Les choix d’équipement audiovisuel chirurgical

L’équipement installé dans le nouvel hôpital et son évolution envisagée

Le matériel existant dans l’ancien bloc a été réinstallé comme prévu dans un des blocs opératoires du nouvel hôpital.
De plus, un second scialytique de la même gamme et une seconde Chromovision 1C ont été commandés afin d’équiper une seconde salle de chirurgie. Pour l’instant un seul ORICS est disponible et donc il ne pourra traiter les images que d’un seul bloc à la fois. Pour basculer d’un bloc à l’autre, soit l’ORICS devra être déplacé en fonction des besoins, soit un sélecteur (ou « switch ») permettra de choisir quelle caméra est connectée à l’ORICS. Lorsqu’un bloc enregistrera des images pour une diffusion directe et différée, il sera quand même possible d’exploiter la caméra de l’autre bloc pour une utilisation directe des images par exemple sur l’écran suspendu.
Figure 3 : Le Chromovision 1C sur Chromophare E650 et son écran, portés par bras articulés, et installés dans un nouveau bloc du Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d’Alfort (CHUVA).
Figure 4 : L’ORICS de Berchtold, ainsi qu’un ordinateur relié à celui-ci dans un nouveau bloc du CHUVA.
Le budget actuel comprend également l’acquisition complémentaire de caméras d’ambiance (certainement de chez Sony Medical), ainsi que l’installation d’un système de visioconférence. Ce dernier vise essentiellement à enrichir les sessions de formation continue (postuniversitaire).
En ce qui concerne le stockage et la diffusion différée des vidéos, les différentes solutions du marché ont été étudiées, et c’est Inwicast de Webcastor qui retient notre attention. En effet, cette société a fourni un contact technique disponible et efficace. D’autre part, l’interface d’Inwicast peut être intégrée à Moodle (soit « Eve » à l’ENVA), et peut donc simplifier grandement la consultation des films par tous les intervenants, au lieu d’avoir à installer un logiciel spécifique sur tous les postes demandant l’accès aux vidéos. Celles-ci sont donc consultables de n’importe où, sous contrôle d’accès. De plus, Inwicast intègre une solution de « balisage » des séquences jugées intéressantes par le chirurgien : cela évite un vrai travail de montage du film, et permet à la personne qui consulte la vidéo de visionner uniquement les passages utiles. Enfin, le chirurgien peut incruster ses commentaires dans la vidéo afin de la rendre plus didactique.

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