Efficacité du nématicide Football 50 (Fosthiazate à 50g/L) sur les nématodes parasites de la tomate

Efficacité du nématicide Football 50 (Fosthiazate à
50g/L) sur les nématodes parasites de la tomate

Généralités sur la tomate 

La tomate, Solanum lycopersicum appartient à la famille des Solanacées. Elle est originaire des Andes d’Amérique du Sud, où on retrouve des formes sauvages jusqu‟à présent (Tebib, 2006). Cette plante à fruits très petits fut d‟abord domestiquée au Mexique et améliorée par les Azthéques. Dans la première moitié du 16ème siècle, la tomate fut introduite en Europe notamment en Espagne et en Italie par les conquistadors espagnols, qui adoptèrent son nom indien «tomatl» (Fichot, 2010). Le genre Lycopersicum ne comprend que 9 espèces. L’ancêtre de la tomate L. esculentum var. Cerasiforme sous forme sauvage, pourrait être directement l‟origine des variétés cultivées actuellement (Samir, 2011). La tomate cultivée est diploïde (2n = 24), autogame, d’introduction récente, phénotypiquement assez diversifiée, mais d’une diversité génétique très réduite (Philouse, 1993). 

Classification taxonomique Règne : Plantea Classe : Magnoliopsida Sous-classe : Asteridae Ordre : Salanales Famille : Solanaceae Genre : Solanum Espèce : Solanum lycopersicum L. (FAO, 2007 ; IPNI, 2005) 

 Description Botanique, Croissance et développement 

 Description Botanique 

La tomate est une plante herbacée de la famille des solanacées (Figure 1), cultivée pour son fruit. Le terme désigne à la fois la plante et le fruit charnu qui, bien qu‟il soit biologiquement un fruit, est considéré comme un des légumes les plus importants dans l‟alimentation humaine. Elle est généralement cultivée comme une plante annuelle (Ranc, 2010). Le feuillage : Les feuilles sont alternes, composées, imparipennées (nombre impair de folioles) et comprennent 5 à 7 folioles aux lobes découpés (Ranc, 2010) et disposées en spirales de 15 à 50 cm de 5 diamètre. Le pétiole mesure 3 et 6 cm. Les folioles ovées à oblongues, sont couvertes de poils glandulaires. L‟inflorescence est une cyme formée de 6 à 12 fleurs (Niaka et al., 2005). Les fleurs (Planche 1A) : Elles sont bisexuées, régulières et entre 1,5 et 2 cm de diamètre. Les abeilles et les bourdons sont les principaux pollinisateurs (Niaka et al., 2005). Les fleurs sont actinomorphes, autogames, de couleur jaune et réunies en inflorescences pentamères, sauf le gynécée qui possède entre 2 et 5 carpelles. L‟ovaire supère est formé d‟au moins deux carpelles soudés, orientés obliquement par rapport à l‟axe médian de la fleur, et comprend de très nombreux ovules en placentation axile. Le calice est à pièces partiellement soudées et la corolle est gamopétale (Bernard, 2009). Le fruit : Le fruit est une baie charnue, de forme globulaire ou aplatie avec un diamètre de 2 à 15 cm. Lorsqu‟il n‟est pas encore mûr, le fruit est vert et poilu. La couleur des fruits mûrs varie du jaune au rouge en passant par l‟orange. En général, les fruits sont ronds et réguliers ou côtelés (Planche 1C). La racine : La racine pivotante est forte (Figure 1) et pousse jusqu‟à une profondeur de 50 cm ou plus et la racine principale produit une haute densité de racines latérales et adventives (Niaka et al., 2005). La tige : La tige est pubescente et épaisse aux entre nœuds (Nabahat, 2014). Elle pousse jusqu‟à une longueur de 2 à 4 m (Figure 1). La tige est pleine, fortement poilue et glandulaire (Niaka et al., 2005). Graines : Elles sont nombreuses, en forme de rein ou de poire, poilues, beiges, 3 à 5 mm de long et 2 à 4 mm de large (Planche 1B). L‟embryon est enroulé dans l‟albumen, 1000 graines pèsent approximativement 2,5 à 3,5 g (Niaka et al., 2005). 6 Figure 1 – Anatomie d‟un plant de tomate (Source : https://www.canstockphoto.fr) A B C Planche 1 : Fleur de tomate à 5 pétales soudés en anthèse (A) Coupe transversale d‟un fruit montrant des graines (B) ; diversité des formes, tailles et couleurs des fruits. 

Croissance et développement 

La croissance de la plante peut être déterminée ou indéterminée (figure 2). Dans le premier cas, la croissance est caractérisée par l‟absence d‟une dominance à l‟extrémité apicale qui limite la croissance de la tige (Samir, 2011). Lorsqu‟il y‟a une sorte d‟épuisement progressif de la « fonction végétative », il 7 en résulte un port déterminé. La croissance se poursuit jusqu’à ce que les extrémités des tiges ne produisent plus que des fleurs. Il n’y a plus d’allongement possible. Le nombre d’inflorescences est fini. Souvent l’aspect de ses pieds est buissonnant et compact (si on ne les taille pas, ce qui est le cas généralement). La production de tomates est alors plus « concentrée ». Dans l‟autre cas, on se retrouve en présence de port indéterminé: il y‟a une dominance apicale, la tige peut se développer indéfiniment par empilement de sympodes (constitués de trois feuilles et d‟un bourgeon floral) se développant à partir de bourgeons axillaires après floraison du bourgeon terminal (Fichot, 2010). Figure 2 : Formes de croissances de la tomate (Source : es.wikihow.com) Chaque variété possède des formes bien déterminées. Les fruits peuvent peser de quelques grammes à près de deux kilogrammes. Leur forme est généralement sphérique mais peut être plus ou moins aplatie, plus ou moins côtelée, en forme de cœur ou de poire (Figure 3) (Ranc, 2010). Figure 3 : Différentes formes de tomate cultivée : aplatie (1), ronde (2), globuleuse (3), allongée (4), cordée (5), cylindrique (6), piriforme (7) et très allongée (8) (Source : El Fadlet et Chtaina, 2010) 

 Valeur nutritionnelle de la tomate 

La consommation des fruits de la tomate contribue à un régime sain et équilibré. Les fruits sont riches en minéraux, en vitamines, en acides aminés essentiels, en sucres ainsi qu‟en fibres alimentaires. La tomate contient beaucoup de vitamines B et C, de fer et de phosphore. Les tomates se consomment fraîches en salade ou cuites dans des sauces, des soupes ou des plats de viande ou de poisson. Il est possible de les transformer en purée, en jus et en ketchup. Les fruits séchés et les fruits mis en conserve sont des produits transformés qui ont également une importance économique (Niaka et al., 2005). Elle fait partie des légumes de qualité nutritionnelle élevée grâce à sa richesse en vitamine C (15mg aux 100g) et en minéraux et oligo-éléments (Tebib, 2006). 

 Adaptabilité et exigences édaphiques

La température 

La tomate est une plante qui a besoin de beaucoup de chaleur pour assurer le cycle complet de sa végétation. La germination des graines est optimale à des températures comprises entre 18 et 24°C, lente entre 10 et 18°, puis très lente quand la température est inférieure à 10°C. Sa croissance demande des températures situées 21 et 27°C le jour et 10° et 20°C la nuit. A partir de 13°C, la croissance est arrêtée. Vers 1 -2°C, la plante gèle entièrement. Pendant la phase de floraison, la température joue un rôle très grand dans la réussite de la fécondation. Il faut 18 à 24°C durant le jour et 14 – 15 °C durant la nuit. Pendant la phase de maturation, il faut avoir une température d‟environ 18°C la nuit et 27°C le jour pour avoir des fruits qui mûrissent rapidement et acquièrent une belle coloration (Cirad et GRET, 1996). 

La lumière 

La tomate préfère les situations bien ensoleillées mais ne présente pas d‟exigence photopériodique très marquée. Pendant les quatre à six semaines qui suivent le semis, les fortes intensités lumineuses favorisent le raccourcissement de l‟axe et l‟induction du premier bouquet surtout à température basse. L‟insolation directe des fruits et l‟élévation de la température qui s‟en suit sont nocives à leur qualité (Fichot, 2010). 

Le sol

 La tomate demande des sols profonds, frais mais humides, riches en humus et en matières fertilisantes, légers et légèrement acides et perméables (Tebib, 2006). Dans les sols lourds, il faut prévoir un drainage suffisant. La qualité du sol n’est pas prédominante pour la tomate. Il lui suffit d’avoir un sol profond et bien drainé (Ziri, 2011). 

Eau et nutrition minérale

 L‟eau est un facteur déterminant des rendements des cultures. Son irrégularité chez la culture de tomate entraine des déséquilibres des appareils végétatif et reproducteur. L‟excès en eau provoque l‟asphyxie racinaire et des carences en éléments minéraux tels que Mg, P, N (Tebib, 2006). La tomate se classe parmi les plantes les plus exigeantes en éléments fertilisants. La qualité d‟engrais minéraux à apporter doit tenir compte de la richesse du sol en chaque élément, de la fumure organique et des besoins de la plante (Tebib, 2006). 

Importance économique 

 Production mondiale 

La tomate est la troisième espèce cultivée au monde, après la pomme de terre et la patate douce, et le deuxième légume le plus consommé (Bernard, 2009). Ce légume représente donc un enjeu économique avec une production annuelle de 33,6 millions de tonnes sur une production mondiale de 102,2 millions de tonnes. La Chine vient au premier rang des producteurs mondiaux de tomate. Toutefois, 85% de la production chinoise est destinée à son marché local. La Chine est suivie de 6 grands producteurs que sont les Etats-Unis, la Turquie, l’Inde, l’Égypte, l’Italie et l’Iran dont la production dépasse les 5 millions de tonnes pour chacun des pays. Ainsi, avec une production annuelle de 165 milles tonnes dont 90 milles de tomate industrielle en 2010, la part du Sénégal dans la production mondiale de tomate se situe à moins de 0,2%. En outre, la tomate constitue une matière première importante pour les entreprises agro industrielle de transformation. Ainsi, au niveau international, la société californienne Morning Star est la première industrie transformatrice avec 3 millions de tonnes de tomates fraîche. Elle est suivie de deux entreprises chinoises (Chaibou et Ka, 2012). Les échanges de tomates représentent plus de 17% du commerce mondial de fruits et légumes frais. En effet, environ 4 millions de tonnes de tomates sont respectivement importées et exportées dans le monde chaque année (Ziri, 2011). 

 Production nationale 

La production nationale de tomate est évaluée à 165 milles tonnes en 2010 (ANSD, 2010) dont 90 milles tonnes de tomate industrielle et 75 milles tonnes de tomate cerise La tomate cerise est essentiellement produite dans la zone des Niayes alors que la tomate industrielle est exclusivement produite dans la vallée du fleuve. Le développement de la culture de tomate dans la vallée est favorisé par l‟existence d‟industries de transformation (Socas, Agroline) et de différentes sociétés de production et d‟exportations (SCL et GDS) implantées dans la zone (Chaibou et Ka, 2012).

Maladies et Ravageurs 

Maladies 

o Alternariose (Alternaria solani) L‟alternariose provoque des taches foliaires mais aussi de graves lésions sur les tiges. Sur les fruits, elle induit l‟apparition des taches concentriques déprimées à la base du pédoncule. Le développement de cette maladie est favorisé par l‟humidité élevée et des températures entre 18°C et 25°C. Pour lutter contre l‟alternariose, il faut utiliser des graines saines ou désinfectées avec un fongicide. En cas d‟arrosage par aspersion, il faut éviter la période d‟humectation nocturne du feuillage par des arrosages les matins et traiter avec des fongicides efficaces. (Radhort, 2012). o Oïdium Cette maladie, causée par le champignon Leveillula taurica, apparait par des taches jaunes sur la face supérieure des feuilles d‟un duvet blanc à la face inferieure. Après jaunissement des feuilles, elles dessèchent et tombent. Pour lutter contre cette maladie, il faut traiter avec des fongicides à base de soufre. (Ziri, 2011). o Fusariose de la tomate (Fusarium oxysporum) Cette maladie est caractérisée par un jaunissement du feuillage à partir du bas de la plante qui se dessèche. Les mesures de lutte sont l‟utilisation des variétés résistantes et la désinfection des terreaux par la vapeur (Ziri, 2011). o Flétrissement bactérien Il est causé par Ralstonia solanacearum qui conduit à un flétrissement rapide des jeunes feuilles. Par la suite, les flétrissements se manifestent soudainement et deviennent permanents. Il faut noter l’absence totale de symptômes sur fruits. Assez rapidement, les tissus affectés se nécrosent et se dessèchent et de nombreuses plantes finissent par mourir (Schaad et al., 2001). o Viroses de la tomate : Tomato Yellow Learf Curl Virus (TYLC) Le virus qui est transmis par Bemisia Tabaci (la mouche blanche) dans les pépinières cause un arrêt de la croissance, une chlorose marginale et un recroquevillement en cuillère des feuilles. La production est fortement réduite lorsque les symptômes apparaissent avant la floraison. La lutte chimique contre Bemisia Tabaci consiste à utiliser des produits chimiques comme le deltaméthrine, cyperméthrine, méthomyl. L‟utilisation de voile Agryl en pépinière permet également de lutter contre les viroses de la tomate (Radhort, 2012). 

Ravageurs de la tomate

 o Les nématodes Les nématodes phytoparasites sont de petits vers microscopiques qui vivent aux dépens des plantes, en ectoparasites ou en endoparasites, causant d’importants dégâts aux cultures (Coyne et al., 2010). La tomate est un hôte de choix des Meloidogynes dont le plus important est Meloidogyne incognita. L‟attaque se manifeste par un flétrissement de la plante, un jaunissement du feuillage et des galles sur les racines (Brancard et al., 2009). o Les mouches blanches (Bemisia tabaci) La mouche adulte est de couleur blanche et à une longueur de 1 à 2 mm. Comme les larves, elle se nourrit de la sève des feuilles. Ces mouches blanches déposent leurs œufs sur le côté inférieur des feuilles. Les œufs éclosent après environ 1 semaine. Après 2 à 4 semaines, les larves vont former un cocon dans lequel elles resteront pendant à peu près une semaine afin de se métamorphoser (Niaka et al., 2005). o Noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) Les fruits sont troués, les feuilles rongées, les bouquets floraux coupés. Les fruits piqués à l‟état jeune tombent généralement. Les autres pourrissent sur les plantes ou sont déformées. Les chenilles ont une couleur variant du vert clair ou brun noir avec souvent dans ce cas, une alternance de bandes longitudinales latérales claires et foncées. Elles peuvent mesurer 35-40 mm de long. Le corps est recouvert de petits poils. Les traitements insecticides sont un moyen de lutte contre ces mouches. Bacillus thuringiensis est très efficace contre les stades larvaires jeunes de cet insecte (Radhort, 2012). o Les pucerons (Aphidae) Les pucerons sont des insectes mous, allongés, avec une longueur d‟environ 2,5 mm. Il existe des pucerons ailés ainsi que des espèces sans ailes. Des dommages directs sont produits lorsqu‟ils apparaissent en grand nombre sur la culture, où ils préfèrent les feuilles et les tiges les plus tendres. En plus des dommages directs qu‟ils peuvent provoquer, les pucerons transmettent également différents virus (Niaka et al., 2005). o Les papillons et les noctuelles (Lepidoptera) Les papillons et les noctuelles sont des ravageurs courants des cultures de tomates. Des œufs verts ou bruns sont déposés sur les jeunes feuilles, les fleurs et les fruits. Les larves qui sortent des œufs se nourrissent des feuilles, des fleurs, des fruits et même des racines. Alors qu‟elles se nourrissent, les 12 chenilles grandissent et traversent un certain nombre de phases de croissance larvaire. A un certain moment, elles vont sous la terre pour former des cocons. Quelques semaines plus tard, les cocons se déferont et des insectes adultes ailés s‟envoleront et se disperseront (Niaka et al., 2005).

Table des matières

DEDICACES
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS, SIGLES et ACRONYMES
LISTE DES FIGURES, PHOTOS, PLANCHES ET TABLEAU
RESUME
ABSTRACT
INTRODUCTION
CHAPITRE I : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
1. Généralités sur la tomate
1.1. Origine et classification taxonomique
1.1.1. Origine
1.1.2. Classification taxonomique
1.2. Description Botanique, Croissance et développement
1.2.1. Description Botanique
1.2.2. Croissance et développement
1.3. Valeur nutritionnelle de la tomate
1.4. Adaptabilité et exigences édaphiques
1.4.1. La température
1.4.2. La lumière
1.4.3. Le sol
1.4.4. Eau et nutrition minérale
1.5. Importance économique
1.5.1. Production mondiale
1.5.2. Production nationale
1.6. Maladies et Ravageurs
1.6.1. Maladies
1.6.2. Ravageurs de la tomate
2. Les nématodes phytoparasites
2.1. Généralités .
2.2. Les différents types de nématodes
2.2.1. Les endoparasites
2.2.2. Les semi-endoparasites
2.2.3. Les ectoparasites
2.3. Mode de reproduction
2.4. Les nématodes à galles
2.4.1. Systématique du genre Meloidogyne
2.4.2. Distribution du genre Meloidogyne
2.4.3. Biologie et cycle de développement du genre Meloidogyne
2.4.3.1. Biologie
2.4.3.2. Cycle de développement
2.4.4. Symptômes, dégâts et importance économique
2.4.5. Stratégies de lutte contre les nématodes phytoparasites
2.4.5.1. Les techniques culturales
2.4.5.2. La lutte chimique
2.4.5.3. La lutte physique
2.4.5.4. La lutte biologique
2.4.5.5. La lutte génétique
3. Les pesticides
3.1. Définition
3.2. Composition ou formulation
3.3. Différents groupes de pesticides
3.3.1. Les non fumigants
3.3.2. Les fumigants
3.3.3. Le fosthiazate (Football 50)
3.4. Règlementation et homologation des pesticides
CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODES
1. Présentation du site
2. Matériel
2.1.Matériel végétal
2.2.Produit à tester
2.3.Matériel expérimental
3. Méthodologie
3.1. Dispositif expérimental et traitements
3.2. Conduite culturale
3.2.1. Semis et pépinière
3.2.2. Parcelle et repiquage
3.2.3. Fertilisation
3.2.4. Entretien
3.3. Traitement phytosanitaire
3.4. Détermination de la densité des nématodes
3.4.1. Echantillonnage du sol et racine
3.4.2. Extraction des nématodes du sol
3.4.3. Extraction des nématodes des racines
3.4.4. Identification et comptage des nématodes
3.5. Rendement en fruit de tomate
3.6. Détermination de l‟incidence et de la sévérité d‟infestation
3.7. Analyse statistique
CHAPITRE III : RESULTATS
1. Evolution de la densité totale des nématodes phytoparasites
1.1. Evolution de la densité totale de nématodes phytoparasites
1.2. Evolution des nématodes du genre Meloidogyne dans le sol
1.3.Evolution de la densité des nématodes des autres genres
2. Densité d‟infestation de Meloidogyne dans la racine
2.1. Sévérité et Incidence d‟infestation par Meloidogyne
2.2. Densité de Meloidogyne dans les racines
3. Production de Fruits de tomate
3.1. Nombre et poids des fruits sains et attaqués
3.2. Rendement commercial
CHAPITRE IV : DISCUSSION
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE

 

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