telle région semi désertique ne se fait pas par hasard.
Comme le plateau Mahafaly est constitué d’une masse principale de calcaire perméable, la majeure partie des précipitations qui tombent dans cette région va s’infiltrer directement dans les nappes souterraines. Divers auteurs, qui ont déjà faits des travaux de recherches antérieurs dans la région, ont confirmé l’existence d’une circulation souterraine des eaux sous ce vaste plateau calcaire. Cette circulation qui se fait le long des fissures ou des diaclases est prouvée par l’existence de la nappe générale dans le fond des grottes (Mitoho, Andriamaniloke, Ilove) et avens (Vintane) que nous avons examinés dans le parc, ainsi que la présence des petitspoissons cryptiques un peu partout. D’ailleurs la présence des résurgences le long de la bordure occidentale du lac Tsimanampesotse témoigne de l’existence de ce réseau souterrain. Nous avons recensé quatre résurgences, à savoir : Emande, Andranonaombe, Manavakele et Manavambe. Mais les plus importantes sont celles d’Andranonaombe et de Manavambe. Il est fort probable qu’elles alimentent le lac par le biais des conduits karstiques chargéssous la partie principale du plateau.
En somme, on peut affirmer que notre zone d’étude est dépourvue d’un système hydrographique si l’on considère la totalité de son ensemble. Pourtant, des réseaux hydrographiques fossiles y sont rencontrés, mais leurs tracés sont déjà remblayés par des matériaux meubles des dépôts sédimentaires de l’Eocène. C’était l’exemple du couloir d’Itomboina, localisé au nord de la limite septentrionale du parc actuel, qui débouche sur la plaine côtière tanalana.
Enfin, malgré cette défaillance du point de vue hydrographique, le domaine du plateau calcaire Mahafalyest doté d’un énorme réservoir d’eaux souterrainesdont l’exploitation est envisageable.

Les intérêts devalorisation deTsimanampesotse 

Malgré la faible potentialité économique de la région du Sud-Ouest malgache, le P.N de Tsimanampesotse, avec son offre écotouristique modeste, présente des intérêts de développement favorablespour les zones périphériqueslocales.

Evaluation écotouristique de Tsimanampesotse 

Suite aux inventaires biologiques faits antérieurement par les scientifiques et des études que nous avons effectuées dans le parc de Tsimanampesotse, une gamme de produits écotouristiques considérables peut servir d’exploitation, pour lapromotion decettefilière ainsi que pour le démarrage économique régional.Tsimanampesotse se situe dans une zone qui comprend une plaine côtière où affleurent surtout des formations gréso-sableuses récentes et un plateau façonné dans les calcaires marins mahafaly du tertiaire. Les bords de ce plateau suivent la faille de Tuléar. La falaise est en général bien développée, conférant au rebord d’un commandement de 50 à 100m du nord au sud (1) (cf. photo du lac à la page 32).
Il est à souligner que c’est une région touristique de renom avec le village d’Anakao et ses plages ainsi que le futur Parc Marin aux environs de Nosy Ve, à 56 km au nord de Tsimanampesotse (cf. Carte n°6).
Les potentialitésécotouristiquesdu parc de Tsimanampesotse sont justifiées par sa diversité floristique et faunistique (des lémuriens comme le lemur catta, des oiseaux d’eau douce tels que les flamantsroses,ainsi que les baobabsetpachypodium,…).
Selon son Plan de Gestion de la Conservation (P.G.C, 2005) : le P.N. de Tsimanampesotse est composé de cinq types d’habitats différents, à savoir : – la forêt littorale – le lac et ses environs – la forêt dense sèche et le bas fourré xérophile – le haut fourré xérophile (cf. Carte n°3) – ainsi que lesgrotteset avens.

LES SITUATIONS SOCIOSPATIALLES ET CULTURELLES

Intégration humaine dans l’espace 

Le littoral tanalana est dominé par une vaste plaine sableuse longeant du nord au sud, depuis la limite nord du fleuve Onilahy jusqu’aux confins hydrographiques de la Linta. Les conditions physiques de cette région n’ont pas permis l’installation humaine dans le vaste plateau calcaire
Mahafaly,cequi a rendu la plaine littorale comme un foyer d’accueilou zone deconcentration.
L’histoire du peuplement de cette région de Tsimanampesotse semble disparate, mais selon les dits  de la tradition orale, l’occupation de l’espace géographique tanalanaremonteau XVII ème siècle,par lespremiers habitantsd’originesdiverses (Antandroy,Antanosy,Mahafaly,…). « Cette première vague de peuplement fût plus tard phagocytée en sous tribu Tanalana dont son origine remonte à deux migrants originaires du Sud-Est malgache » (MAMOKATRA, 1999) (1) . En effet, la population de cette région de la plaine côtière est une descendante des Maroserana. Et ces derniers représentent la dynastie desrois Mahafalyqui ont dominé la région postérieurement.
La Commune rurale de Beheloke appartient en majeure partie au groupe ethnique Vezo (Tamarofoty) sur le littoral et les Tanalana dont (Tevondrone, Temahaleotse, Temilahehe, Tanalanampoty, Tekaroke) vers l’intérieur.
Les autresgroupes ethniquescomme les Antandroy, Mahafaly,Antanosy,Masikoro, Betsileo, Merina existent mais ilssont minoritaires.
En 2001, Beheloke est composée de 10 356 habitants (2) , soit une densité de 29 habitants au km². Notons qu’en 2005, cet effectif de la population de la Commune s’élève jusqu’à 13 073 habitants. Soit une augmentation de plus de 3000habitants en l’espace de 4ans seulement.

La logique des stratégies d’intégration spatiale 

La disposition des habitats 

Presque les villages de cette région voisine de Tsimanampesotse sont bâtis le long de l’axe de circulation, la seule piste sableuse reliant le parc avec son arrière pays. La majeure partie des villages tanalana est construite en vondro, une plante poussant aux alentours du lac et collectée de façon régulière afin de ne pas risquer la perturbation des animaux qui y habitent. Mais, il y a aussi certaines familles aisées qui ont les moyens nécessaires pour investir leurs bourses dans la construction des maisons en dure ou en planche. Ceci est l’exemple des villages d’Efoetse, d’Ambola et de Beheloke.

Le mode d’occupation du sol 

Au niveau du système foncier, les paysans n’ont jamais l’intention de titrer ou borner leurs terres. Pourtant, la répartition des terroirs se fait selon le clan et le groupe de lignage.
L’acquisition semble libre dans l’espace où la terre appartient avant tout aux divinités et aux ancêtres. Et pour y accéder, on doit passer par le Mpitankazomanga qui demande aux ancêtres d’intercéder auprès des divinités. Par contre, si l’on souhaite réaménager un terrain de culture abandonné, il est nécessaire denégocier avec l’ancien occupant ou ses proches si celui–ci est absent (c’est-à-dire, en migration ou décédé,…), car le droit de propriété est héréditaire.
Le périmètre villageoisse présente engénéral en troissubdivisions comme suit :
. Le site d’habitats souvent groupés spatialement en lignage ou en segment de lignage ;
. Les valaou terroirs agricoles ou encore champsclôturéspar deshaiesvives ;
. Et le montoet le sarike, no man’sland du littoral, ou zone de parcoursdestroupeaux.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE 
Première partie : TSIMANAMPESOTSE : UN EXEMPLE DE ZONE HUMIDE EXCEPTIONNELLE DE MADAGASCAR 
Chapitre I : LES ZONES HUMIDESMALGACHESET LE CAS DE TSIMANAMPESOTSE
1- Les zones humides et la Convention de Ramsar
2- Rappel sur les zones humides malgaches
3- Situation de Tsimanampesotse dans son cadre régional
Chapitre II : LES ASPECTS NATURELS DE LAZONE D’ETUDE 
1- Les paramètres physiques
2- Les intérêts de valorisation de Tsimanampesotse
Chapitre III : LES SITUATIONS SOCIOSPATIALLES ET CULTURELLES
1- Intégration humaine dans l’espace
2- Lalogique des stratégies d’intégration spatiale
3- Les activités de survie des paysans
Deuxième partie : LADYNAMIQUE DE GESTION ETDE VALORISATIONDE TSIMANAMPESOTSE
Chapitre I : TSIMANAMPESOTSE : UNE ZONE HUMIDE RELEVANTUN DEFI ECOTOURISTIQUE
1- La politique nationale de gestion des zones humides malgaches
2- Le projet promotion de Tsimanampesotse
3- Les stratégies de développement durable
Chapitre II : LES CONTRAINTES ET DIFFICULTES DE VALORISATIONDE TSIMANAMPESOTSE
1- Les points faibles du parc par rapport aux autres
2- Des limites au développement écotouristique du parc
3- Les contraintes et risques de valorisation de Tsimanampesotse
Troisième partie : LES PROCEDES DE VALORISATION ET DE CONSERVATION DE LA ZONE HUMIDE DE TSIMANAMPESOTSE
Chapitre I : LES AMENAGEMENTS ECOTOURISTIQUES DE TSIMANAMPESOTSE
1- Les infrastructuresécotouristiques du parc
2- Les procédures d’aménagement de Tsimanampesotse
Chapitre II : LES EVALUATIONS SPATIALE ET ECONOMIQUE DE LA VALORISATION DE TSIMANAMPESOTSE
1- Evaluation d’impacts sur la valorisation de Tsimanampesotse
2- Analysedes coûts et avantagesde la valorisation
Chapitre III : LES PERSPECTIVES POUR LADYNAMISATIONDU TOURISME DANS LAREGION
1- Zonage du parc national de Tsimanampesotse
2- Proposition d’un schéma d’aménagement
3- Proposition d’une limite d’extension du parc
CONCLUSION GENERALE

projet fin d'etude

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