Danymique de l’évolution de l’occupation de l’espace 

Paysage rural

Dans le monde rural, c’est le paysage rural que l’on apprécie dans cet espace. Voit-on dans un terrain, les différents types de cultures montrent des divers paysages culturaux. Ce paysage cultural constitue un élément majeur avec lequel le monde rural se différencie avec l’autre monde. On y constate beaucoup d’espace vert qui est occupé par des diverses cultures suivant la saison où on est. Dans l’espace, c’est la prédominance des champs de culture que caractérise le monde rural. A part ce paysage cultural, les zones d’habitations sont aussi très particulières. Les maisons se regroupent en petit nombre pour une raison de sécurité et se dispersent dans l’espace. Elles ont en générale des formes très simples, des toits en chaume pour la plupart, et ont seulement un étage. Ces paysages constituent les résultats de longue mise en valeur de l’espace par les sociétés humaines.

Concepts secondaires

Société humaine

C’est l’individu qui forme un groupe et se dresse ensemble une structure sociale commune afin de se cohabiter. Cette société humaine constitue le moteur et l’acteur de la mise en valeur d’un espace. Cette mise en valeur est due à la recherche des besoins de la population. Par ces activités, la mise en valeur des terres constitue la première cause de la dégradation de l’environnement ainsi que le facteur déterminant de l’accélération de l’urbanisation.

Entités spatiales

Ce sont des communautés implantées dans un espace bien déterminé avec lequel des ressources communes pourraient être regorgées par chaque entité spatiale. Elles ont plutôt de découpage administratif essentiellement matérialisé dans l’espace. Le Fokontany est à la base de cette entité et est délimité par des éléments géographiques à savoir des ruelles, des coursd’eau, des types d’habitation, de taille de la population ou des champs de culture. Il est unesubdivision administrative de base au niveau de la commune qui comprend des villages, deshameaux, des secteurs ou quartiers. Il est dirigé essentiellement par le personnel du Fokontany avec son président au sommet et son vice-président qui assume et aide le président en cas deson absence. Les secrétaires assurent ainsi tous travaux de secrétariat. Quelques Fokontany rassemblés forment une commune. Cette dernière est une entité spatiale où un ou une maire est élu(e) pour la diriger. Pour l’exercice de ses missions et la prisede décision, il ou elle est sensé(e) de travailler avec ses conseils municipaux. A part le Fkt et la commune, un espace offre ce que l’on appelle la « région ». Elle est une zone sous le contrôle du Chef de la région qui doit être une personne désignée. Et pour le stade suprême, c’est le pays entier qui est organisé pour suivre le texte inscrit dans l’application de la politique d’occupation du sol.
Une question pourrait être posée pourquoi les entités spatiales sont-elles limitées essentiellement par ces quatre classes ? La politique d’occupation du sol à Madagascar est basée très scrupuleusement par des textes selon les niveaux hiérarchiques. Il y a souvent des lois qui interdisent une telle exploitation et occupation pour assurer de la protection de l’environnement et pour bien gérer les ressources naturelles afin d’offrir un avenir meilleur pour la zone concernée. Dans ce sens, quand il s’agit d’une affaire nationale ce sont les pouvoirs centraux qui vont assurer l’application des textes régissant l’occupation du sol par le SNAT ou Schéma National d’Aménagement du Territoire. Ils dictent la mise en œuvre d’aménagement de toutes sortes qui sont jugées être à la hauteur d’une affaire nationale à savoir la mise en place ou l’extension d’une route nationale, la conception d’une gare routière, l’extension d’un port ou aéroport. Au niveau de la région, on suit textuellement le SRAT un texte présentant la politique d’utilisation du sol au niveau régional. Ces textes sont là pour baliser toutes sortes d’exploitation abusive et illicite de l’espace. L’exécution des missions qui sont travaillées par les autorités compétentes devra être appliquée par le responsable de la commune. L’occupation du sol au niveau communal est dictée par le SAC. Et à la base, ce sontles chefs du Fokontany qui constituent les premiers exécutants pour la mise en valeur d’un espace dans une zone prédéfinie.
D’une manière générale, c’est à partir de ces entités spatiales qu’on peut voir le sens de la décentralisation. Pour l’exécution d’une action souhaitée, les pouvoirs centraux devront être décentralisés jusqu’à la base pour que le développement soit bien visible surtout dans les marmites de chaque population. Cette décentralisation facilite voire anéantis la lourdeur de l’administration sur le plan d’exécution d’une œuvre souhaitée à accomplir pour l’intérêt commun de la population.

Agents économiques

Un agent économique est une personne physique ou morale ou catégories de personnes dotées de l’autonomie de décision, qui réalise des opérations économiques. En effet ce sont tous les agents qui se participent à la mise en marche de l’économie d’un pays ou d’une région. Ces acteurs réalisent des opérations très variées. Par le biais de leurs activités exercées, un pays peut bénéficier des capitaux à travers les impôts versés en fonction de revenu obtenu. Les principaux agents économiques peuvent être un individu, des ménages, des entreprises, l’Etat et collectivités, et les institutions financières. Les agents économiques sont alors tous les acteurs économiques interviennent à la vie économique d’un pays.

Les ménages

Ce sont des personnes qui vivent sous le même toit et ayant un revenu pour consommer. Un ménage pourrait être composé par une seule personne ou par une famille toute entière. Les ressources des ménages leur viennent essentiellement de leur travail qui leur procure un salaire. Ce revenu est le plus souvent obtenu par jour. Mais à part les activités qui fournissent de revenu, ces ménages gagnent aussi de l’argent par la possession d’un logement. Pourtant, ils

Les entreprises

Ce sont des unités de production qui peuvent être privées (Colas, Star, etc…) ou publiques appartenant à l’Etat comme la Poste, l’AIRMAD, la JIRAMA, etc…). Dans cette catégorie, on peut comptabiliser toutes les sociétés financières entre autres les banques, les assurances et les micro finances. Leurs ressources viennent essentiellement de la vente de leur production. De ce fait, elles produisent des biens et services pour satisfaire les besoins du marché. Et elles se classifient souvent suivant leur taille, le secteur économique et le statut juridique. Ces entreprises ont des caractères communs si l’on en parle qu’elles sont un lieu de production, un facteur de travail et de capital.

L’Etat et les collectivités

 L’Etat est une entité politique constituée d’un territoire délimité par des frontières, d’une population et d’un pouvoir institutionnalisé.
 Les collectivités sont l’ensemble des personnes liées par une organisation commune et visant des intérêts communs.

Les sociétés financières

Ce sont des entreprises à vocation financière. Elles produisent de service financier à savoir l’émission de paiement et le moyen de paiement. Les banques et les microfinances en sont des exemples des entreprises financières qui collectent aussi des épargnes. Et en fait, elles assurent le financement de l’économie.

Occupation de l’espace

Elle est une expression utilisée fréquemment dans la discipline géographique. Il s’agit de l’utilisation des surfaces du territoire pour satisfaire les besoins en logements, équipements, diverses activités et voiries. Elle se traduit alors par une artificialisation des sols en modifiant de son état primitif ou naturel pourqu’ils deviennent bâtis ou revêtus ou une zone agricole ou un centre d’équipements de loisirs. Pour les géographes, l’espace constitue leur objet d’étude.
Elle désigne alors l’envahissement des faits géographiques dans un milieu déterminé. Ces faits sont cartographiés et montrés également sous les classes suivantes : la zone d’habitation, la zone pour l’industrie, la zone destinée au commerce, la zone agricole qui est formée par les rizières – les cultures maraichères et les cultures sèches, la zone boisée, la zone marécageuse, la zone occupée par des savanes, le terrain vacant et le plan d’eau qui comprend les rivières avec les lacs et étangs. Ces activités doivent avoir l’espace comme support. L’occupation de l’espace varie en effet d’un espace à l’autre et dépend des facteurs naturels et humains. De ce fait tous ces éléments qui sont configurés dans l’espace ont besoin d’être organisés. Cela fait appel alors d’une discipline géographique que l’on appelle déjà la géographie active.
A Madagascar, les faits ethniques expliquent la diversité des modes d’utilisation du sol.
Toutes les régions se différent les unes et les autres pour les façons de pratiquer des activités dans un espace. La diversité des modes d’utilisation du sol semble alors une culture qui donne des valeurs aux régions concernées.

Mise en valeur des terres

Il s’agit des actions menées par les sociétés humaines sur la nature. Cette action a également pour objectif de répondre aux besoins quotidiens de la population afin qu’elle puisse avoir une meilleure vie. De ce fait, par le biais des révolutions qui se sont initiées le plus souvent dans les pays riches, les moyens et techniques adoptés accentuent de plus en plus les surfaces occupées par les traces humaines. Quand on parle d’un aménagement d’une zone, la société devra être bénéfique après que des résultats soient bel et bien concrétisés. En effet, la valorisation des terres exercée par les acteurs sociaux a toujours de fins économiques.
La mise en valeur des terres est probablement fonction de la morphologie du terrain.
Les aménagements que l’on peut apporter dans une zone plate ne sont jamais pareils avec les techniques de dresser un versant ou un sommet. Du point de vue général, la Commune Rurale d’Ambohimangakely présente un paysage de colline qui se culmine jusqu’à 1440 m d’altitude que l’on trouve dans la partie Nord du Fokontany d’Ambohimahitsy, d’Ambohitrombihavana et d’Ambohipiainana. Et le paysage de plaine se trouve de part et d’autre de la rivière d’Ampasimbe.
Bref, la morphologie du terrain détermine la mise en valeur d’un espace. Plus cette forme est très conditionnée plus l’aménagement exige des techniques de très haut niveau. Donc dans l’aménagement, le cout constitue un des paramètres à ne jamais négliger. Il est une affaire publique qui demande une participation des entités spatiales concernées à la mise enapplication du travail.

PNATH

PNATH ou Plan National d’Aménagement du Territoire et de l’Habitat constitue le premier document officiel de cadrage général de l’aménagement du Territoire au niveau national qui détermine les orientations stratégiques du développement pour l’aménagement du Territoire, les axes d’interventions ventilés en programmes.

SNAT Schéma National d’Aménagement du Territoire

Un cadre de référence dans lequel doit s’intégrer toutes les politiques et actions dedéveloppement s’exécutant tous travaux d’aménagement qui ont d’une envergure nationale. Tous projets présidentiels font partie et sont balisés par des textes prédéfinis pour les biens communs de toute la nation. L’adoption de ce SNAT dure 10 ans puis 30 ans.

SRAT ou Schéma Régional d’Aménagement du Territoire

Ce Schéma Régional d’Aménagement du Territoire est un texte préconçu afin de mettre en application le plan d’urbanisation. Il s’agit de la déclinaison du Schèma National d’Aménagement du Territoire à l’échelon régional. Son application dure de 20 ans.

SAC ou SAIC ou Schéma d’Aménagement Intercommunal ou communal

Le SAC ou SAIC est un outil de planification et de coordination précisant les contenus du Schéma régional aux échelons intercommunal et communal. Son application est un grand œuvre des personnels de la commune à l’instar du Maire et ses conseils municipaux suivant l’article 111 du code d’urbanisme (voir en annexe). L’application du SAC ou SAIC a une durée de 15 ans.

La phase de préparation

C’est la phase dans laquelle on est obligé de consulter tant d’ouvrages pour avoir au préalable des informations sur le thème que l’on va exploiter. A ce propos, c’est la documentation qui définit cette phase de préparation.
La présente étude est un travail scientifique qui tient à avoir une démarche logique. De ce fait, on va adopter la démarche déductive pour mieux élaborer notre travail. On a fait d’abord la recherche bibliographique. De ce fait, cette recherche bibliographique vise à récolter le maximum de données tant sur les ouvrages généraux que spécifiques portant sur les études urbaines et se rapportant plus ou moins directement au sujet et à la zone de recherche. Les données qu’on a recueillies sont des données géographique, humaine et météorologique qui ont fournies à travers ces ouvrages. De ce fait, on a consulté une trentaine d’ouvrages dans des divers centres de documentation entre autres la BG, la BH, la BN et dans le CIDST (Centre d’Information et de Documentions Scientifique et Technique) de Tsimbazaza ainsi que desrevues qu’on venait d’acheter quelque part.
Et en dehors de ces centres de documentation, le développement de la technologie sur le plan médiatique nous aide ainsi à la recherche des informations. Pour l’application, on a visité quelques sites internet pour l’enrichissement des idées dans notre travail de recherche.
Après avoir collecté toutes les informations jugées nécessaires, on les a dépouillées selon leur catégorie. Dans ce sens, il y a des informations qui mettent en vigueur les données physiques ainsi que les autres relatifs aux faits humains. De plus, ces données collectées sonttraitées pour faire l’analyse.

Les travaux de terrain

Cette étape requiert deux volets très essentiels dont la préparation des outils nécessaires sur le terrain ainsi que la visite proprement dite du terrain pendant laquelle la recherche va se dérouler minutieusement.

Préparation des travaux de terrain

Avant de consacrer notre temps sur les faits dans la zone d’intervention, quelques préparations doivent être maintenues pourque les résultats de cette analyse soient bel et bien fiables. On est obligé de bien surveiller le côté matériel pourque la recherche marche bien suivant  le plan souhaité. La première qualité c’est de savoir vivre avec les ressources que dispose la zone d’étude. A part cette qualité, il faut toujours se munir avec des cartes, téléphone pour l’enregistrement des conversations avec les habitants locaux et appareil photo.
Et pour la préparation des enquêtes sur terrain, on peut établir une série de questionnaire que l’on peut voir en annexe de cette mémoire visant à faire ressortir le maximum d’information sur notre thème à traiter. Pendant cette recherche, on a posé habilement des questions aux habitants locaux pour l’obtention des réponses directement utilisables pour l’analyse et l’interprétation. C’est un instrument de recherche qui permet de se faire une idée précise sur la manière de penser, d’agir et de sentir d’un groupe ou d’une catégorie d’individu.
Ces questions devront être catégorisées d’où l’importance de la mise en place d’un échantillonnage. Il s’agit de subdiviser les personnes à enquêter parce qu’i l semble très difficile d’interroger tous les habitants qu’on rencontre dans le champ d’intervention.

Les enquêtes au niveau la zone d’étude

C’est le moment où jamais pour ceux qui font la recherche. A ce stade, les chercheurs entrent entièrement au cœur de la recherche. En Master 2, il s’agit d’une étude approfondie, où l’on devra adopter les moyens suivants pour appréhender les réalités. En tant que géographe, on a l’aptitude d’observer des faits. L’observation est une technique qui va nous permettre de vérifier dans la pratique le terrain de recherche. A la pratique de cette méthode, on est obligé de faire la prospection sur terrain. Dans ce sens, ce sont les phénomènes géographiques et ceux qui touchent notre sujet qu’on va perdre notre temps et non pas faire un voyage d’agrément.
Avec l’observation, il faut ajouter de l’entretien en discussion avec les habitants afin qu’ils puissent s’exprimer en parole. Ce geste doit être mis en vigueur car il y a parfois une grande différence entre ceux que les habitants font et ceux qu’ils disent. Cet entretien est un questionnement oral ou discussion avec un individu à propos d’un sujet qu’on a proposé. C’est une technique qui permet de recueillir le maximum d’informations par un processus de communication verbale. De ce fait, on a enquêté 78 individus répartis comme suit : 3 responsables de la commune, 17 responsables du Fokontany, 10 enseignants, 8 responsables d’Espace et Hôtels, 26 cultivateurs et 14 autres.

La phase post-terrain

Toutes les données collectées soient pendant la documentation soient d’après les résultats du séjour sur terrain devront être catégorisées. Et après, on est obligé de faire une analyse de ces informations recueillies avant de porter notre interprétation sur les faits. Finalement, quand on arrive à échapper à toutes ces étapes il ne reste qu’à faire l’assemblage et la rédaction de ces données afin d’avoir un ouvrage présentable auprès du public.

Les hypothèses obtenues

Actuellement, la vitesse maximale de l’urbanisation devient un phénomène incontrôlable. Ce fait est un tronc commun dans tous les pays de l’ASS ou Afrique Subsaharien. Toutes les villes dans ce zoning ont connu une extension sauvage ou avec une autre expression, la consommation de l’espace ne conforme pas au texte inscrit dans le PUDi ou le Plan d’Urbanisme Directeur. Et quand on parle de la commune, l’utilisation du sol et le SAC ou Schéma d’Aménagement Communal ne vont pas de pair. Toutes ces réalités nous amènent sur la réflexion que les constructions hors-normes deviendront un grand problème dans la gestion de la commune dans quelques années. Cette incohérence, entre l’application du SAC et l’occupation de l’espace exercée par la population, est soutenue par la forte croissance démographique qui est expliquée à son tour par l’accroissement naturel très élevé et le développement du mouvement migratoire.

Dynamique démographique liée au mouvement migratoire

Dans l’autre côté, la dynamique migratoire accentue aussi l’augmentation démographique dans la Commune Rurale d’Ambohimangakely. Le premier facteur de l’évolution du mouvement migratoire est constitué par les pouvoirs d’attraction de l’endroit à savoir la tranquillité dans le Fokontany ou dans le quartier ainsi que l’existence d’étendue peu occupé et donc bien aérée. Ces raisons excitent les populations urbaines et des habitants d’autre région de chercher des terres à bâtir ou à louer dans cette zone.
Parmi les 78 personnes que l’on a enquêté lors de notre visite de terrain, 41 sont des nouveaux venus et qui donnent 52%. Il est bien à remarquer que ce sont dans les Fokontany où longe la RN2 que ces migrants se sont concentrés. Et les enquêtés dans les Fokontany dits périphériques sont des propriétaires directs de terrains. La croissance démographique dans des certains Fokontany est lié par l’œuvre d’un centre humanitaire que l’on appelle « AKAMASOA ». Dans ce centre, qui est créé par Père Pedro Pablo, des milliers de « sansabris » ont bénéficié des belles cités comme l’on trouve à Andralanitra (Fkt Ikianja), à Manantenasoa (Fkt Ambohimahitsy-Manantenasoa) et Mahatsara (Fkt Betsizaraina). Ces « sans-abris » sont des gens qui vivent au détriment de la décharge publique ainsi de travailler sur les carrières. Le pire problème que l’on a constaté ce que les enfants sont aussi victimes de ces travaux très durs. Les parents n’ont pas les moyens possibles pour permettre leurs enfants d’aller à l’école. Et auparavant, ils ont abrité dans des maisons en chassé et en carton. A l’arrivée du Père Pedro, il a très choqué et a décidé de réinsérer ces habitants dans une vie un peu plus meilleure qu’ils l’ont à ce temps-là. Et pour le bien-être de ces habitants qu’il a créé ce centre AKAMASOA.
Et avec son intervention, les enfants au lieu de faire un travail très dur, ils rejoignent l’école. Et dans sa politique de construction de logements sociaux pour les défavorisés, l’association humanitaire Akamasoa s’est donnée des objectifs bien définis : sur la réintégration sociale de ses membres en matière d’emploi ainsi que de revenu stable, en matière de formation professionnelle et d’autonomie de vie, mais aussi en matière d’innovation dans la technique de construction et d’aménagement de quartiers planifiés qui sont disposés des espaces verts et des espaces sportifs entretenus, constituant un environnement salubre.

Table des matières

REMERCIEMENTS
SOMMAIRE
RESUME 
LISTES DES ILLUSTRATIONS 
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : CADRAGE GENERAL DE L’ETUDE 
Chapitre I : CADRE CONCEPTUEL
Chapitre II : LES DIFFERENTES ETAPES DE LA RECHERCHE
PARTIE II : AMBOHIMANGAKELY : UNE COMMUNE RURALE TYPIQUE DES HAUTES TERRES CENTRALES DE L’IMERINA
Chapitre III : LE DYNAMISME SPATIAL DE LA COMMUNE RURALE D’AMBOHIMANGAKELY
Chapitre IV–DANYMIQUE DE L’EVOLUTION DE L’OCCUPATION DE L’ESPACE
PARTIE III : LES CONTRAINTES ET LES PERSPECTIVES DE LA COMMUNE
Chapitre V-LES CONTRAINTES DE LA COMMUNE RURALE D’AMBOHIMANGAKELY
Chapitre VI- LES PERPECTIVES DE LA COMMUNE RURALE D’AMBOHIMANGAKELY
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE 
ANNEXE
TABLE DE MATIERE

projet fin d'etude

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