Ressources en eau, gestion intégrée et perspectives d’un aménagement du complexe des zones humides

Ressources en eau, gestion intégrée et perspectives d’un aménagement du complexe des zones humides

Menaces sur l’écosystème lacustre 

L’expansion de l’agriculture Le complexe est une région essentiellement à vocation agricole dont la surface agricole utile représente 47%, allant du maraîchage aux cultures spéculatives qui exigent une forte consommation d’eau d’irrigation. Lorsque l’irrigation est utilisée surtout en été, c’est le plus souvent au dépend des lacs et zones humides sources d’eau facilement accessibles. Plus de 300 hectares, des terres cultivées irrigués à partir des eaux de quelques zones marécageuses du complexe qui produisaient essentiellement des tomates [82%], des pastèques [16%] et 2% de poivrons , soit 1.13 hm 3 , d’eau prélevée au mois de juillet 2016. Fig.51. La superficie irriguée ainsi que le volume d’eau prélevé à partir des lacs de Guerbes-Sanhadja [Juillet.2016] Ainsi que l’utilisation excessive d’engrais et les fertilisants, en effet, 94 % des agriculteurs utilisent les fertilisants azotés [jusqu’à 800 kg/ha de type NPK [15/15] et ces quantités employées n’ont guère diminué, voire ont augmenté [Tab. 36]. L’état actuel d’un nombre des zones marécageuses montre un assèchement [environ 50% sont asséchées en période d’étiage] couplée à une eutrophisation avancée [Fig.52], liée aux rejets d’eaux usées domestiques et agricoles, riches en matière organique.  Source : DSA Ben Azzouz. 2016 Donc l’agriculture irriguée à des impacts sur l’environnement du complexe [création de chenaux, rectification de cours, création de fossé pour un écoulement rapide de l’eau, engrais, pompages intensifs] avec une diminution de la recharge de la nappe. Ces pressions affectent fortement l’écosystème lacustre [biodiversité, écoulement des eaux, qualité de l’eau……]. Fig.52.Exemples de menaces des activités agricoles portant sur les ressources en eau du complexe de Guerbes-Sanhadja : a): La pollution organique au niveau d’oued el Maboun ;b) : Trace d’eutrophisation au niveau du Garâat Ain Nechma ;c) : Pompage anarchique et intensifs pour l’irrigation Garâat Hadj Tahar ; d) : Assèchement du Garâat Moussissi. [HEDJAL ; 2017]

. Problèmes des rejets urbains

A l’instar du réseau d’assainissement, celui-ci ne couvre que les agglomérations de chef lieu et quelque agglomération secondaire. Pour le reste du complexe les rejets des eaux usées se font par des fosses septiques. Ce réseau arrive à satisfaire les besoins de 70 % de la population des agglomérations. Les rejets de ces réseaux s’effectuent en 11 points .Aujourd’hui le complexe connait un grave problème des rejets des eaux usées non traités. Environ 4954 m3 /j d’eaux usées domestiques effectués par les agglomérations rurales le long du cours d’eaux principales sans aucun traitement dans les ruisseaux et les affluents constituent une menace évidente de la qualité chimique des eaux du milieu, rejoignant les marais lors des inondations et atteignent ainsi les unités du complexe des zones humides

 Menaces sur l’écosystème dunaire

Malgré l’existence d’une loi consacrée au littoral [Loi n° 02-02 du 5 février 2002 relative à la protection et à la valorisation du littoral] et qui protège l’écosystème dunaire où les dunes font l’objet d’un classement en zones critiques ou en aires protégées .Cet écosystème demeure menacé 

La surexploitation des ressources

[Les sablières] L’exploitation du sable en tant matériau de construction et/ou le manque de surveillance et de contrôle a constitué une autre forme de dégradation, par l’extension des sablières menaçant ainsi le couvert végétal dont le rôle est la fixation du système dunaire. En creusant les fosses des sablières, les niveaux aquifères de la nappe deviennent plus vulnérables à la pollution. Ces trous béants laissés en l’état permettent l’accumulation de détritus divers surtout qu’ils sont localisés près des habitations. Pouvant servir comme dépotoir, elles constituent une vraie menace supplémentaire pour les eaux souterraines présentent dans les dunes. Le tableau ci-dessous représente les variations de la quantité du sable exploité durant la période [1995-99].Nous signalons que ces données ont été enregistrées dans une période où le seul exploitant était la commune de Ben Azzouz et sur un seul site. Comment peut-on imaginer alors le risque et les conséquences de la surexploitation du sable avec l’installation de trois sablières dans des sites différents sur le cordon dunaire er de façon illégale et sans aucune limite d’exploitation ? 

 Menaces sur l’écosystème forestier

Devant la nécessité impérative de nos jours de préserver les ressources en eau et de contribuer à la protection de la santé publique, de nombreux travaux de recherches et procédés mentionnent le rôle phyto-épurateur des eaux usées et la rétention des produits toxiques par les plantes. Ces procédés montrent que l’utilisateur d’écosystème dans lesquels les végétaux prennent une place prépondérante. Les formations végétales naturelles des zones humides, tels que celles de Sanhadja sont particulièrement adaptées au rôle d’épuration des eaux usées, malheureusement ces dernières d’années on assiste à la destruction de ce couvert végétal épurateur:

Le défrichement

Le défrichement de milieux boisées se pratique à grande échelle [de l’ordre de 50 ha/an] [Toubal.O et al.2014] pour développer des activités agricoles sur des sols certes productifs pendant une ou deux années mais bien rapidement appauvris car insuffisamment structurés [Fig.55 ; Fig. 56].

Les incendies L

e facteur de dégradation le plus violent de la forêt est sans contester l’incendie. Elle modifie la composition et la structure de la végétation et empêche la régénération de certaines espèces. Parmi ces derniers, la subéraie est très touchée par les dégradations, pour augmenter les surfaces cultivables sur sols accueillants [Fig.57]. D’après Boudy, 1955 in Raachi .2007 une subéraie pourrait résister au passage de trois feux successifs, suite aux quels, la plupart de Superficies défrichées 93 cette formation de chêne liège subit une régression vers l’état de maquis arboré où la densité des arbres diminue. La cause principale étant l’homme, mais devant l’insuffisance des moyens de surveillance et d’interventions, ce problème risque d’échapper au contrôle.

Le surpâturage

Le surpâturage a lourdement contribué dans le compactage des sols et a eu une double action sur :  La régénération naturelle de la forêt de chêne liège par le pacage des jeunes plants et des glands. Aussi en présence d’un sol compact, les glands ne peuvent s’enfoncer et germer.  Le compactage des sols et notamment les sols argileux et marneux, cause leur imperméabilité or une faible infiltration des roches affleurantes indique qu’une grande quantité d’eau ruisselle, par conséquent, une forte quantité de terre peut être emportée. Les sols marneux lorsqu’ils sont secs, restent non érodables, mais dès qu’ils atteignent une certaine humidité, leur sensibilité à la détachabilité et au ruissellement augmente. [Raachi. 2007]. Pour la réglementation algérienne cette activité est interdite « Le pâturage dans le domaine forestier national est organisé par voie réglementaire. Il est cependant interdit : dans les zones incendiées, dans les aires protégées. [Article 26 Loi n° 84-12 du 23 juin 1984 portant régime général des fôrets]. [Ministère de l’agriculture et du développement rural. Mars .2011]. Tous ces facteurs contribuent à la réduction des espaces forestiers dans le territoire du complexe de Guerbes-Sanhadja. Il risque à moyen terme d’entraîner la dévalorisation du patrimoine naturel du complexe. La destruction du couvert végétal entraîne aussi d’autres fléaux tels que la déstabilisation du massif, l’érosion éolienne, la sécheresse….. , qui se répercuteront sur la sédimentation des lacs et leurs disparitions.

Table des matières

CHAPITRE 1: LES CARACTERISTIQUES PHYSICO-GEOGRAPHIQUES
I. SITUATION GEOGRAPHIQUE
II. IDENTIFICATION ADMINISTRATIVE ET APERÇU SOCIO-ECONOMIQUE
III. LE COUVERT VEGETAL ET L’OCCUPATION DU SOL
1. Données sur les sols du complexe
1.1. Classification des sols
1.1.1. Classe des sols peu évolués
1.1.2. Classe des sols vertisols
1.1.3. Classe des sols Calcimagnésiques
1.1.4. Classe des sols Fersialitique
1.1.5. Classe des sols Hydromorphes
2. L’occupation du sol
2.1. Le domaine forestier.
2.2. Le domaine agricole .
2.2.1. La superficie agricole utile [SAU]
3. L’élevage
4. Les grands ensembles structuraux du complexe des zones humides de GuerbesSanhadja.
4.1. Montagnes
4.2. Collines
4.3. Dunes
4.4. Dépressions
4.5. Terrasses.
IV. CARACTERISTIQUES MORPHOMETRIQUES DU BASSIN DU OUED EL-KEBIR MAGROUN/SANHADJA
1. La courbe hypsométrique
2. La forme du bassin
3. Le rectangle équivalent
4. L’indice de pente globale [Ig]
Sommaire
3. Densité de drainage
V.CONCLUSION
CHAPITRE 2 : LES CARACTERISTIQUES GEOLOGIQUES
I. LA LITHOSTRATIGRAPHIE DU COMPLEXE
1. Paléozoïque
1.1. Les formations cristallophylliennes
2. Mésozoïque
2.1. Les formations sédimentaires
3. Cénozoïque
3.1. Flysch-oligocène
3.2. Flysch – numidien
4. Le quaternaire
4.1. Quaternaire Ancien ou Pléistocène
4.1.1. Le travertin
4.1.2. Les grés de dunes
4.2. Quaternaire récent ou Holocène
4.2.1. Les colluvions
4.2.2. Le sable rougeâtre d’âge holocène
4.2.3. Le sable blanc des dunes
4.2.4. Les alluvions
II. TECTONIQUE
1. Structure autochtone
2. Structure para-autochtone
3. Structure allochtone
3.1. La nappe de charriage métamorphique kabyle du Paléozoïque inférieur
3.2. Nappe de flysch argilo-gréseux
3.3. Nappe de charriage numidienne
III. CARACTERISTIQUES HYDROGEOLOGIQUE DES DIFFERENTES FORMATIONS
1. Les formations perméables
1.1. Les formations liasiques du Djebel Safia
1.2. Les alluvions de l’Oued El Kébir
1.3. Colluviun
1.4. Le massif dunaire
2. Les formations imperméables
IV.CONCLUSION
CHAPITRE 3 : LES CARACTERISTIQUES HYDRO-CLIMATIQUES
I. LES STATIONS METEOROLOGIQUES
II. LES PRECIPITATIONS
1. Comblement des lacunes
1.1. Ajustement des précipitations annuelles à une loi de Gauss
1.2. Contrôle de la fiabilité des séries pluviométriques
2. Précipitations moyennes mensuelles
2.1. Régime mensuel
3. Répartition saisonnière des précipitations
4. Précipitations annuelles
5. Calcul de la lame d’eau moyenne précipitée
5.1. La méthode arithmétique
III. LA TEMPERATURE
IV. CARACTERISATION DU CLIMAT DE LA ZONE D’ETUDE
1. Relation Températur-Précipitation
2. Méthode d’EUVERT [Humidité du sol]
V. PARAMETRES METEOROLOGIQUES SECONDAIRES
1. L’Humidité
2. Les vents
3. L’évaporation
4 .L’ensoleillement
VI. BILAN D’EAU
1. L’évapotranspiration
1.1. Calcul de l’évapotranspiration
1.1.1. L’évapotranspiration potentielle [ETP]
1.1.2. L’évapotranspiration réelle [ETR]
Formule de TURC
Formule de COUTAGNE
Méthode du bilan d’eau de C.W.Thornthwaite
1.2. Discussion des résultats
2. Estimation du ruissellement
3. Estimation de l’infiltration
VII. CONCLUSION
CHAPITRE 4 : LES CARACTERISTIQUES ENVIRONNEMENTALES ET BIODIVERSITES
I. LES ZONES MARECAGEUSES DU COMPLEXE DE GUERBES-SANHADJA
1. Garâat Béni M’Hamed [36°57’ N, 7°’] de superficie environ 462 hectares
2. Garâat Haoues [36°58’ N, 7°’ E] de superficie environ 287 hectares
3. Garâat Dahria [36°59’ N, 7°’ E] de superficie environ 30 hectares
4. Garâat Greaat [36°51 ‘N ,7°21’E] de superficie environ 08 hectares
5. Garâat El Guelb [36°53′ N, 7°’ E] de superficie environ hectares 66
6. Garâat Sidi Fritis [36°53’975 N, 7°’ 437 E] de superficie environ 45 hectares
7. Garâat Sidi Makhlouf [36°53′ N, 7°’ E] de superficie environ hectares
8. Garâat Hadj Tahar [36°51’774 N, 7°’ 957 E] de superficie environ 1 hectares
9. Garâat Dissia [36°53′ N, 7°21′ E] de superficie environ  hectares
. Garâat Aïn Nechma [36°48′ N, 7°’ E] de superficie environ hectares
. Garâat Echrouk [36° 53’ 192 N, 7° ’ 963 E] de superficie environ 60 hectares
. Garâat Zaouïa [36°51’979N, 7°23’587E] de superficie environ 0.5 hectares
. Garâat Chychaya [36°53′ N, 7°’ E] de superficie environ 50 hectares
. Garâat Messaoussa [36°55′ N, 7°’ E] de superficie environ 322 hectares
. Garâat Guerbes [36° 54 N, 7°E] de superficie environ 25 hectares
II. EVALUATION DES PRINCIPALES UNITES ECOLOGIQUES
III.FAUNE ET FLORE
1. La flore
1.1. Le domaine forestier5
1.1.1. Le Chêne-liège [Quercus suber L.]
1.1.2. Le chêne-kermès [Quercus coccifera L.]
1.1.3. Le Pistacia lentiscus L. et Olea oleaster L
1.2. Les aulnaies et ripisylves
1.3. Le reboisement
1.4. Le massif dunaire
1.5. Les prairies humides
2. La faune
2.1. L’avifaune aquatique
2.2. Les mammifère
2.3. Les amphibiens
2.4. Les odonates
IV. LES ZONES HUMIDES DE GUERBES-SANHADJA
1. Les critères relatifs à la définition des zones humides de Guerbes-Sanhadja
2. Type de zone humide de Guerbes-Sanhadja
V. LA VULNERABILITE DES ZONES HUMIDES DE GUERBES-SANHADJA
1. Menaces et pression
1.1. Menace sur l’écosystème lacustre
1.1.1. L’expansion de l’agriculture
1.1.2. Le Problèmes des rejets urbains
1.2. Menace sur l’écosystème dunaire
1.2.1. La surexploitation des ressources [Les Sablières]
1.3. Les menaces sur l’écosystème forestier
1.3.1. Le défrichement
1.3.2. Les incendies
1.3.3. Le surpâturage
2. La proposition d’un zoning local du complexe de Guerbes-Sanhadja
VI. CONCLUSION
PARTIE II : ESSAI DE GESTION INTEGREE PARTICIPATIVE DU COMPLEXE DES
ZONES HUMIDES DE GUERBES-SANHADJA
CHAPITRE 5: RESSOURCES EN EAU DE SURFACE ET SOUTERRAINES
I. RESSOURCES EN EAU DE SURFACE
1. Le bassin versant de l’oued El –Kébir Ouest
1.1. Le bassin versant d’oued El-Kébir Ouest / Hammam
1.2. Le bassin versant d’oued El-Kébir Ouest/Magroun9
2. Le potentiel hydrique superficiel
2.1. Les oueds
2.2. Barrage de Zit Emba
2.3. Les retenues collinaires
2.4. Les Bassins d’accumulations
2.5. Les marécages du complexe de Guerbes-Sanhadja
II. RESSOURCES EN EAU SOUTERRAINES
1. Identification des systèmes aquifères
1.1. Interprétation des profils hydrogéologiques schématiques
2. Le potentiel hydrique souterrain
2.1. Les forages
2.2. Les puits
2.3. Les sources
III. LA MOBILISATION DES RESSOURCES EN EAU DANS GUERBES-SANHADJA
1. La mobilisation des eaux de surface
1. La mobilisation des eaux souterraines
IV. L’AFFECTATION DES RESSOURCES EN EAU DANS GUERBES-SANHADJA
1. L’alimentation en eau potable des agglomérations
2. L’alimentation en eau agricole
3. L’alimentation en eau industrielle
V. CONCLUSION
CHAPITRE 6: QUALITE DES EAUX DANS LE COMPLEXE DES ZONES
HUMIDES DE GUERBES-SANHADJA
I. LE CHIMISME ET QUALITE DES EAUX DE GUERBES-SANHADJA
1. Chimie des eaux de surface
1.1. Faciès chimiques
1.1.1. Diagramme de Piper
1.1.2. Diagramme de Schoeller-Berkaloff
1.2. Les Paramètres physico-chimiques
1.2.1. Les paramètres physiques
1.2.1.1. La température
1.2.1.2. Le potentiel d’Hydrogène [pH] 2
1.2.1.3. La conductivité électrique [CE]
1.2.1.4. La salinité
1.2.1.5. L’oxygène dissous
1.2.1.2. La turbidité
1.2.1.2. Le total des sels dissous [TDS]
1.2.2. Les paramètres chimique
1.2.2.1. Les ions majeurs
a. Calcium [Ca2+]
b. Magnesium [Mg2+]
c. Sodium [Na+]
d. Le potassium [K+]
e. Bicarbonates [HCO3-]
f. Chlorures [Cl
g. Sulfates [SO42-]
1.2.2.2. Variation des composés azotés et phosphatés
a. Les composés azotés
a. Les composés phosphatés
1.2.2.3. Variation des matières organiques
2. Les eaux souterraines
2.1. Faciès chimique
2.1.1. Diagramme de Piper
2.1.2. Diagramme de Schöller Berkaloff
2.2. Normes de potabilité et qualité des eaux souterraines
2.2.1. Les paramètres physiques
2.2.1.1. La température
2.2.1.2. Le potentiel d’Hydrogène [pH]
2.2.1.3. La conductivité électrique [CE]
2.2.1.4. Le total des sels dissous [TDS]
2.2.2. Les éléments majeurs
2.2.2.1. Calcium [Ca]
2.2.2.2. Magnesium [Mg]
2.2.2.3. Sodium [Na]
2.2.2.4. Potassium [K]
2.2.2.5. Chlorure [Cl]
2.2.2.6. Sulfate [SO4]
2.2.2.7. Bicarbonate [HCO3]
2.2.3. Les matières azotées
2.2.3.1. Nitrites [NO2]
2.2.3.2. Ammonium [NH4]
2.2.4. Les matières phosphatées
2.2.4.1. Phosphate [PO4]
II. CONCLUSION
CHAPITRE 7: APTITUDE DES EAUX A L’IRRIGATION DANS LE COMLEXE
DES ZONES HUMIDES DE GUERBES-SANHADJA
I. APTITUDE DES EAUX DES EAUX DE SURFACE A L’IRRIGATION
1. Les paramètres des eaux à usage agricoles
1.1. Le potentiel d’Hydrogène [pH]
1.2. La conductivité électrique [CE]
1.3. Les Chlorures
1.4. Le Carbonate de Sodium Résiduel [RSC]
1.5. Le pourcentage du sodium [Na%]
1.6. L’indice de perméabilité [IP%]
1.7. Le Taux d’absorption du sodium [SAR]
1.8. Les Nitrates
1.9. L’indice de pollution organique [IPO]
1.. Classification des eaux de surface du complexe de zones humides de GuerbesSanhadja d’après Wilcox
II. APTITUDE DES EAUX SOUTERRAINES A L’IRRIGATION
1. Influence de la sodicité et de la salinité sur la permeabilité du sol
2. Classification des eaux souterraines du complexe de zones humides de GuerbesSanhadja d’après Wilcox 6
III. CONCLUSION
CHAPITRE 8: ESSAI DE GESTION PARTICIPATIVE DES RESSOURCES EN EAU DE LA REGION DE GUERBES-SANHADJA
I. UNE APPROCHE PARTICIPATIVE : UN MODEL-TYPE DE LA GIRE
1. Gestion intégrée de l’eau par bassin versant
1.1. Notion d’intégration
1.2. L’Approche écosystémique
1.3. Objectifs de la gestion intégrée de l’eau par bassin versant
1.4. Facteurs de succès de la gestion intégrée des ressources en eau par bassin versant
1.5. Planification de la gestion intégrée de l’eau par bassin versant
1.6. Approche participative de gestion
II. MISE EN PERSPECTIVE DE L’APPROCHE PARTICIPATIVE COMME MOYEN
D’UNE GIRE FONCTIONNELLE ET DURABLE DANS LE COMPLEXE DES ZONES HUMIDES DE GUERBES-SANHADJA
1. Analyse de la situation relative aux acteurs de gestion de l’eau dans le complexe de Guerbes-Sanhadja
1.1. Les acteurs locaux des usages et de la gestion de l’eau
1.1.1. La population riveraine
1.1.2. La Direction des ressources en eaux [DRE]
1.1.3. La Conservation des forêts de la wilaya [CFW]
1.1.3. La Direction des services agricoles [DSA]
1.1.3. Les Collectivités territoriales
1.2. Les acteurs régionaux de la gestion de l’eau
2. La pratique de la gestion participative dans le compexe de Guerbes-Sanhadja
3. Enquêtes par questionnaire et Entretiens avec gestionnaires et les usagers du complexe
de Guerbes-Sanhadja 5
3.1. Enquêtes par questionnaire et Entretiens avec les acteurs gestionnaires locaux et régionaux de la ressource en eau
3.2. Enquêtes par questionnaire auprès des usagers
3.3. Résultat et discussion
3.3.1. Questionnaire réservé aux gestionnaires du complexe
3.3.2. Questionnaire réservé aux usagers du complexe
4. La proposition d’un comité local de l’eau dans Guerbes-Sanhadja
4.1. Le comité local de l’eau dans Guerbes-Sanhadja [CLE]
III. CONCLUSION
CHAPITRE 9: PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DURABLE ET
D’AMENAGEMENT DES EAUX DE LA REGION GUERBES-SANHADJA 2
I. LES PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LA REGION DE GUERBES-SANHADJA
1. Définition du développement durable
1.1. Le concept de développement durable
2. Proposition d’un plan du développement drable
2.1. Développer un écotourisme de nature respectueux des écosystèmes
2.2.1. De la définition de l’écotourisme 2
2.2. Développer une agriculture familiale à revenue limité pour l’autosuffisance
2.2.1. Qu’est ce que l’agriculture familiale ?
2.2.2. Les projets de développement durable en faveur de l’agriculture familiale
2.2.2.1. L’encouragement de la fruiticulture
2.2.2.2. L’aide à la mécanisation des terres agricoles et à la récupération des pâturages dégradés
2.2.2.3. L’élevage de l’aquaculture
2.2.2.4. Plantes d’intérêt économique
2.2.2.5. Développer l’activité artisanal
II. LES PERSPECTIVES D’AMENAGEMENT DANS DE LA REGION DE GUERBESSANHADJA
1. Développer les techniques d’irrigation
2. Développer les activités de l’élevage
3. Restauration les habitats forestiers
3.1. La subéraie
3.2. Le massif dunaire
3.3. Les aulnaies et les ripisylves
3.4. Les prairies
4. Restauration les zones humides
III. CONCLUSION

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