Théories sur la pluviométrie et sur le développement

Télécharger le fichier original (Mémoire de fin d’études)

Phase exploratoire : Compilation bibliographique et webographique

Pour réaliser une étude judicieuse de déficit pluviométrique et de développement rural sur dans la région DIANA, la phase consiste à étaler les procédures de rassemblement des informations concernant le sujet du thème, allant de la revue sur la littérature et la préparation des entretiens avec les personnes ressources. Cela va permettre de cerner les contours de l’espace d’étude, tout en dégageant la structure des caractéristiques des milieux physique et humain.
La recherche bibliographique a été servie à délimiter le sujet et a été l’une des méthodes utilisées pour enrichir les informations nécessaires. Elle constitue à une étape préalable, à préciser le contexte local à toute recherche scientifique, à construire, à approfondir le sujet ou l’exposé sur la problématique. Toutes les données bibliographiques obtenues ont été recueillies au sein de la bibliothèque de l’Université d’Antananarivo du Centre de documentation du Ministère de l’Agriculture et de Développement Rural (MADR), qui est la plus importante institution de recherche agricole à Madagascar. Ensuite, la consultation des documents se fait dans le Centre d’Information Technique et Economique (CITE). En plus de ces sources de documentation, sans oublier les apports des différents sites web de l’internet avec des moteurs de recherche comme Google, Yahoo.
Il y a aussi des textes, les journaux, les documents, les rapports de recherches sur les études et les archives ont été également analysés. Ainsi, diverses sources d’information ont été consultées, notamment l’INSTAT.

Enquêtes et entretient

Les informations collectées ont été regroupées par point dans des guides d’enquêtes adressés à chaque groupe d’acteurs (Annexe 1).
La méthode d’enquête retenue est l’interview semi structurée. C’est une méthode qui a permis de collecter le maximum d’informations. Les thématiques abordées au cours de l’enquête ont porté sur
– les informations générales,
– les caractéristiques socioéconomiques des exploitants,
– les systèmes de production et les systèmes de cultures,
– les états de la pluie et de l’eau durant une période de récolte.
Ensuite, les enquêtes et les entretiens ont été effectués à Antsiranana I, Antsiranana II, Ambanja. Plus particulièrement, ces entretiens ont été faits au niveau des techniciens agricoles ainsi qu’auprès des responsables administratifs de la Région et de la Direction Régionale du Développement Rural (DRDR) de DIANA.
Par ailleurs, la mise en valeurs du terroir étant avant tout l’affaire des paysans principaux bénéficiaires, des enquêtes complémentaires auprès de personnalités qui, du fait de leur âge ou de leur position sociale ont pu voir évoluer la pluviométrie et les pratiques paysannes. Cette enquête menée auprès des témoins bien informés (notables, agents de la mairie, vieux paysans, vulgarisateurs agricoles…) se fit sous forme d’entretiens très ouverts.
Les statistiques agricoles à analyser, ont été recueillies, au niveau de la Direction Régionale de Développement Rural et sur les documents statistiques agricoles de 2005-2010.

Traitement des données

Le logiciel Excel a été utilisé comme logiciel principal de saisie des données et a servi à l’analyse des données ainsi qu’à la création des graphiques.

Modélisation

Afin d’appréhender les effets redistributifs du déficit récurrent ayant affecté les ménages ruraux et le reste de l’économie de la Région, nous utilisons un modèle d’équilibre général calculable dynamique récursif basé sur une matrice de comptabilité sociale de l’économie. Il s’agit d’un modèle dynamique qui est une extension du modèle Exter-DS développé par Annabi, Cockburn et Decaluwe (2004).

Caractéristiques du modèle 

Le modèle intègre cinq facteurs de production : le travail (LD), le capital privé agricole (KDag), le capital privé non agricole (KDnag), le capital public (KDpub) et la terre (LAND). Les institutions retenues sont : les ménages urbains, les ménages ruraux, les firmes, l’État et le reste du monde. La particularité du modèle est qu’il intègre la pluviométrie à travers le niveau des pluies et un indice pluviométrique (ipluv). L’indice prend la valeur 1 lorsque la quantité de pluie recueillie est égale à la moyenne. En dessous de cette valeur, l’indice, compris entre 0 et 1, traduit une situation déficitaire de la pluviométrie. Au-dessus de la valeur 1, il reflète une situation de surplus. L’indice pluviométrique calculé sur cette période est donné par le rapport entre la valeur de la pluviométrie à la période t (pluv t) et sa valeur de référence (pluvo) .
En conséquence, le niveau de la pluviométrie de la période t, mesurée en mm (pluvttra), est donné par la valeur de référence de la pluviométrie (pluvo) multipliée par l’indice pluviométrique .
La production du secteur (XSj) est exprimée comme une fonction de type Leontief combinant des parts fixes de la valeur ajoutée (VAj) et des consommations intermédiaires (CIj). La valeur ajoutée est exprimée de façon différente selon les secteurs. Dans le secteur marchand agricole (tra), la valeur ajoutée (VA) est une fonction CES (à élasticité de substitution constante) qui combine la terre (LAND) et un facteur composite (CF), et qui incorpore un facteur de productivité globale des facteurs (Attra) déterminé de façon endogène.
La productivité globale des facteurs du secteur agricole (Attra) est une fonction du niveau de la pluviométrie. Cette productivité s’accroît lorsque le niveau des pluies augmente mais elle peut être affectée de façon négative lorsque la pluviométrie augmente de façon trop importante. En conséquence, si la relation entre la productivité et la pluviométrie est d’abord positive, cette corrélation s’inverse au-delà d’un certain seuil. Afin de tenir compte de cette forme fonctionnelle, la productivité globale des facteurs est spécifiée comme une fonction Quadratique de la pluviométrie :
Le facteur composite (CF) est une combinaison du travail composite (LD), constitué du travail qualifié (FDlq) et du travail non qualifié (FDlnq), et du capital composite (KCF) constitué du capital privé agricole (KDag) et du capital public (KDpub). Le capital composite (KCF) est combiné au travail composite (LD) à l’aide d’une fonction CES. Le capital composite (KCF) est spécifié à l’aide d’une fonction de type Leontief qui combine des parts fixes du capital public (KDpub) et privé (KDag), en vertu de la complémentarité qui existe entre ces deux types de facteurs. Par ailleurs, l’équilibre sur le marché de la terre est supposé être affecté par les aléas pluviométriques. L’augmentation de la pluviométrie a pour effet d’accroître la pression sur la demande de terres cultivables. Nous supposons qu’en période de bonne pluviométrie, les quantités sous-utilisées de terres baissent. En revanche, une chute de la pluviométrie entraîne une sous- utilisations du facteur terre. Ainsi, les disponibilités en terres cultivables sont affectées par les fluctuations de la pluviométrie. L’offre de terres cultivables (TOTLAND) est égale à la demande de terres (LAND) à laquelle s’ajoute la part sous-employée du facteur terre. Cette dernière est égale à la part non exploitée des disponibilités totales en terres (beta_l) ajustée par l’indice pluviométrique. Ce dernier renseigne sur la déviation de la pluviométrie par rapport à son niveau de référence : =∑ + × _ ×[1+(1− )]
Dans les secteurs marchands non agricoles (trna), la valeur ajoutée est une fonction CES combinant le travail composite (LD) et un capital composite (KCF). Le capital composite est représenté par une fonction de type Leontief combinant des parts fixes du capital privé non agricole (KDnag) et du capital public (KDpub). Dans les secteurs non marchands (ntr), la valeur ajoutée est supposée être une fonction CES combinant le travail et le capital public. Les changements dans le revenu nominal liés aux modifications dans l’allocation sectorielle des ressources, ainsi que les variations de prix, ont des impacts différenciés sur les ménages selon les structures de consommation et de revenu. L’analyse de l’incidence de la pauvreté est faite à l’aide des indices P ? De Foster, Greer et Thorbecke (1984) : ∝= ×∑ = ( − ) ∝ z est le seuil de pauvreté, yi la dépense réelle moyenne du ménage de rang i? Le coefficient reflétant le degré d’aversion pour la pauvreté, n le nombre total d’individus, p le nombre de pauvres dans la population.

Note sur l’Estimation de la Pluviométrie par Satellite

A cause de la rareté des stations météorologiques fonctionnelles de la région, les seules mesures aux stations sont insuffisantes et il s’avère nécessaire d’utiliser l’estimation de la pluviométrie à partir des données satellitaires.
Pour notre cas, on a exploité les données pluviométriques satellitaires au service de la météorologie d’Ampandrianomby à Antananarivo, dans le service météorologique d’Arachard Antsiranana et ainsi que dans la direction de production agricole dans le service agricole disponibles de la région pour les données de SUCOMA de SIRAMA d’Ambilobe (Annexe 4). Pour les stations, la mesure effectuée concerne la localité où se trouve la station météo, tandis que pour l’estimation par satellite, on a pris en considération le District tout entier.

Limite de l’étude

Bien que le travail ait été intense, bien que le souci est de couvrir l’ensemble des aspects priorisés, il faut reconnaître que l’étude comporte un certain nombre de limites qu’il convient d’emblée de mettre en avant.
De manière générale, l’occasion de mener beaucoup d’entretien individuel est souhaité mais ce n’était pas favorable au chronogramme de l’étude. Il en résulte qu’une grande partie des informations et des données statistiques et pluviométriques ont été collectées dans des services agricoles et de services statistiques de Madagascar. Les contacts avec les STD et les districts ont été pour le moins légers. Par ailleurs, de rares échanges individuels avec les élus locaux ont été percés. Parmi les élus rencontrés, il s’agissait la plupart du temps de maires. De façon générale, l’échantillon des personnes rencontrées ne représente pas fidèlement toute la diversité des acteurs qui sont concernées par le PDPU, que ce soit à l’échelle régionale, intercommunale ou communale.
Bien que l’étude ait été préparée et conduite soigneusement, nous avons conscience de certaines limites. Dans la région DIANA. Il aurait été préférable de parler directement avec les personnes dans la langue locale avec l’avantage de créer une ambiance de confiance et de gagner du temps. Les visites sur le terrain se sont déroulées en novembre, décembre 2014 et janvier 2015 durant la saison des pluies, ce qui a engendré certains problèmes. D’un côté, à cause des routes impraticables à certains endroits, quelques invités n’ont pas pu venir à des rencontres. De plus, cette saison est la période des saisons des mangues, de culture, les exploitants étaient difficiles de participer aux réunions à cause de leurs travaux.
Pourtant, malgré leurs obligations, de nombreuses personnes ont honoré les rendez-vous. Les méthodes participatives choisies ont beaucoup d’avantages. Cependant, il faut constater qu’elles font ressortir des perceptions subjectives plutôt que des données quantitatives précises. Néanmoins, nous avons essayé d’assurer un grand degré d’objectivité par la triangulation, en utilisant des méthodes différentes et en vérifiant les informations par la collecte de données chez des personnes à divers niveaux. Un autre problème s’est posé par rapport au champ des résultats non attribuables, à cause du manque de temps. C’est pourquoi, l’utilisation de ce modèle est très difficile à cause d’insuffisance des données et de la manipulation.

PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE

Caractéristique de la région DIANA

Localisation générale de la zone d’étude

La Région DIANA se trouve sur la côte Nord de Madagascar, s’étendant entre les 11° et 15° de latitude Sud et 47° et 50° longitude Est (INSTAT, 2004). Elle est un vaste territoire couvrant 20 942 km², soit 3,6 % de l’ensemble de la Grande Ile. Elle est limitrophe de la région SAVA dans sa partie orientale et de celle de la SOFIA dans sa partie méridionale. Quatre de ses cinq districts sont bordés par le Canal de Mozambique. Le District d’Antsiranana I inclue la baie de Diego Suarez, réputée pour être la deuxième meilleure du monde après Rio de Janeiro. La Région est en grande partie tournée vers la mer. La Région se subdivise en cinq districts : Antsiranana I, Antsiranana II, Ambilobe, Ambanja, Nosy- Be. Trois districts occupent presque la totalité des superficies de la Région dont d’Antsiranana II (33,5 %), d’Ambilobe (38,9 %), d’Ambanja (25,9 %). La Région se compose de soixante et une communes dont quatre communes urbaines et 57 communes rurales (Annexe 3).
Sa population est estimée environ à 680 000 habitants (densité moyenne : 30 hab/Km²). Avec un taux d’accroissement de l’ordre de (2,4 %), l’évolution de la population régionale suit un rythme soutenu depuis quelques années. La Région Diana, dispose de plusieurs atouts : Elle est tout d’abord réputée par l’importance et la diversité de ses sites touristiques, et sa diversité biologique. La faune et la flore y sont caractérisées par un taux croissant d’endémicité. Ainsi, on y trouve des parcs nationaux, des réserves nationales et des aires protégées. De plus, quatre grandes zones se partagent l’espace agricole de DIANA : Antsiranana II, Anivorano-Nord, Ambilobe, Ambanja et Nosy-Be. Elles se caractérisent par des conditions physiques et pédologiques spécialement favorables aux différents types de cultures de consommation et/ou d’exportation. On y dénombre une multitude de riz de luxe. Nosy- Be et Ambanja ont été toujours célèbres pour les ylangs-ylangs, le cacao et le café, Ambilobe pour le canne à sucre (Coralie Peyrot et al, 2007).
Le Chef-lieu de la Région est Antsiranana I et se situe à 1200 km sur la Route Nationale 6 par rapport Antananarivo Capitale de Madagascar. La Région est fortement marquée par l’existence de l’île de Nosy-Be, l’un des grands sites touristiques du pays. Pour se déplacer de Nosy-Be à la Grande Ile, on peut emprunter soit par la voie maritime soit par la voie aérienne. Nosy- Be est environ 950 km à vol d’oiseau d’Antananarivo et est deux heures du bac d’Ambanja (Ankify), ce dernier étant distant de 237 km d’Antsiranana I et de 100 km d’Ambilobe. La région DI.A.N.A (Diégo- Suarez, Ambanja, Nosy-Be, Ambilobe) fait partie de l’ancienne Province Autonome d’Antsiranana (CREAM, 2012).
Carte 1 : Localisation de la région DIANA
Source : FTM, BD 500, Auteur 2014

Potentialités de la région

L’agriculture, l’élevage et la pêche constituent leurs principales activités, bien qu’ils dépendent également des ressources naturelles. Le contexte économique de la région mérite d’être mentionné du fait qu’il diffère quelque peu de la situation de l’ensemble des régions de Madagascar. C’est une région à qui a des potentialités relativement importantes : une grande diversité des ressources minières, une production importante à la fois de cultures de rente (cacao, vanille, café …) et de cultures vivrières (riz), des sites touristiques renommées (Nosy-Be, parc national de montagne d’Ambre, réserve spécial d’Analamerana, c’est-à-dire, le Tsingy rouge d’Anivorano-Nord, parc national de l’Ankarana à Ambilobe). Une situation qui peut procurer aux ménages des revenus relativement élevés par rapport à la moyenne nationale. Ensuite, les écosystèmes marins et côtiers de la région ont été identifiés comme la plus haute priorité de conservation durant l’exercice de priorisation nationale mené par Madagascar en 2008 ainsi que la priorisation régionale effectuée au niveau de l’Océan Indien Occidental. En plus de ces écosystèmes de mangroves, elle abrite les plus divers récifs coralliens. Aussi, les trois quarts des îlots existants à Madagascar se trouvent dans la région et ces zones côtières renferment le stock le plus élevé de crevettes et de crabes. Par rapport à la biodiversité terrestre, au moins la moitié des espèces d’amphibiens et de reptiles, une forte concentration des plantes endémiques (genres et espèces) s’y trouvent. Ses diversités biologiques classent la région DIANA parmi les premières destinations touristiques du pays ainsi que la principale zone de production de crevettes (CREAM, Monographie de la Région DIANA, 2012).

Climat3

Le climat de la région est de type humide et chaud. La partie ouest est caractérisée par deux saisons bien distinctes : une saison sèche (mai à octobre) et une saison humide (novembre à avril), le vent d’Alizé : le Varatraza apparaît dans les Districts d’Antsiranana I et II ainsi qu’à Ambilobe. Plus de 90 % de la précipitation tombe durant la saison de pluie. En été austral, la région est sujette aux flux du Nord-Ouest qui donnent lieu à des fortes pluviosités et des températures assez élevées (entre 20°C à 26°C). L’amplitude thermique en générale est faible dans l’ensemble de la région. Les températures moyennes annuelles sont supérieures à 25° à l’ouest et au nord, entre 20° et 25° vers l’est. Dans la partie sud-est où la saison sèche est plus ou moins atténuée sous l’influence du massif de Tsaratanana, la température est inférieure à 20°C (CREAM, Monographie de la région DIANA, 2012).

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : THEORIES SUR LA PLUVIOMETRIE ET LE DEVELOPPEMENT SUIVI DE PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
CHAPITRE I : CONCEPTS ET ETAT DE L’ART ET METHODOLOGIE DE RECHERCHE
Section 1 : Théories sur la pluviométrie et sur le développement
1.1 Climat
1.2 Régions climatiques de Madagascar
1.2.1 Littoral Est
1.2.2 Hautes-terres
1.2.3 Région Ouest
1.2.4 Extrême-sud
1.2.5 Sambirano
1.3 Environnement et développement
1.4 Théorie de la rente
1.5 Rôle de l’agriculture dans le développement économique
1.6 Agriculteurs et paysans
1.7 Statistique de la population agricole à Madagascar
1.8 Performance de l’agriculture
1.9 Grands enjeux actuels de l’agriculture
1.10 Concept de la pauvreté
1.11 Développement rural
1.12 Concepts du développement agricole au développement territorial : nouvelles réalités
1.13 Genre : une approche de développement
1.14 Démographie est-elle un obstacle au développement ?
Section 2 : Méthodologie de recherche
2.1 Démarche commune à la vérification des hypothèses
2.1.1 Phase exploratoire : Compilation bibliographique et webographique
2.1.2 Enquêtes et entretient
2.2 Traitement des données
2.3 Modélisation
2.3.1 Caractéristiques du modèle
2.3.2 Formule
2.4 Note sur l’Estimation de la Pluviométrie par Satellite
CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
Section 1 : Caractéristique de la région DIANA
1.1 Localisation générale de la zone d’étude
1.2 Potentialités de la région
1.3 Climat
1.4 Positionnement des territoires
1.4.1 NOSY BE
1.4.2 AMBANJA
1.4.3 AMBILOBE
1.4.4 ANTSIRANANA 1 et ANTSIRANANA 2
1.5 Durée de la saison des pluies
Section 2 : Hydrologie
2.1 Sols
2.2 Production d’énergie
2.2.1 Eau et assainissement
2.2.2 Bornes fontaines
2.2.3 Accès à l’eau potable
2.3 Ressources hydriques
2.4 Relief et les ressources pédologiques
2.5 Infrastructures routières
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE II : IMPACT PLUVIOMETRIQUE SUR LES ACTIVITES SOCIO- ECONOMIQUES DE LA ZONE D’ETUDE ET QUELQUES RECOMMANDATIONS A FAIRE
CHAPITRE I : SOURCES ET CONSEQUENCES DU DEFICIT PLUVIOMETRIQUE
Section 1 : Sources du déficit pluviométrique
1.1 Gaz à effet de serre
1.2 Activité humaine
1.3 Exploitation informelle de la faune et la flore dans la région
1.4 Déforestation
Section 2 : Conséquences du déficit pluviométrique sur les différents secteurs
2.1 Contraintes du secteur agricole et menaces sur les différents secteurs
2.2 Impacts socio- économiques des conventions locales
2.3 Sécheresse
2.4 Pénurie d’eau
2.5 Diminution des pouvoirs d’achat
2.6 Enjeux pour l’agriculture et la forêt
2.7 Dégradation des sols
2.8 Réchauffement climatique
CHAPITRE II : RESULTATS DE L’ETUDE ET DISCUSSIONS
Section 1 : Résultats de l’étude
1.1 Evolution des rendements par hectare par rapport aux précipitations
1.2 Elevage
1.3 Pêche
1.4 Education
1.5 Santé publique
1.6 Tourisme
Section 2 : Discussions et Recommandations
2.1 Discussions
2.1.1 Secteur agricole
a) Opportunités pour le développement rural
b) Contraintes pour le développement rural
2.1.2 Transformations du secteur rural sur l’élevage
2.1.3 Pêche
2.1.4 Education
2.1.5 Santé
2.1.6 Tourisme
2.2 Recommandations
2.2.1 Augmentation des pouvoirs d’achats de la population agricole
2.2.2 Appui au développement agricole et au renforcement des capacités des organisations de producteurs
2.2.3 Appui à la conception de modèles de gestion des Nouvelles Aires Protégées et appui aux transferts de gestion aux communautés locales
2.2.4 Amélioration du capital productif et du cadre de vie des populations notamment en milieu rural
2.2.5 Amélioration de la production agricole ainsi que de la disponibilité et de l’accès aux denrées alimentaires
2.2.6 Sécurisation foncière, garantie d’une sécurisation économique et financière du paysan
2.2.7 Approche genre ou la mise à contribution de toutes les capacités existantes
2.2.8 Accès à la terre
2.2.9 Financement du monde rural
2.2.10 Gouvernance nationale et mondiale de l’agriculture
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
TABLE DES MATIERES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *