Obtacles a redresser pour réduire l’insecurite alimentaire 

Insécurité alimentaire saisonnière

Elle est repérable par la mesure de la consommation alimentaire à différents moments de l’année. La cyclicité de l’insécurité alimentaire est surtout due aux variations d’une année à l’autre du niveau de la production en particulier dans le secteur agricole et souvent en conséquence des variations climatiques. Cette insécurité alimentaire est de courte durée, mais elle se vit à répétition.
Les cyclones tropicaux pendant la saison d’Eté sont les principales causent de mesure d’urgence contre l’insécurité alimentaire effectuée par le BNGRC pour Madagascar.

Insécurité alimentaire cyclique

Elle est souvent qualifiée de transitoire . Les accidents subits qui provoquent cette insécurité alimentaire peuvent être passagers dans la mesure où la situation retournera à la normale au cours de la période suivante. Cela sous-entend que la crise est temporaire et de courte durée. Les accidents les plus courants de ce type là sont les sécheresses, les inondations et les épidémies qui causent la perte de récoltes. Toute fois, à Madagascar l’insécurité alimentaire cyclique venant des crises politiques tous les cinq à dix ans, dure trois à cinq ans malgré la volonté des dirigeants de le limiter à deux ans.
Les personnes ou groupes de personnes concernées par l’insécurité alimentaire sont qualifiés de « populations à risque » ou « populations vulnérables ».

Score de la consommation alimentaire

Le score de la consommation alimentaire (SCA) est une variable continue qui permet de calculer des statistiques standards telles que la moyenne et la variance ou encore de déterminer les tendances des moyennes dans le temps et d’une catégorie à l’autre. Il est possible d’établir des fréquences et de réaliser des analyses croisées des catégories de consommation alimentaire. De plus, le SCA est un indicateur de référence pour déterminer les groupes des ménages avec une consommation alimentaire pauvre, limite et acceptable.

Cadrage de la vulnérabilité

La vulnérabilité est une notion dynamique qui prend en compte les stratégies d’adaptation et de changements socio-économiques du bien être des populations. Il n’est pas aisé de la définir rigoureusement dans un environnement socio-économique en perpétuelle mutation tel que la transformation écologique, économique, politique et sociale. Mais, les différentes idées au sujet de la définition de la vulnérabilité trouvées dans la littérature fournissent un examen critique des concepts répandus dans les disciplines telles que les sciences économiques, l’anthropologie, la sociologie, la santé publique, etc.

Changements climatiques et cyclones

Le changement climatique pourrait également accroître le nombre de personnes mal nourries à l’échelle mondiale, à hauteur de 40 à 170 millions en 2100 , car le changement climatique affecte la production agricole en modifiant le niveau des précipitations. Par conséquent, les régions d’Asie du Sud et d’Afrique, qui dépendent de « bonnes » précipitations, pourraient perdre la moitié de leur rendement agricole actuel. La variabilité et le changement climatique auront un effet négatif sur les échanges commerciaux des produits et impliqueront une insécurité alimentaire grandissante dans des régions déjà vulnérables à la faim et à la malnutrition. Selon le chercheur Tim Wheeler, la recherche est encore beaucoup trop embryonnaire sur l’impact du climat sur l’insécurité alimentaire . Mais, la déstabilisation de l’agriculture amenée par le réchauffement touchera d’abord et avant tout les régions du monde qui est déjà les plus fragiles. Le contexte géographique de Madagascar tapisse alors sur ce fait.
L’agriculture malgache est fortement tributaire des aléas climatiques , qui se traduisent par des saisons sèches plus longues, avec des pluviosités déficitaires et mal réparties, des hivers au froid plus intense. Mais, au cours des 35 dernières années, le pays a enregistré environ 46 désastres naturels, incluant les cyclones, les sécheresses, les épidémies, les inondations, les famines, les invasions acridiennes affectant cumulativement plus de 11 millions de personnes. Certaines régions sont plus exposées que d’autres selon les chocs. La frange Nord Est de l’île est plus exposée aux cyclones tant disque la partie Sud Ouest est plus exposée aux sécheresses et à d’autres aléas climatiques. Au mois de Mars 2013, les pluies étaient insuffisantes. Les précipitations inférieures à la normale, ont limité la croissance des cultures et dissuadé les agriculteurs d’élargir leurs plantations, affectant par conséquent leurs rendements et leurs productions.

Croissance démographique rapide

L’augmentation continuelle de la population allait finir par empêcher la société d’assurer sa subsistance et l’humanité serait dès lors condamnée à vivre dans la misère et la famine. Selon Malthus, la production des subsistances peut croître en progression arithmétique (1 2 3 … n) alors que la population croît en progression géométrique (1 2 4 … 2n). En comparant ces deux accroissements (n<2n), on conclut que la population croît plus vite que la masse des subsistances.
Et l’hypothèse de l’économiste Meadows est infiniment simple, les ressources sont limitées : le pétrole, le charbon, l’eau, l’uranium, les forêts, n’existent pas à profusion. Or la population humaine semble devoir croître indéfiniment. Les besoins de la population humaine croissent encore plus vite que la population elle-même. Pour Madagascar, la croissance démographique très rapide rend la lutte contre l’insécurité alimentaire plus difficile, parce que l’augmentation de la population induit aussi à l’augmentation des besoins alimentaires, la croissance démographique du pays est de 2,9 par an et donc en 2050 la population est estimée à environ 45 millions d’habitants de ce fait, Madagascar sera plus peuplé que l’Italie comme le montre le graphique ci-après.

Pauvreté basée sur le revenu

Le revenu représente la mesure la plus simple des ressources du ménage. Les mesures directes de l’insécurité alimentaire sont étroitement liées à ceux de la pauvreté basée sur le revenu.
Dans les enquêtes menées sur la population, aux États-Unis, la gravité de l’insécurité alimentaire augmentent au fur et à mesure de la diminution des revenus du ménage.
Le revenu est le moyen d’accès à l’alimentation, ainsi si les ménages présentent une insuffisance de revenu, alors ils sont dans les difficultés de pouvoir consommer les différents aliments susceptibles d’apporter les calories nécessaires.
Pour le cas de Madagascar, la majorité des ménages pratiquent l’agriculture en tant qu’activité principale pour l’alimentation quotidienne et les ventes. Le secteur informel et le salariat journalier sont les deuxième et troisième sources de revenus en termes d’importance, commeillustre ce tableau.
Les résultats de la présente évaluation indiquent que plus du tiers des ménages 36,2 % au niveau national dépendent des ventes des produits agricoles comme principales sources de revenus.
Le salariat est cependant généralement considéré comme une source de revenus précaire, très dépendante des aléas du marché du travail et des fluctuations des prix. Le secteur primaire assure ainsi un peu plus de la moitié des revenus, puisque le pourcentage des ménages dépendant de la vente d’animaux ou de produits de la pêche est de 11,4 %, et ceux dépendants des revenus en tant qu’« employé agricole » est de 2,8 %.
Au niveau régional, la contribution de la vente de produits agricoles dans le revenu du ménage est très significative pour les ménages de la Région de Menabe et aussi dans les Régions d’Ihorombe et Anosy .

Déséquilibre des indicateurs de marchés

Selon Alain Clément, la spécificité de la sphère alimentaire est une caractéristique commune des œuvres majeures et fondatrices de l’économie politique. Elle repose à la fois sur des qualités intrinsèques reconnues aux produits agricoles, sur les comportements des agents économiques à leur égard, notamment en matière d’offre et de demande, sur des analyses originales et inédites de formation des prix et de fonctionnement des marchés.
En sus de la faiblesse des revenus, les populations sont face à l’augmentation du prix des denrées alimentaires. L’illustration en est donnée par le graphique ci-après où est représenté l’indice général des prix, ainsi que les indices des prix des produits de premières nécessités, de l’énergie et du riz. Si les trois premiers indices sont restés relativement stables pendant une bonne partie de l’année 2012, ils amorcent une tendance haussière à partir de Novembre 2012, pour s’estomper et se stabiliser dès Avril 2013.

Insuffisance d’investissement en intrants agricoles

La croissance future dépendra surtout de l’optimisation d’un ensemble de technologies, du maintien de leur efficacité, et de leur adaptation aux possibilités des terres moins fertiles et des agriculteurs les plus pauvres. En termes agronomiques, la croissance passera principalement par l’adoption de systèmes de production plus intensifs, mais durables et non plus par l’application de s méthodes de la révolution verte, ou par la simple extension des superficies mises en culture.
Toute stratégie basée sur l’emploi d’intrants achetés impose des investissements préalables dans des infrastructures de fabrication, d’entreposage et de distribution, ainsi que des fonds de roulement importants. Les engrais minéraux, en particulier 140 millions de tonnes utilisées chaque année dans le monde, dont la moitié dans les pays en développement joue un rôle majeur dans l’accroissement de la production agricole depuis le siècle dernier. La réduction progressive de la subvention des intrants dans divers pays en développement oblige les agriculteurs à faire de nouvelles économies.
Le crédit rural est encore défavorisé par rapport au crédit commercial urbain, étant donné la dispersion des clients, les infrastructures rurales manquent cruellement, surtout en Afrique subsaharienne. Les infrastructures adéquates sont rares et se détériorent. La région est en outre pénalisée par l’éparpillement des populations et par un potentiel d’irrigation limitée. De lourds investissements sont nécessaires dans l’infrastructure rurale de communications; la remise en état et la modernisation de l’irrigation; l’amélioration de l’exploitation de l’eau pluviale par des systèmes de capture simple et performant sur les lieux d’utilisation; l’aménagement et l’amendement des terres; les services d’éducation et de santé.
L’agriculture à Madagascar est confrontée à plusieurs problèmes dont l’exploitation des ressources naturelles sans renouvellement et sans apport suffisant d’éléments nutritifs, de matière organique et les pratiques paysannes non favorables à la conservation du capital sol. Le problèmede disponibilité et d’accessibilité des intrants de qualité s’est vite posé, surtout en engrais minéraux.
En outre, à la récolte, les besoins d’argent poussent les paysans à céder la production au premier venu à bas prix, excès d’offre, tandis que la nécessité de commencer une nouvelle saison agricole ou de se nourrir quelques mois plus tard les obligera à recourir au marché pour acheter vivres et semences à prix élevés, excès de demande. Le paysan se retrouve ainsi coincé dans un cerclevicieux.

Volatilité de la croissance

D’après les nouvelles théories de croissance , la croissance engendre du progrès technique par trois grands mécanismes. Premièrement, le learning by doing : plus on produit, plus on apprend à produire de manière efficace. Deuxièmement, la croissance favorise l’accumulation du capital humain. En effet, plus la croissance est forte, plus il est possible d’accroître le niveau d’instruction de la main-d’œuvre, en investissant notamment dans le système éducatif. D’une manière générale, la hausse du niveau d’éducation de la population par des moyens publics ou privés est bénéfique.
Troisièmement, la croissance permet de financer des infrastructures, publiques ou privées, qui la stimulent. La création de réseaux de communication efficaces favorise, l’activité productive. Les pays développés comme les Etats-Unis, Japon et l’Europe ont su atteindre des performances positives malgré le contexte international de crise.
Cependant, La crise financière a remis en question la réalisation des objectifs de développement pour le Millénaire (ODM) à l’horizon 2015 dans les pays en développement surtouten Afrique. Selon les estimations, le PIB par habitant a diminué pour la première fois en dix ans, de 0,8 % en 2009, et la croissance restera inférieure au taux moyen atteint au cours des cinq dernières années à l’horizon des projections. La pauvreté devrait sensiblement reculer d’ici à 2015, lorsque 38 % de la population de l’Afrique subsaharienne, soit 366 millions de personnes, vivront avec moins de 1,25 dollar par jour, mais en dépit de ces progrès l’objectif de réduction de la pauvreté ne sera pas atteint d’ici à 2020. Qui plus est, la crise financière ne manquera pas d’avoir des conséquences à long terme sur les pays de la région, acculant à la pauvreté des millions de personnes supplémentaires à l’horizon 2020.
Les pays qui se sont illustrés dans des améliorations ou des reculs importants ces cinq dernières années sont nombreux : Angola, Liberia et Togo ont progressé en matière de « qualité globale de la gouvernance » là où l’Erythrée et Madagascar ont reculé. En matière de progrès en « développement économique durable », l’Angola, le Burundi, le Cap-Vert, l’Egypte, le Liberia, le Malawi, Maurice, la Namibie, la Sierra Leone et le Swaziland se sont illustrés. L’Angola se distingue encore en « développement humain », avec l’Ouganda. Pour ce qui est de « sécurité et souveraineté du droit », c’est l’Erythrée, la Guinée, Madagascar, la Mauritanie et la Somalie qui régressent.
Madagascar est donc un des pays les plus pauvres du monde et est confronté à d’immenses défis tels que la réduction de la pauvreté, la lutte contre la corruption et la réforme de la propriété foncière. Depuis la crise politique, la situation s’est nettement dégradée : la pauvreté touche désormais 92% de la population, contre 68% en 2005. Le pays a également subi le passage de cyclones. Fin 2013, 4 millions de ruraux souffraient de la famine suite à la dégradation de l’agriculture. L’insécurité règne au Sud du pays par les vols de bétail à main armée. Ces indicateurs de croissance sont donc non réconfortant pour que la croissance du pays soit stable, voir le tableau ci- après.

Déséquilibres macroéconomiques

Selon Gerard Azoulay et Jean-Claude Dillon , les déséquilibres en Afrique sont caractérisés par une croissance de la consommation publique et privée par rapport à l’offre nationale. Ceci a pour conséquence une réduction des capacités nationales d’épargne et la prise en charge progressive de l’investissement par des sources de financement extérieur. La croissance de dépenses publiques à caractère rigide supérieure à celle des recettes publiques fluctuantes, générant un déficit budgétaire, est source d’accroissement d’endettement du trésor auprès du système financier nationale et vis-à-vis de l’extérieur.

Dépendance de l’extérieurs

L’étude a révélé que les paysans demeurent la couche de la population la plus vulnérable au plan économique. Il est établi que tout Etat ne peut se développer convenablement sans assurer au préalable les fondamentaux de la croissance qui passent par la sécurité alimentaire, la santé, l’éducation, le commerce, le transport, la transformation, la recherche etc. L’aide extérieure est donc en effet le moyen principal pour les pays pauvres qui n’attirent pas d’autres sources de financement pour de faciliter les transformations structurelles et institutionnelles. Cependant, ils y risquent d’en dépendre.
La forme de la dépendance diffère selon les États. Ceux-ci sont hétérogènes en Afrique subsaharienne en termes de trajectoires et d’idéologies politiques, de ressources, de performances économiques, de présence de l’aide dans leur fonctionnement, et de types de mécanismes caractérisant le processus liant les États, les bureaucraties et les donateurs.
La forme de la dépendance diffère aussi selon les bailleurs de fonds et les instruments : les prêts et conditionnalités du Fond monétaire, leurs bases contractuelles et rythmes de paiement n’impliquent pas les mêmes modalités de dépendance d’un gouvernement que, par exemple, ceux liés aux bilatéraux, mettant en œuvre des dons et des conditionnalités faibles, ou plus flexibles ou explicitement politiques. L’intensité de la dépendance ne découle cependant pas du caractère de don ou de prêt, et l’on peut être fortement dépendant de dons.
Madagascar est ainsi parmi les pays qui ne peuvent plus surpasser l’aide extérieure, son économie est asphyxiée par les sanctions qui lui ont été imposées et dont la plupart ne sont pas encore entièrement levées. Alors que d’un autre coté, il a des devoirs à l’égard des femmes, des enfants, en matière de santé, d’appui à la sécurité alimentaire et d’éducation, des adductions d’eau potable ou ce qui signifie l’entretien et la création des infrastructures en plus de l’appui à l’agriculture. L’État a aussi des devoirs tels ceux de veiller à un environnement serein de manière à ce que les agents économiques et les entreprises puissent travailler et produire convenablement.
Malheureusement, l’État malgache n’est pas en mesure d’y faire face. Ce pays dépend donc des ressources extérieures parce que l’épargne intérieure ne répond pas aux besoins actuels en matière d’investissement. Comme cet écart n’est pas près de se combler, le pays devrait continuer de s’appuyer sur ces financements dans un avenir proche. D’après ce qu’on a vu, l’insécurité alimentaire et la vulnérabilité économique ont un lien indirect. Elle va aggraver la vulnérabilité économique du pays. Cependant dans notre étude, l’insécurité alimentaire autrefois résiduelle dans le Sud du pays gagne de plus en plus les autres Régions et les centres urbains, ce phénomène peut donc accentuer la pauvreté et la vulnérabilité économique. Mais, pour pouvoir réduire ces phénomènes grandissants à Madagascar, il serait nécessaire d’en redresser les problèmes des données, les problèmes liés au financement pour que les indicateurs fondamentaux concordent au domaine étudié. C’est ce que nous allons voir dans ce deuxième partie en vue d’apporter les recommandations convenables.

Table des matières

AVANT-PROPOS 
REMERCIEMENTS 
LISTE DES ABREVIATIONS
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE : L’INSECURITE ALIMENTAIRE AGGRAVE LA VULNERABILITE ECONOMIQUE 
CHAPITRE 1 : CARACTERISTIQUES ET FONDEMENTS THEORIQUES 
Section 1: Approches théoriques sur l’insécurité alimentaire
1.1 Notion de la Sécurité Alimentaire
1.2 Types d’insécurité alimentaire
a) Insécurité alimentaire chronique
b) Insécurité alimentaire saisonnière
c) Insécurité alimentaire cyclique
Section 2: Concept de l’insécurité alimentaire
2.1 Score de la consommation alimentaire
2.2 Régime alimentaire des ménages
Section 3 : Généralités de la vulnérabilité économique
3.1 Cadrage de la vulnérabilité
3.2 Approche par les capabilités
Section 4 : Détermination de la vulnérabilité économique
4.1 Vulnérabilité économique au sens large
4.2 Sens restreint de la vulnérabilité économique
CHAPITRE 2 : FACTEURS FAVORISANTS L’INSECURITE ALIMENTAIRE
Section 1 : Conflits politiques
Section 2 : Chocs naturels
2.1 Changements climatiques et cyclones
2.2 Invasions acridiennes
Section 3 : Croissance démographique rapide
Section 4 : Inaccessibilité économique
4.1 Pauvreté basée sur le revenu
4.2 Déséquilibre des indicateurs de marchés
CHAPITRE 3 : INSECURITE ALIMENTAIRE ET TYPES DE VULNERABILITE ECONOMIQUE
Section 1 : Faible part de la VA agricole dans le PIB
1.1 Faible productivité de travail
1.1 Insuffisance d’investissement en intrants agricoles
Section 2 : Instabilité de l’exportation
2.2 Dévaluation de la monnaie
Section 3 : Volatilité de la croissance
Section 4 : Croissance de l’endettement
4.1 Déséquilibres macroéconomiques
4.2 Dépendance de l’extérieurs
DEUXIEME PARTIE : OBTACLES A REDRESSER POUR REDUIRE L’INSECURITE ALIMENTAIRE 
CHAPITRE 1 : PROBLEMES FACTUELS 
Section 1 : Collecte des données
1.1 Périodicité non respectée
1.2 Fiabilité des données
1.3 Réalité et démagogie
Section 2 : Estimation arbitraire
2.1 Informations consolidées des Ministères
2.2 Acceptabilité des données des Bailleurs de fonds
2.3 Sincérité des données de la Présidence
Section 3 : Problèmes de causes liés à l’insécurité alimentaire
3.1 Insécurité alimentaire et la scolarisation
3.2 Insécurité alimentaire et la mortalité
a- Chez les enfants
b- Chez les adultes
3.3 Insécurité alimentaire et le genre, l’âge et le niveau d’instruction du chef de ménage
CHAPITRE 2 : PROBLEMES LIES AU FINANCEMENT 
Section 1 : Financement des activités sociales
Section 2 : Réduction de budget de fonctionnement
Section 3 : Obstacles encourus par certains projets
Section 4 : Contraintes rencontrées par les cultivateurs financés
4.1 Contraintes physiques
4.2 Contraintes techniques
4.2 Problème de communication
CHAPITRE 3 : QUELQUES RECOMMANDATIONS 
Section 1 : Stratégies de sécurité alimentaire
1.1 Principales composantes d’une stratégie alimentaire
1.2 Au niveau macroéconomique
1.3 Au niveau mésoéconomique
Section 2 : Promotion de la filière riz
2.1 Accroissement des facteurs de production en riziculture
2.2 Progrès techniques avec intrants agricoles
2.3 Désenclavement des zones productrices et construction des infrastructures routières
Section 3 : Mise en œuvre du dispositif d’informations
Section 4 : Stratégies adoptées par certains pays pour réduire l’insécurité alimentaire
3.1 Programmes de travaux publics en Indonésie, Inde, Tanzanie et Sierra Leone
3.2 Transferts de revenu de type alimentaires
a- Programmes vivres-contre-travail au Burkina Faso
b- Programmes de transfert de revenu aux Etats-Unis
3.3 Programmes d’alimentation directes : cas du Brésil
CONCLUSION
GLOSSAIRE 
BIBLIOGRAPHIES ET DOCUMENTATIONS

projet fin d'etude

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