Le marche hebdomadaire de behenjy, un espace commercial spécifique du reste de la commune rurale

Les épiceries et épi-bars

Ils couvrent les quartiers centraux de Bétheny-Centre, de Soaloka jusqu’à Tsarafara. Parfois leurs distances ne font seulement que quelque mètre. Ils sont très nombreux et se sont beaucoup plus développé du coté Est de la RN7, en direction vers le Sud, et aussi sur quelque cinquantaine de mètres après l’entrée du pont à Soaloka. L’une des raisons qui peut être évoqué pour l’expliquer c’est l’accroissement des demandes en PPN (huile, sel, café, sucre…) des restaurateurs qui sont en face et à côté de cesépiceries. Il y a également les gargotiers qui s’approvisionnent quotidiennement dans ces épiceries.
La plupart de ces épiceries attirent leurs clientèles par la vente de boissons alcooliques et gazeuse. Nombreux sont les clients qui fréquentent ces lieux, surtout les hommes. Ils viennent en général en groupe
Les clients qui s’alimentent dans les épiceries bars à chaque grand jour de marché est quatre fois plus nombreux que d’habitude. Ceci s’explique par le fait que les ménages dépensent une grande partie de leur économie hebdomadaire dans l’alimentation générale dont fait partie la consommation d’alcools de cigarettes et de tabacs.

Les services de restaurations

Les restaurants

Ils font la réputation de Behenjy et occupent un bon emplacement puisqu’ils sont faciles à repérer le long de la RN7 sur un parcours de 100 m environ. Les grands restaurants sont situés juste à quelques mètres du stationnement des taxi-brousses et ils sont au nombre de trois.
Leurs spécialités c’est le foie gras ce qui fait larenommé de la Commune.
Ces restaurants font promouvoir le tourisme local car ils sont surtout fréquentés par des touristes français mais également par des malgaches qui sont de passage à Behenjy et qui sont de classes sociales privilégiées. Comme toutesactivités commerciales, ils connaissent de hautes et de basses saisons. Les hautes saisons sont surtout rythmées par l’affluence massive des touristes étrangers qui prennent l’itinéraire vers le Sud du pays tout en empruntant la RN7 sans oublier de visiter Behenjy. Les autocars qui emmènent ces nombreux touristes se rangent devant les restaurants en attendant les touristes en visite du marché, des épiceries et épi-bars sans oublier de passer dans ces restaurants. Les basses saisons sont marquées par la diminution en nombre des touristes dans l’axe Sud du pays.

Les autres activités tertiaires

les services informatiques

Ils sont encore récents à Behenjy et utilisent des matériels informatiques et de communications : il s’agit des services de photocopies, de saisies et de cybercafé. Leurs services répondent aux besoins de la population locale, aux besoins des services publics et privés. Leurs sites d’implantations se trouvent à Behenjy-Centre, du côté du marché de talata et vend également des articles de bureaux. L’autre se situe sur le chemin menant à Soaloka avant l’entrée du pont.
On retrouve également à Behenjy-Centre un service de la photographie. Le photographe a son studio à son domicile et se déplace dans tous les quartiers centraux pour trouver ses clients lors des évènements familiaux et religieux, tels que baptême, mariage, consécration,…

Des activités qui ont rapport aux loisirs etaux jeux modernes

Ces activités se déroulent dans des salles équipéesde consoles et de manettes pour les jeux vidéo. Des jeunes entre 11 à 21 ans dépensent leursargents en faisant des parties de rencontre durant toute une journée.

D’autres activités de loisirs plus anciennes

Elles offrent aussi des moyens de divertissements aux jeunes : le baby-foot en plein air, projection des films dans les salles de vidéo. Ces activités ont donc un rôle attractif pour les jeunes. Il faut reconnaitre que la composition de la population dans les deux fokontany centraux montre la proportion élevée des jeunes. Ces derniers sont attirés par la publicité des films diffusés par le propriétaire de vidéo à travers une sonorisation qui se trouve juste en dehors, près du marché. La salle diffuse des films malagasy qui ont déjà connus des succès en ville joués par des acteurs que la plupart des classes d’âges ont beaucoup apprécié leurs talents comme « Rajao Mianakavy ».

Les points des réparations et de ventes des pièces détachés

Ils sont localisés dans trois fokontany à savoir Behenjy Centre, Tsarafara et Soaloka. Il s’agit des ateliers de vulcanisations, des ateliers de soudures, de scierie métallique, des ateliers pour démonter et rapiécer les bicyclettes, parfois même des vélomoteurs, des motos et aussi des boutiques pour les ventes des pièces de rechanges. Ils occupent les coins de la rue et la plupart d’entre eux pratiquent leurs activités à ciel ouvert.
Pour les vulcanisateurs, leurs principaux clients sont les taxi-brousses. Ils rendent des services tels que le gonflage des pneus, la vente des huilesmoteurs.
Quand aux réparateurs de bicyclettes, en moyenne des vingtaines de bicyclettes les attendent par jour à être réparé. Ils doivent les remettre en état avant que les clients viennent les reprendre. La tâche ne prend que quelques minutes seulement pour les rechanges de pièces mais des heures de temps quand il s’agit du démantèlement et de l’ajustage des chaines. Le jour du marché hebdomadaire, le nombre des mains d’œuvres familiales pour les services de réparations augmentent car les clients deviennent de plus en plus nombreux.

Décortiqueries dépendants de l’électricité

Quatre décortiqueries sont fonctionnelles dans la Commune Rurale de Behenjy. Deux fokontany seulement bénéficient de leurs implantations (Behenjy-Centre et Soaloka) du faite qu’ils sont desservie par le Jirama. Actuellement quatre quartiers parmi les vingt-deux sont électrifiés par le JIRAMA (Ambohidrano Sud, Behenjy-Centre, Tsarafara, et Soaloka).
Des paysans venus des autres fokontany périphérique viennent pour décortiquer des sacs de paddy durant la saison de récolte. Cette activité perd de vitesse après cette saison puisqu’on entre dans la période de soudure ou fahavaratra quidébute en général au mois d’octobre et qui peut durer 3 à 4 mois, voire même plus selon les disponibilités des réserves en paddy des ménages.

Type de commerce des autres quartiers périphériques

Le développement des activités liées aux commerces dans la partie Nord de Behenjy.

Quelques épiceries le long de la Route Nationale N°7

Ces épiceries se sont installées le long de la route nationale, vers le Nord depuis Ambohikambana à Morarano Ouest jusque dans l’extrême Nord de Behenjy, à Tsinjony. Elles n’assurent qu’une petite partie des besoins d’une minorité de ménages qui habitent seulement à quelques mètres, aux alentours du village.
L’approvisionnement de ces épiceries en PPN est très limité car les paysans qui les possèdent n’ont pas les moyens financiers suffisant pour se procurer des quantités suffisantes de marchandises. Cette activité n’arrive pas à s’autofinancer puisque une partie des marchandises destinées à la vente sont prélevés pour la consommation du ménage surtout en période de soudure. Ce sont les revenus générés par la pratique des activités artisanales qui aident les paysans à financer leurs épiceries.
Au niveau du quartier de Tsinjony, le développementd’une épicerie-bar est lié à l’existence d’une ligne de taxi-brousse assurée par la Coopérative KOFIAVO qui desserve le quartier du District d’Antananarivo Atsimondrano (Ambalavao, Ambatofotsy, Tanjombato) jusqu’à Antananarivo Ville. Le frais de transport humain depuis Tsinjony-Ambatofotsy est de 600Ar et de Tsinjony-Antananarivo, il s’élève à 1000Ar. il en est de même pour les transports de marchandises depuis Tanà jusqu’à Tsinjony qui doit payer le même tarif selon la longueur du trajet.
Des villageois écartés de la route nationale font des kilomètres pour arriver à Tsinjony rien que pour acheter ceux dont ils ont besoins quotidiennement dans cette unique épicerie-bar du quartier. C’est le cas des paysans résidant à Anköfika, qui doit aller uniquement à pied jusqu’à Tsinjony, quartier le plus proche pour s’approvisionner en PPN.
Ce qui n’est pas le cas pour ceux qui résident à Ambohidrano Sud et Ambohikambana qui bénéficient du moins de la proximité du marché de Behenjy-Centre pour faire leurs approvisionnements quotidiens ou hebdomadaires. Cependant, dans les villages un peu reculés d’Ambohidrano Sud se sont vus développés des épiceries et des épi-bars pour répondre à la demande de la population locale ainsi que pour les gens de la Commune avoisinante qui sont de passage pour rejoindre Behenjy (une partie de la population de Miantsoarivo pour venir à Behenjy emprunte une piste à Ambohidrano-Sud). Ces épiceries et épi-bars se rencontrent du côté des pistes qui sontcarrossables.

Les épiceries à l’intérieur des quartiers éloignés de la route nationale

Pour la population d’Ambohidrano Nord, elle bénéficie des dizaines d’épiceries qui se trouvent à l’intérieur même du quartier. Notons que c’est le quartier le plus peuplé après Behenjy-Centre avec ses 1606 habitants. Ces épiceries pourvoient en marchandises générales les villageois qui ne sont plus obligés de se déplacer à Behenjy-Centre ou ailleurs sauf pour d’autres articles plus spéciaux (habillement, intrants agricoles).
L’approvisionnement de ces épiceries est rendu possible grâce au désenclavement du quartier par l’existence d’une piste praticable par voiture depuis la route nationale en passant au niveau de la société SAINTO, à Iharanandriana.
L’essor des épiceries dans le quartier d’Ambohidrano Nord est lié étroitement à la découverte dans le village d’Andramajinika d’un gisement aurifère qui a attiré de nombreux ménages venus de l’extérieur du village pour exercer une activité d’orpaillage. C’est ainsi que l’épicerie est devenue « activité génératrice de revenu » à Ambohidrano Nord.
Toujours dans cette partie Nord de Behenjy, mais unpeu plus à l’Est, se trouve le quartier de Mandady. La population qui s’y trouve est servit par le marché du quartier de Soaloka.et de Behenjy-Centre. Cependant, elle doit longer à pied ou à bicyclette la ligne de chemin de fer qui mène jusqu’à Soaloka. Une seule épicerie existeà Mandady et qui revend essentiellement du tabac à chique et des cigarettes : c´est une activité exercée par une femme dans le but surtout de constituer quelques épargnes.
Toutes ces épiceries qui se trouvent au Nord de Behenjy à l’exception de Tsinjony s’approvisionnent soit auprès des grossistes de Behenjy-Centre, soit de Soaloka. Mais il arrive également que ces épiceries s’alimentent au niveau du marché hebdomadaire de Behenjy pour d’autres produits qui sont les plus souvent des poissons séchés, des tabacs à chiquer, des grains de café, du pain et des produits alimentaires manufacturiers.

Les activités de commerces lié au tourisme dans le village d’Amboasary

Amboasary est un village qui se trouve dans le quartier de Tsinjony et se situe au bord de la route nationale Quelques paysans possèdent des ateliers le long de cette route qui leurs servent également à exposer et à vendre leurs produits : il s’agit des produits de la vannerie.
Mais des gens viennent aussi de Tananarive pour collecter ces produits et pour occuper des stands qui se trouvent à Amboasary, au niveau de lachute de la rivière Andromba, au bord de la route.
L’installation de ces points de ventes permet à une frange de la population de Behenjy de constituer une source de revenu pérenne.
Le sisal est travaillé et séché sur place pour faire des ficelles, une des matières premières pour confectionner des objets d’arts (panier, pouf, sous-plat, chapeau). Une autre matière première est aussi utilisée et se trouve sur place « le bozaka » et qui sert à fabriquer des sous-plats. Le sisal et le bozaka sont procurés localement à Amboavaha. D’autres sites constituent aussi des points de ravitaillement en matière premières pour ces artisans : à Ambalavao et à Ambohijoky (Communes Du District d’Atsimondrano).
La vente de ces produits locaux ne se limite pas seulement sur place mais arrive dans la capitale, au marché des arts à, Andravoahangy
Le village d’Amboasary est avantageux sur le plan touristique puisqu’il constitue la tête du circuit pour accéder au mont Iharanandriana. C’est cette situation qui a fait développer la commercialisation des produits de l’artisanat : touristes et voyageurs des taxi-brousses s’arrêtent à Amboasary pour acheter des articles
La vannerie est une activité secondaire qui vient appuyer l’agriculture et l’élevage. Elle se pratique durant toute l’année et surtout pendant les périodes creuses de l’année. Cependant, elle participe au financement des activités agricole des ménages (achats des intrants agricoles, payement des salariés agricoles, etc.,), surtout commercial (source d’approvisionnement des épiciers), au payement des frais scolaires des enfants, aux achats quotidiens (nourriture, alimentation générale) et occasionnels (vêtements, médicament, etc.). Elle participe également à la constitution des épargnes des ménages pour la préparation des festivités (exhumation, mariage, etc.) mais aussi aux payement des droits et obligations divers (paperasse administrative, avis d’imposition).
A Amboasary, cette activité emploi des mains d’œuvre familiale : hommes, femmes et enfants contribuent tous dans ce métier selon le temps quechacun dispose. C’est pourquoi durant les vacances scolaires, la disponibilité en main d’œuvre augmente ainsi que la production.

Le développement des activités liées aux commerces dans la partie Sud de Behenjy

La vente des objets d’art dans le village de Kianja Nord 

Kianja Nord se trouve au Sud de Behenjy, à 4km du Chef-lieu de la Commune en direction d’Ambatolampy. C’est un quartier qui se situe non loin de la route nationale. Au bord de la route est exposé des objets d’art en terre cuite.qui représentent des figurines telles que la vierge marie et aussi d’autres objets décoratifs tels que des vases et des statuettes en forme d’animaux (oie, signe, canard) : Cet endroit où on rencontre ces objets d’arts s’appelle communément par la population « eo amin’ny sary masina » traduit littéralement « sur la place des objets sacré ».
Une personne pratique aussi ce genre d’activité à Ambohikambana. L’artisan quand à lui expose des statuettes qui évoque le zébu malgache. Il travaille aussi l’argile comme matière première pour les confectionner. Ses œuvres sont séchés dans la cour pour les mettre ensuite au four pour la cuisson et la touche finale consiste à les peindre.

Caractéristiques du marché hebdomadaire

Le site d’emplacement du marché hebdomadaire

Le marché hebdomadaire se trouve sur un replat de colline, à l’Ouest de la Route Nationale. Il est la porte d’entrée de la population de Miantsoarivo pour rejoindre Behenjy-Centre. D’après les relevés qu’on a entrepris sur terrain, le marché est bâti sur 70 mètre de long et 45m de large (ce sont des valeurs approximatives) soit à peu près 31,5ares. Cette mesure concerne seulement la place centrale où il y a la les bâtiments en dur plus la cour du marché se trouvant au Sud. Mais le marché s’étend dans la partie Sud sur les deux côtés de la route menant vers la Commune Rurale de Miantsoarivo où il y a des places réservées pour le marché des bovidés, des porcins et des volailles.

Inégalité et répartition des infrastructures et des équipements existants

Les équipements sur le marché devraient répondre aux besoins des acteurs pour le développement des échanges com merciaux. L’analyse de ces équipements permet de savoirles problèmes rencontrés par les différents acteursqui occupent ces emplacements.

Les halles

Les halles sont des bâtiments en dur construits surun socle en béton d’une épaisseur de 50cm pour faire face aux actions de l’érosion pluviale. Elles comportent des toits en fût, des colonnes en briques d’une hauteur de 3 mètres sur lesquelles sont inscrits le numéro de chaque halle (1 à 56) servant de repère pour les clients et commerçants. 5 halles sont rangés du côté Est tandis que 2 autres du côté Ouest. Les halles mesurent 12m de long sur 4m50 de large. Entre les deux rangés de halles s’ouvre une allée de 11m de large pour que les personnes et les produits puissent circuler librement. Les halles sont occupées par les commerçants de friperies et de confections. Au total, le nombre de vendeurs qui peuvent les occuper est de 56. L’occupant possède à peu près 6m² pour étaler leurs produits. Mais en réalité, un commerçant occupe le double de cette surface puisque en général, les halles ne sont occupées qu’à 8% seulement.

Des constructions précaires

Elles occupent la limite Est du marché et dépassentlargement la limite de la cour. Ce sont des petits bâtiments qui comportent des murs en briques cuites pour servir de cloison. Ils sont alignés le long de l’allée sur la partie gauche du marché. Ils sont couverts d’un toit en fût entièrement usés et en tout il y a 19 bâtiments quisont encore debout alors que certains sont déjà écroulés.
A l’intérieur, ces bâtiments ne comportent que d’une table faite par des empilements de briques, pour exposer les nourritures sur quelques plats (poisson d’eau douce, viande de porcs, haricot sec, des boulettes de viande de bœufs,…) et d’un banc en planche soulevé par des briques pour servir les clients.

Les espaces réservés aux marchands de volailles et de bétails

Ce sont des espaces qui font partie intégrante du marché hebdomadaire. Il est le prolongement du marché dans la partie Sud. Le marché de bovins est la limite Sud du marché tandis-que la place réservée aux porcins et aux volailles se sontmêlées. Ces terrains appartiennent encore à la Commune.

Table des matières

Remerciements
Résumé
Table des illustrations
LISTE DES CROQUIS
LISTE DES FIGURES
LISTE DES PHOTOS
LISTE DES TABLEAUX
Introduction générale
PARTIE-I : LE MARCHE HEBDOMADAIRE DE BEHENJY, UN ESPACE COMMERCIAL SPECIFIQUE DU RESTE DE LA COMMUNE RURALE
CHAPITRE I- Commune Rurale de Behenjy et ses noyauxcommerciaux
CHAPITRE II- Type de commerce des autres quartiers périphériques
CHAPITRE III- Caractéristiques du marché hebdomadaire
Conclusion de la première partie
PARTIE-II: LE MARCHE HEBDOMADAIRE DE BEHENJY, UN ESPACE A POTENTIEL HUMAIN ET ECONOMIQUE
CHAPITRE IV- Un potentiel humain et agricole du marché hebdomadaire
CHAPITRE V- Un marché hebdomadaire, un marché de produits d’élevage et d’artisanat
CHAPITRE VI- Afflux des produits manufacturiers et PPN sur le marché hebdomadaire
Conclusion de la deuxième partie
PARTIE-III : LE MARCHÉ HEBDOMADAIRE, UN ESPACE COMMERCIAL SOUSEXPLOITÉ PAR LA COMMUNE
CHAPITRE VII- Le marché hebdomadaire de Behenjy, un espace vital pour le développement du commerce
CHAPITRE VIII- Le commerce, une activité à des dépenses et à des revenus multiples
CHAPITRE IX- Les résultats obtenus par la Commune dans l’organisation et l’administration du marché
Conclusion de la troisième partie
Conclusion générale
BIBLIOGRAPHIE
Ouvrages généraux
Documents spécifiques
Documents et statistiques
ANNEXES
TABLE DES MATIERES

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