ESSAI D’ELABORATION DE LA CARTOGRAPHIE NUMERIQUE DU SECTEUR

ESSAI D’ELABORATION DE LA CARTOGRAPHIE NUMERIQUE DU SECTEUR

La méthode d’approche utilisée consiste en premier lieu à collecter des données relatives aux thèmes de ce mémoire suivi de l’analyse, la combinaison et la numérisation de certaines données et enfin des applications numériques permettant de définir des nouvelles données géochimiques. acide des formations géologiques. Les gneiss, les leucogneiss, les quartzites et les granites sont issus des magmas à composition acide. En outre, les savanes tant herbeuses que arborées prédominent entièrement la zone. La carte géologique de Marovitsika (feuille N60 en 1975) à l’échelle 1/100.000 éditée par le Service Géologique de Madagascar en 1960 a été utilisée pour la connaissance des formations existantes dans le secteur. Ainsi, les éléments structuraux et quelques gîtes sont déterminés et reportés sur la carte établie par H. BESAIRIE et de la ROCHE et al.

Les données bibliographiques

Les données bibliographiques ont beaucoup aidé à la réalisation des cartesnumériques. L’étude bibliographique a porté essentiellement sur les domaines suivants: la géologie du secteur d’étude, la géologie structurale, la pétrographie, la minéralogie. en 1999) ainsi que l’image du senseur Quick Bird ; c’est une scène de 185 Km, en format numérique. Cette image fait apparaître la dénudation du secteur opposé à un très faible développement des sols, il affleure bien. La zone n’est pas habitée et ne se prête pas à l’agriculture.

Traitement des images satellitales

Les données existantes ont été numérisées à partir de la carte géologique, de la cartetopographique et des travaux bibliographiques. Le logiciel de SIG a été utilisé pour combiner et numériser les produits finaux et intermédiaires. Le traitement des images satellitales a été réalisé avec le logiciel Adobe Photoshop qui a permis des compositions colorées en RVB (Rouge, Vert, Bleu). Pour notre cas on a retenu la combinaison 4 (rouge), 3 (vert), 2 (bleu). Le logiciel Mapinfo a été utilisé pour la numérisation et la saisie des données obtenues. Pour cela, les informations sont prises une à une pour chaque structure trouvée et reportée sur la carte du secteur d’étude. Ensuite, la superposition de ces données dans une fenêtre carte permet d’apprécier et d’affiner les limites de couches ainsi que la trajectoire de la foliation ou de foliation et les tracés des linéaments. un en les améliorant par le rehaussement des contrastes des teintes en procédant à la réalisation des spectres telle que la distribution des niveaux radiologiques des teintes doit globalement d’allure gaussienne. Les spectres d’image sont distribués suivant 256 tons, identifiés de 0 à 255. L’objectif de la redistribution est d’obtenir une image meilleure définition des images et des contrastes des teintes. Cette opération a pour but d’optimiser l’expression des traits de l’image finale. Après on assemble les 3 images et on combine les couleurs. Il est préférable d’employer les couleurs naturelles. RVB (Rouge, Vert, Bleu).

L’ouverture d’une table signifie l’ouverture de données géographiques de type carte ou bien des données textuelles de type tableau. Normalement une table possède ces deux types d’information comme nous l’avons vu précédemment. Des cas particuliers se présentent comme pour les images raster qui n’a pas de données textuelles ou bien les tableaux portés issus de tableur qui n’a pas de données cartographiques rattachées. tables peuvent être ouvertes de façon à superposes couches cartographiques « comme les feuilles de calque ». L’ouverture d’une fenêtre carte donne accès au menu Carte, sous-menu Contrôle des couches. Chaque couche (soit chaque table cartographique) peut être géré par ce sous-menu : Quatre fonctions sont disponibles : . Rendre la couche visible ou non . Rendre la couche modifiable ou non . Rendre la couche sélectable ou non . Ajouter des étiquettes (Ce sont les informations textuelles contenues dans des champs à côté de l’objet cartographique auquel elle est rattachée). L’ordre des couches dans la liste correspond à l’ordre d’empilement des couches géographiques.

A chaque table correspond un tableau (sauf importation d’image type raster). Chaque ligne correspond à l’information liée à un objet cartographique. Chaque colonne correspond à un champ qui a été défini lors de la structuration de la base de données. Pour accéder à l’information d’un objet sur la carte, il suffit de chaque sur celui-ci à l’aide de l’outil i (i= information). Enfin l’information textuelle peut être atteinte sélectivement à l’aide de requête (menu Sélection). Modifier la structure de la table ; modifier le nom d’un champ, rajouter un champ, supprimer un champ… Renommer une table (cette commande permet de renommer automatiquement tous les fichiers rattachés à cette table comme ceux avec une extension .dat, .map….). Supprimer une table (cette commande permet de supprimer automatiquement dans les fichiers rattachés à cette table comme ceux avec une extension .dat, map…). Compacter une table permet de supprimer tous les objets graphiques ou donnés qui ont étés effacés.

Cours gratuitTélécharger le document complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *