LA PANDEMIE DE COVID-19 ET LA REPONSE AU SENEGAL

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Revue de la littérature

Pendant la pandémie de la COVID-19, plusieurs autorités sanitaires ont établi des stratégies d’isolement et prise en charge des PAFB. Des pays comme la Chine, l’Espagne et l’Italie ont très tôt ouvert des structures intermédiaires permettant de mettre en quarantaine les patients ayant des manifestations cliniques simples (Le Monde, 2020). En France, dans le cadre du plan de dé-confinement, les autorités sanitaires ont mis sur pied des Cellules Territoriales d’Appui à l’Isolement (CTAI)12. Ces cellules sont chargées d’identifier les cas confirmés ainsi que leurs contacts, répondre par téléphone à leurs besoins (sociaux, matériels, psychologiques) et proposer des hébergements à ceux qui n’ont pas la possibilité de s’isoler à domicile. En Afrique, des sites spécialement dédiés à la COVID-19 ont été aménagés au Sénégal, Bénin, Côte d’Ivoire, etc. (Kidiss, 2020 ; Coulibay, 2020 ; Laplace, 2020).
Dans la littérature scientifique, les effets du confinement lié à la pandémie de la COVID-19, ont été analysés dans plusieurs contextes. Les études ont porté essentiellement sur les effets physiques (Ammar et al. 2020b ; Peçanha et al. 2020), psychologiques (Ammar et al. 2020a ; Heitzman, 2020 ; Bantman, 2020 ; Mengin, 2020 ; Loade et al. 2020) et économiques (Heyer et Timbeau, 2020 ; Martin et al. 2020). Elles ont montré que les mesures de confinement sont associées à une baisse de l’activité physique et une augmentation des maladies cardiovasculaire (Ammar et al. 2020b). Sur le plan psychologique, Heitzman (2020) a relevé l’étendue de l’impact de la pandémie sur le développement de l’instabilité mentale. D’autres auteurs comme Mengin (2020) et Bantman (2020) ont conclu que les principaux effets du confinement sur la santé mentale sont : l’ennui, l’isolement social, le stress et le manque de sommeil. Ammar et al. (2020a) quant à eux, ont révélé des effets négatifs de l’isolement sur la participation sociale. Concernant les dispositifs d’isolement et prise en charge pour la COVID-19, aucune étude, à notre connaissance, n’a abordé l’acceptabilité de ceux-ci. Les écrits disponibles sur ce sujet concernent essentiellement des mesures d’isolement mises en place lors des épidémies précédentes, notamment celles du SRAS (2003) et d’Ebla en Afrique de l’Ouest (2014-2016). Le bilan de ces épidémies met en avant l’importance des appuis alimentaires et économiques dans la faisabilité et l’acceptabilité de l’isolement (Blundon et al. 2014 ; Decaux et al. 2015). S’agissant des CTE, des auteurs comme Calin et Poncin (2015) et Gomez-Temesio et Le Marcis (2017) ont remis en cause ce modèle de prise en charge pour ses problèmes éthiques. Selon ces auteurs, lors de l’épidémie d’Ebola d’Afrique de l’Ouest, l’organisation des soins dans ces centres était caractérisée par l’abolition des valeurs socio-culturelles qui encadrent les interactions entre hommes et femmes, ou entre générations, comme les règles de pudeur (Gomez-Temesio et Le Marcis, 2017). De plus, les personnes affectées étaient prises en charges différemment selon leur statut socio-professionnel. Le personnel sanitaire bénéficiait d’une meilleure prise en charge que le reste de la population, car ce dernier était traité dans un centre spécial 13 (Savini et al. 2016). Toutefois, compte-tenue de la gravité de la maladie à virus Ebola, les conditions d’isolement dans les CTE étaient particulières. De ce fait, les écrits sur l’acceptabilité des centres Ebola ont porté sur des contextes très tendus qui ne sont pas comparables à ceux de la COVID-19.

METHODOLOGIE

L’objectif de cette partie est de présenter les méthodes de collecte et d’analyse de données que nous avons utilisées dans ce travail, ainsi que les conditions dans lesquelles s’est effectuée cette recherche. Nous commencerons par présenter la méthode d’étude et le terrain d’enquête. Ensuite nous exposons le déroulement du travail de recherche en mentionnant les difficultés rencontrées ainsi que les appuis dont nous avons bénéficié. Par la suite nous présenterons la population d’étude. Enfin, nous expliciterons les précautions éthiques que nous avons prises ainsi que les techniques de protection des données recueillies.

Méthode d’étude : approche qualitative

Ce travail vise à appréhender au mieux les phénomènes sociaux et les logiques qui sous-tendent la mesure de santé publique ciblée par notre étude ainsi que l’expérience des PAFB de la COVID-19. Ainsi, il était primordial de recueillir les opinions subjectives des PAFB et de les mettre en regard avec des données contextuelles objectives afin relativiser et nuancer certains propos des personnes interrogées. L’approche qualitative répond à ces besoins en permettant aux gens d’exprimer librement leurs opinions, points de vue et expériences (Morse et Field, 1995). Afin réaliser ce travail, nous nous sommes essentiellement appuyés sur des manuels de méthodologie en sociologie (Arborio et Fournier, 2010 ; Beaud et Weber, 2010 ; Kaufmann, 2016).
Le corpus de données que nous avons recueilli est divers, et a permis de trianguler les informations. Il repose sur deux types de matériaux à savoir l’observation participante et les entretiens approfondis semi-directifs.

L’observation participante

Encore appelé « observation directe », l’observation participante est une approche dans laquelle le chercheur s’intègre pour un temps donné dans les situations qu’il étudie, pour y observer le déroulement de la vie sociale (Philip et De Battista, 2012). Elle a pour but de « déchiffrer la culture et les routines sociales des communautés sur lesquelles on ne possède pas de connaissances systématiques » (Lapérière, 2009). Dans cette approche, la participation du chercheur est essentielle, car étant au centre du processus d’observation. Certains auteurs comme Martineau (2005) distinguent l’Observation Participante (OP) et la Participation Observante (PO). Selon lui, dans le premier cas, le chercheur se mêle au milieu observé, mais il est libre par rapport à celui-ci
Thierno Madiou DIALLO – Mémoire de l’Université de Rennes 1, de l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique de l’Université Rennes 2 & de l’UBO – année 2019-2020 et peut en sortir à tout instant. Dans le second, la personne fait partie intégrante du milieu et essaie de prendre du recul à certains moments pour l’observer (Martineau, 2005). Nous nous sommes retrouvés dans ce deuxième cas de figure.

Entretiens approfondis semi-directifs

L’entretien permet de recueillir les propos des personnes et de comprendre le sens et les motivations qu’elles donnent à ceux-ci. Le choix des entretiens semi-directifs est fait dans le but « d’orienter la personne qui parle vers certains sujets et thématiques et lui laisser ensuite toute liberté de s’exprimer » (Fenneteau, 2015 ; Imbert, 2010). Les mesures de distanciation sociale liées à la pandémie nous ont poussés à adapter les méthodes de collectes de données en privilégiant l’enquête à distance. Cette dernière a fait l’objet de réflexions et d’échanges dans les réseaux internationaux d’anthropologues14. Ainsi, en plus des entretiens classiques (face à face), des télé-entretiens sont proposés aux participants afin de respecter la distanciation sociale imposée par la pandémie. Le télé-entretien est réalisé par téléphone via les réseaux sociaux (WhatsApp), ou des plateformes de communication. Il se déroule comme un entretien en présentiel et peut dans la mesure du possible être réalisé via une plate-forme de vidéoconférence en activant le son et l’image de façon à produire des conditions d’interaction sociale similaires de l’approche « face à face » (Marhefka et al., 2020).

Terrain d’enquête : CTE de Yoff

Notre travail d’immersion et d’observation participante s’est effectué dans le centre de traitement des épidémies de Yoff. Ce dernier est le premier centre de prise en charge extrahospitalière pour la COVID-19 aménagé par les autorités sanitaires sénégalaises en partenariat avec la « Fondation Sonatel ». Il est aménagé dans l’aérogare des pèlerins de l’ancien aéroport international Léopold Sédar Senghor. Les lieux sont répartis entre zones verte (sans risque viral) et rouge (à risque viral) entre lesquels la circulation est réglementée (Figure 2). Les membres des équipes basées dans la zone verte doivent revêtir un équipement de protection individuelle (EPI) avant d’entrer et circuler en zone rouge. En plus des locaux administratifs et technique, le centre a une capacité de 120 lits qui sont répartis en deux blocs complétement séparés (Bloc A : 70 lits pour les hommes et Bloc B : 50 lits pour les femmes). Dans chaque bloc, les chambres individuelles sont réparties de part et d’autre des couloirs, et certaines ont une fenêtre vers l’extérieur (voir images en annexe 7). Les chambres disposent d’un lit, d’une mini armoire, d’une TV, d’un accès à internet, mais ne comprennent pas de toilettes. Ces dernières sont installées au fond des couloirs, et sont à usage collectif. Plus de 500 PAFB de COVID-19 ont été isolées et prises en charge successivement dans ce centre.
La gestion du CTE est assurée par des équipes pluridisciplinaires du ministère des forces armées à savoir : médecins et infirmiers militaires, personnel du service d’hygiène de la gendarmerie, etc. Le centre avait mobilisé d’autres professionnels civils en appui aux équipes militaires. Il s’agit essentiellement de : médecins doctorants, infirmiers, pharmaciens de santé publique, assistantes sociales, volontaires de la Croix-Rouge, administratifs, etc. (voir liste des catégories d’acteurs intervenant dans le CTE en annexe 7). Certains acteurs résidaient en permanence dans le centre, alors que la majorité travaillait en équipe selon un système de garde et d’astreinte. Généralement, chaque équipe effectuait une garde de 24 heures qui était suivie d’un repos de 2 à 4 jours selon les services15. A la fin de la garde, les chefs d’équipe remplissaient, dans un registre centralisé, l’ensemble des activités réalisées ainsi que les observations particulières recueillies. Des séances de débriefing et de staff pluridisciplinaires étaient organisées de manière régulière entre les différents chefs de services.

Déroulement du travail de recherche

Afin de faciliter la réalisation de ce travail, nous avons établi un chronogramme qui comprend six (6) grandes étapes (tableau 1) : (i) Analyse situationnelle, (ii) Collecte de données, (iii) Revue de la littérature, (iv) Traitement et analyse des données, (v) Production du mémoire, soutenance et/ou publication et (vi) Restitution auprès des autorités, d’acteurs du CTE et/ou participants à l’étude. Cependant, nous n’avons pas suivi ce chronogramme de manière linéaire, car nous avons effectué des allers-retours entre terrain et lectures afin de mieux cerner l’objet de recherche.

Analyse situationnelle

L’analyse situationnelle a permis d’appréhender le contexte local, national et international dans lequel s’inscrit notre travail. Nous nous sommes essentiellement intéressés aux thématiques suivantes : situation épidémiologique de la pandémie dans le monde, les mesures de santé publique mises en œuvre par les autorités sénégalaises, perception et vécu de ces mesures par la population, le traitement médiatique de la pandémie en Afrique et au Sénégal, la prise en charge des personnes affectées en Afrique et au Sénégal, le contexte de la mise en place du dispositif d’isolement et prise en charge extrahospitalière au Sénégal, ainsi que les objectifs de ce dernier. Nous avons recouru à plusieurs sources d’information : les médias (nationaux et internationaux), le forum scientifique du Centre Régional de Recherche et de Formation à la Prise en Charge clinique (CRCF), des rapports du ministère de la santé du Sénégal, des articles scientifiques publiés par des auteurs sénégalais et internationaux, des échanges avec des acteurs de la prise en charge des personnes affectées au Sénégal et des chercheurs du CRCF, etc.

Collecte de données

L’observation participante s’est déroulée du 13 juillet au 13 octobre au CTE de Yoff (Description Cf.p10). Dans un premier temps, l’objectif de cette observation participante (Annexe 3) était : décrire l’organisation du CTE (locaux, conditions matérielles, organisation de la prise en charge etc.), d’identifier les principaux acteurs de la prise en charge (types de professionnels, leurs rôles, leur emploi du temps, leurs interactions mutuelles, etc.) et répertorier les problèmes les plus fréquents (pour les soignants et les confinés). Par la suite, l’observation s’est essentiellement portée sur les interactions entre soignants16 et confinés, et sur les problèmes identifiés comme prioritaires. Néanmoins, conformément aux recommandations de Martineau (2005), nous sommes restés ouvert à toute situation qui pouvait contribuer à la compréhension de notre objet d’étude. Lors de cette observation participante, nous tenions un « journal de terrain »17 sur lequel nous avons consigné des situations, discussions, débats et réflexions auxquelles nous avons assisté. Ce journal est complété par des enregistrements audio, vidéos et photos.
Les entretiens approfondis semi-directifs ont été réalisé du 20 août au 10 octobre. Nous avons, dans un premier temps, élaboré une grille thématique, ainsi qu’un lexique des mots clés traduits en wolof 18(Annexe 3). Nous avons retenu ces thématiques à partir des données de l’observation participante, et d’échanges avec des chercheurs du CRCF et acteurs du CTE. Elles sont regroupées en quatre groupes : expérience antérieure de maladies, circonstances du diagnostic, expérience (perception et vécu) du confinement au CTE et après guérison, et prévention secondaire. Afin de déterminer la compréhension et la pertinence des questions, et l’adéquation de la traduction proposée, nous avons testé la grille auprès de cinq (05) personnes : 02 entretiens en français, 02 en wolof et 01 en alternance français-wolof. Enfin, nous avons corrigé la grille en intégrant l’ensemble des recommandations et commentaires issus de la phase test (Annexe 3). Les entretiens visaient essentiellement les personnes guéries de la COVID-19 depuis 15 à 45 jours. Ce critère d’inclusion nous semblait pertinent afin de n’inclure que des personnes ayant un minimum de vécu post-covid et suffisamment de souvenirs pour se rappeler du déroulement des événements. Le recrutement a été fait lors des appels téléphoniques de « suivi post-covid ». Les acteurs chargés de ce suivi proposaient un entretien approfondi systématiquement à toute personne respectant le critère d’inclusion. Nous avons par la suite contacté par téléphone toutes les personnes qui ont accepté de participer à l’étude afin de convenir avec elles des modalités de réalisation de l’entretien (jour, heure, présentiel ou à distance, etc.).
L’implication du CRCF, structure associative placée sous l’égide du ministère de la santé, dans la gestion des CTE a permis de mener ce travail de recherche. En effet, nous avons accédé au terrain d’étude (CTE de Yoff) via un projet d’invention psychosociale financé par le Conseil National de Lutte contre le Sida (CNLS) et mis en œuvre par une équipe19 du CRCF dont nous faisions partie. L’objectif principal de ce projet était d’apporter une assistance psychosociale aux personnes isolées et prises en charge dans ce CTE. Ainsi, nous avons pu échanger avec une cinquantaine de personnes confinées par appels téléphoniques sur des sujets relevant de leur maladie, leurs besoins, leurs difficultés socio-économiques (liées à la maladie et/ou au confinement), ainsi que leurs préoccupations individuelles ou collectives. Durant trois mois, nous avons travaillé en étroite collaboration avec les différents acteurs20 qui interviennent dans le centre. Cette immersion nous a permis de faire l’observation participante et d’avoir accès à la base de données des personnes ayant séjourné au centre sur l’autorisation des responsables. Toutefois, nous avons rencontré des difficultés dans le recrutement des participants à notre étude. En effet, un nombre important (40 sur 97) parmi les personnes que nous avons contactées a refusé de participer à l’étude. La principale raison avancée par ces personnes était la peur de la divulgation des informations dans les médias. D’autres ont accepté de faire l’entretien à condition que celui-ci ne soit pas enregistré. De ce fait, certains entretiens (6 sur 25) ont fait l’objet de prises de notes.

Analyse et traitement des données

Nous avons effectué une analyse thématique qui s’appuie sur une démarche inductive. Conformément aux recommandations de Thomas (2006), nous avons réalisé cette analyse en quatre étapes : (i) Préparation des données brutes (observations et entretiens approfondis), (ii) Lecture attentive et approfondie, (iii) Identification et description des premières catégories et (iv) Révision et raffinement des catégories. A l’issue de cette démarche, nous avons identifié quatre
(4) thématiques pour examiner l’acceptabilité du dispositif d’isolement et prise en charge des PAFB de COVID-19. Ces thématiques sont identifiées uniquement à partir des données que nous avons recueillies à savoir : l’observation participante et entretiens approfondis.
19 L’équipe était composée d’assistants diplômés et étudiants en sociologie, santé communautaire, médecine et santé publique : Thierno Madiou DIALLO, Mame Birame NIANG, Hélène Agnès DIENE, Khady Seck NGOM,
Nhelem MENDY, Samuel Birama SY, avec l’appui de Khoudia SOW et Alice DESCLAUX (référents) et sous la direction de Seynabou Ndour (Assistante Sociale) et de Dr Karim DIOP (Pharmacien et Expert Santé publique).

Population d’étude

Au total, nous avons effectués vingt-cinq21 (25) entretiens semi-directifs approfondis. Parmi ces entretiens, dix-neuf (19) ont été enregistrés et seize (06) ont fait l’objet de prises de notes. Huit (08) entretiens ont été réalisé en présentiel et dix-sept (17) à distance (06 via l’outil vidéo de WhatsApp et 11 par appel téléphonique). Les entretiens ont duré entre 30 et 60min. Six (06) ont été réalisé en français, quatorze (14) en wolof et cinq (05) en alternance entre le français et le wolof. Les participants ont une tranche d’âge comprise entre 18 et 49 ans dont 11 femmes et 14 hommes. Il faut noter qu’une de ces femmes était confinée avec sa fille de 04 ans. La majorité des participants a une activité professionnelle dans le secteur informel (Figure 4). Les caractéristiques de la population d’étude sont résumées dans le tableau 3 (Annexe 1).
Tableau 2: Répartition des entretiens selon le sexe

Table des matières

1 INTRODUCTION
1.1 SITUATION DU SUJET ET JUSTIFICATION DE LA RECHERCHE
1.1.1 Problématique
1.1.2 Objectifs et questions de recherche
1.1.3 Cadre de référence
1.2 CONTEXTE : LA PANDEMIE DE COVID-19 ET LA REPONSE AU SENEGAL
1.3 REVUE DE LA LITTERATURE
2 METHODOLOGIE
2.1 METHODE D’ETUDE : APPROCHE QUALITATIVE
2.1.1 L’observation participante
2.1.2 Entretiens approfondis semi-directifs
2.2 TERRAIN D’ENQUETE : CTE DE YOFF
2.3 DEROULEMENT DU TRAVAIL DE RECHERCHE
2.3.1 Analyse situationnelle
2.3.2 Collecte de données
2.3.3 Analyse et traitement des données
2.4 POPULATION D’ETUDE
2.5 PRECAUTIONS ETHIQUES
3 RESULTATS
3.1 LES ATTITUDES FACE AU CONFINEMENT AU CTE
3.2 LA QUALITE DE LA PRISE EN CHARGE
3.2.1 La dimension humaine de la prise en charge
3.2.2 La prise en charge médico-psychologique
3.2.3 La satisfaction des besoins de base
3.3 LES EFFETS SOCIO-ECONOMIQUES
3.3.1 Types d’effets socio-économiques
3.3.2 Mesures d’accompagnent socio-économique
3.4 LES SENS DU CONFINEMENT AU CTE
4 DISCUSSION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES
ARTICLES DE REVUE
DOCUMENTS
WEBOGRAPHIE
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE 1 : TABLEAUX
ANNEXE 2 : FIGURES
ANNEXE 3 : OUTILS DE COLLECTE DE DONNEES
ANNEXE 4 : RESUMES D’ENTRETIENS
ANNEXE 5 : JOURNAL DE TERRAIN
ANNEXE 6 : ETHIQUE
ANNEXE 7 : ORGANISATION DU CTE DE YOFF

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