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CADRE METHODOLOGIQUE
La sociologie étant une science, sa démarche nécessite une méthodologie. La méthodologie est un plan coançu pour la recherche. Ce plan regroupe différentes méthodes et techniques utilisées pour recueillir des données qualitatives et quantitatives et auxquelles justement nous avons fait appel dans cette partie.
La pré-enquête ou enquête-pilote :
Il s’agit d’une première descente sur le terrain pour recueillir des données empiriques et s’éloigner un peu des spéculations sans contenu cognitif concret et qui nous mèneraient à des résultats non concluant. Cette enquête-pilote est d’autant plus importante que l’objet de notre étude et ses implications spécifiques ne se trouvent pas développés suffisamment dans des documents qui pourraient nous servir de point de départ. En ce qui nous concerne, elle a consisté à nous rendre sur le champ d’investigation pour constater l’état des cybercafés, le nombre de machines fonctionnelles, avoir un aperçu sur la clientèle, l’emplacement stratégique. Aussi, nos nous sommes donnés la peine de poser quelques questions aux gérants pour avoir des renseignements étant donné que les informations avant ou après enquête ne sont jamais de trop.
La documentation :
Ce n’est pas la documentation sur Internet en général qui manque. En effet l’essentiel des écrits que nous avons eu à consulter tourne autour d’une logique de présentation et d’explication du phénomène Internet et des services qui y sont disponibles, depuis son avènement jusqu’aux multiples utilisations pratiques qu’on en fait aujourd’hui. Il faut reconnaître que malgré tout, ces documents nous ont été d’un apport considérable car ils ont approfondi nos connaissances sur Internet. Faute d’étude donc à caractère scientifique sur les cybercafés, l’essentiel des données disponibles provient pour la plus part d’ouvrages sur les NTIC, d’articles de presse nationale et internationale, de mémoires d’étudiants qui ont travaillé sur le phénomène Internet mais en rapport avec la recherche scientifique, l’utilisation des NTIC dans le secteur de l’informel, la presse écrite, les projets de vulgarisation d’Internet à travers les cybercafés29 etc., qui privilégient l’analyse des mécanismes techniques nécessaires à leur utilisation sans accorder une grande importance aux différents aspects sociologiques.
Les personnes-ressources :
Ce sont toutes les personnes enquêtées et susceptibles de nous fournir l’information recherchée, qu’il s’agisse des internautes comme des gérants des dits lieux. C’est compte tenu de leurs réponses aux questionnaires et au guide d’entretien, compte tenu également de leur opinion et de leur perception du phénomène que constituent les cybercafés à Grand Dakar, que nous avons pu recueillir les données qui nous ont servi à valider ou à infirmer nos hypothèses de recherche. Les personnes-ressources sont des outils fondamentaux sans lesquels on ne peut aboutir à des résultats concluants et fiables.
L’échantillonnage :
Etant donné l’impossibilité d’enquêter toutes les personnes qui fréquentent les cybercafés à Grand Dakar, nous avons recouru à la technique de l’échantillonnage. La technique de l’échantillonnage est « l’ensemble des opérations permettant de sélectionner un sous-ensemble d’une population en vue de constituer un échantillon. »30. L’échantillon est la partie ou le sous-ensemble d’une population mère qui permet d’observer un nombre restreint de phénomènes ou d’objets tout en donnant, par extrapolation, une portée générale à ces observations. La population mère correspond à l’ensemble des individus qui ont des caractéristiques précises en relation avec les objectifs de l’étude. Il existe deux sortes de techniques d’échantillonnage : les techniques probabilistes et les techniques non probabilistes. Puisque notre souci a été de choisir un échantillon qui soit le plus représentatif de la population mère, nous avons choisi les techniques probabilistes car en les utilisant, chaque unité de la population a la même chance qu’une autre d’être choisie au sein de l’échantillon et le chercheur pourra ainsi mesurer la marge d’erreur de son échantillon. Parmi les techniques probabilistes, nous avons pris spécifiquement la technique de l’échantillonnage par grappes car non seulement nous ne disposons pas d’une liste complète et numérotée de tous les individus qui fréquentent les cybercafés, mais encore, elle consiste à choisir au hasard une ou plusieurs grappes et à observer le comportement de toutes les unités des grappes choisies. Vu que nous n’avons enquêté que sur le seul quartier de Grand-Dakar, les grappes seront constituées par les cybercafés et l’enquête va dès lors porter sur les unités de ces grappes. Chaque client représentant une unité, nous avons enquêté sur l’ensemble des unités qui ont été choisies de telle sorte qu’elles soient composées aussi bien de garçons et de filles âgés entre 10 et 40 ans. L’effectif total de chaque grappe (10 enquêtés par cybercafé) multiplié par le total des grappes (5 cybercafés) nous a fourni un échantillon de 50 enquêtés. C’est sur la base de cet échantillon que nous avons mené l’enquête de terrain.
Les techniques de recueil des données
L’observation :
L’observation peut être définie comme la considération attentive des faits afin de mieux les connaître31. Parmi les différentes sortes d’observation, nous avons opté pour celle participante. Elle se spécifie par rapport aux autres par le fait qu’elle est plus directe. Autrement dit, elle se fonde sur l’observation d’un individu ou d’un groupe en pleine action dans son milieu. Dans une observation participante, le regard du chercheur porte sur les phénomènes eux-mêmes et non sur les perceptions de phénomènes par les enquêtés. Cela veut dire qu’il ne cherche pas à être extérieur au phénomène observé. Au contraire, il veut le comprendre de l’intérieur, en vivant pendant un temps plus ou moins long avec les individus dont il veut comprendre le comportement. Ainsi l’observation participante que nous avons eue à faire à consisté à se connecter à Internet au niveau des différents cybercafés pour une durée d’une heure d’horloge au maximum. Durant ces moments de connexion, nous étions beaucoup plus intéressée par l’atmosphère que par Internet. En fait, à travers cette stratégie, nous avons pu observer de près la clientèle, l’ambiance qui y règne, les sites consultés par les autres clients, etc.
Le questionnaire :
Comme son nom l’indique, le questionnaire est constitué par la liste des questions qui sont posées aux sujets désignés par l’échantillonnage. Ainsi, nous avons élaboré deux types de questionnaires : un questionnaire destiné aux internautes et un questionnaire destiné aux gérants de cybercafés. Le premier questionnaire a comme principaux thèmes leur identification, l’assiduité du client à la fréquentation des cybercafés, les moyens financiers du client, l’opinion des clients sur les cybercafés à Grand Dakar et enfin les loisirs à Grand Dakar. Le questionnaire à l’intention des gérants présente les thèmes suivants : l’identification, les caractéristiques de l’employeur, les connaissances en informatique du gérant, ces opinions et perceptions par rapport à l’implantation des cybercafés à Grand-Dakar et enfin le mode de fonctionnement de ces cybercafés. Tous les deux questionnaires ont été élaborés de telle sorte qu’ils comportent des questions fermées munies de réponses prédéterminées parmi lesquelles l’enquêté fait un choix en cochant des cases et des questions ouvertes qui permettent à l’enquêté d’y répondre librement. Par ailleurs, conformément à la suggestion de J. L. Loubet Del Bayle32, notre questionnaire s’est attelé à être le proche possible aux trois préoccupations que sont : d’abord de poser des questions qui permettent d’obtenir des réponses traduisant la réalité que l’on veut étudier ;
– ensuite avoir un questionnaire fidèle qui, appliqué aux mêmes personnes par des enquêteurs différents, recueille les mêmes réponses ;
– enfin être de façon à faciliter son application, l’interprétation des réponses obtenues, la classification de ces réponses et leur exploitation. L’introduction du questionnaire nous a permis d’avoir des données aussi bien quantitatives que qualitatives.
Le guide d’entretien :
La technique de l’entretien consiste à provoquer une conversation réglée entre un enquêté et un enquêteur muni de consignes et le plus souvent d’un guide d’entretien33. Ce guide se présente sous la forme d’une liste de questions ou de thèmes qui doivent obligatoirement être abordés au cours de l’opération. On distingue trois types d’entretien :
– l’entretien libre ou non-directif
– l’entretien directif
-l’entretien semi-directif
Nous avons choisi en dernier recours l’entretien semi-directif étant donné qu’il s’avère beaucoup plus adapté aux recherches sociologiques et donc à la production de données appréciables. Les principaux thèmes du guide d’entretien sont : les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication au Sénégal, Internet au Sénégal, les loisirs à Grand-Dakar, les cybercafés à Grand-Dakar, les obstacles à la fréquentation des cybercafés à Grand-Dakar
Les techniques d’exploitation des données:
L’analyse de contenu
Nous avons utilisé l’analyse de contenu pour décrypter les informations contenues dans les réponses des enquêtés.
Nous avons pratiqué l’analyse de contenu pour les raisons suivantes :
– d’une part, elle est un mode d’investigation qui accorde une certaine marge de manœuvre interprétative au chercheur qui dispose de son matériel sans subir d’entrave de la part des enquêtés.
– d’autre part, elle est très pratique quand on ne veut pas porter de jugement de valeur sur un message, mais plutôt connaître ce que le message a voulu dire avec précision et objectivité.
Etant donné que les données prélevées par une analyse de contenu peuvent être qualitatives ou quantitatives, nous l’avons utilisée aussi bien pour le questionnaire que pour l’entretien. Toutefois, notre analyse de contenu a surtout insisté sur les questions d’opinions qui font généralement appel à des réponses non immédiatement quantifiables. Par ailleurs, elle a servi à découvrir des informations qui n’étaient pas données d’avance, donc latentes.
En référence à l’intitulé de nitre sujet et aux hypothèses de recherche, l’analyse de contenu était incontournable dans la mesure où nous avions besoin de connaître ce que représente le cybercafé pour chaque enquêté.
L’analyse des données :
Il existe deux types d’analyse de données :
– l’analyse quantitative des données
– l’analyse qualitative des données
Toutefois, l’analyse quantitative des données, de plus en plus utilisée, a exigé le recours à des moyens informatiques. Ainsi, elle nous a permis d’élaborer des tableaux de corrélation entre différentes variables, d’obtenir des tableaux de tri à plat et des tableaux de tri croisé. La compilation des données qualitatives et quantitatives tirées respectivement de l’analyse de contenu et de l’analyse quantitative des données est meilleure gage de fiabilité quant au traitement des données issues des enquêtes empiriques.
L’enquête proprement dite :
L’enquête proprement dite a lieu après que le chercheur ait défini son thème de recherche, qu’il ait porté son choix sur un terrain (support de l’étude), qu’il ait établi clairement les objectifs poursuivis et la méthodologie à mettre en œuvre. Elle a consisté à différentes étapes plus ou moins longues selon les difficultés que nous avons rencontrées au niveau de chacune d’elles. Elle s’est étalée du mois d’avril au mois de septembre, durant lesquels, nous avons fait la recherche documentaire, introduit le questionnaire auprès des clients et gérants et enfin fait l’entretien avec les gérants de cybercafés.
La documentation :
La documentation s’est déroulée du mois d’avril au mois de juillet. Elle a consisté en une recherche au niveau des bibliothèques, des centres de recherches, des recherches sur le net, etc. a cet effet, nous avons consulté les documents disponibles à la bibliothèque universitaire (BU), à celle du CESTI, au CODESRIA, à l’IRD, à la Bibliothèque du Département de Sociologie, ainsi que le Net. La plupart des documents consultés étaient relative pour l’essentiel à Internet en général, sans pour autant aborder la question des cybercafés. Toutefois, cette étape de l’enquête de terrain nous a permis de répertorier les travaux relatifs aux NTIC, de voir les différentes problématiques qui ont été posées par rapport à elles ; ce qui nous a permit de nous démarquer par rapport à ces problématiques là et d’aborder un autre aspect de la question.
L’administration du questionnaire
Nous avons introduit le questionnaire des clients en même temps que celui des gérants. Ainsi, il s’est agi de déposer onze (11) questionnaires par cybercafé, en raison de dix (10) pour les clients et un (1) questionnaire pour le tenancier du cybercafé. Vu l’intitulé du sujet de recherche qui figure en haut du questionnaire, il n’y a pas eu de réticence ni de difficultés majeures de la part des enquêtés. Il faut dire qu’ils ont été à la limite fort enthousiaste et ont témoigné une volonté manifeste à répondre aux questions. Dès lors, nous avons fait lé tour des cybercafés de Grand-Dakar où, à chaque fois, nous avons procédé de la même manière. Cela n’a pas pris beaucoup de temps étant donné que, d’une part nous n’avions que cinq (5) cybercafés à faire et d’autre part, nous avions ciblé les heures d’affluence. En somme, cette étape nous pris dix (10) jours pendant lesquels, nous avons pu introduire et récupérer tous les questionnaires.
L’entretien proprement dit :
Nous nous sommes entretenue avec les gérants. Etant donné que l’entretien se faisait sur rendez-vous, les entretiens étaient un peu espacés les uns par rapport aux autres. Il fallait se plier à la volonté des enquêtés et se présenter au moment où ils se sentaient disposés à nous recevoir. Les entretiens se sont déroulés au niveau des cybercafés même et aux heures de pause de préférence. Etant donné que nous ne disposions pas d’enregistreur, nous avons pris soin d’être le plus attentif possible et de noter tous les détails des réponses. Certains prenaient la précaution d’approfondir leurs réponses tandis que d’autres étaient moins loquaces. Toutefois, dans l’ensemble, ils ont produit des discours qui ont été d’un grand secours par rapport à l’exploitation des données de l’enquête.
Difficultés rencontrées :
A toute action, notamment dans le domaine de la recherche, se dressent des obstacles qui retardent plus ou moins le chercheur. Nous avons eu des difficultés majeures pour réaliser ce présent document mais les plus sérieuses ont été d’ordre documentaire. Il faut dire que nous n’avons pas trouvé un document, ouvrage ou article qui traite spécifiquement du thème des cybercafés, encore moins de la dimension abordée ici. Ce qui fait que pour la plupart du temps, nous étions obligés de consulter des documents sur Internet en général, vu l’abondante littérature à ce sujet.
C’est ainsi que l’on remarquera que notre bibliographie reste limitée par cette carence documentaire sur notre thème de recherche. C’est pourquoi nous avons été forcé de faire d’une part une recherche documentaire sur Internet et de nous fier, d’autre part, aux informations recueillies auprès des enquêtés afin de confirmer ou d’infirmer les hypothèses préalablement établies. Nous avons également eu des difficultés à nous entretenir avec les gérants qui, le plus souvent, étaient préoccupés par un nouveau client, ou à faire le tour des machines. A plusieurs reprises, l’entretien a été interrompu à cause d’un client égaré qui avait besoin d’être guidé. Cela a provoqué des ruptures du rythme. Pour pallier à tous ces obstacles, nos avons finalement décidé que l’entretien se ferait sur rendez-vous fixé par le gérant, aux jours et heures laissés à sa convenance.
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : CADRE GENERAL ET METHODOLOGIQUE
CHAPITRE I : CADRE GENERAL
I-1. Problématique
I-2. Les objectifs de la recherche
I-2.1. Les objectifs principaux
I-2-2. Les objectifs spécifiques
I-3- Les hypothèses
I-3-1.Hypothèse principale
I-3-2. Hypothèses spécifiques
I-4- Pertinence du sujet
I-5- Définition des termes clés du sujet
I-5-1- Les Nouvelles Technologies de l’information et de la Communication (N T I C)
I-5-2- Internet
I-5-3- Internaute
I-5-4- Cybercafé
I-5-5- Loisir
I-5-6- Espace de loisirs
I-6- Modèles théoriques
I-7- Revue critique de la littérature
CHAPITRE II : CADRE METHODOLOGIQUE
II-1- La pré- enquête ou enquête pilote
II-2- La documentation
II-3- Les personnes- ressources
II-4- L’échantillonnage
II-5- Les techniques de recueil des données
II-5-1 L’observation
II-5-2- le questionnaire
II-5-3- Le guide d’entretien
II-6-1- Les techniques d’exploitation des données
II-6-1- L’analyse de contenu
II-6-2- L’analyse des données
II-7- l’enquête proprement dite
II-7-1- La documentation
II-7-2- L’administration du questionnaire
II-7-3- l’entretien proprement dit
II-8- Difficultés rencontrées
DEUXIEME PARTIE : GRAND DAKAR, INTERNET ET CYBERCAFE AU SENEGAL
CHAPITRE III : PRESENTATION GENERALE DU CADRE D’ETUDE
II-1- Situation géographique de la commune d’arrondissement de Grand Dakar
III-2- Peuplement et évolution spatiale de la commune de Grand Dakar
III-3 Situation socio-économique de la C A Grand-Dakar
III-3-1- L’artisanat et l’industrie
III-3-2- Le commerce et les services
III-3-3 L’emploi local
III-4 La situation socio-éducative et culturelle de la commune de Grand Dakar42
III-4-1- L’éducation de base formelle
III-4-2- l’éducation de base non formelle
II-4-3- La santé
III-4-4- la vie culturelle et sportive
CHAPITRE IV : HISTORIQUE DU RESEAU INTERNET AU SENEGAL
CHAPITRE V : PRESENTATION DES PRINCIPALES CARACTERISTIQUES D’INTERNET
V-1- Les principes d’Internet
V-2- Le fonctionnement d’Internet
V-2-1- Les outils de connexion
V-2-2- Les types de connexion
V-3- La diffusion de l’information sur Internet
V-3-1-Archie
V-3-2- Gopher
V-3-3- Le word wide web
V-3-4- Le FTP
V-3-5- Telnet
V-4- La communication sur Internet
V- 4-1- La messagerie électronique ou e-mail
V-4-2- les listes de diffusion
V-4-3- les forums de discussion
CHAPITRE VI : LES CYBERCAFES AU SENEGAL
VI-1- Les pionniers
VI- 1-1- Le Métissacana
VI-1-2- Les autres points d’accès à Internet de Dakar
TROISIEME PARTIE : ANALYSE ET EXPLOITATION DES DONNEES D’ENQUETE.
CHAPITRE VII : LES MECANISMES DE FONCTIONNEMENT DES CYBERCAFES DE GRAND-DAKAR
VII-1- Les propriétaires de cybercafé
VII-2- Les gérants de cybercafé
VII-3- Les heures de connexion
VII-4- Les tarifs de connexion
VII-5- L’équipement matériel des cybercafés de Grand Dakar
VII-6- Les locaux polyvalents
VII-7- Les bénéfices générés par les cybercafés
CHAPITRE VIII : LES CYBERCAFES A GRAND-DAKAR : UN CADRE DE PREDILECTION DES JEUNES
VIII-1- Inventaire des structures de loisirs à Grand Dakar
VIII-2- Les sites Internet les plus visités
VIII-3- Une clientèle particulièrement jeune
VIII-4- Le cybercafé : un environnement ludique pour les jeunes
VIII-5- L’affluence d’une forte clientèle
VIII-6- Le courrier électronique
VIII-7- Les conséquences de l’effet « mode »
VIII-8- Les différentes motivations des personnes concernées
VIII-9- Les catégories socioprofessionnelles des clients
VIII-10- Le cybercafé : une bonne initiative à Grand-Dakar
CHAPITRE IX : LES OBSTACLES A LA FREQUENTATION DES CYBERCAFES A GRAND DAKAR
IX-1- Les opinions vis-à-vis des cybercafés
IX-2- L’analphabétisme
IX-3- Les moyens financiers
IX-4- Les dangers inhérents à la fréquentation des cybercafés
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
