La didactique du français langue seconde

La didactique du français langue seconde

L’ORTHOGRAPHE

La didactique du Français Langue Seconde (F.L.S) au Sénégal : exemples de l‟Orthographe Présentée par : Mor NDAO 92 INTRODUCTION L‟orthographe vient de l‟ancien français ortografie lequel concept émane du latin orthographia. Elle est l‟ensemble des règles considérées correctes pour écrire les mots dans une langue. Depuis Ronsard le poète des princes et le prince des poètes et Joachim du Bellay, les meilleurs esprits trouvent l‟orthographe française trop surchargée et sentent le besoin de la simplifier d‟où une querelle a toujours opposé Traditionnalistes et Novateurs pour sa réforme. Si les novateurs réclament une adaptation de l‟écriture à la diction commune, une simplification des graphies, une adoption des formes identiques pour une transcription de sons identiques, on peut faire remarquer pour les défenseurs de l‟orthographe traditionnelle qu‟une facilitation raisonnable ne serait un échec. Dans l‟univers scolaire, l‟orthographe reste liée à la notion de règle à apprendre et à appliquer. C‟est une bipartition entre orthographe d‟usage et orthographe grammaticale dans les enseignements-apprentissages. Respecter l‟orthographe, c‟est rechercher le bon usage des formes des mots. Or, connaitre un mot n‟est pas seulement pouvoir l‟employer dans ses diverses acceptions, oralement et graphiquement, c‟est également connaitre sa forme orthographique, ses spécificités, ses liens avec d‟autres concepts apparentés, sa physionomie. Mieux, ce qui fonde la normativité de la règle serait son absence de justification et son faible degré de transmissivité et d‟applicabilité associé à l‟idée que sa violation n‟entrainerait qu‟un léger déficit communicatif. L‟état des recherches et approches didactiques montre que l‟orthographe s‟acquiert par la mise en œuvre de deux types d‟activités19 .  La mémorisation de listes de mots plus ou moins réguliers, d‟exceptions, de règles  L‟application de ces connaissances en listes ou en règles dans des exercices autonomes. Une étude réflexive qui mobilise l‟intelligence, le raisonnement, la découverte des principes de fonctionnement, bref des activités orthographiques est rarement suggérée. Généralement, ces activités visent la connaissance du code et non la maitrise du fonctionnement ou des usages de l‟écrit, dans leur dimension orthographique. L‟orthographe est enseignée c‟est-àdire qu‟elle résulte d‟un travail d‟appropriation passif. Or, elle doit être apprise pour dire que l‟apprenant doit se mouvoir dans un univers de recherches où il est actif pour découvrir avec son guide ces principes de fonctionnement.  L‟orthographe s‟impose aux élèves qui ne la comprennent pas et qui ne peuvent pas la construire. Elle repose sur l‟arbitraire et l‟aléatoire. Arbitraire parce que non explicable ; « c‟est comme ça, il faut le savoir,… », telle est souvent la réponse que l‟enseignant sert à l‟élève qui ne comprend pas. Aléatoire parce que difficilement systématisable « Il faut mettre « s » ici et non « x », marque à justifier avec imprécision. Nous constatons également que la répétition d‟exercices qui rectifient les erreurs constatées aide souvent à passer de l‟état de mauvais orthographieur à celui de bon et peut-être de meilleur orthographieur. Cette pratique n‟assure pas une progression des apprentissages : on reprend toujours et inlassablement les mêmes notions, on corrige les mêmes erreurs et fait les mêmes exercices, on justifie par les mêmes termes « J‟ai écrit « s » parce qu‟il y en a plusieurs » à 8 ans (C.P) comme à16 ans (au collège). Au Sénégal, l‟enseignement de l‟orthographe s‟inscrit traditionnellement dans l‟emploi du temps de l‟élève par la pratique d‟exercices spécifiques dont la dictée bien sûr, les phrases à trous et la mémorisation de règles entre autres. Cet enseignement apparait généralement au C.E.1 (Cours Elémentaire 1ère année) c‟est-à-dire à un âge où l‟esprit enfantin est censé maitriser la lecture pour maintenant objectiver la langue écrite. Nous constatons d‟ailleurs que certains exercices de lecture du C.P (Cours Préparatoire) 2ème niveau de la première étape sont rangés dans le tiroir de l‟orthographe au C.E.1. Il en est de même pour l‟étude des correspondances graphophonétiques qui relèvent de la lecture en première étape et passent en deuxième étape du côté des activités réflexives sur la langue. Dès lors, il semble que les mêmes faits linguistiques changent de nature d‟une étape à une autre. Or, les règles orthographiques formalisées et mémorisées au C.E.1 sont du même ordre que celles acquises en lecture au C.P. Ces règles orthographiques, leur formalisation et leur mémorisation à ce niveau d‟enseignement marquent bien le passage d‟une activité implicite vers une pratique explicite de la langue. Les mêmes règles seront convoquées pour légitimer et organiser le travail correct sur l‟écrit. Sur un autre axe, nous constatons que l‟écriture est tributaire de cet apprentissage réglementé de l‟orthographe. Autrement dit, si la lecture précède l‟écriture dans l‟agencement des apprentissages dans notre système éducatif à l‟élémentaire, il semble indéniable que la maitrise de l‟orthographe est bien un préalable pour toute production d‟écrits. Cette conception traditionaliste et majoritaire considère que l‟élève doit d‟abord être outillé savamment et suffisamment en transcription pour ensuite être capable de produire un texte. Pour preuve, la rédaction n‟est proposée à nos élèves qu‟en dernière étape (Cours Moyens 1ère et 2ème années) et la dissertation au dernier niveau du cycle moyen (en 3ème), donc à l‟âge La didactique du Français Langue Seconde (F.L.S) au Sénégal : exemples de l‟Orthographe Présentée par : Mor NDAO 94 mature où ils sont capables de mobiliser l‟essentiel des règles orthographiques surtout celles liées à la dictée. Par ailleurs, l‟orthographe française, par une absence de bi-univocité des rapports sons/lettres (par exemple ll = j dans famille/fa.mij/ et ll = l dans sentinelle/sã.ti.nƐl/) et par des adjonctions de lettres sans correspondance phonique (comme gageure /gazyʁ/ et gageur/gazoeʁ/) devient une problématique à résoudre. Si telle est l‟orthographe, l‟étudier devient une nécessité pour une maitrise correcte de la langue et par les apprenants et par les guides discrets. Pour cela, la nouvelle démarche adoptée au début des années 1970 délimite leur champ d‟intervention dans une double approche : -la critique d‟un enseignement passif ; -et le déploiement de méthodes actives d‟apprentissage. Dans cette optique, la faute et l‟erreur deviennent des matières à réflexion pour améliorer la bonne graphie. Loin de sanctions négatives et injustifiables, elles sont désormais des déclics pertinents pour de nouvelles pistes de réflexion. Nos recherches seront relatives à la conception de l‟erreur et de la règle, aux procédures à adopter dans la résolution des difficultés orthographiques puisqu‟on constate une détérioration continue du niveau des apprenants relativement due plutôt à une inculcation des règles qu‟à leur didactisation. En France métropolitaine, Danièle MANESSE et Danièle COGIS (2007) ont fourni une preuve de ce niveau qui baisse continuellement en dictant un texte de Fénélon à un large échantillon (plus de 2700 élèves du C.M2 à la 3ème).

INSTRUCTIONS, PROGRAMMES DES DIFFERENTS COURS ET REFORME ORTHOGRAPHIQUE SANS ABOUTISSEMENT

IV-a : Instructions, programmes des différents cours Les Instructions et programmes ont une valeur indicative et proposent une progression en fonction des niveaux et des étapes :  au Cours Préparatoire (1ère étape, niveau 2), c‟est l‟initiation à l‟orthographe en liaison avec la lecture ;  au Cours Elémentaire (étape 2), ce sont de petites dictées préparées à faire avec l‟apprenant;  au Cours Moyen, c‟est l‟étude attentive de l‟orthographe des mots usuels et de la ponctuation, à l‟occasion des divers exercices scolaires et à l‟aide de dictées (préparées d‟abord, ensuite de contrôle).  au cycle moyen : Le Sénégal aura suivi le contexte mondial de réformes des programmes entre 1995 et 2010. Il passe d‟abord de la Pédagogie Par les Contenus (P.P.C), ensuite vers la Pédagogie Par Objectifs dite P.P.O pour enfin déboucher vers l‟Approche Par les Compétences (A.P.C). Une certaine routine caractérisait les deux premières approches mais dans la troisième, il y a la contrainte des exigences méthodologiques qui pèse. Le rôle assigné à l‟élève dans l‟acquisition des connaissances le place au centre de l‟activité pédagogique. Il doit devenir un apprenant, mieux un « s’apprenant » c‟est-à-dire quelqu‟un qui est artisan de ses propres connaissances. Le niveau de qualification des enseignants nécessite amélioration (l‟arrivée massive et sans formation complète des corps dits émergents depuis 1995). Le triangle didactique mérite d‟être revisité pour l‟amélioration des compétences. C‟est l‟ensemble de ces impératifs qui ont amené le législateur à repenser les programmes et concentrer l‟essentiel du programme de français au collège sur les axes nodaux suivants : pour améliorer la qualité des apprentissages, un réaménagement technique des programmes de français s‟impose ; l‟apparition des N.T.I.C (Nouvelles Technologies de l‟Information et de la Communication) et la vague massive des nouveaux professeurs sont préoccupantes et nécessitent adaptation ; le recensement des caducités et l‟intégration des réalités actuelles non négligeables ; bref lier l‟école à la vie et aux visions de l‟état. Quatre compétences de base constituent le socle permanent des apprentissages : -la maitrise des formes du discours ; -l‟acquisition de moyens et techniques d‟expression efficaces ; La didactique du Français Langue Seconde (F.L.S) au Sénégal : exemples de l‟Orthographe Présentée par : Mor NDAO 100 -l‟enracinement aux valeurs culturelles et l‟ouverture au monde ; -le développement de la sensibilité et de la créativité pour une pratique régulière de lectures et d‟écritures. Le programme d‟orthographe par cours s‟établit comme suit (voir annexes) : En général, les instructions officielles, dans la traversée de l‟histoire de l‟orthographe en France et dans l‟espace francophone, peuvent être ponctuées en deux grandes périodes :  1923-1938 : Les Instructions critiquent «l‟antique dictée», manifestation du culte idolâtrique de l‟orthographe, et recommandent les dictées préparées qui n‟obligent pas « les enfants à inventer ou à deviner sans succès souvent l‟orthographe des mots inconnus ». Elles conseillent de recourir à la langue parlée pour lever un grand nombre de confusions orthographiques, par exemple en faisant substituer la première personne du pluriel à une autre personne du singulier pour aider à distinguer le futur et le conditionnel (je verrai- Futur Simple de l‟.Indicatif / verrais-Conditionnel Présent par nous verrons/ verrions, distinction faite pour aider à bien écrire le verbe). Par ailleurs, si les exceptions à une règle orthographique sont trop nombreuses et ponctuées souvent par les suspensions (…), elle perd tout intérêt ; inutile alors de surcharger la mémoire de l‟enfant.  1972 : Expressément, il n‟y a pas de rupture mais une continuité avec les Instructions antérieures. Les abus constatés dans les classes sont la conséquence d‟une tradition admise par la plupart des maitres et qui privilégie à l‟excès la dictée. A ce propos, les Instructions condamnent la dictée-piège hérissée de difficultés et la dictée trop longue, mal adaptée. Egalement, elles bannissent le barème simpliste « cinq fautes zéro » qui ne mesure le progrès qu‟à partir d‟un seuil trop éloigné des acquis et qui ne prend pas en charge les efforts faits dans l‟orthographe des autres mots du même texte dicté. Cependant, il est à préciser que ces instructions n‟écartent pas la dictée qui se réalise dans une série d‟exercices orthographiques que sont la simple copie, l‟auto-dictée (à distinguer de la reconstitution de texte), la dictée préparée dont le moment essentiel est la préparation et la dictée de contrôle dont il faut user avec modération. « La répétition automatique de dictées calquées sur l‟épreuve d‟examen en classe oblige les élèves à inventer ou deviner l‟orthographe des mots inconnus et crée un désintérêt qui ne motive pas en général. La didactique du Français Langue Seconde (F.L.S) au Sénégal : exemples de l‟Orthographe Présentée par : Mor NDAO 101 Pourtant, il est possible de relier cette activité de dictée à d‟autres travaux et d‟obtenir cette motivation. Ce peut être le cas, par exemple, lorsque les élèves ont à prendre note d‟un texte élaboré par l‟un d‟entre eux(ou par plusieurs, travaillant en groupe) ; si le texte est dicté par auteur, l‟attrait de l‟exercice peut en être accru. Un plan de travail ou d‟enquête, un canevas de recherche, des recommandations ou des consignes générales, les conclusions d‟une étude dont chacun doit conserver la trace sont autant d‟occasions favorables. La règle générale devrait être de faire de la dictée un exercice lié à des activités antérieures.20 ». Aujourd‟hui au Sénégal, la didactique des disciplines donne les orientations et indications suivantes dans l‟apprentissage de l‟orthographe : «La dictée traditionnelle est davantage un test d‟évaluation qu‟un moyen d‟assurer l‟apprentissage des complexités du code écrit». Définie comme étant l‟art d‟écrire correctement les mots d‟une langue selon les règles et l‟usage, l‟orthographe a des difficultés qui s‟expliquent par des raisons diverses. Il y a d‟abord l‟absence de logique de la langue française. Prenons quelques exemples :  Dans le mot «fumée», le «e» ne représente aucun son.  Dans le mot «second», la lettre «c» est transcrit en un autre son, «g».  Dans le mot «taxi», « x » sert à transcrire deux sons existants, «ks». Ensuite, l‟orthographe d‟usage n‟obéit à aucune règle. Il faut juste savoir, par l‟usage, que «bonhomme» prend 2 m et «bonhomie» 1 seul m. Il y a enfin, les nombreuses règles grammaticales et de conjugaison qui impliquent des difficultés particulières. Devant ces nombreuses difficultés, d‟aucuns pensent qu‟il faut faire beaucoup de dictées pour être fort en orthographe. Cette option n‟est pas bonne. En effet, l‟apprentissage de l‟orthographe ne se limite pas à la dictée. Dicter un texte pris au hasard, puis le corriger plus ou moins rapidement et attribuer une mauvaise note à l‟élève, n‟est pas faire apprendre de l‟orthographe. C‟est d‟ailleurs une meilleure façon de «dégoûter» à jamais les élèves de la recherche d‟une orthographe correcte. Il faut signaler, ici, l‟injustice qui entoure la correction de la dictée : 150 mots écrits correctement sur 160 et on se retrouve avec 0 ! Quelle est d’ailleurs l’importance de respecter l’orthographe ? C‟est uniquement parce qu‟elle permet de mieux comprendre les textes produits dans des situations de  communication. Lorsque vous écrivez «je vous serre un repas rempli de manges et de poisons» «Je vous sers un repas rempli de mangues et de poissons» ! Pour ces raisons, l‟orthographe doit être enseignée en situation. C‟est en cherchant à se faire comprendre qu‟on fera attention à la correction de l‟orthographe. Il faut donc d‟une part placer l‟orthographe dans le « Projet d‟écriture » afin de lui enlever l‟habitude fâcheuse de considérer que ce qu‟on fait à l‟école ne sert à rien, et d‟autre part retenir que seuls ceux qui écrivent et lisent souvent comprennent et pratiquent les nécessités de l‟orthographe. Sur le plan pratique, nous observons qu‟un élève qui écrit beaucoup progresse bien davantage en orthographe qu‟un élève qui ne fait que des dictées. Les activités orthographiques systématiques dépourvues de tout contexte de communication, si elles ne sont pas inutiles, ne suffisent pas. Objectifs : Les objectifs de l‟enseignement de cette discipline sont d‟ordre pratique, maîtriser les quatre types d‟orthographe à partir d‟observations concrètes et des exercices variés qui ne se limitent pas à la dictée :  L‟orthographe phonétique qui permet la transcription graphique des sons.  L‟orthographe lexicale ou orthographe d‟usage qui détermine l‟écriture d‟un mot.  L‟orthographe grammaticale qui fait appel à différentes règles d‟accord à l‟intérieur des groupes grammaticaux (groupe verbal, groupe nominal), de la phrase, de la proposition.  L‟orthographe verbale ou conjugaison (formes des verbes). Il s‟agira, dans tous les cas :  De développer le sens de l‟observation.  De développer l‟attention de l‟élève pour l‟application correcte des règles.  De cultiver la mémoire. 

Table des matières

 INTRODUCTION GENERALE
PROBLEMATIQUE
CONTEXTE ET JUSTIFICATION
RECENSION ET POSITION DU PROBLEME
1. RECENSION
2. POSITION DU PROBLEME
LA QUESTION DE LA RECHERCHE
LES OBJECTIFS GENERAUX ET SPECIFIQUES
1- LES OBJECTIFS GENERAUX
2- LES OBJECTIFS SPECIFIQUES
3- LES HYPOTHESES
CADRE CONCEPTUEL ET APPROCHE METHODOLOGIQUE
1- CADRE CONCEPTUEL
1- APPROCHE METHODOLOGIQUE
a- CADRE THEORIQUE
b- DEMARCHE
PARTIE I LA GRAMMAIRE
INTRODUCTION
CHAPITRE I: LA GRAMMAIRE TRADITIONNELLE
I-1 : Contexte historique et fondements pédagogiques
I-2 : Influences dans les systèmes éducatifs
I-2-1 : Cas du Sénégal
I-3 : Procès de la grammaire traditionnelle
I-3-1 : La différence entre analyses logique et grammaticale
I-3-2 : L‟identification des fonctions
I-3-2-1 : La fonction-sujet
I-3-2-3 : La fonction complément d‟objet direct
I-3-3 : Terminologie
I-3-4 :L‟illogisme de l‟analyse logique
CHAPITRE II : LA GRAMMAIRE FONCTIONNELLE OU NOUVELLE
II-1-1 : Cadre théorique
II-1-2 : Contexte : (identique que dans l‟introduction générale)
a)L‟addition
b) L‟effacement ou la soustraction
c)Le déplacement ou la permutation
d) La substitution ou la commutation
e) La transformation
II-3 : Nouvelle démarche d‟une leçon de grammaire
CHAPITRE III : RAPPROCHEMENT DES DEUX GRAMMAIRES
III-1 : Des raisons réelles et contextuelles
III-2 Démarche intégrative
CONCLUSION
PARTIE II :  L‟ORTHOGRAPHE
INTRODUCTION
CHAPITRE IV  INSTRUCTIONS, PROGRAMMES DES DIFFERENTS COURS ET REFORME ORTHOGRAPHIQUE SANS ABOUTISSEMENT
IV-a : Instructions, programmes des différents cours
IV-b: Réforme orthographique sans aboutissement
CHAPITRE V: L‟ACQUISITION DE L‟ORTHOGRAPHE
CHAPITRE VI : DES REFORMES VERS LES DEMARCHES ACTUELLES PRECONISEES
VI-a : La formation des enseignants
VI-b : de la faute à la règle orthographique
VI-c: de l‟implicite à l‟explicite de la règle orthographique
VI-d: la règle entre savoirs procéduraux et déclaratifs
VI-e : L‟orthographe et la production écrite
VI-f: Démarche
CONCLUSION
PARTIE III  L‟EXPRESSION ECRITE
INTRODUCTION
CHAPITRE VII : CONSIDERATIONS GENERALES, INSTRUCTIONS OFFICIELLES ET PROGRAMMES DU DECRET 791165
VII-a : Considérations générales
VII-b : L‟expression écrite à travers les programmes du décret 79-1165 et les Instructions officielles de
CHAPITRE VIII: OBJECTIFS DE L‟ENSEIGNEMENT-APPRENTISSAGE DE L‟EXPRESSION
ECRITE ET QUELQUES PRINCIPES METHODOLOGIQUES
VIII-a : Objectifs
VIII-b : Quelques principes méthodologiques
CHAPITRE IX : L‟ENSEIGNEMENT-APPRENTISSAGE DE L‟EXPRESSION ECRITE AUJOURD‟HUI
IX-a : La rédaction et ses niveaux d‟enseignement
IX-b : La dissertation au moyen-secondaire
IX-c Typologie de plans
Le plan dialectique
Le plan analytique
Le plan synthétique ou plan explication
Le plan comparatif
IX-d Bâtir une bonne introduction
IX-e : Construire un développement
Argumentatif
Narratif
Descriptif ou portraitique
Epistolaire
Informatif et explicatif
Injonctif
Rhétorique
3-f Bâtir une conclusion
I. PRESENTATION GENERALE DES COPIES
II. SYSTEME D‟ANNOTATION ABREGEE
III. CRITERES ET BAREMES DE CORRECTION
IV. CLASSEMENT DES COPIES .
V. COMPTE RENDU COMPLET DU DEVOIR
CONCLUSION
PARTIE IV:LE VOCABULAIRE
INTRODUCTION
CHAPITRE X : les moyens d‟acquisition du vocabulaire
X-a le déroulement de la leçon de vocabulaire
X-b la typologie des exercices
Révision
Acquisition
Imprégnation
Analyse
C-Synthèse
Evaluation
Remédiation (au besoin)
CHAPITRE XI : Typologie et élucidation des activités du vocabulaire
XI-a : la synonymie
XI- b: l‟homonymie et ses variétés
XI-c : la paronymie
XI-d : l‟antonymie
XI-e: l‟affixation
XI-f: la dérivation propre
XI-g : la dérivation impropre ou la conversion
XI-h: la parasynthèse
XI-i: le lexique et la sémantique
XI-j: la néologie
XI-k : l‟hypéronymie et l‟hyponymie
XI-l: la monosémie et la polysémie
XI-m: la morphologie et la syntaxe
XI-n: la Connotation et la dénotation
XI-o: les procédés définitoires : (réservés au niveau supérieur)

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