Contrôle de gestion et maîtrise de la rentabilité 

MATÉRIELS UTILISÉS

La raison d’être du présent chapitre est d’énumérer tous les moyens utilisés pour l’accomplissement de cet ouvrage. Cela commence par la présentation du cadre d’analyse puis la mise en exergue des outils utilisés lors de la recherche et se termine par le cadrage théorique du thème c’est-à-dire les théories ayant rapport avec le sujet.

Description de la zone d’études

Historique

Née depuis 1896, la société TELMA, qui appartenait à cette époque à l’Etat, a présenté la première ligne de services téléphoniques à Antananarivo. Avec la forte croissance des besoins de l’utilisation de celle-ci dans le pays en 1904, l’entité a procédé à la mise en place de cabines téléphoniques dans la capitale. En 1971, grâce à la mondialisation de l’économie, l’Etat malgache et France Câble Radio ont créé STIMAD pour pouvoir gérer les appels internationaux. C’était en 1995 que l’internet est apparu à Madagascar avec la création de la société DTS par TELMA et France Câble Radio (FCR). En 1996, TELMA a offert les infrastructures nécessaires au lancement d’ANTARIS connu aujourd’hui sous le nom de ORANGE MADAGASCAR ainsi que MADACOM aujourd’hui appelé AIRTEL. Durant l’année 1998, TELMA a passé à la numérisation du réseau téléphonique (RNIS). En 2000, les infrastructures pour la mise en place et exploitation du VSAT ont été créées. C’est à partir de l’année 2001 qu’un appel d’offre à la privatisation a été lancé dans lequel la « DISTACOM » est retenue. La signature du contrat définitif de privatisation n’a été réalisée que trois ans après c’est-à-dire en 2004. L’année 2005 a été marquée par la mise en place des infrastructures ADSL, le lancement du Backbone national et également, les premiers centres d’appels ainsi que le lancement du CDMA (téléphone fixe sans fil). En 2006, La Télécom Malagasy a pu créer une double activité à savoir : la mise en application du réseau métropolitain d’Antananarivo en fibre optiques et celle de la téléphonie mobile appelée « TELMA Mobile ». D’année après année, cette société n’a cessé de suivre les évolutions technologiques dans le monde. Donc, en 2007, elle a lancé le GPRS/EDGE et a mis en place les infrastructures pour la SDSL. En 2008, elle a finalisé le Backbone national. Un an après, le réseau 3G+ de Madagascar a été lancé. La connexion par le câble EASSY a été appliquée en 2010 et le premier service bancaire mobile à Madagascar, « Mvola », a vu le jour sur le marché. Dans le courant de l’année, la société MOOV est devenue « TELMA Global Net » suite à la fusion des deux sociétés et c’est en 2011 que Mvola et Western Union signe un contrat pour le service de transfert d’argent à l’international par mobile. Et en 2012 un partenariat entre la CANALSAT Madagascar et TELMA voit le jour permettant d’avoir une nouvelle offre ADSL alliant Internet, clé 3G+, téléphone et télévision.

Evolution du parcours

Depuis sa création, l’entreprise n’a cessé de s’évoluer. Son parcours a débuté par une simple mise en place de quelques cabines téléphoniques dans la ville d’Antananarivo et finit aujourd’hui jusqu’au lancement du backbone en fibre optique presque partout dans le pays. Avant 1971, la société n’est qu’au stade de la création de l’appel international avec la coopération de FCR. C’est à partir de l’année 1995 que l’entreprise est connue sous le nom de TELMA depuis laquelle elle a commencé l’utilisation du numérique avec l’arrivée de l’internet dans la grande île. Cinq ans après, elle s’est lancée sur l’évolution technologique en renforçant l’exploitation du réseau numérique. Cette évolution ne s’est pas arrêtée de changer positivement ; c’est la raison pour laquelle le groupe s’est jeté sur le lancement du pack CDMA en 2005 pour renforcer la l’utilisation de la téléphonie fixe d’une autre manière.
Plus encore, un an plus tard, Telma mobile a été lancé avec l’utilisation des téléphones portables. Puisqu’à partir de cette année, l’entreprise a le réseau du fixe, du mobile et de l’internet , un rebranding a été effectué en 2007 et l’entreprise est désormais connue sous le nom de TELMA suivi des mots fixe, mobile, internet. Ensuite, en 2008, le backbone, lancé depuis 2005 a été finalisé. Depuis cette année, le groupe met en place chaque année du nouveau projet ; c’est pour cela que le lancement du réseau 3G+ est intervenu en 2009.
L’année 2010 a été marquée par deux projets : le lancement de la connexion à EASSY et le mobile money. Après cela vient le lancement du transfert d’argent à l’international en 2011.
Les deux années suivantes à été consacrées sur le renforcement du débit internet et du backbone. Donc, c’est pour cette raison que le backbone dans le nord de Madagascar à été lancée en fibre optique pour l’année 2013. Et actuellement, le groupe est connu sous le nom de « TELMA Fixe, Mobile, Internet, Mvola ».
Pour avoir une synthèse de l’historique et de l’évolution de parcours, un schéma sera présenté en annexe 3.

Les valeurs et engagements

Valeurs

Sans fondation, une maison ne se bâtit pas. Les valeurs partagées et portées par l’ensemble des collaborateurs du groupe sont les piliers sur lesquels la société s’appuie pour accomplir sa mission. La firme articule les valeurs suivantes :
N°1 : leader des télécommunications et de l’innovation à Madagascar, la société va toujours plus loin pour rester le choix numéro un de ses utilisateurs.

Les outils utilisés lors de la recherche

Cette section sera consacrée à la présentation des instruments et moyens utilisés tels que les ouvrages généraux et spécifiques, les fournitures de bureau et matériels informatiques, le questionnaire d’enquête et enfin l’internet.

Ouvrages généraux et spécifiques

Ce sont les ouvrages théoriques des différents auteurs, les mémoires, les thèses et exposés consultés dans les bibliothèques, les centres d’étude ou dans les sites internet. Ces ouvrages ont servi comme documents de base pour diriger la rédaction de ce mémoire. Les ouvrages généraux concernent toutes les théories touchant le domaine de l’étude, ils servent à enrichir les cultures et connaissances généraux, par exemple un document à propos de la gestion en général. Quant aux ouvrages spécifiques, ce sont ceux qui ont un lien direct avec le thème de l’étude à l’exemple d’un livre de contrôle de gestion, les documents sur les théories de rentabilité.

Les fournitures de bureau et matériels informatiques

Les fournitures de bureau comme cahiers, bloc note, dictionnaire, stylos, crayons, gomme, classeurs sont jugés nécessaires lors de la collecte des informations. Concernant les matériels informatiques, la possession d’un ordinateur et d’un support amovible est nécessaire. Le premier sert à stocker et traiter les données tandis que le second est essentiel pour transporter les informations collectées.

L’internet

Les nouvelles technologies ont beaucoup donné pour permettre des recherches que tout le monde veut engager. Ainsi, dans la présente étude, l’internet a aidé pour compléter les données nécessaires à son avancée. Il faut dire que l’accès est d’autant plus facile que le coût car actuellement, les coûts dans les cybers café est presque abordable. Quoiqu’il en soit, il faut remarquer que ces NTIC offrent tout de même des limites car dans la plupart des cas, il faut en plus faire appel à l’emploi des livres proprement dit, c’est-à-dire des écrits existant dans les divers documents des bibliothèques ou centres suivant le sujet étudié.
En définitive, les matériels englobent tous les moyens pour mener à bien l’élaboration de ce mémoire. Mais avant tout, il faut adopter une méthodologie, cette dernière sera présentée dans la section suivante.

Théories sur le contrôle de gestion et la rentabilité

Pour mener à bien la recherche, il faut posséder de la connaissance sur le sujet. Ici, cela concerne le contrôle de gestion et la rentabilité. Chacune de ces deux notions disposent des théories qui leur sont propres et vont être avancées l’une après l’autre dans cette section. En premier lieu, nous allons nous focaliser sur le contrôle de gestion ; puis après, sur la notion de rentabilité ; sans oublier, bien évidemment, de préciser la relation qui lie ces deux notions.

Contrôle de gestion

Plusieurs théories et définitions ont été avancées sur la finalité du contrôle de gestion. Ces théories et définitions s’orientent également sur la maîtrise des activités. Dans notre cas, il se focalise sur la rentabilité de ces derniers.

Définitions

La définition la plus classique, déjà évoqué lors de l’introduction, est celle d’ANTHONY (1965) qui le décrit comme « le processus par lequel les dirigeants s’assurent que les ressources sont obtenues et utilisées avec efficacité et efficience pour réaliser les objectifs de l’organisation ». Dans ce cas, il faut comprendre le mot « contrôle » au sens de maîtrise et non pas de surveillance. Les dirigeants d’une entreprise doivent avoir la maîtrise de sa gestion, de la même façon qu’un conducteur doit avoir la maîtrise de son véhicule.
D’autres auteurs estiment que le contrôle de gestion cherche à faire de manière chiffrée et rapide les résultats de toutes les actions qui peuvent être prises, de façon à permettre une gestion efficace. Il s’appuie sur une panoplie d’outils dont les principaux sont : la comptabilité générale, la comptabilité analytique, les budgets et l’informatique ».
Partant de ces définitions, on peut dire que le contrôle de gestion est une activité qui prévoit les évènements en s’adaptant à l’évolution. Il définit les objectifs, met en place les moyens, compare les performances passées et futures avec les objectifs fixés tout en corrigeant les objectifs et les moyens. C’est dans le contrôle de gestion que débutent les outils de gestion qui seront ensuite transmises au service du management de l’organisation. Avec le contrôle de gestion, l’évaluation de la performance est possible, c’est-à-dire de l’efficience, de l’efficacité, des synergies, des gains de productivité et de la flexibilité. Ces évaluations se traduisent généralement par des outils, des approches telles que le tableau de bord, la comptabilité générale, la comptabilité analytique, l’analyse financière qui seront sources de prévision de l’évolution future de la rentabilité par rapport aux performances passées .Le contrôle de gestion est donc un outil pour permettre la maîtrise des activités d’une entreprise. Mais pour pouvoir l’appliquer, il faut du processus et c’est ce que nous allons voir dans le titre suivant.

METHODES EMPLOYEES

Par définition, le mot « méthode » est un ensemble ordonné de manière logique des principes, des règles, d’étapes, permettant de parvenir à un résultat (.Joëlle SINERY) . La raison d’être du présent chapitre est de mettre en exergue les façons de réalisation du travail. Il sera subdivisé en trois sections : la première sera consacrée sur les méthodes de collecte d’informations, la seconde sur le traitement de ces informations et la dernière concerne Limites et difficultés rencontrées.

Méthodes de collecte d’informations

Nous avons commencé la collecte des données par une série de questionnaire envoyé par mail à Monsieur le Directeur des Ressources Humaines au sein de TELMA. Ensuite, une descente a été effectuée pour compléter les informations obtenues ainsi que des entretiens auprès de certains responsables du contrôle de gestion pour éclaircir certains points jugés essentiels afin de mieux connaitre la réalité sur le terrain concernant ce service.

Le questionnaire d’enquête

Le questionnaire est une série de questions utilisée pour guider les enquêtés. Dans notre cas, Il comprend trois grandes lignes: la première concerne l’identité de l’entreprise c’est-a-dire les généralités sur l’entreprise visitée : son statut, son historique, sa raison d’être ainsi que sa situation par rapport à ses concurrents. La deuxième grande ligne aborde le sujet sur le contrôle de gestion dans laquelle nous essayons de découvrir si l’entreprise a le contrôle de gestion dans sa structure, de savoir comment elle l’utilise pour maitriser ses activités. Et la dernière grande ligne concerne la rentabilité qui a comme objectif de connaître, bien évidemment la situation de la firme en matière de rentabilité mais également de découvrir les actions menées ou les actions à mener par l’entreprise pour la stabiliser. Lors de la transformation des données en données statistiques, les outils suivant ont été utilisés : letableau, le diagramme, etc.

Descentes sur terrain et entretiens

Les informations obtenues par mail n’ont pas été suffisantes. Pour pouvoir les compléter, une descente sur terrain a été menée. Cette descente a pour objectif d’avoir non seulement les informations complémentaires mais également d’éclaircir quelques points dont nous avons besoin de savoir pour mener à bien cet ouvrage et aussi de faire des entretiens auprès des responsables du contrôle de gestion ; plus précisément l’assistant du contrôleur de gestion et ses coéquipiers au sein de cette même entreprise. Ces entretiens ont comme but d’avoir l’avis des responsables.
Deux types d’entretien ont été procédés pour entamer la discussion : les entretiens libres et dirigés. Les entretiens libres ont été employés pour poser des questions que vise à réorienter l’interview. Ils devraient être posés sur les personnes qui ont la possibilité de connaître les informations sur le contrôle de gestion et sur la rentabilité de l’entreprise. Mais vu l’indisponibilité de ces responsables durant notre descente, Monsieur Andry ANDRIAMIHASIMAHEFA, le responsable du service d’accueil de la DRH s’est chargé de nous donner les informations dont nous avons besoin de savoir après avoir répondu par mail les questions posés dans le questionnaire. Et les entretiens dirigés ont été utilisés pour collecter les informations plus précises pour apporter quelques détails concernant notre thème.
Ce deuxième type d’entretien concerne surtout les personnes travaillant dans chacune des sociétés composant l’entreprise qui sont le fixe, le mobile, l’internet et Mvola. Pour cela, nous avons pris un échantillon de 35 personnes qui se répartit de la façon suivante : 8 venant de TELMA fixe, 11 pour le mobile, 9 personnes travaillant dans le domaine de l’internet et lereste c’est-à-dire 7 personnes pour Mvola. La répartition de ces personnes est donnée dans letableau ci-après.

Méthodes de traitement et d’analyse d’informations

Après avoir collecté les informations, nous devons les mettre en relation avec le problème étudié et aux hypothèses formulées au départ. Pour ce faire, l’utilisation des méthodes de traitement et d’analyse d’informations est nécessaire.

Méthodes de traitement d’informations

Traiter c’est mettre à jour les informations brutes sous une forme lisible dans un ordinateur afin de les trier, les vérifier, les manipuler et les présenter. Comme traitement des donnés, nous avons utilisé des logiciels bureautiques, des logiciels de traitement d’image ainsi que des logiciels permettant la conversion des documents sous un autre format.
Pour rendre facile le traitement des informations recueillies, nous avons opté pour l’utilisation de Microsoft Office Word 2007, de Microsoft Office Excel 2007, le logiciel Paint et Outil capture fournis avec Windows ainsi que le logiciel Adobe Acrobat Pro XI. Le premier a été utilisé pour rédiger le mémoire afin de faire ensuite des mises en forme ainsi que des paginations, sommaire et table des matières ou en un mot, pour créer des documents de qualité professionnels. Quant à Excel, il a été utilisé pour avoir une facilité de mettre en œuvre le traitement des données chiffrées pour pouvoir effectuer des tableaux statistiques ainsi que des représentations graphiques. Concernant les logiciels de traitement d’image, ils sont employés pour capturer et assembler les images nécessaires venant des fichiers envoyés par mail depuis TELMA pour pouvoir ensuite les insérer dans le document de mémoire. Pour Acrobat, la nécessité réside dans le fait qu’elle fournit des fonctionnalités complètes pour manipuler des fichiers à extension pdf pour l’extraction des pages, conversion des documents pdf vers des documents word ou vice versa.

Méthodes d’analyse des informations

Après avoir recueilli les informations, le travail consiste à les dépouiller. Ce travail consiste donc à les coder avant de comprendre leur logique afin de les traduire par une synthèse, une interprétation.
La méthode d’analyse que nous allons utiliser est celle de SWOT ou Strengths, Weakness, Opportunity, Threats appelée communément comme FFOM ou Forces, Faiblesses, Opportunités, Menaces. Cette méthode permet de mieux prendre des décisions car elle permet de réaliser un diagnostic interne des activités d’une entreprise en identifiant les points forts ou les forces et les points faibles ou les faiblesses ainsi qu’un diagnostic externe par la découverte des chances ou possibilités à saisir c’est-à-dire les opportunités et les dangers qu’il faut se méfier connus comme menaces de l’environnement. L’analyse SWOT est un outil d’analyse stratégique qui associe l’étude concernant les facteurs internes, c’est-à-dire les forces et faiblesses avec celle des facteurs externes liés à son environnement, en d’autres termes opportunités et menaces. Selon la logique de l’analyse, il y a deux points positifs à maximiser et deux points négatifs à minimiser. Cette analyse aidera à chercher l’adéquation entre la capacité stratégique de l’organisation et les facteurs clés de succès de l’environnement. Donc elle permettra de préciser si l’institution dispose les ressources et compétences nécessaires pour faire face à l’évolution de son environnement. L’étude des forces concerne la présentation des aspects positifs, les faiblesses englobent les points négatifs à améliorer, les opportunités montrent des nouvelles voies qui s’ouvrent à la réalisation des objectifs et l’étude des menaces sert à trouver les obstacles extérieurs qui risquent d’entraver le développement. Les forces sont les aspects positifs internes que contrôle l’organisation ou le pays sur lesquels on peut bâtir le futur. Les faiblesses sont les aspects négatifs internes mais qui sont également contrôlés par l’organisation, et pour lesquels des marges d’amélioration importantes existent. L’analyse SWOT est basée sur le jugement des participants, elle est par nature subjective et qualitative. Si l’étude des forces et celle des faiblesses nécessitent d’être approfondies, deux outils peuvent être utilisés pour fournir des pistes d’investigation : l’audit des ressources et l’analyse des meilleures pratiques (comparaison à l’intérieur d’un pays entre ce qui fonctionne bien et ce qui fonctionne moins bien suivant certains indicateurs). Les opportunités sont les possibilités extérieures positives dont on peut éventuellement tirer parti, dans le contexte des forces et des faiblesses actuelles. Elles, les opportunités, se développent hors du champ d’influence du pays ou à la marge (ex : changement de goût des consommateurs mondiaux concernant une production du pays, amélioration de l’économie d’un pays « client », développement du commerce par Internet, etc.). Les menaces sont les problèmes, obstacles ou limitations extérieures, qui peuvent empêcher ou limiter le développement du pays ou d’un secteur (ex : l’industrie). Elles sont souvent hors du champ d’influence du pays ou à la marge (ex : désaffection des consommateurs pour un produit important du pays, prix de l’énergie en forte augmentation, baisse généralisée de l’aide au développement, etc.).

Limites de l’étude et difficultés rencontrées

Durant l’accomplissement de ce travail de recherche, des difficultés et des limites ont été rencontrés. Pour plus de détails, nous allons les expliquer l’une après l’autre.

Les limites de l’étude

Comme tout travail de recherche, des limites ont été remarquées : elles concernent le temps et les informations venant de l’entreprise visitée. En fait, des problèmes temporels ont subsistés durant la collecte des informations à cause de la disponibilité du personnel. En plus, certaines informations que les responsables ont jugées comme confidentielles n’ont pas été accessibles et c’est pou cela que la partie « Résultats » a été limitée.

Les difficultés rencontrées

Outre les limites, des difficultés ont été affrontées. Cela touche la documentation ainsi que des problèmes d’argent. Pendant la recherche documentaire, il a été difficile de trouver des documents importants et jugés pertinents c’est-à-dire des documents à jour car la plupart d’entre eux sont anciens. Quant aux problèmes d’argent, il s’agit du déplacement à plusieurs reprises dans les entreprises pour pouvoir compléter les informations jugées manquantes.

Chronogramme des activités

Nous allons réserver cette section à la présentation des différents détails et étapes de réalisation du mémoire depuis la recherche sur le thème jusqu’à sa finalisation. Pour avoir un bon déroulement et une meilleure organisation du travail, il faudrait planifier dans le temps le déroulement des activités à partir de l’élaboration d’un planning bien défini. Le diagramme de GANTT ci-après représente les activités menées et la durée de leur réalisation.

IDENTIFICATION DE LA RENTABILITE DES ACTIVITES

Ce présent chapitre a pour finalité de savoir la situation des activités de l’entreprise visitée en matière de rentabilité financière. De ce fait, nous allons détailler successivement les cinq domaines principaux de TELMA à savoir : fixe, mobile, internet, Mvola.

TELMA FIXE ET TELEPHONE PUBLIC

En 2000, TELMA a mis en place des cabines téléphoniques ou publiphones pour le grand public avec l’utilisation des télécartes à unité. Plus de 123 cabines ont été instauré jusqu’en 2005. Suite aux dégâts et aux piratages que subissent cette infrastructure, la société n’a pas pu réussir à profiter autant de rentabilité. Selon l’explication de 8 personnes enquêtées auprès du domaine du fixe, la société a instauré pour cette même année la téléphonie fixe sans fil dont la « star » incontestable de cette gamme est le CDMA. Le bilan  est plus que satisfaisant car plus de 150 000 clients ont fait confiance à cette nouvelle solution de téléphonie fixe que la société a proposée. La politique commerciale qui a été mise en place par Telma pour le CDMA a rencontré un vif succès auprès des consommateurs, dépassant toutes les prévisions. Quant aux jugements des personnes interviewées, ils sont tous d’accord que cette activité était très rentables à cette époque mais de nos jours, 6 d’entre eux affirment que c’est n’est plus du tout rentable et les 2 restantes affirment que c’est moinsrentable. Pour mieux voir, voici le résultat de l’enquête mené auprès de 8 personnes enquêtés.

Table des matières

REMERCIEMENTS
SOMMAIRE 
LISTE DES TABLEAUX 
LISTE DES FIGURES
LISTE DES ABREVIATIONS 
INTRODUCTION 
PARTIE I : MATÉRIELS ET MÉTHODES
CHAPITRE I : MATÉRIELS UTILISÉS
CHAPITRE II : METHODES EMPLOYEES
PARTIE II. RESULTATS
CHAPITRE I. IDENTIFICATION DE LA RENTABILITE DES ACTIVITES
CHAPITRE II. CONTROLE DE GESTION ET MAITRISE DE LA RENTABILITE
PARTIE III. DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
CHAPITRE I. DISCUSSIONS
CHAPITRE II. RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE 
WEBOGRAPHIE 
ANNEXES 
TABLE DES MATIERES

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